Rullac-Saint-Cirq est une commune française, située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie. Rullac-Saint-Cirq est un village rural dont l'activité économique principale est l'agriculture.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Cirq.
Rullac-Saint-Cirq | |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Aveyron |
Arrondissement | Millau |
Intercommunalité | Communauté de communes du Réquistanais |
Maire Mandat |
Patrick Robert 2020-2026 |
Code postal | 12120 |
Code commune | 12207 |
Démographie | |
Gentilé | Rullaquois(e) |
Population municipale |
345 hab. (2019 ![]() |
Densité | 11 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 07′ 50″ nord, 2° 29′ 28″ est |
Altitude | Min. 369 m Max. 671 m |
Superficie | 32,74 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton des Monts du Réquistanais |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
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Situé dans le Ségala, Rullac St Cirq est un village remarquable par son environnement préservé et ses traces historiques allant de la préhistoire à la 2e guerre mondiale.
La commune est située au cœur du ségala réquistanais, ce village aux multiples hameaux appartient au canton des Monts du Réquistanais et à l'arrondissement de Millau.
Les communes limitrophes sont Cassagnes-Bégonhès, Centrès, Lédergues, Meljac, Saint-Just-sur-Viaur et La Selve.
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Centrès | Cassagnes-Bégonhès | ![]() | |
Meljac Saint-Just-sur-Viaur |
N | La Selve | ||
O Rullac-Saint-Cirq E | ||||
S | ||||
Lédergues | Saint-Jean-Delnous | Réquista |
La commune est drainée par le Céor, le Giffou, le Cône, le ruisseau de Connillou, le ruisseau de la Fourque, le Saltre, le riou Nègre, le riou Sec, le ruisseau de la Montarie, le ruisseau de Rouffenac, le ruisseau de Sarras, le ruisseau du Saut et par divers petits cours d'eau[1].
Le Céor, d'une longueur totale de 55,8 km, prend sa source dans la commune de Salles-Curan et se jette dans le Viaur à Saint-Just-sur-Viaur, après avoir arrosé 8 communes[2].
Le Giffou, d'une longueur totale de 46,2 km, prend sa source dans la commune de Villefranche-de-Panat et se jette dans le Céor à Saint-Just-sur-Viaur, après avoir arrosé 9 communes[3].
Le Cône, d'une longueur totale de 22 km, prend sa source dans la commune d'Auriac-Lagast et se jette dans le Giffou à Rullac-Saint-Cirq, après avoir arrosé 5 communes[4].
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles pour définir et mettre en œuvre un programme d’actions de réhabilitation et de gestion des milieux aquatiques : le SDAGE (Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE (Schéma d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Trois SAGE sont mis en oeuvre dans le département de l'Aveyron[5].
La commune fait partie du SAGE du bassin versant du Viaur, approuvé le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le périmètre de ce SAGE couvre 89 communes, sur trois départements (Aveyron, Tarn et Tarn-et-Garonne)[6],[7]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) du bassin du Viaur, une structure qui regroupe les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre (EPCI-FP) dont le territoire est inclus (en totalité ou partiellement) dans le bassin hydrographique du Viaur et les structures gestionnaires de l’alimentation en eau potable des populations et qui disposent d’une ressource sur le bassin versant du Viaur. Il correspond à l’ancien syndicat mixte du Bassin versant du Viaur[8],[9].
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
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La commune bénéficie d’un « climat océanique altéré », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne la moitié ouest du département de l'Aveyron, constitue une transition entre le climat océanique franc et le climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an)[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[10]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[12]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Rodez-Marcillac, qui se trouve à 25 km à vol d'oiseau de la commune[13], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[14], à 10,7 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[16].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Rullac-Saint-Cirq comprend une ZNIEFF de type 2[Note 3],[17], la « Vallée du Viaur et ses affluents » (27 587 ha), qui s'étend sur 56 communes dont 45 dans l'Aveyron, 10 dans le Tarn et 1 dans le Tarn-et-Garonne[18].
Rullac-Saint-Cirq est une commune rurale[Note 4],[19]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (72 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (48,9 %), forêts (27,3 %), prairies (17,9 %), terres arables (6 %)[21].
La commune, en 2017, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[22].
Le territoire de la commune de Rullac-Saint-Cirq est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[23],[24].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement du Céor. Les dernières grandes crues historiques, ayant touché plusieurs parties du département, remontent aux 3 et (dans le bassin du Lot, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn) et au (bassins de la Sorgues et du Dourdou)[25]. Ce risque est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) Céor-Giffou[26], approuvé le 9 février 2016[27].
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[28].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[23]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[29]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Géorisques[30]. Une autre carte permet de prendre connaissance des cavités souterraines localisées sur la commune[31],[32].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Rullac-Saint-Cirq est classée à risque moyen à élevé[33]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[34] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[35].
Le nom de la commune provient pour partie de saint Cyr, honoré dans l'ancienne église paroissiale de Saint-Cirq, désormais simple hameau, qui porte son nom, dont les formes occitanes, à partir de Cyricus, sont notamment Circ et Cirgue.
Sur le village de Rullac St Cirq, se trouve la plus ancienne trace de vie dans l'Aveyron. En effet une grotte découverte et explorée dans les années 70 à parmi de découvrir des outils et objets appartenant à l'époque magadalénienne et datant de −10 000 ans. La grotte a été remblayée pour mettre fin aux fouilles illégales. Elle est actuellement difficilement accessible (site de ReyCabrot).
C'est ensuite au XIe siècle que la paroisse de Rullac est mentionnée, grâce au don de Dodon de Peyrebrune de l'église Saint Laurent à l'abbaye de Vabres. Elle fût ensuite rattachée en 1150 à la commanderie du temple de la Selve.
En 1740, Rullac devient officiellement une communauté fiscale (prémices du futur village).
En 1832, la commune est officiellement formée par le rattachement de la paroisse de Rullac et celle de St Cirq.
En 1883, la commune demande à changer de nom pour devenir Rullac-Saint-Cirq, à la place de Saint-Cirq. Les démarches prendront plus de 30 ans pour aboutir en 1912. Une erreur administrative transformera ce nom en Rulhac avant de retrouver son orthographe d'origine.
Les habitants de Rullac-Saint-Cirq sont couramment appelé les « Rullaquois ».
La commune de Rullac-Saint-Cirq est membre de la communauté de communes du Réquistanais[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Réquista. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[36].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 4]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Monts du Réquistanais pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[37].
Le conseil municipal de Rullac-Saint-Cirq, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[38] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[39]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[40] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 70,26 %[41]. Patrick Robert, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [42].
Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[43]. Deux sièges sont attribués à la commune au sein de la communauté de communes du Réquistanais[44].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Raymond Grimal | Agriculteur | |||
Eugène Enjalbert | Gendarme retraité | |||
mars 2001 | en cours | Patrick Robert[45],[46] | DVD | Ancien artisan, commerçant ou chef d'entreprise |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[48].
En 2019, la commune comptait 345 habitants[Note 5], en diminution de 8 % par rapport à 2013 (Aveyron : +0,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 | 1861 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
449 | 448 | 903 | 1 078 | 976 | 1 006 | 1 006 | 1 017 | 998 |
1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
971 | 1 012 | 1 058 | 1 012 | 1 004 | 988 | 956 | 961 | 936 |
1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
917 | 830 | 821 | 793 | 822 | 785 | 729 | 731 | 692 |
1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 | 2015 | 2019 |
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556 | 519 | 508 | 407 | 369 | 366 | 382 | 348 | 345 |
En 2018, (données Insee publiées en ), la commune compte 147 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 326 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 090 €[I 5] (20 640 € dans le département[I 6]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 4 % | 3,4 % | 6,6 % |
Département[I 8] | 5,4 % | 7,1 % | 7,1 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 182 personnes, parmi lesquelles on compte 77,6 % d'actifs (71 % ayant un emploi et 6,6 % de chômeurs) et 22,4 % d'inactifs[Note 7],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 10]. Elle compte 84 emplois en 2018, contre 93 en 2013 et 87 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 136, soit un indicateur de concentration d'emploi de 61,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,2 %[I 11].
Sur ces 136 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 67 travaillent dans la commune, soit 49 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 62,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5 % les transports en commun, 25,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
37 établissements[Note 8] sont implantés à Rullac-Saint-Cirq au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 14].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 37 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 25 | 67,6 % | (17,7 %) |
Construction | 2 | 5,4 % | (13 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 7 | 18,9 % | (27,5 %) |
Activités immobilières | 1 | 2,7 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 1 | 2,7 % | (12,4 %) |
Autres activités de services | 1 | 2,7 % | (7,8 %) |
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 67,6 % du nombre total d'établissements de la commune (25 sur les 37 entreprises implantées à Rullac-Saint-Cirq), contre 17,7 % au niveau départemental[I 15].
Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[51] :
La commune est dans le Ségala, une petite région agricole occupant l'ouest du département de l'Aveyron[52]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 2].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
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Exploitations | 80 | 59 | 45 | 37 |
SAU[Note 11] (ha) | 2 173 | 2 435 | 2 062 | 2 133 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 80 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 59 en 2000 puis à 45 en 2010[54] et enfin à 37 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 54 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[55],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 2 173 ha en 1988 à 2 133 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 27 à 58 ha[54].
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