Saint-Genès-Champanelle (en occitan : Sent Genès de Champanela) est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
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Saint-Genès-Champanelle | |
![]() Le village de Nadaillat. | |
![]() Héraldique |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Auvergne-Rhône-Alpes |
Département | Puy-de-Dôme |
Arrondissement | Clermont-Ferrand |
Intercommunalité | Clermont Auvergne Métropole |
Maire Mandat |
Christophe Vial 2020-2026 |
Code postal | 63122 |
Code commune | 63345 |
Démographie | |
Gentilé | Champanellois |
Population municipale |
3 659 hab. (2019 ![]() |
Densité | 71 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 43′ 13″ nord, 3° 01′ 06″ est |
Altitude | Min. 660 m Max. 1 252 m |
Superficie | 51,58 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Clermont-Ferrand (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Beaumont |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.saint-genes-champanelle.fr |
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Elle fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand et est adhérente du parc naturel régional des Volcans d'Auvergne.
Ses habitants, au nombre de 3 659 au recensement de 2019, sont appelés les Champanellois et les Champanelloises.
La commune est située au centre du département du Puy-de-Dôme, à l'ouest de Clermont Auvergne Métropole dont elle fait partie. Elle est composée de douze hameaux et le hameau central qui a donné le nom à la commune est historiquement le plus petit d'entre les douze. Il est constitué de quelques habitations qui entourent les nombreux et importants équipements communaux (mairie, groupe scolaire, crèche, médiathèque, salle des fêtes, gymnase et équipements sportifs, caserne de pompiers, poste, etc.). La vocation résidentielle de la commune s'est affirmée au cours des dernières décennies et les centres anciens des hameaux se sont entourés d'une couronne de constructions nouvelles.
Liste des hameaux (entre parenthèses le gentilé adopté lors du conseil municipal du jeudi 25 mars 1999) :
Elle est au cœur de la chaîne des Puys et plusieurs de ceux-ci sont sur son territoire : puy de la Vache, puy de Lassolas, puy de Mercœur, etc. De nombreux sentiers de petite randonnée la parcourent et elle est traversée par le sentier de grande randonnée 4.
Neuf communes jouxtent Saint-Genès-Champanelle[1] :
Ceyssat | Orcines | Royat |
Nébouzat | ![]() |
Ceyrat, Romagnat |
Aydat | Chanonat, Saint-Saturnin |
La commune s'étend sur 5 158 hectares[2].
La mairie se trouve à 880 mètres d'altitude. L'altitude de la commune varie de 660 mètres[2], dans la vallée qui part sous le hameau de Nadaillat, à 1 252 mètres[2], au sommet de la montagne de Laschamps (volcan).
Plusieurs ruisseaux naissent sur la commune. Certains forment l'Auzon, d'autres l'Artière, et les derniers, mais dans une moindre mesure, la Tiretaine. L'ensemble finit dans l'Allier.
Les deux principales routes traversant la commune sont les routes départementales 2089 (anciennement RN 89, reliant Clermont-Ferrand à Tulle et Bordeaux et traversant le lieu-dit de Theix) et 942 (anciennement RD 941a et RN 141a à Laschamps, à l'ouest de la commune).
Les autres routes assurent un maillage local des différents lieux-dits de la commune[1] :
Il n'y a jamais eu de ligne de chemin de fer sur la commune.
La commune de Saint-Genès-Champanelle est desservie par le transport à la demande du réseau T2C. Le service assure des correspondances avec les lignes majeures du réseau, notamment le tramway et la ligne B[3].
Saint-Genès-Champanelle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (52,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,1 %), prairies (28,8 %), zones agricoles hétérogènes (12,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10 %), zones urbanisées (6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Selon les zonages d'étude définis par l'Insee, Saint-Genès-Champanelle dépend également de la zone d'emploi et du bassin de vie de Clermont-Ferrand[10].
Beaune-le-Chaud (45° 43′ 37″ N, 2° 59′ 28″ E) est située à trois kilomètres à l'ouest du chef-lieu, par la route départementale 52. Village rural, son nom est dû à l'exposition sud-sud-est du puy de Chatrat, au nord[SGC 1].
Berzet (45° 43′ 26″ N, 3° 02′ 42″ E) est située sur la route de Saint-Genès à Ceyrat par la route départementale 133, dominé par le puy de Berzet au bord de la faille de la Limagne[SGC 2].
Champeaux (45° 44′ 24″ N, 3° 02′ 28″ E), petit village au nord-est de la commune et accessible par la route départementale 767 depuis Boisséjour (commune de Ceyrat), est composé de Champeaux Bas, avec des anciennes fermes, et Champeaux Haut, avec un habitat plus moderne[SGC 3].
Chatrat (45° 43′ 37″ N, 3° 00′ 22″ E), à l'écart des routes principales de la commune (accès le plus proche par la D 5), est le point de départ de nombreux chemins de randonnée[SGC 4].
Fontfreyde (45° 42′ 11″ N, 3° 00′ 11″ E) est située au sud de la commune, près de la route de Clermont-Ferrand à Bordeaux (D 2089), à la limite avec Aydat. Les carrières attenant à la cheire de Mercoeur, exploitées jusqu'au milieu du XXe siècle, ont servi à la construction des maisons du village[SGC 5].
Situé au nord-ouest de la commune, Laschamps (45° 44′ 29″ N, 2° 58′ 01″ E) est aussi le village le plus haut. La proximité du puy de Dôme et de Vulcania font de ce village le point de départ de circuits de randonnée[SGC 6]. Le 17 septembre 1865, le village est ravagé en grande partie par un incendie dévastateur[11] qui fit plusieurs victimes et de nombreux dégâts matériels[12],[13].
Manson (45° 44′ 42″ N, 3° 00′ 50″ E) est située au nord de la commune. Elle conserve une activité agricole importante parallèlement à l'arrivée de nouveaux habitants[SGC 7].
Nadaillat (45° 41′ 28″ N, 3° 02′ 02″ E) est situé « sur les flancs d'une coulée basaltique » à une altitude de 900 mètres, au pied de la montagne de la Serre. Elle dépendait de la paroisse de Chanonat jusqu'à la Révolution, puis à celle de Saint-Genès sous Napoléon Ier. L'habitat se caractérise par des « maisons à étages », des « escaliers en pierre » et des rues étroites[SGC 8].
Pardon (45° 43′ 08″ N, 3° 00′ 14″ E), située à un kilomètre à l'ouest du chef-lieu par la D 52, témoigne d'une « ancienne vie rurale, pastorale et communautaire active »[SGC 9].
Thèdes (45° 44′ 13″ N, 3° 01′ 26″ E) est située au nord-est de la commune. Orthographiée Thedde en 1326 ou Theylde en 1336[SGC 10].
Theix (45° 42′ 18″ N, 3° 01′ 19″ E) est traversée par la route départementale 2089 (route du Mont-Dore), où sont implantés des commerces ainsi qu'une station-service. Quelques centaines de mètres à l'est, le Plat d'Auzat est un quartier résidentiel[SGC 11].
En 2017, la commune comptait 1 682 logements, contre 1 507 en 2012 et 1 308 en 2007. Parmi ces logements, 85,2 % étaient des résidences principales, 4,4 % des résidences secondaires et 10,4 % des logements vacants (3,5 % en 2007). Ces logements étaient pour 96 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,8 % des appartements[a 1].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 85,5 %, en baisse sensible par rapport à 2012 (86,3 %) mais en hausse par rapport à 2007 (84,5 %). La part de logements HLM loués vides était de 4,5 % (contre 2,1 % en 2012 et 2007)[a 2].
La commune est soumise aux risques de feu de forêt, de phénomènes liés à l'atmosphère, de phénomènes météorologiques, et de séisme (zone de sismicité de niveau 3)[14]. Un DICRIM a été établi par la commune[SGC 12].
Le séisme le plus violent ressenti dans la région de Clermont-Ferrand date du . Un sismomètre vélocimétrique est implanté dans la commune, au Petit Puy de Manson[15]. Le dernier séisme ressenti dans la commune date du , son épicentre est localisé à Pont-du-Château, dans la plaine de la Limagne[SGC 12].
Une cavité souterraine est présente entre Fontfreyde et la Cassière (lieu-dit de la commune d'Aydat) : l'ancien tunnel routier de la Cassière présente des risques d'effondrement[SGC 12].
Deux installations industrielles sont implantées, une au chef-lieu (Société MICHEL TERRASSEMENT), une autre à Theix (Société Laitière des Volcans d'Auvergne)[14].
La commune s'est orthographiée Saint Genest de Champanelle sur la carte de Cassini (XVIIIe siècle), Saint Genest Champanelle sous l'an II, Saint-Geneix-Champanelle au Bulletin des lois et s'orthographie Saint-Genès-Champanelle actuellement[16].
Genès est un martyr chrétien, un disciple de Syrénat, compagnon d'Austremoine de Clermont, et évangélisateur de la région au IIIe siècle ou au début du IVe siècle. L'Office du Saint le dit originaire de Mycènes mais d'autres sources le font naître dans la région. Reconnu comme chrétien, il aurait été, si l'on en croit la tradition thiernoise (voir Église Saint-Genès de Thiers), décapité par un soldat romain sur un rocher (dit aujourd'hui rocher Saint-Genès) situé juste en dessous de l'actuel cimetière Saint-Jean de Thiers.
Saint-Genès-Champanelle fait partie de l'arrondissement de Clermont-Ferrand.
En 1793, la commune était rattachée au canton de Beaumont, puis au canton de Clermont-Ferrand-Sud-Ouest en 1801. Un décret de 1982 replace la commune dans le canton de Beaumont[16], lequel n'a pas été modifié par le redécoupage des cantons du département de 2014[17].
Entre 1790 et 1794, elle absorbe la commune de La Champ. Les deux communes formaient ainsi une municipalité de Saint Genest Champanelle Theix et La Champ[16]. nota : la fiche sur le site de l'EHESS est erronée et est en cours de rectification à propos de Leix.
Aux élections législatives de 2012, la députée Danielle Auroi, élue dans la 3e circonscription, a recueilli 60,57 % des suffrages exprimés. 68,09 % des électeurs ont voté, soit 1 786 votants sur 2 623 inscrits[18].
Seul candidat à s'être représenté aux élections municipales de 2014, Roger Gardes a été réélu au premier tour. Le taux de participation est de 61,03 % (1 665 votants sur 2 728 inscrits)[19].
Aux élections départementales de 2015, le binôme constitué de Jean-Paul Cuzin et d'Anne-Marie Picard, élu dans le canton de Beaumont, n'est pas arrivé en tête au second tour (43,89 % des voix) contrairement au premier tour (26,52 %). L'autre binôme (Éric Egli et Dominique Molle), d'une liste union de la gauche, a recueilli 56,11 % des voix au second tour ; au premier tour il atteignait 24,26 % des voix, à égalité avec un binôme divers gauche. 53,90 % des électeurs ont voté au second tour, soit 1 472 votants sur 2 731 inscrits[20].
Lors des élections municipales de 2020, le seuil de 3 500 habitants a été franchi. Le conseil municipal est composé de vingt-sept membres, dont sept adjoints et trois conseillers délégués[SGC 13].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1864 | 1906 | Franck Chauvassaigne | Conseiller général | |
1906 | 1912 | Antoine Chaucot | ||
1912 | 1919 | Antoine Gauthier | ||
1919 | 1944 | Jean Toury | ||
1945 | 1947 | Claude Martin Chirent | ||
1947 | 1954 | Jean Joseph Cissoire | ||
1954 | 1971 | Raymond Toury | ||
1971 | 1977 | Claude Gauthier | ||
1977 | 1989 | Paul Gauthier | PS | |
1989 | 2020 | Roger Gardes[22] | PS | Président du parc naturel régional des volcans d'Auvergne 3e vice-président de Clermont Auvergne Métropole chargé de l'urbanisme, des espaces naturels, des cours d'eau, du tourisme et des partenariats institutionnels (en 2017)[23] |
2020 | En cours (au 7 septembre 2020) |
Christophe Vial[24] | PS | Chargé d'études dans une collectivité territoriale[25] |
Une déchèterie, gérée par Clermont Auvergne Métropole, est implantée sur le territoire communal[26].
Saint-Genès-Champanelle est jumelée avec :
Le comité de jumelage organise tout au long de l'année des manifestations en collaboration avec ses villes jumelles (rencontres citoyennes, marché de Noël, repas à thème, concerts, tables rondes…).
La richesse de la vie associative et la création récente d'équipements collectifs de qualité permettent de satisfaire une grande partie des besoins de la population en matière culturelle et sportive.
Par ailleurs, la beauté et la variété des paysages attirent de plus en plus d'amoureux de la nature.
Ainsi se développe une économie nouvelle basée sur l'accueil touristique et les loisirs sportifs : randonnées pédestres et équestres, VTT, parapente, etc.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].
En 2019, la commune comptait 3 659 habitants[Note 3], en augmentation de 10,21 % par rapport à 2013 (Puy-de-Dôme : +3,3 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 950 | 1 702 | 2 169 | 2 217 | 2 126 | 2 040 | 2 019 | 2 119 | 2 119 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 001 | 2 029 | 1 878 | 1 902 | 1 888 | 1 909 | 1 909 | 1 902 | 1 760 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 771 | 1 678 | 1 629 | 1 420 | 1 549 | 1 373 | 1 302 | 1 154 | 1 173 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 213 | 1 406 | 1 592 | 2 008 | 2 465 | 2 688 | 3 003 | 3 044 | 3 277 |
2017 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
3 612 | 3 659 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (34,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,3 % la même année, alors qu'il est de 27,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 833 hommes pour 1 808 femmes, soit un taux de 50,34 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,4 | 90 ou + | 0,4 |
4,2 | 75-89 ans | 5,1 |
18,5 | 60-74 ans | 15,9 |
20,5 | 45-59 ans | 22,5 |
22,1 | 30-44 ans | 21,6 |
11,7 | 15-29 ans | 12,1 |
22,5 | 0-14 ans | 22,3 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,7 | 90 ou + | 2 |
7 | 75-89 ans | 10,2 |
17,6 | 60-74 ans | 18,3 |
20,4 | 45-59 ans | 19,5 |
18,5 | 30-44 ans | 17,4 |
18,6 | 15-29 ans | 17,2 |
17,2 | 0-14 ans | 15,5 |
Saint-Genès-Champanelle dépend de l'académie de Clermont-Ferrand.
Les élèves commencent leur scolarité dans le groupe scolaire public Les Volcans composé d'une école maternelle et d'une école élémentaire[32], géré par la commune.
Ils la poursuivent au collège Molière, à Beaumont[33], puis à Clermont-Ferrand, aux lycées lycée Jeanne-d'Arc ou Blaise-Pascal[34].
En 2017, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 2 249 personnes, parmi lesquelles on comptait 78 % d'actifs dont 74 % ayant un emploi et 4 % de chômeurs[a 3].
On comptait 1 084 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 1 674, l'indicateur de concentration d'emploi s'élève à 64,8 %, ce qui signifie que la commune offre moins d'un emploi par habitant actif[a 4].
Au , la commune comptait 190 entreprises, dont 40 dans le commerce de gros et de détail, et autant dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien[a 5].
En outre, elle comptait 202 établissements[a 6].
La Société laitière des volcans d'Auvergne y emploie 160 personnes dans sa laiterie de Theix[36] et l'Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (INRAE) y a installé un important centre de recherche (entre les hameaux de Theix et de Saint-Genès).
Les commerces sont implantés dans les villages de Theix (une boulangerie-pâtisserie, un magasin de fruits et légumes et un bar-tabac-presse) et de Fontfreyde (commerce de détail de boissons)[SGC 14].
Au , la commune comptait deux hôtels non classés, totalisant 21 chambres[a 7]. Le site de la mairie mentionne, entre autres, un hôtel quatre étoiles à Beaune-le-Chaud et un hôtel trois étoiles à Laschamps[SGC 15].
Outre les églises et chapelles des villages, on trouve sur la commune les lieux suivants :
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