Saint-Hilaire-de-Brethmas [sɛ̃.t‿ilɛʁ də bʁɛtmas] est une commune française située dans le nord du département du Gard en région Occitanie.
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Saint-Hilaire-de-Brethmas | |
![]() | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Alès |
Intercommunalité | Alès Agglomération |
Maire Mandat |
Jean-Michel Perret 2020-2026 |
Code postal | 30560 |
Code commune | 30259 |
Démographie | |
Gentilé | Saint-Hilairois |
Population municipale |
4 503 hab. (2019 ![]() |
Densité | 324 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 04′ 54″ nord, 4° 07′ 33″ est |
Altitude | Min. 107 m Max. 202 m |
Superficie | 13,91 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Alès (banlieue) |
Aire d'attraction | Alès (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Alès-3 |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | sainthilairedebrethmas.fr |
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Gardon d'Alès, l'Avène et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Hilaire-de-Brethmas est une commune urbaine qui compte 4 503 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération d'Alès et fait partie de l'aire d'attraction d'Alès. Ses habitants sont appelés les Saint-Hilairois ou Saint-Hilairoises.
Ses habitants sont appelés Saint-Hilairois.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Hilaire, inscrite en 1963.
Saint-Hilaire de Brethmas est une commune située dans l'agglomération d'Alès.
Alès | Saint-Privat-des-Vieux | |
Saint-Christol-lez-Alès | ![]() |
Méjannes-lès-Alès |
Vézénobres | Deaux |
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Deaux », sur la commune de Deaux, mise en service en 1988[6] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,7 °C et la hauteur de précipitations de 991,7 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 33 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[13] : la « vallée moyenne des Gardons » (1 848 ha), couvrant 24 communes du département[14].
Saint-Hilaire-de-Brethmas est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[I 1],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Alès, une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes[I 2] et 95 704 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alès, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 5],[I 6].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (48,3 %), zones urbanisées (26 %), cultures permanentes (11,2 %), forêts (5,5 %), prairies (5,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Saint-Hilaire-de-Brethmas est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) d'Alès, regroupant 37 communes autour d'Alès, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[20], retenu au regard des risques de débordements de la Cèze et des Gardons. Parmi les dernières crues significatives qui ont touché le territoire figurent celles de 1958 et de septembre 2002. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[21],[22]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1987, 1988, 1992, 1993, 1995, 1997, 1998, 2001, 2002, 2010 et 2014[23],[18].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 781 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1781 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2012, 2016, 2017 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1983[18].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].
La commune est en outre située en aval du barrage de Sainte-Cécile-d'Andorge, un ouvrage de classe A[Note 7] doté d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[28].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Hilaire-de-Brethmas est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[29].
La grotte de La Rouquette a fait l'objet d'importantes fouilles par le Groupe Alésien de Recherches Archéologiques notamment dans les années 1990. Successivement utilisée par le groupe de Ferrières (3400-2700 avant J.-C.) puis par le groupe de Fontbouisse (2800-2300 avant J.-C.), elle a livré de nombreuses céramiques, des éléments de parure ainsi que des objets en cuivre[30]. Deux stèles anthropomorphes fragmentaires ont également été retrouvées[31].
Au Moyen Age,St Hilaire de Brethmas faisait partie avec Vezenobres et Montezes du marquisat de Montmoyrac dont furent titulaires les de Serinhac,membres de la milice du Temple,et apres leur elimination,les de Maubuisson,les Du Puy de Cendras,les de Tremolet de Robiac puis les Demstrex. C'est à Saint-Hilaire de Brethmas que se déroulèrent le , au pont d'Avène, les premières négociations directes entre Jean Cavalier, initialement le plus important chef camisard, et le marquis de La Lande, mandaté par le maréchal de Villars. Ces négociations se poursuivirent jusqu'à une paix accordée par Louis XIV, par un texte qui parvient à Nîmes le . Après un très bref passage au service du roi, Cavalier et une petite troupe de fidèles, craignant pour leur liberté, s'évadent en août vers la Suisse. Durant ce temps, la guerre des Cévennes est poursuivie par les autres chefs camisards, jusqu'à leur défaite complète fin 1704[32].
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Brethmas-Avesnes[33].
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Blason | D'or à la croix celtique de gueules, au comble losangé de sable et d'argent. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Le climat de Saint Hilaire est mesuré depuis 2014 à l'aide des relevés de la station météorologique de Saint-Hilaire-de-Brethmas qui se situe dans le secteur de La Jasse de Bernard.
Le climat est caractérisé par des crues fréquentes en automne de la rivière L'Avène
La plus vieille écriture connue du nom de la paroisse est issue de la cartographie de la seigneurie d'Alais, en 1376, où l'on trouve la paroisse de Saint Ylari de Breto Manso. On trouve l'orthographe actuelle au XIVe siècle et on constate que la paroisse était dédiée à saint Hilaire qui fut archevêque d'Arles, dans la première moitié du Ve siècle. L'origine de Brethmas est des plus claires : formée de Bretho, nom propre du propriétaire d'un Mas. Ce dernier mot dérive du latin Mansus, et désigne dans le Midi une habitation de campagne[34].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Émile Maurin[35] | Instituteur[36] | |||
Gérard Roux[37] | UDF puis UDI-NC | Agriculteur Conseiller général du canton d'Alès-Sud-Est (1994 → 2015) | ||
[38] | en cours | Jean-Michel Perret | DVG | Chef d'entreprise |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].
En 2019, la commune comptait 4 503 habitants[Note 8], en augmentation de 6,53 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
650 | 534 | 595 | 620 | 645 | 738 | 676 | 868 | 939 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 014 | 1 007 | 956 | 959 | 1 016 | 926 | 941 | 940 | 966 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 034 | 1 087 | 1 067 | 1 036 | 1 162 | 1 264 | 1 271 | 1 293 | 1 553 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 022 | 2 413 | 2 761 | 2 843 | 3 470 | 3 619 | 4 099 | 4 257 | 4 182 |
2015 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
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4 174 | 4 503 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 1 960 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 4 678 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 320 €[I 7] (20 020 € dans le département[I 8]). 48 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 10] (43,9 % dans le département).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 9] | 8,4 % | 11 % | 9,4 % |
Département[I 10] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 2 536 personnes, parmi lesquelles on compte 73,7 % d'actifs (64,3 % ayant un emploi et 9,4 % de chômeurs) et 26,3 % d'inactifs[Note 11],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Alès, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 889 emplois en 2018, contre 1 015 en 2013 et 1 101 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 701, soit un indicateur de concentration d'emploi de 52,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,9 %[I 13].
Sur ces 1 701 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 340 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 91,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,5 % les transports en commun, 2,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
455 établissements[Note 12] sont implantés à Saint-Hilaire-de-Brethmas au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 16].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 455 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 37 | 8,1 % | (7,9 %) |
Construction | 95 | 20,9 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 145 | 31,9 % | (30 %) |
Information et communication | 12 | 2,6 % | (2,2 %) |
Activités financières et d'assurance | 11 | 2,4 % | (3 %) |
Activités immobilières | 15 | 3,3 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 65 | 14,3 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 38 | 8,4 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 37 | 8,1 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 31,9 % du nombre total d'établissements de la commune (145 sur les 455 entreprises implantées à Saint-Hilaire-de-Brethmas), contre 30 % au niveau départemental[I 17].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[42] :
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[43]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 29 | 22 | 19 | 18 |
SAU[Note 15] (ha) | 430 | 553 | 391 | 276 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 29 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 22 en 2000 puis à 19 en 2010[45] et enfin à 18 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 38 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[46],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 430 ha en 1988 à 276 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne reste stable à 15 ha[45].
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