Saint-Martin-de-Brômes (Sant-Martin en occitanprovençal) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
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Des lignes de transports scolaires ont été mises en place pour rallier le collège de Riez ainsi que les lycées et collèges de Manosque. Ces lignes sont financées par la communauté d'agglomération Durance-Luberon-Verdon au travers du réseau Trans'Agglo. En plus des lignes existantes du réseau, d'autres ont été rajoutées.
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Valensole auquel appartient Saint-Martin-de-Brômes est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[5], et en zone 3 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[6]. La commune de Saint-Martin-de-Brômes est également exposée à trois autres risques naturels[6]:
feu de forêt;
inondation;
mouvement de terrain: la commune est presque entièrement concernée par un aléa moyen à fort[7].
La commune de Saint-Martin-de-Brômes est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui de rupture de barrage[8]. Quatre barrages menacent une partie restreinte du territoire de Saint-Martin-de-Brômes: les barrages de Castillon, Sainte-Croix, de Quinson et de Gréoux[9]. Le premier ne menace la commune que d’une inondation forte, comparable aux très fortes crues du Verdon[10]: de plus, l’onde de submersion mettrait plus de deux heures à parvenir à Saint-Martin-de-Brômes[11]. Les autres barrages, plus proches, et surtout le barrage de Sainte-Croix, au réservoir beaucoup plus volumineux, causeraient des submersions plus importantes.
Le plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) de la commune a été approuvé en 1998 pour les risques d’inondation et de séisme[12] et le Dicrim existe depuis 2011[13]. Deux incendies, le 7 août 2005, détruisent 2 458ha de forêt, en touchant également les communes de Quinson, Manosque et Esparron-de-Verdon[14].
Toponymie
Le nom du village apparaît pour la première fois en 1042 (ecclesiam. de Brumeç), puis vers 1064-1079, sous le nom de Sancti Martini de Bromezes, forme occitane du nom de saint Martin de Tours, qui a été francisée par la suite[15],[16]. Le toponyme Brumeç est préceltique[17], et sa signification très probablement liée à un cours d’eau[18].
Urbanisme
Typologie
Saint-Martin-de-Brômes est une commune rurale[Note 1],[19]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Manosque, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[22],[23].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71,1% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (70,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (56,7%), terres arables (14,8%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (14,4%), zones agricoles hétérogènes (11,9%), zones urbanisées (2,3%)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].
Économie
Agriculture
Bien que Saint-Martin-de-Brômes soit inclus dans le périmètre de l’appellation d'origine contrôlée (AOC) du vin de Pierrevert, la vigne n’y est pas cultivée. Jusqu’au milieu du XXesiècle, la vigne était cultivée dans la commune, mais uniquement pour l’autoconsommation[26].
La culture de l’olivier est une des principales de la commune. Alors que la production d’huile d’olive était importante jusqu’au début du XXesiècle (avec 7 200 pieds), elle connait un fort déclin pour finir, avec seulement 3400 pieds en 1994[27]. Sa culture, pratiquée dans la commune depuis des siècles, est limitée à certains versants. Le terroir de la commune se situe en effet à la limite altitudinale de l’arbre, qui ne peut que difficilement être exploité au-delà des 650 mètres: à Saint-Martin-de-Brômes, il s’agit des versants bien exposés des vallons entaillant le plateau de Valensole[28].
Activités de services
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Histoire
Protohistoire
L'oppidum de Buffe-Arnaud, celto-ligure et fouillé en 1992[29], lors de travaux sur la RD 952, est la plus ancienne agglomération présente sur le territoire de la commune. Il est situé au confluent du Colostre et du Verdon: les escarpements formés par ces rivières le défendent sur trois côtés, un mur de pierres liées à la terre sur le dernier. Il est occupé du VIesiècleav. J.-C. au milieu du Vesiècle. De 450 environ av. J.-C. jusqu’en 225, l’oppidum ne livre plus de traces d’occupation; il est ensuite à nouveau habité au IIIesiècleav. J.-C. jusqu'à la conquête romaine, à la fin du IIesiècleav. J.-C. Une tour-porche montre que l'oppidum était sous l'influence des colonies grecques de la côte. Il a été assiégé par les Romains en 124 av. J.-C.[30]. Un autre oppidum se trouvait en vis-à-vis de celui-ci, au Bas-Défends, mais n'a été que rapidement fouillé en 1996.
Antiquité
La commune a livré des vestiges de l’occupation romaine: tombes et sarcophages de plomb exposés au musée (début du IVesiècle), arènes, milliaire de Carus. Elle se trouvait sur la voie allant de Riez (Colonia Julia Augusta Apollinarium Reiorum) à Aix-en-Provence[31].
Moyen Âge et Ancien Régime
Au début du IIe millénaire, le territoire de la commune est appelé vallée d’Archincosco, et était sous la domination d’un ministral, jusqu’à la fin du XIesiècle[31]. Le premier site d’implantation de la communauté est le castrum de Notre-Dame, situé actuellement dans la commune d’Allemagne-en-Provence[32]. Le castrum était détenu par abbaye Saint-Victor de Marseille, qui confiait l’administration de la seigneurie à un laïc[33].
L’abbaye Saint-Victor de Marseille possède également l’église de Saint-Martin, celle de Saint-Pierre-d’Archincosco, qu’elle reçoit du ministral avec la tasque (redevance semblable à la taille) avec des terres et d’autres droits[31]. Elle possède aussi deux fiefs, à Saint-Martin et à Brômes, et y était représenté par plusieurs seigneurs. Les Castellane y sont seigneurs de 1227 à 1673[34], les Payan leur succédant au XVIIIesiècle[35].
Période contemporaine
Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[36]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Brômes[37].
Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République: 7 habitants de Saint-Martin-de-Brômes sont traduits devant la commission mixte, la peine la plus courante étant la déportation en Algérie[38].
Comme de nombreuses communes du département, Saint-Martin-de-Brômes se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry: en 1863, elle en possède déjà une qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[39]. La même instruction est donnée aux filles, bien que la loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants[40]. La commune profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour construire une école neuve[41].
Héraldique
Article détaillé: Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.
Blasonnement: coupé: au premier de gueules à la fasce d'or, au second d'or à l'écureuil d'azur.[42]
Politique et administration
Intercommunalité
Saint-Martin-de-Brômes fait partie:
de 2002 à 2013, de la communauté de communes Luberon Durance Verdon;
depuis le , de la communauté d'agglomération Durance-Luberon-Verdon Agglomération.
La collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et la protection et mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté d'agglomération Durance Luberon Verdon.
Économie
Emploi
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Entreprises, commerces, activités artistiques
Commerces, artisans et entreprises sur la commune[48].
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Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[51].
En 2019, la commune comptait 627 habitants[Note 3], en augmentation de 10,97% par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence: +1,48%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1765
1793
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
418
499
511
501
541
540
500
526
507
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
501
476
463
449
454
431
403
392
406
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
391
347
334
264
271
245
202
229
184
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
167
222
217
244
339
403
450
458
539
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
576
627
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique
L’histoire démographique de Saint-Martin-de-Brômes, après la saignée des XIVeetXVesiècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXesiècle, est marquée par une période d’«étale» où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure des années 1810 à 1856. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1926, la commune a perdu la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1831[54]. Le mouvement de baisse ne s'interrompt définitivement que dans les années 1960. Depuis, la commune a connu une forte croissance, triplant sa population et rejoignant le maximum d'il y a presque deux siècles.
Évolution démographique avant 1765
1315
1471
58 feux
28 feux
Lieux et monuments
Tour de l’horloge de Saint-Martin-de-BrômesÉglise de Saint-Martin-de-Brômes
Article détaillé: Tour de l’horloge de Saint-Martin-de-Brômes.
La tour de l’Horloge ou des Templiers est un donjon des Castellane.
Une maison de la rue principale possède une baie géminée du XIVesiècle, dont les chapiteaux sont sculptés de feuillages très découpés[55]. D’autres maisons de la même rue datent du XVe ou du XVIesiècles[56].
Le pont sur l’affluent du Colostre, à 1,5km du village en direction d’Allemagne, en contrehaut de la RD 952, est construit après 1650, voire au XVIIIesiècle. Il est constitué d’une arche en plein cintre. Ses arcs de tête sont doublés par des arcs en pierres taillées de façon plus fruste[57].
Article détaillé: Église Saint-Martin de Saint-Martin-de-Brômes.
L’église paroissiale Saint-Martin, assez trapue, est un ancien prieuré de l’abbaye Saint-Victor de Marseille. La nef à trois travées voûtée en berceau et l’abside, datent du début du XIIesiècle. Au XVIesiècle, elle est agrandie d'un collatéral sud au XIVesiècle (sous croisée d'ogives), puis d'une chapelle au Nord et d'un clocher à sommet pyramidal au XVe ou au XVIesiècle[58],[59]. Le bâtiment est classé monument historique[60]. Les tableaux, dus à un artiste local, Esprit Michel Gibelin, qui les a peint entre 1890 et 1897, sont classés monuments historiques au titre objet[61],[62].
Le musée archéologique[63] (depuis 1972[64]) recèle deux tombeaux dont un comprenait un sarcophage de plomb, mis au jour en 1972 lors des travaux sur la RD 952, et datant de la première moitié du IVesiècle[65]. la borne milliaire retrouvée sur la commune, qui porte le n° 14 et le nom de l'empereur Carus) est en dépôt au musée de Riez[66].
La ville de Saint-Martin-de-Brômes est desservie par la ligne de bus entre Riez et Manosque[72]. Une connexion est faite à Manosque avec la gare SNCF, et la gare routière. Il existe aussi un service d'autocars régionaux (autocars Sumian, à Gréoux-les-Bains) qui relie 3 fois par jour sauf le Dimanche et les jours fériés Riez à Marseille en passant par St-Martin de Brômes, Gréoux, Vinon et Aix-en-Provence. Une correspondance existe à Aix-en-Provencepour la gare d'Aix TGV et l'aéroport Marseille-Provence.
Personnalités liées à la commune
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Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA
Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559p.
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017)
Patrimoine architectural de Haute-Provence: 10 années de sauvegarde des monuments dans les Alpes-de-Haute-Provence (1970-1980), vol.72, Forcalquier, Alpes-de-Lumières, , 104p. (ISSN0182-4643), p.63-64.
Notes
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Roger Brunet, «Canton de Valensole», Le Trésor des régions, consultée le 11 juin 2013.
Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72p. (non-paginé) (ISBN2-7399-5004-7).
Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 11 juillet 2011, consultée le 15 août 2012.
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p.37.
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p.88.
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 52
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: étymologie de 35 000 noms de lieux, vol.3: Formations dialectales (suite); formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll.«Publications romanes et françaises» (no195), , 1852p. (lire en ligne)., § 28474, p 1627
Laurence Mombel, «Saint-Martin-de-Brômes: un patrimoine à découvrir», in verdon: ivern 2000-2001 no 4, p 36
Charles Rostaing, «Toponymie d’origine pré-gauloise» in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 11 et commentaire
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Thiery, «Saint-Martin-de-Brômes», Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 15 août 2012.
Yann Codou, «Le paysage religieux et l'habitat rural en Provence de l'antiquité tardive au XIIe siècle», Archéologie du monde médiéval, tome 21, 2003, p.53.
Laurence Mombel, op. cit., p.44.
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017), p.196.
Patrice Alphand, «Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no307, 1ertrimestre 1989, 108eannée, p.296-298
Jean-Bernard Lacroix, «Naissance du département», in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no307, 1ertrimestre 1989, 108eannée, p.113.
Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, «Arrestations-condamnations», 1851-Pour mémoire, Les Mées: Les Amis des Mées, 2001, p.71.
Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN978-2-86-004-015-0), p.9.
Labadie, op. cit., p.16.
Labadie, op. cit., p.11.
Louis de Bresc Armorial des communes de Provence 1866. Réédition - Marcel Petit CPM - Raphèle-lès-Arles 1994
[Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], «La Libération», Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559p., p 359
Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre: les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p 112
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