Roumoules (Roumoulo en occitanprovençal selon la norme mistralienne et Romolas selon la norme classique) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Roumoules et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).
Le village est situé à 600 m d’altitude[2] dans la vallée que le Colostre, affluent du Verdon, a creusé dans le plateau de Valensole. Il se trouve à 15 km à l’ouest de Moustiers-Sainte-Marie et à 3 km à l’est de Riez sur la route départementale 952.
Sept kilomètres plus au nord se trouve Puimoisson, et à peu près à même distance, au sud, le lac et le village de Sainte-Croix-du-Verdon.
Les communes limitrophes de Roumoules sont Puimoisson, Moustiers-Sainte-Marie, Sainte-Croix-du-Verdon, Montagnac-Montpezat et Riez.
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Riez auquel appartient Roumoules est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[7], et en zone 3 (risque modéré) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[8]. La commune de Roumoules est également exposée à trois autres risques naturels[8]:
feu de forêt,
inondation,
mouvement de terrain: des secteurs importants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[9].
La commune de Roumoules est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route et canalisations[10]. La départementale RD 952 peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[11].
Le plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) de la commune a été approuvé en 1998 pour les risques d’inondation et de séisme[10] et le Dicrim existe depuis 2011[12].
Urbanisme
Typologie
Roumoules est une commune rurale[Note 1],[13]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[14],[15].
La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].
La commune dispose actuellement d'un plan d'occupation des sols, en l'attente d'un plan local d'urbanisme[18].
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Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,4% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,9%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (63,7%), zones agricoles hétérogènes (19,7%), forêts (12,4%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8%), zones urbanisées (1,4%)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
Le nom du village, tel qu’il apparaît la première fois vers 1020 (in villa Romules), est interprété comme tiré d’un nom propre romain, Romulus[21],[22],[23].
Histoire
Antiquité
Roumoules tire son origine d’un établissement romain périphérique de Riez. La présence romaine sur la commune est attestée par trois découvertes: en 1957, une sépulture antique appartenant certainement à une nécropole a été découverte au Play, elle contenait probablement les restes d’un centurion et pourrait dater du Ier ou IIesiècle après Jésus-Christ[24]. En 1965, on a découvert à proximité un fer de pilum.
Un peu plus au nord, au lieu-dit "Verdillon", a été découverte en 1964 une sépulture à incinération constituée d’un vase en tôle de bronze et contenant des ossements humains incinérés[25].
Enfin, la troisième trace de la présence de Romains est une inscription antique connue depuis le XVIesiècle mais non visible du fait des transformations de l’église. Elle a peut-être été réemployée dans la construction de l’autel. Il s’agit d’une épitaphe datée du Iersiècleav. J.-C., de Marcus Annius Severus à son épouse Julia Tessallys.
Moyen Âge
Au Moyen Âge, il existait deux communautés, à Roumoules, et à Saint-Martin-d’Alignosc. Ce dernier aurait pris le nom de Saint-Martin-de-Rimat après un incendie[26]. Fin XIIIe et début XIVesiècles, Jacques de Nati (?-v.1338) fut seigneur de Roumoules[27]; il succéda à son père Georges décédait vers 1321[28]. En 1309, Guillaume de Roumoules est signalé comme seigneur de Roumoules, de Beaujeu, de Bédéjun, de Bras-d'Asse, d'Entrages, de Majastres, de Vergons et d'Estoublon[29]. En 1353, Rostang de Roumoules lui succéda comme seigneur du lieu.
La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Puis, Aix se soumet en , ce qui précipite le ralliement des carlistes, dont le co-seigneur de Roumoules, Foulques du Puy. Il obtient un «chapitre de paix» de Marie de Châtillon le et prête hommage à Louis II d'Anjou, âgé de dix ans[30]. La communauté villageoise, qui avait soutenu Charles de Duras, se rallie également à la fin de la guerre[31].
La communauté de Saint-Martin-le-Rimat ou Saint-Martin-d’Alignosc, qui comptait 24 feux en 1315, est fortement dépeuplée par la crise du XIVesiècle (Peste noire et guerre de Cent Ans) et annexée par celle de Roumoules au XVesiècle[32]. Les deux communautés relevaient de la viguerie de Moustiers[26].
Temps modernes
La Réforme connaît un certain succès à Roumoules[33], et une partie des habitants se convertissent. Malgré les guerres de religion, une communauté protestante se maintient au XVIIesiècle autour de son temple, grâce à l’édit de Nantes (1598). Mais l’abolition de l’édit de Nantes (1688) lui fut fatale, et elle disparut, ses membres émigrant ou étant convertis de force[34]. Le fief de Roumoules est érigé en marquisat en 1649[35] pour les Grimaldi en 1649[32],[36]. Elle passe ensuite aux Régusse puis, au XVIIIesiècle, à la famille de Clérissy qui est à l'origine de la réputation des faïences de Moustiers-Sainte-Marie.
Révolution française
Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[37]. Saint-Martin-le-Rimat, qui forme une commune de manière éphémère au début de la Révolution, est rattaché à Roumoules avant 1794[38].
Époque contemporaine
Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République: Roumoules, avec deux habitants traduits devant la commission mixte, est relativement peu touchée[39].
Comme de nombreuses communes du département, Roumoules se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry: en 1863, elle en possède déjà une qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[40]. La même instruction est donnée aux filles, même si la loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants[41].
Jusqu’au milieu du XXesiècle, la vigne était cultivée à Roumoules. Plusieurs dizaines d’hectares produisaient du vin, destiné à l’autoconsommation et à la vente sur les marchés régionaux. Cette culture est aujourd’hui abandonnée[42].
Héraldique
Article détaillé: Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.
Blasonnement: D'azur à deux lions affrontés d'or soutenant de leurs pattes de devant une meule de moulin d'argent[43],[44].
Roumoules était, en 2011, l'une des treize communes du département à n'être rattachée à aucun établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre. À la suite du schéma départemental de coopération intercommunale de 2011 établi par la préfecture, prévoyant «la couverture intégrale du territoire par des EPCI à fiscalité propre»[48], la commune fait partie, depuis le , de la communauté d'agglomération Durance Luberon Verdon.
Politique environnementale
La collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et la protection et mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté d'agglomération Durance Luberon Verdon.
Budget et fiscalité 2015
En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[49]:
total des produits de fonctionnement: 882 000 €, soit 1 240 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 806 000 €, soit 1 133 € par habitant;
total des ressources d’investissement: 271 000 €, soit 382 € par habitant;
total des emplois d’investissement: 488 000 €, soit 687 € par habitant.
endettement: 346 000 €, soit 487 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d’habitation: 2,93%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 8,99%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 33,05%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 0,00% ;
cotisation foncière des entreprises: 0,00%.
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Jumelages
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Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[51].
En 2019, la commune comptait 738 habitants[Note 2], en augmentation de 3,8% par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence: +1,48%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1765
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
710
640
609
621
534
584
607
650
587
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1851
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
571
551
525
519
507
480
439
446
410
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1896
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
384
350
352
323
266
257
233
238
216
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1954
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
223
163
214
249
301
469
631
716
714
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2010
2015
2019
-
-
-
-
-
-
700
746
738
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution démographique avant 1765
1315
1471
82 feux
49 feux
Enseignement
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Manifestations culturelles et festivités
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Santé
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Sports
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Médias
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Cultes
Paroisse de Roumoules-Digne-Riez-Sisteron. Doyenné: Pays de Manosque et du Plateau des Lavandes.
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Économie
Aperçu général
En 2009, la population active s'élevait à 277 personnes, la commune ne proposant que 130 emplois (l’indicateur de concentration d'emploi est de 47%). Parmi les emplois localisés dans la commune, l'emploi salarié domine d'une courte majorité (59%)[53].
Dans la population active de la commune, la proportion de salariés est de 75%; et 71% des actifs de la commune travaillent hors de la commune[54].
Agriculture
Dix-neuf exploitations étaient installées dans la commune en 2010, un chiffre stable depuis 2000[55] (dont 12 professionnelles en 2000[56]). Dix pratiquent les grandes cultures, et quatre des cultures permanentes, le restant se partageant entre élevage ovin et polyculture. La surface agricole utilisée, 1267 ha, est elle en hausse (8, 75%): elle est surtout affectée aux grandes cultures (à 76%)[55].
La culture de l’olivier est pratiquée dans la commune depuis des siècles, tout en étant limitée à certains versants. Le terroir de la commune se situe en effet à la limite altitudinale de l’arbre, qui ne peut que difficilement être exploité au-delà des 650 mètres: à Roumoules, il s’agit des versants bien exposés des vallons entaillant le plateau de Valensole. L’oliveraie de Roumoules occupait plus d’une dizaine d’hectares au début du XIXesiècle. Actuellement[Quand?], elle a régressé mais reste relativement importante (entre 1000 et 3500 pieds exploités)[57].
Les cultures sont irriguées avec l'eau du canal EDF. Un agriculteur expérimente à grande échelle l'irrigation au goutte-à-goutte enterré, pour un champ de lavande[58].
Industrie-Construction
En 2011, sur les 39 établissements de la commune, dix se trouvent dans le secteur de l'industrie ou de la construction[59]. Ce secteur employait 23 salariés en 2009[60].
Activités de service
Sur les 39 établissements de la commune, 24 se trouvent dans le secteur des services commerciaux, et 5 dans celui de l'administration[59]. Ce secteur employait 32 salariés en 2009[60].
Le tourisme est peu développé: la commune ne compte aucune installation d'accueil, et les résidences secondaires ne représentent qu'un quart des logements de la commune[61].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le château de Campagne est le principal monument de la commune[62]. Situé dans la vallée du Colostre entre Riez et Roumoules, la terre de Campagne est, selon l’inventaire de production du , l’un des plus anciens domaines seigneuriaux de Provence. On sait qu’en 1324 il appartenait à la famille de Podio, coseigneurs de Riez et de Roumoules. Le château actuel a été construit vers 1680-1690. Il a eu de nombreux propriétaires dont la famille Grimaldi en faveur de qui la seigneurie de Roumoules est érigée en baronnie. Il est finalement acheté en 1782 par Pierre Joseph Clérissy, célèbre faïencier de Moustiers-Sainte-Marie.
De plan rectangulaire, il est encadré par deux pavillons carrés, qui sont eux-mêmes encadrés de tours rondes. Sa toiture en faïences multicolores est classée monument historique[63],[64]. C’est le plus grand toit de tuiles émaillées de Provence, avec 42000 tuiles de 25 cm sur 13, formant des motifs géométriques (losanges et chevrons)[65]. Son vestibule est dallé de carreaux émaillés vert ou jaune[66].
Le château de Saint-Martin-d’Alignosc, ou de Saint-Martin-le-Rimat[67], domine la vallée du Colostre. Le bâtiment principal date de la fin du XVIIIesiècle et du début du XIXe. Il est précédé par une terrasse encadrée de deux tourelles, et de jardins offrant des jets d’eau. Il a également appartenu à Pierre Clérissy[68],[69].
L’église paroissiale Saint-Pierre-ès-Liens est un ancien prieuré de l’abbaye de Lérins. Sa nef à deux travées est accostée de bas-côtés; nef et bas-côtés sont plafonnés. Le bas-côté nord débouche sur une chapelle d’architecture gothique, voûtée sous croisée d'ogives, qui date du XVIesiècle[70]. L’abside est voûtée sous croisée d’ogives et ornée de peintures du XIXesiècle[71]. À part la chapelle gothique, l’église, qui a dû être voûtée en plein cintre, date du XVIIesiècle[72]. Sa crèche date d’avant 1850[73].
Monument aux morts[74]: Conflits commémorés 1914-1918, AFN-Algérie (54-62)[75].
Émetteur de Roumoules, près de la commune: équipement de radiodiffusion pour RMC (Radio Monte-Carlo).
Personnalités liées à la commune
L'abbé Charles Léon Spariat (1860-1936), né à Roumoules, prêtre et écrivain
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559p.
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017)
Hélène Vésian en collaboration avec Évelyne Falvard et Claude Gouron, Châteaux et bastides en Haute Provence aux XVIesiècle, XVIIeetXVIIIesiècles, Avignon, Aubanel, , 167p. (ISBN2-7006-0145-9)
La bastide de Saint-Martin-d'Alignosc, pp.145 à 147
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Roger Brunet, «Canton de Riez», Le Trésor des régions, consultée le 8 juin 2013
Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN2-7399-5004-7)
Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 13 août 2012
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 97
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80
, base Dicrim, consultée le 13 août 2012
«Zonage rural», sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1reédition 1950), p 376
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: étymologie de 35 000 noms de lieux, vol.1: Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll.«Publications romanes et françaises» (no193), , 1869p. (ISBN978-2-600-02884-4, lire en ligne)., § 10521, p 635
Daniel Thiery, «Roumoules», Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 13 août 2012
AD du 13, série B2f123v.
AD du 13, série B2f123v
Marie-Zéphirin Isnard, État documentaire et féodal de la Haute-Provence: nomenclature de toutes les seigneuries de cette région et de leurs possesseurs depuis le XIIesiècle jusqu'à l'abolition de la féodalité; état sommaire des documents d'archive communales antérieures à 1790; bibliographie et armoiries, Digne, Vial, 1913, p.446
Geneviève Xhayet, op. cit., cartes p.417-418 et p.419.
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017), p. 193
Patrice Alphand, «Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no307, 1ertrimestre 1989, 108eannée, p 296-298
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, «Liste des maires«Copie archivée» (version du 22 octobre 2014 sur l'Internet Archive)», 2014, consultée le 20 octobre 2014.
Ministère de l'Agriculture, «Orientation technico-économique de l’exploitation», Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien: attention, le fichier fait 4,4 Mio)
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