Saint-André-de-Majencoules est une commune française située dans l'ouest du département du Gard, en région Occitanie. Outre le village de Saint-André-de-Majencoules lui-même, la commune regroupe plusieurs autres villages, hameaux et lieux-dits dont Pont-d'Hérault et Le Rey.
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Hérault, l'Arre, l'Arboux, la Valniérette et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-André-de-Majencoules est une commune rurale qui compte 599 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 2 024 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction du Vigan. Ses habitants sont appelés les Andrémajencoulois ou Andrémajencouloises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : une maison, inscrite en 1980.
Géographie
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Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 13,1°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 15,2 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 8,5 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 3,9 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Mandagout», sur la commune de Mandagout, mise en service en 1983[6] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13°C et la hauteur de précipitations de 1 538 mm pour la période 1981-2010[8].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Millau», sur la commune de Millau, dans le département de l'Aveyron, mise en service en 1964 et à 48 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 10,7°C pour la période 1971-2000[10], à 10,9°C pour 1981-2010[11], puis à 11,3°C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].
Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc national des Cévennes[Note 4]. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques: le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[15].
La commune fait partie de la zone de transition des Cévennes, un territoire d'une superficie de 116 032ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[16],[17].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[18]:
la «rivière de l'Hérault à Pont-d'Hérault, l'Arre aval et ruisseaux confluents» (136ha), couvrant 6 communes du département[19], et
la «rivière de l'Hérault à Valleraugue» (91ha), couvrant 3 communes du département[20]
et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[18]:
les «vallées amont de l'Hérault» (21 533ha), couvrant 23 communes dont 22 dans le Gard et 1 dans l'Hérault[21].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Saint-André-de-Majencoules.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Saint-André-de-Majencoules est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[22],[I 1],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Vigan, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,3% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (86,5%), zones agricoles hétérogènes (10,7%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8%)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-André-de-Majencoules est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier: le risque de radon[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment l'Hérault et l'Arre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 1995, 1997, 2002, 2006, 2011, 2014 et 2020[27],[25].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-André-de-Majencoules.
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[28]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 19,2% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 514 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 187 sont en en aléa moyen ou fort, soit 36%, à comparer aux 90% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[31].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-André-de-Majencoules est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[32].
Toponymie
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Histoire
Le village fait partie de l'«enclave catholique», notamment avec les villages voisins de Notre-Dame-de-la-Rouvière, Saint-Martial, etc.[33]
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement les noms de Majencoules et de Majencoules-l'Hérault[34].
Le village est un lieu historique du rallye automobile Français, ayant accueilli durant très longtemps le Critérium des Cévennes.[35]
Héraldique
Blason
De gueules au sautoir alésé d'argent, au chef aussi d'argent chargé d'une étoile de gueules accostée de deux croissants du même.
La commune fait partie du canton de Valleraugue, dont le conseiller général est Thomas Vidal (DVD). Le canton dépend de l'arrondissement du Vigan et de la cinquième circonscription du Gard dont le député est William Dumas (PS).
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].
En 2019, la commune comptait 599 habitants[Note 9], en diminution de 3,85% par rapport à 2013 (Gard: +2,08%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 554
1 296
1 604
1 549
1 722
1 817
1 845
1 954
2 024
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 881
1 801
1 631
1 718
1 715
1 619
1 554
1 578
1 468
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 387
1 441
1 506
1 177
1 065
1 011
930
830
789
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
736
661
588
547
564
556
569
563
621
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
604
599
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 270 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 534 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 800 €[I 4] (20 020 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 338 personnes, parmi lesquelles on compte 73,5% d'actifs (63% ayant un emploi et 10,5% de chômeurs) et 26,5% d'inactifs[Note 11],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction du Vigan, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 112 emplois en 2018, contre 123 en 2013 et 97 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 217, soit un indicateur de concentration d'emploi de 51,7% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49,1%[I 10].
Sur ces 217 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 65 travaillent dans la commune, soit 30% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 83,2% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,3% les transports en commun, 4,2% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,5% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
68 établissements[Note 12] sont implantés à Saint-André-de-Majencoules au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
68
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
7
10,3%
(7,9%)
Construction
8
11,8%
(15,5%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
23
33,8%
(30%)
Information et communication
2
2,9%
(2,2%)
Activités immobilières
3
4,4%
(4,1%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
8
11,8%
(14,9%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
10
14,7%
(13,5%)
Autres activités de services
7
10,3%
(8,8%)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,8 % du nombre total d'établissements de la commune (23 sur les 68 entreprises implantées à Saint-André-de-Majencoules), contre 30% au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[43]:
Srva 91, location de terrains et d'autres biens immobiliers (269 k€)
Diagnos'thermo, analyses, essais et inspections techniques (98 k€)
Monts & Merveilles, activités des parcs d'attractions et parcs à thèmes (60 k€)
Pauses, location de terrains et d'autres biens immobiliers (54 k€)
Aigoual Helicoptere, transports aériens de passagers (45 k€)
Agriculture
La commune est dans les Cévennes, une petite région agricole occupant l'ouest du département du Gard[44]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 37 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 19 en 2000 puis à 12 en 2010[46] et enfin à 23 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 38% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61% de ses exploitations[47],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 968ha en 1988 à 107ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a baissé, passant de 26 à 5ha[46].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le château du Rey.
L'Église paroissiale Saint-André de Saint-André-de-Majencoules dont le clocher est surmonté d'un campanile en fer forgé;
Église de l'Immaculée-Conception du Sigal.
Temple de l'Église protestante unie de France du Rey.
L'Église de Pont d'Hérault de la fin du XIXesiècle. Pèlerinage traditionnel du (fête de l'Assomption). Le hameau possède deux ponts sur l'Hérault, l'un routier, l'autre plus spectaculaire est le viaduc de l'ancien chemin de fer mis en service en 1874;
Le Château de Saint-André-de-Majencoules. Ses bases remontent au XIIIesiècle, mais le bâtiment a été reconstruit et sérieusement remanié au XVIIIesiècle[48];
Le Château du Rey. Ses bases remonteraient au XIIIesiècle. Incendié lors de la Révolution française, il a été restauré et profondément remanié dans les années 1840 à 1850, dans l'esprit « Troubadour » — très en vogue à l'époque[49]. Si les tours arborent des toitures coniques recouvertes d'ardoises, on regrettera que le reste de la couverture de l'édifice soit composé de tôles, de type canalite en fibro-ciment;
Filature de Peyregrosse. Usine de soie, propriété de M. Carrière, active en 1909;
L'ancienne gare de Pont d'Hérault. Son allure est imposante pour un hameau, mais il faut se souvenir qu'elle desservait toute la haute vallée de l'Hérault (le projet de prolongation d'une ligne de chemin de fer jusqu'à Valleraugue au pied du mont Aigoual ne vit jamais le jour). Cette gare fit la couverture du magazine La Vie du Rail n°354 du 23 juin 1952, à propos d'un article sur la ligne Nîmes-Le Vigan.[réf.nécessaire]
Personnalités liées à la commune
Louis Abric (1886-1953), boulanger et écrivain de langue occitane, est né sur la commune[50];
Albertine Sarrazin (1937-1967), écrivaine et première femme française à raconter sa vie de prostituée, de délinquante et son expérience en prison pour femmes, a élu domicile au hameau de Camias en 1964[51].
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[45].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Cultures et Territoire rural, 2016. Mémoire et Patrimoine en Cévennes. Richesse culturelle d’un territoire rural, Saint-André de Majencoules. Montpellier, Atelier Six éd., 60 pages, 21 cm.
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