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Royaucourt-et-Chailvet est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

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Royaucourt-et-Chailvet

Château de Chailvet.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Laon
Intercommunalité CC Picardie des Châteaux
Maire
Mandat
Guillaume Le Rudulier
2021-2026
Code postal 02000
Code commune 02661
Démographie
Gentilé Royaucourtois(es)
Population
municipale
254 hab. (2019 )
Densité 84 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 30′ 43″ nord, 3° 32′ 05″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 162 m
Superficie 3,04 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Laon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Laon-1
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Royaucourt-et-Chailvet
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Royaucourt-et-Chailvet
Géolocalisation sur la carte : France
Royaucourt-et-Chailvet
Géolocalisation sur la carte : France
Royaucourt-et-Chailvet

    Géographie



    Description


    Royaucourt-et-Chailvet est un village rural picard du Laonnois aisément accessible par la Route nationale 2, situé à km au sud-ouest de Laon, à une vingtaine de kilomètres au nord-ouest de Soissons et à 45 km au nord-ouest de Reims.

    Il est traversé par la ligne de La Plaine à Hirson et Anor (frontière), mais la station la plus proche est la gare de Clacy - Mons.


    Communes limitrophes


    Montbavin Vaucelles-et-Beffecourt
    Chaillevois N
    O    Royaucourt-et-Chailvet    E
    S
    Chavignon Urcel

    Hydrographie


    Le territoire communal est limité au sud par l'Ardon et ses zones humides.

    Cette rivière conflue dans l'Ailette légèrement en aval à Chavignon et est donc un sous-affluent de la Seine par l'Oise.


    Urbanisme



    Typologie


    Royaucourt-et-Chailvet est une commune rurale[Note 1],[1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 106 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[4],[5].


    Occupation des sols


    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55,1 %), prairies (24,6 %), zones urbanisées (20 %), terres arables (0,2 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].


    Toponymie


    Chailvet fut appelée successivement[8] :


    Histoire


    L'ancienne paroisse de Royaucourt, comme la moderne commune de Royaucourt-et-Chailvet se composait de deux hameaux, Royaucourt, où s'élève l'église, et Chailvet, où se trouve le château. Au XIIe siècle, la moitié de la seigneurie relevait de la duché-pairie de Laon tandis que le reste, ainsi que le bas Chaillevois, du comte de Roucy.


    Chailvet et les templiers


    Acte de vente des templiers en 1163 - archives de l'Aisne, côte G171.
    Acte de vente des templiers en 1163 - archives de l'Aisne, côte G171.

    . Nicolas d'Espagne, en s'affiliant à l'ordre du Temple, leur fit don de tout ce qu'il possédait à Chailvet (Calleviacum) avant 1148, comme le rappelle une charte de confirmation de l'évêque de Laon Barthélémy de Joux ou de Jur, datée de 1148. (Arch. Nat. S4948 Suppl. no 66).

    En 1163, les templiers vendent le domaine à l'évêché de Laon, affaire conclue par le trésorier Gautier, neveu de Gautier de Mortagne, évêque de Laon depuis 1155. Théologien du XIIe siècle[9], l'évêque était un ami de Thomas Becket, archevêque de Cantorbéry.

    La trésorerie de l'église cathédrale Notre-Dame de Laon resta en possession de cette terre pendant cinq siècles. la traduction du texte de la vente rédigée en latin est la suivante : « Au nom de la Sainte et Indivisible Trinité, il nous revient raisonnablement d’attester ce qui s’est fait en notre présence. C’est pour cette raison que moi, Gautier, évêque de Laon par la grâce de Dieu, je rends notoire que Gautier, trésorier de Laon, notre neveu, a acheté au frère Pierre de Noviome et aux autres frères du Temple, avec l’accord d’Eustache, maître des frères du Temple en France, ce qu’eux-mêmes détenaient à Chailvet en 240 livres proviniennes, l’année 1163 de l’Incarnation du Verbe, et qu’il a ainsi accordé qu’il donnerait les pièces prévues, cent livres à la fête suivante de tous les saints et 80 livres l’année suivante, à la prochaine fête de tous les saints, mais les 60 livres restantes à la fin de la troisième année, à la même fête. En plus de cela, nous sommes garants que si Gautier, pris par la mort ou par autre chose, ne donnait pas les pièces convenues, moi si je vis ou mon successeur, paierons intégralement les pièces dites et que cette terre sera la nôtre. Et si ni moi, ni mon successeur n’acquittons intégralement les pièces, Lesiardus, doyen de Laon, et le chapitre ont accordé qu’ils donneraient les pièces convenues et que l’église possèderait la terre librement. En vérité nous faisons en sorte que cela soit protégé puisque cela demeure ratifié par l’impression de notre sceau et les témoins ayant signé en bas, Signature du doyen de Laon Lesiardus. De Robert le préchantre. De Gonter et de Gautier, prêtres. De Gérard sous-trésorier. Du maître des diacres Hugues. De Manasse et Alexandre sous-diacres. De Rohard, de Galcher, frères du Temple. Angot le greffier a relu, a écrit et a signé. »


    Époque contemporaine


    Dans le répertoire des noms de lieux on trouve « Les cendres » ou bien encore « Le chemin de l'usine » ou « L'usine » à l'ouest sud-ouest du terroir communal de Chailvet. Ces différentes formations témoignent de l'existence d'une activité quasiment industrielle qui a disparu au cours du premier quart du XXe siècle. Le toponyme « Les cendres » évoque la présence d'extraction à ciel ouvert de lignite, charbon fossile, combustible intermédiaire entre la tourbe et la houille, qui vont se développer notablement à partir de la première moitié du XVIIIe siècle. À cette époque, la fumure animale ne suffit plus à l'amendement des terres du fait de l'abandon de la jachère à laquelle on préfère des cultures alternatives qui nécessitent l'emploi des cendres de lignites pour la fertilisation des sols. L'industrie naissante consomme aussi ces produits pour la fabrication d'aluns (sulfates doubles) qui ont la propriété de fixer les matières colorantes : en tannerie, ils sont utilisés pour la conservation des peaux, en chimie pour la synthèse de l'acide sulfurique, la fabrication de certaines colles ainsi que de produits soufrés dont on fait une forte consommation à l'époque. Pour des raisons économiques, ces produits d'extraction subissent une première transformation, généralement sur place, tout près du lieu d'extraction afin d'amoindrir les frais de transport. C'est donc pour ces différentes raisons que des cendrières vont être ouvertes pour répondre aux besoins de l'agriculture et aux besoins de l'industrie naissante.

    À Chailvet, on trouve le lignite dans les bois marécageux, dans des prairies humides où poussent les renoncules et les joncs. Une exploitation de cendres est ouverte vers 1786, et assez rapidement une usine va être construite à proximité du lieu d'extraction, usine qui emploiera jusqu'à deux cents personnes à son apogée vers la fin du XIXe siècle.

    À partir de 1817, Pierre Alexandre Brunel acquiert l'usine, le château et devient maire de Chailvet en 1824, siège qu'il conservera jusqu'en 1855. À sa mort, son fils Gustave Alexandre lui succède à l'usine comme président du conseil d'administration, mais également à la mairie de 1855 à 1878. C'est sous mandat que la Compagnie des chemins de fer du Nord va ouvrir la ligne de Paris à Laon, et Gustave Alexandre va faire son possible pour que soit créé une gare sur le territoire de la commune de Royaucourt-et-Chailvet. Il va mettre en avant l'existence d'une importante usine de scierie et de l'usine des cendres pour justifier sa requête. C'est ainsi que pour des raisons économiques, la gare de Chailvet - Urcel va se voir doter d'un bâtiment des voyageurs mais également d'une halle à marchandises dont les derniers vestiges ont disparu il y a une dizaine d'années.

    Articles connexes : Ligne de La Plaine à Hirson et Anor (frontière) et Gare de Chailvet - Urcel.
    Première Guerre mondiale
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    Le village, situé à trois kilomètres à vol d'oiseau du Chemin des Dames, est considéré comme détruit à la fin de la guerre[10] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [11].

    Article connexe : Reconstruction en France et en Belgique après la Première Guerre mondiale.

    L'usine ferme définitivement ses portes en 1924, et les différents bâtiments ont été rasés, (probablement à la suite des dommages causés par la guerre

    Seconde Guerre mondiale
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    Le 141e régiment d'Infanterie alpine était cantonné sur le territoire de Royaucourt-et-Chailvet, au cours de la guerre de 1940. Georges Pompidou, futur président de la République, qui faisait partie de l'encadrement de cette unité, a offert, en souvenir, un drapeau à la commune[12].


    Politique et administration



    Rattachements administratifs et électoraux


    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Laon du département de l'Aisne.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Anizy-le-Château[13]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Laon-1[14]

    Articles détaillés : Liste des cantons de l'Aisne, Conseil départemental de l'Aisne et Liste des conseillers départementaux de l'Aisne.

    Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2010 de la première circonscription de l'Aisne[15].

    Articles détaillés : Liste des circonscriptions législatives de l'Aisne et Liste des députés de l'Aisne.

    Intercommunalité


    Royaucourt-et-Chailvet était membre de la petite communauté de communes des Vallons d'Anizy, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1997 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (sous réserve de certaines dérogations bénéficiant aux territoires de très faible densité), cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine, pour former le la communauté de communes Picardie des Châteaux dont est désormais membre la commune.


    Liste des maires


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1824 1855 Pierre Alexandre Brunel   Propriétaire du château et de l'usine de cendres
    1855 1878 Gustave Alexandre Brunet[16]   Fils de Pierre Alexandre Brunel
    Propriétaire du château et de l'usine de cendres
    1879   M. Villers[17]    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Régis de Buttet DVD  
    mars 2008[18] janvier 2021 Patrick Toussaint[19] DVG Retraité Fonction publique
    janvier 2021[20] En cours
    (au 8 janvier 2021)
    Guillaume Le Rudulier    

    Démographie


    Articles connexes : Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].

    En 2019, la commune comptait 254 habitants[Note 3], en augmentation de 18,14 % par rapport à 2013 (Aisne : −1,61 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    158154156198213234287259291
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    256265280253282284265293261
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    247217203196182172140156180
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    176157155163201177190202245
    2019 - - - - - - - -
    254--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments



    Personnalités liées à la commune



    Héraldique


    Blason
    Tiercé en pairle renversé: au 1er d'argent à saint Julien au naturel, tenant par la lame, dans sa dextre, une épée basse d'argent garnie d'or et, dans sa senestre, un livre du même, au 2e de gueules au paysan au trait d'argent brandissant dans dextre une fourche posée en pal et dans sa senestre une faux posée en fasce, au 3e d'azur à la fleur de lis d'or; le tout sommé d'un comble d'azur chargé de trois feuilles de vignes versées d'or[41].
    Ornements extérieurs
    Croix de guerre 1914-1918.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références



    Notes


    1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références


    1. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    2. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Maximilien Melleville, historien laonnois Dictionnaire historique du département de l'Aisne 1865, p. 199)
    9. Louis-Gabriel Michaud Biographie universelle ancienne et moderne 1816, tome XVI, p. 604
    10. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    11. Journal officiel du 21 octobre 1920, p. 16155.
    12. « Royaucourt-et-Chailvet : plongée au cœur de l’année 1940 », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Royaucourt-et-Chailvet », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    15. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    16. Almanach historique administratif et commercial de la Marne de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, Reims, 1878, p221.
    17. Almanach historique administratif et commercial de la Marne de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, Reims, 1879, p239.
    18. « Patrick Toussaint pas candidat au 3e mandat à Royaucourt-et-Chailvet : Après 12 ans comme maire, Patrick Toussaint ne briguera pas de nouveau mandat », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
    19. « Royaucourt-et-Chailvet 02000 », Résultats aux municipales 2020, sur https://www.lemonde.fr/ (consulté le ).
    20. Philippe Robin, « Nouveau maire et nouveau premier adjoint à Royaucourt-et-Chailvet : Guillaume Le Rudulier est le nouveau maire de la commune de Royaucourt-et-Chailvet », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    24. Église Saint-Julien de Royaucourt
    25. A. A., E 192
    26. Échange du 8 avril 1670 devant Maillart (Arch. du château de Saint-Julien)
    27. Partages des 20 janvier et 5 mars 1678 s. p. (Ibid.)
    28. A. A., C 905
    29. {{Lien web url=http://cen-hautsdefrance.org/les-communaux-de-royaucourt-et-chailvet-0 |titre=Les Communaux de Royaucourt-et-Chailvet |série= Sites et milieux naturels |éditeur=Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France |consulté le=17 janvier 2021}}.
    30. Maximilien Melleville Dictionnaire historique du département de l'Aisne 1865, p. 292
    31. Historique de la famille de La Vieu Ville - Commission du vieux Parisp. 81 et 82
    32. Pierre de la Vieu Ville et sa descendance
    33. Voltaire Œuvres complètes 1857, tome 8, p. 398, 399
    34. Henri de Campion Mémoires 1857, p. 160
    35. Voltaire Œuvres complètes 1857, tome 8, p.  399
    36. Eudoxe Soulié Notice du Musée impérial de Versailles 1860, p. 393
    37. Sites et monuments 1969/1970, p. 22.
    38. Lainé, Archives généalogiques et historiques de la noblesse de France, 3e tome, 1830
    39. « Pierre, Charles, Polycarpe Pottofeux (1763-1821) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale
    40. A. Matton, « Pottofeux : procureur général syndic du département de l'Aisne », Mémoires de la société académique de Saint-Quentin, iV, t. III, juillet 1879-juillet 1880, p. 173-310 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
    41. https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=19561

    На других языках


    [de] Royaucourt-et-Chailvet

    Royaucourt-et-Chailvet ist eine französische Gemeinde mit 254 Einwohnern (Stand 1. Januar 2019) im Département Aisne in der Region Hauts-de-France (vor 2016 Picardie). Sie gehört zum Arrondissement Laon, zum Kanton Laon-1 und zum Gemeindeverband Picardie des Châteaux.

    [en] Royaucourt-et-Chailvet

    Royaucourt-et-Chailvet is a commune in the Aisne department in Hauts-de-France in northern France.

    [es] Royaucourt-et-Chailvet

    Royaucourt-et-Chailvet es una población y comuna francesa, en la región de Picardía, departamento de Aisne, en el distrito de Laon y cantón de Anizy-le-Château.
    - [fr] Royaucourt-et-Chailvet

    [ru] Руайокур-э-Шельве

    Руайоку́р-э-Шельве́ (фр. Royaucourt-et-Chailvet) — коммуна во Франции, находится в регионе Пикардия. Департамент коммуны — Эна. Входит в состав кантона Лан-1. Округ коммуны — Лан.



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