Saint-Laurent-Médoc est une commune du Sud-Ouest de la France, dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).
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Saint-Laurent-Médoc | |
![]() Saint-Laurent-Médoc#Héraldique | |
![]() Héraldique |
|
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Gironde |
Arrondissement | Lesparre-Médoc |
Intercommunalité | Communauté de communes Médoc Cœur de Presqu'île |
Maire Mandat |
Jean-Marie Féron 2020-2026 |
Code postal | 33112 |
Code commune | 33424 |
Démographie | |
Gentilé | Saint-Laurentais, Saint-Laurentaises |
Population municipale |
4 860 hab. (2019 ![]() |
Densité | 36 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 09′ 04″ nord, 0° 49′ 15″ ouest |
Altitude | Min. 4 m Max. 41 m |
Superficie | 136,55 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Saint-Laurent-Médoc (ville isolée) |
Aire d'attraction | Bordeaux (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton du Sud-Médoc |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.saint-laurent-medoc.fr |
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Saint-Laurent-Médoc est une commune située dans le Médoc, à mi-chemin entre Bordeaux et la Pointe de Grave, parmi les célèbres crus du Haut-Médoc. Le bourg est situé sur l'axe routier reliant le nord du Médoc à Bordeaux, aussi bien du temps de l'ancienne Lébade qu'aujourd'hui avec la route départementale 1215 (ex-RN 215, ex D.1) qui désormais contourne le centre.
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Saint-Germain-d'Esteuil | Cissac-Médoc | Saint-Sauveur, Pauillac |
Hourtin | ![]() |
Saint-Julien-Beychevelle |
Carcans | Listrac-Médoc | Cussac-Fort-Médoc |
Le réseau s'articule principalement autour de deux ensembles de petits cours d'eau :
De l'ouest vers l'est :
Altitude faible (de 3 à 43 mètres) :
La commune a une superficie de 13 655 hectares.
Zones Naturelles d'Intérêt Écologique Faunistique et Floristique (Z.N.I.E.F.F.) :
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pauillac-Sud », sur la commune de Pauillac, mise en service en 1986[7] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[8],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de précipitations de 821,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Le Temple », sur la commune du Temple, mise en service en 1984 et à 33 km[10], la température moyenne annuelle évolue de pour 1981-2010[11] à pour 1991-2020[12].
Saint-Laurent-Médoc est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Laurent-Médoc, une unité urbaine monocommunale[16] de 4 860 habitants en 2019, constituant une ville isolée[17],[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19],[20].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (22,2 %), terres arables (15,9 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), cultures permanentes (5,1 %), prairies (5 %), zones urbanisées (1,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Saint-Laurent-Médoc est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le risque nucléaire[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Jalle du Nord, la Berle et . La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999, 2009 et 2020[24],[22].
Saint-Laurent-Médoc est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[25]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[26]. Sur le plan de l'aménagement du territoire la commune dispose d'un plan de prévention des risques incendies feux de forêts (PPRIF)[27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 81,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 990 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 587 sont en en aléa moyen ou fort, soit 80 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[22].
La commune étant située totalement dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire du Blayais, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de 2 km se mettent à l'abri[Note 8]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 9],[29],[30].
En 2005 fut découvert un tumulus funéraire, utilisé d'environ à . En 2019, 30 individus (20 adultes et 10 enfants) y ont été recensés, mais les fouilles se poursuivent[31].
Il semble que c'est au bord d'une voie romaine que se construisent les premières habitations, peu après la Guerre des Gaules. Saint Laurent, martyr sous l'empereur Valérien, va donner son nom au village.
Au XIIe siècle, des moines Trinitaires occupaient le centre du bourg (actuelle Place du et vestige de la porte des Trinitaires).
À la même période, l'Aquitaine devint anglaise : les églises de Saint-Laurent-Médoc et de Benon gardent gravées dans leurs pierres les signes de cette présence qui durera 300 ans.
En 1653 Bordeaux fut investie par les troupes royales. Le prince de Condé et ses hommes, menacés par la famine lors du siège de Bordeaux, pillent le toute la contrée et notamment Saint-Laurent, dont les habitants réussissent à survivre grâce à la solidarité de leurs voisins lesparrains, et peut être aussi grâce à la vente de leur grand vin, déjà fort apprécié.
En 1800 Benon fut rattaché à Saint-Laurent, et le Saint-Laurent-et-Benon devint Saint-Laurent-Médoc[32].
Peu après sa fondation, l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem bâtit à Benon un hôpital possédant une chapelle (actuelle sacristie de l'église de Benon), où l'on découvre encore l'empreinte de l'Ordre. L'église de Notre-Dame-de-Benon, de style roman, est le vestige de la première commanderie hospitalière implantée en Médoc.
Saint-Laurent-Médoc étant en Médoc, pays gascon, la plupart des lieux-dits anciens y sont explicables par le gascon, par exemple Bernos, Graveyron, Jaugaret, la Hausse (Hosse), Labat, Lacanau, Laburadeye, le Coureau, le Bernada, Matoca, Nougueyron[33]...
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |||||||||||||||||||||||||||||||
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Maires avant 1944
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1944 | 1965 | Henri Destouesse | PRRRS | conseiller général | ||||||||||||||||||||||||||||||
1965 | 1986 | Aymar Achille-Fould | CDP puis UDF | député de 1962 à 1973 et en 1986 Ministre | ||||||||||||||||||||||||||||||
1986 | 1989 | Lucien Mioche | ||||||||||||||||||||||||||||||||
1989 | 2001 | Michel Faure | RPR | conseiller général | ||||||||||||||||||||||||||||||
2001 | 2008 | Henri Laurent | PS | conseiller général | ||||||||||||||||||||||||||||||
2008 | En cours | Jean-Marie Féron | DVD | Agriculteur, Président de la Communauté de communes (2020- ) |
Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :
Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores :
Élections régionales, résultats des deuxièmes tours :
Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours :
Élections municipales, résultats des deuxièmes tours :
Élections référendaires :
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44].
En 2019, la commune comptait 4 860 habitants[Note 10], en augmentation de 9,63 % par rapport à 2013 (Gironde : +7,85 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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2 534 | 2 202 | 2 656 | 2 624 | 2 826 | 2 748 | 2 692 | 2 775 | 3 003 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 979 | 3 159 | 3 235 | 3 146 | 3 019 | 2 937 | 3 056 | 3 038 | 3 028 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
3 008 | 2 966 | 2 788 | 2 304 | 2 333 | 2 246 | 2 071 | 1 970 | 1 943 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2006 | 2009 |
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1 920 | 2 034 | 2 063 | 2 896 | 3 338 | 3 366 | 3 585 | 3 626 | 4 054 |
2014 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
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4 517 | 4 860 | - | - | - | - | - | - | - |
Au recensement de 1999 : 3 476 habitants, dont environ la moitié de la population dans le bourg.
Cet édifice dédié à saint Laurent (d'où le nom de la ville) est mentionné pour la première fois dans le vocable en 1099 par l'archevêque de Bordeaux. Il a une particularité qui attire les curieux. En effet, son abside est romane et son clocher est gothique. Ceci est le résultat des diverses campagnes de constructions au cours des siècles. À l'extérieur, au-dessus de la porte, on peut aussi observer des figurines représentant les sept péchés capitaux. Sa tour carrée du XIVe siècle (semblable à celle de Sémignan) lui servant de clocher, ainsi que l'autel Saint-Jean ont été rénovés récemment.
L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 1925[47].
Cette charmante église de style roman est le vestige de la première commanderie hospitalière implantée en Médoc. Sa fondation remonte à l’époque de la deuxième croisade (1147-1149). Située sur le chemin de Compostelle, les hospitaliers y édifièrent la commanderie avec un hôpital pour y accueillir les pèlerins. Elle fait l’objet de travaux de rénovation, grâce à l’association les Amis de Notre-Dame-de-Benon. L'édifice a été classé au titre des monuments historique en 1972[48].
Sa configuration atteste de son ancienneté[49]. Elle est le siège de deux légendes qui expliquent son succès. On raconte qu'une fée viendrait s'y désaltérer, en souvenir de son existence terrestre. L'autre version indique qu'une princesse s'y serait noyée et que ses cheveux roux coloreraient encore aujourd'hui son eau.
Jusqu'au début du XXe siècle, il fabriquait du mortier pour la construction, de la chaux pour les vignes et les ostréiculteurs. Il est aujourd'hui la propriété de la commune qui souhaite préserver par cette action son patrimoine en le restaurant.
Ce château a été reconstruit en 1776, sur la base de la maison noble de Balac, mentionnée dès le XIVe siècle. Il s'agit d'une chartreuse surélevée desservie en façade par un escalier central en fer à cheval avec garde-corps en acier et un escalier droit à l'arrière. Les pièces en enfilade sont desservies par un couloir central.
Cette maison forte a été édifiée au début du XIVe siècle par les seigneurs Albret de Vertheuil. Son architecture est tout aussi passionnante qu'intrigante, du fait que nous manquons d'éléments sur le début de son histoire. Elle se compose entre autres d'une tour carrée, de douves, d'un pont… Une association œuvre à sa rénovation lors de chantiers d'été et tente de percer son mystère : La croisade sémignanaise.
Le territoire de Saint-Laurent-Médoc se situe en majeure partie sur l'aire de production de l'appellation haut-médoc. L'activité viti-vinicole représente une grande richesse tant sur le plan économique que sur le plan culturel. Ce savoir-faire se transmet de génération en génération de vignerons.
La commune de Saint-Laurent-Médoc compte 500 hectares de vigne, 42 étiquettes commercialisées et 21 exploitations.
Balac : Route de Lesparre 33112 Saint-Laurent-Médoc Cru bourgeois AOC haut-médoc. Réalisation des frères GABRIEL, inscrit aux monuments historiques (cf. plus haut).
Barateau : Route de Saint Julien 33112 Saint-Laurent-Médoc Cru bourgeois AOC haut-médoc
Belgrave : 33112 Saint-Laurent-Médoc Grand cru classé en 1855 AOC haut-médoc
Bouscat (Le) : 33112 Saint-Laurent-Médoc Cru artisan AOC haut-médoc
Cach (De) : Cach 33112 Saint-Laurent-Médoc AOC haut-médoc
Camensac : Route de Saint-Julien 33112 St Laurent Médoc Grand cru classé en 1855 AOC haut-médoc
Caronne Sainte Gemme : 33112 Saint-Laurent-Médoc Cru bourgeois supérieur AOC haut-médoc
Corconnac : 33112 Saint-Laurent-Médoc AOC haut-médoc
Devise d'Ardilley : 33112 Saint-Laurent-Médoc Cru bourgeois AOC haut-médoc
Domaine de Cartujac : Cartujac 33112 Saint-Laurent-Médoc Cru paysan AOC haut-médoc
Fava (Le) : 24 route du Moulin Villeneuve 33112 Saint-Laurent-Médoc AOC haut-médoc
Galan (Du) : 33112 Saint-Laurent-Médoc Cru artisan AOC haut-médoc
Lamongeau : 33112 Saint-Laurent-Médoc Cru artisan AOC haut-médoc
Larose Perganson : 33112 Saint-Laurent-Médoc Cru bourgeois AOC haut-médoc
Larose Trintaudon : Route de Pauillac 33112 Saint-Laurent-Médoc Cru bourgeois supérieur AOC haut-médoc
Mascard : 1 A Mascard 33112 Saint-Laurent-Médoc AOC haut-médoc
Peyrat Fourthon : 1 allée Fourthon 33112 Saint-Laurent-Médoc
Tour Carnet (La) : 33112 Saint-Laurent-Médoc Grand cru classé en 1855 AOC haut-médoc
Tour Marcillanet : Marcillanet 33112 Saint-Laurent-Médoc AOC haut-médoc
Tour Sieujan : 11 route de Pauillac 33112 Saint-Laurent-Médoc AOC Pauillac
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Les armes de Saint-Laurent-Médoc se blasonnent ainsi : D'azur au bâton d’argent, au léopard d’or brochant en abîme, au chef de gueules chargé de trois croix de malte d’argent[51]
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