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Saint-Julien-en-Born est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).

Saint-Julien-en-Born

L'église de Saint-Julien-en-Born.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Landes
Arrondissement Dax
Intercommunalité Communauté de communes Côte Landes Nature
Maire
Mandat
Gilles Ducout
2020-2026
Code postal 40170
Code commune 40266
Démographie
Gentilé Juliennois
Population
municipale
1 683 hab. (2019 )
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 03′ 49″ nord, 1° 13′ 27″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 64 m
Superficie 72,93 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Côte d'Argent
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Julien-en-Born
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Julien-en-Born
Géolocalisation sur la carte : Landes
Saint-Julien-en-Born
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Julien-en-Born
Liens
Site web Site officiel

    Ses habitants s'appellent les Juliennois.

    Saint-Julien-en-Born est une vaste commune de 7293 hectares, située sur le littoral du département des Landes. C'est le village le plus méridional du pays de Born.


    Géographie



    Localisation


    Commune bipolaire située dans le pays de Born, sur la Côte d'Argent, constitué d'un bourg et d'une station balnéaire : Contis-Plage.

    Le bourg de Saint-Julien-en-Born situé à km de l'océan est traversé par la route des Lacs (CD 652) du nord au sud. Le village est accessible depuis l'axe autoroutier Bordeaux-Bayonne, via Onesse-et-Laharie et Mézos.


    Communes limitrophes


    Communes limitrophes de Saint-Julien-en-Born[1]
    Mimizan Bias
    Océan Atlantique Mézos
    Lit-et-Mixe Uza

    Hameaux et lieux-dits


    La station touristique de Contis qui constitue un hameau de la commune, reste de taille réduite (l'urbanisation couvre moins d'un km2) mais de nombreux restaurants et boutiques saisonnières reflètent l'importance du tourisme.

    La forêt de pins maritimes couvre environ 80 % du territoire. On peut distinguer : la pinède vallonnée installée à l'arrière du cordon dunaire et la pinède plane du secteur dit du « Sable des Landes ».


    Géologie et relief


    L'environnement de la commune est marqué par la plage, la dune, la forêt, une plaine humide. La plage que l'on découvre au bout d'une route sinueuse (la CD 41) s'étend sur environ km entre l'océan Atlantique et la dune littorale.


    Transports en commun


    Article détaillé : Liste des navettes estivales des Landes.

    Pendant la période estivale un réseau de navette dessert la Communauté de communes Côte Landes Nature reliant les bourgs aux plages.


    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 185 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Michel Escalus », sur la commune de Saint-Michel-Escalus, mise en service en 2008[8] et qui se trouve à 19 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 188,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Dax », sur la commune de Dax, mise en service en 1958 et à 42 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,8 °C pour la période 1971-2000[12], à 14,3 °C pour 1981-2010[13], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[14].


    Urbanisme



    Typologie


    Saint-Julien-en-Born est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

    La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[20]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[21],[22].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (29,1 %), zones agricoles hétérogènes (9,3 %), terres arables (4,5 %), zones urbanisées (4,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,9 %), prairies (0,4 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].


    Risques majeurs


    Le territoire de la commune de Saint-Julien-en-Born est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par submersion marine. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009[26],[24].

    Saint-Julien-en-Born est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[27],[28].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont un recul du trait de côte et de falaises et des tassements différentiels[29].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Julien-en-Born.
    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Julien-en-Born.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 8,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 252 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 130 sont en en aléa moyen ou fort, soit 10 %, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30],[Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[24].


    Histoire


    Parmi les commanderies côtières de la voie de Soulac, celle d'Orignac se singularise par sa dépendance à la collégiale royale de Roncevaux, lieu de passage obligé de nombreux pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle, alors que les autres sont placés sous l'autorité des Hospitaliers et de l'Ordre du Temple, jusqu'à la dissolution de ces derniers. Situé non loin de Contis, au nord-ouest du bourg de Saint-Julien-en-Born, ce quartier s'organisait autour d'une chapelle et ce depuis au moins 1274[31].


    Politique et administration


    Le , Saint-Julien-en-Born a reçu la Marianne du civisme. En effet, lors des seconds tours des élections présidentielle et législatives, les Juliennois ont voté, en moyenne, à plus de 84 %. Ce fut la première commune du département dans la catégorie de 1000 à 3500 habitants.

    sources[32],[33].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    (...) (...) (...)    
    1800 1813 Louis-Mathieu Turpin (1770-1813)    
    (...) (...) (...)    
    1830 1843 Numa Turpin Droite Fils de l'ancien maire Louis-Mathieu Turpin
    Conseiller général du Canton de Castets (1834-1873)
    Maire de Lit-et-Mixe (1843-1848)
    Député (1848-1851)
    1843 1848 Jean Bonnecaze    
    1848 1860 Antoine Magnes    
    1860 1873 Numa Turpin Droite  
    1873 1882 Jean Berque    
    1882 1912 Félix Crouzet   Fils d'Henri Crouzet
    1912 1913 Pierre Labat    
    1913 1919 Félix Naureils    
    1919 1921 Montauzié    
    1921 1944 Eloi Neurisse PRRRS Conseiller général du Canton de Castets (1928-1940)
    Octobre 1944 Mai 1945 Délégation spéciale
    président Charles Daret
       
    Mai 1945 Juillet 1951 Charles Daret    
    1951 1977 André Darmanthé SFIO Conseiller général du Canton de Castets (1945-1949)
    Sénateur (1948-1955)
    1977 1983 Jean Delest    instituteur
    1983 1989 Robert Lespez    
    1989 1995 Félix Goffaux    pharmacien
    1995 2008 Gilbert Darmanthe   Instituteur
    mars 2008 En cours Gilles Ducout DVG Professeur des écoles
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35]. En 2019, la commune comptait 1 683 habitants[Note 6], en augmentation de 7,4 % par rapport à 2013 (Landes : +4,14 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7788048849291 0491 0841 1231 2121 318
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4091 5461 7801 8261 7541 7051 6901 6681 635
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6561 6141 6591 5361 4391 4061 3521 2841 321
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 2451 2321 2171 1871 2851 3161 4021 4271 567
    2018 2019 - - - - - - -
    1 6721 683-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments



    Personnalités liées à la commune



    Sports et loisirs


    Saint-Julien-en-Born possède plusieurs associations sportives et culturelles :


    Notes et références



    Notes et cartes


    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références


    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Michel Escalus - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Julien-en-Born et Saint-Michel-Escalus », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Michel Escalus - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Julien-en-Born et Dax », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    21. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Julien-en-Born », sur Géorisques (consulté le )
    25. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    27. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consulté le )
    28. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    29. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    31. L'Almanach du Landais 2009, éditions CPE, Jean-Jacques Taillentou
    32. « Anciens maires de Saint-Julien-en Born », (à partir de 1830), sur annuaire-mairie.fr, (consulté le ).
    33. Jean Thore, « Promenade sur les Côtes du Golfe de Gascogne », (maire de 1800-1813, p. 14, réédition de 2018 présentée et annotée par Jean-Jacques Taillentou), sur books.google.fr, (consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.

    Voir aussi



    Articles connexes



    Liens externes


    Sur les autres projets Wikimedia :

    Étape précédente
    Bias
    Pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle

    Voie de Soulac
    Étape suivante
    Lit-et-Mixe

    На других языках


    [de] Saint-Julien-en-Born

    Saint-Julien-en-Born ist eine französische Gemeinde mit 1683 Einwohnern (Stand 1. Januar 2019) im Kanton Castets im Arrondissement Dax im Département Landes in der Region Nouvelle-Aquitaine. Es besteht aus dem Hauptort Saint-Julien-en-Born und dem am Meer gelegenen Seebad Contis-Plage. Der Ort ist insbesondere durch Tourismus geprägt.

    [en] Saint-Julien-en-Born

    Saint-Julien-en-Born (French pronunciation: ​[sɛ̃ ʒyljɛ̃ ɑ̃ bɔʁn]; Gascon: Sent Julian de Bòrn) is a commune in the Landes department in Nouvelle-Aquitaine in southwestern France.[3]

    [es] Saint-Julien-en-Born

    Saint-Julien-en-Born (en occitano Sent Julian de Bòrn) es una población y comuna francesa, situada en la región de Aquitania, departamento de Landas, en el distrito de Dax y cantón de Castets . Limita al norte con Mimizan y Bias , al este con Mézos , al sur con Lit-et-Mixe y al oeste con el océano Atlántico (playa vigilada de Contis) . El Vignac o Courant de Contis vierte sus aguas en el océano Atlántico en Contis .
    - [fr] Saint-Julien-en-Born

    [ru] Сен-Жюльен-ан-Борн

    Сен-Жюльен-ан-Борн (фр. Saint-Julien-en-Born) — коммуна на юго-западе Франции в департаменте Ланды (регион Аквитания). Сен-Жюльен-ан-Борн является самым южным селением исторического края Пеи-де-Борн в природной области Гасконские Ланды. Коммуна располагает крупной территорией размером 7293 гектара.



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