Rampillon est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
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Rampillon
La mairie.
Héraldique
Administration
Pays
France
Région
Île-de-France
Département
Seine-et-Marne
Arrondissement
Provins
Intercommunalité
Communauté de communes de la Brie nangissienne
Maire Mandat
Sébastien Coupas 2020-2026
Code postal
77370
Code commune
77383
Démographie
Gentilé
Rampillonnais
Population municipale
826 hab. (2019 )
Densité
36 hab./km2
Géographie
Coordonnées
48° 33′ 02″ nord, 3° 04′ 00″ est
Altitude
Min. 120 m Max. 144 m
Superficie
23,12 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Paris (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton de Nangis
Législatives
Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Rampillon
Géolocalisation sur la carte: France
Rampillon
Géolocalisation sur la carte: Seine-et-Marne
Rampillon
Géolocalisation sur la carte: Île-de-France
Rampillon
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Géographie
Localisation
Localisation de la commune de Rampillon dans le département de Seine-et-Marne.
Le bourg se situe à 3,7 km à l'est de Nangis. Il est longé au nord par la ligne Paris-Est - Mulhouse-Ville, au-delà de laquelle se trouve également la route départementale no619.
L'altitude de la commune varie de 120 mètres à 144 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 142 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].
Hydrographie
Réseau hydrographique
Carte des réseaux hydrographique et routier de Rampillon.
la rivière l’Almont (ou ru d'Ancœur ou ru de Courtenain), longue de 42,15 km[3], affluent de la Seine en rive droite;
le ru des Effervettes, 5,41 km[4], qui conflue avec l’Almont;
le cours d'eau 01 de la Fontaine Gain, 7,40 km[5], affluent de l’Yvron;
le fossé 01 de la Fontaine Pierrotte, 1,36 km[6], et;
le fossé 01 de la Courotte, 3,11 km[7], qui confluent avec le cours d'eau 01 de la Fontaine Gain.
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 9,48 km[8].
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles: le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[9].
La commune fait partie du SAGE «Yerres», approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont: le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[10]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de «structure porteuse»[11].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000
- Moyenne annuelle de température: 10,7 °C
- Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C: 3,1 j
- Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 3,2 j
- Amplitude thermique annuelle[Note 1]: 15,4 °C
- Cumuls annuels de précipitation: 736 mm
- Nombre de jours de précipitation en janvier: 0,3 j
- Nombre de jours de précipitation en juillet: -2,8 j
La commune bénéficie d’un «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[12]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[14]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 29 km à vol d'oiseau[15], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2°C pour 1981-2010[16] à 11,6°C pour 1991-2020[17].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[18],[19],[20].
Urbanisme
Typologie
Rampillon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[21],[22],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[24],[25].
Lieux-dits et écarts
La commune compte 111 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[26] (source: le fichier Fantoir).
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,4% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (89,4% ), forêts (8,3% ), zones urbanisées (2,3%)[27].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[28],[29],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La commune ne disposait pas en 2019 de document d'urbanisme opérationnel et le règlement national d'urbanisme s'appliquait donc pour la délivrance des permis de construire[30].
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 339 dont 95,6% de maisons et 3,5% d'appartements[Note 5].
Parmi ces logements, 88,8% étaient des résidences principales, 4,1% des résidences secondaires et 7,1% des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 85,4% contre 13% de locataires et 1,7% logés gratuitement[31].
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Rampeillon en 1106[32]; Rampeolon en 1189[33]; S. de Rumpellon vers 1210[34]; Rampellon en 1220[34]; Ranpeillun vers 1222[35]; Rampilliacum en 1243[36]; Rampillis, en 1261[37]; Rampeloin en 1301[38]; Ranpelun en 1304[39]; Rompillon en 1311[40]; Rampillo en 1315[41]; Rempillon en Brie en 1415[42]; Rapillon en 1430[43].
Sans doute un toponyme désignant une pente (diminutif de rampe).
Du point de vue odonymique, on trouve une rue des Templiers alors que cet ordre militaire n'a jamais été présent à Rampillon, il a été confondu par certains historiens avec les Hospitaliers.
Histoire
Les Hospitaliers
Mentionnée au XIIesiècle, la ville est le siège d'une commanderie hospitalière de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[Note 6], créée aux confins du comté de Champagne et du domaine royal.
Seigneurie de l'évêque de Sens, puis des Hospitaliers, la paroisse est sous le patronage de saint Eliphe ou saint Élophe, un saint lorrain qui a donné son nom à la commune Soulosse-sous-Saint-Élophe dans le département des Vosges et dans lequel il fut enseveli après avoir subi le martyre.
La légende veut en effet qu'il eût la tête coupée et qu'il soit allé la déposer en haut d'une colline. Sur le trumeau du portail de l'église de Rampillon il est représenté sous la forme d'un jeune homme à la barbe soignée, en robe de diacre.
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [49],[50].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la commune de Rampillon gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[51].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[52]. La communauté de communes de la Brie nangissienne (CCBN) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à l'entreprise Veolia, dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2021[51],[53].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à l'entreprise Aqualter Exploitation, dont le contrat expire le [51],[54].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Nangis[55].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[57].
En 2019, la commune comptait 826 habitants[Note 7], en augmentation de 2,48% par rapport à 2013 (Seine-et-Marne: +4,1%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
416
494
520
623
581
658
670
710
697
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
677
694
695
666
662
624
651
623
578
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
560
584
560
535
508
521
572
534
507
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
422
348
407
561
651
607
762
799
826
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
826
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[58] puis Insee à partir de 2006[59].)
Histogramme de l'évolution démographique
Sports
Club de football ASR.
Manifestations culturelles et festivités
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Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 297, représentant 825 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 25 200 euros[60].
Emploi
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 105, occupant 392 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 73,6% contre un taux de chômage de 6,4%.
Les 20% d’inactifs se répartissent de la façon suivante: 8,8% d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,9% de retraités ou préretraités et 4,3% pour les autres inactifs[61].
Secteurs d'activité
Entreprises et commerces
En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture. ) par secteur d'activité était de 37 dont 2 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 8 dans la construction, 10 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 1 dans l’Information et communication, 4 dans les activités financières et d'assurance, 5 dans les activités immobilières, 4 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 1 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 2 étaient relatifs aux autres activités de services[62].
En 2020, 8 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 6 individuelles.
Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[63].
Agriculture
Rampillon est dans la petite région agricole dénommée la «Brie centrale», une partie de la Brie autour de Mormant[Carte 3]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[64].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30% du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[65]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 16 en 1988 à 15 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 96ha en 1988 à 116ha en 2010[64].
Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Rampillon, observées sur une période de 22 ans:
Évolution de l’agriculture à Rampillon entre 1988 et 2010.
L'église Saint-Éliphe du XIIIesiècle située sur une butte qui domine la plaine de Brie est classée au titre des monuments historiques[67]. Traditionnellement les représentations du Jugement Dernier présentent d'un côté les Élus et de l'autre les Damnés. La particularité ici est qu'il n'y a aucun damné.
Le monument aux morts de la guerre 1914-1918, signé Edme Marie Cadoux.
Bornes en grès fleurdelysées no34 et 35 le long de la D 619 (XVIIesiècle), classées au titre des monuments historiques[68].
Façade.
Portail occidental: collège apostolique et Jugement Dernier.
Vue méridionale de l'église.
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
Michel Vocoret, acteur français, y est né en 1938.
Héraldique
Blason
D'azur à la façade de l'église du lieu d'or; au chef d'argent chargé de trois croisettes ancrée de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Voir aussi
Bibliographie
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L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100%.
Commanderie fondée avant 1195 par les Hospitaliers dans la Marche (frontière occidentale du comté de Champagne)[44] et qui faisait partie de la langue et du grand prieuré de France. Commanderie principale (baillie) avant sa destruction au cours des guerres du XVesiècle[45], dont dépendait La Croix-en-Brie (membre de la baillie de Rampillon, 1373)[46], avant que cette dernière ne soit érigée en commanderie[47].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de la Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p.475.
Archives nationales, LL 1158, p.292.
Histor. France, XXIII, p.669.
Livre des vassaux.
Layettes Trésor, II, p.520.
Archives nationales, J 176, no17.
Actes commune Provins, p.188.
Actes commune Provins, p.198.
Archives nationales, JJ 47, no81.
Archives nationales, JJ 52, no12.
Archives nationales, S 371b, no104.
Monstrelet, IV, p.405.
Jean Hubert, «Les églises de Rampillon, Donnemarie et Rozay et l'ancienne frontière de Champagne», dans Nouveau recueil d'études d'archéologie et d'histoire: de la fin du monde antique au Moyen Age, (présentation en ligne), p.628-629.
Eugène Mannier, Ordre de Malte: Les commanderies du grand-prieuré de France d'après les documents inédits conservés aux Archives nationales à Paris, Aubry & Dumoulin, (lire en ligne), p.231-232
Anne-Marie Legras, L'enquête pontificale de 1373 sur l'Ordre des Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem: édition et commentaires des documents relatifs au Grand prieuré de France, CNRS, , 524p. (OCLC493684954, présentation en ligne), p.418.
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