Pénestin[penetɛ̃] est une commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne. Elle fait partie du pays de Guérande, un des pays traditionnels de Bretagne.
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Pénestin
La mairie.
Héraldique
Administration
Pays
France
Région
Bretagne
Département
Morbihan
Arrondissement
Vannes
Intercommunalité
Communauté d'agglomération de la Presqu'île de Guérande Atlantique
La commune de Pénestin forme une pointe entre l'estuaire de la Vilaine au nord et la baie de Pont-Mahé au sud, la commune fait partie de la presqu'île guérandaise. Les principales activités sont le tourisme et la mytiliculture (élevage des moules).
Avec ses 25 kilomètres de littoral, Pénestin est la commune le plus au sud du Morbihan. Sa superficie est de 2 169 hectares et le point culminant est Berniguet (35 mètres).
Pénestin se situe sur la côte atlantique bretonne, à l'embouchure de la Vilaine. La situation géographique de Pénestin et la qualité de sa desserte la rendent facilement accessible depuis les agglomérations de Nantes et de Rennes.
Géologie et relief
La commune est située sur une formation sédimentaire meuble reposant en discordance sur les micaschistes et les gneiss du socle briovérien[1],[2]. Cette formation sédimentaire, appelée «formation de Pénestin», correspond à des dépôts éocènes, argileux, bariolés, peu épais, suivis d'une formation plio-quaternaire représentée par des sables jaunes et des cailloutis rouges reposant sur une dalle conglomératique ferruginisée. Viennent ensuite des couches ocracées, des cailloutis colorés à patine brun-rouge, des limons beiges, les faciès argileux présentant des
caractères périglaciaires (pingos, coins de glace)[3].
La plage de la Mine d'Or est un site classé depuis 1989: la falaise qui la surplombe constitue un site géologique d'intérêt international, pour son estuaire de fleuve fossile[4].
Mais les falaises sont attaquées par l'érosion comme l'illustre la chute d'un blockhaus du mur de l'Atlantique à la Pointe du Bile le [5].
Carte topographique de la commune de Pénestin.
Hydrographie
Articles connexes: Liste des cours d'eau du Morbihan, Liste de rivières de France et Liste des fleuves de France.
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Loire-Bretagne.
La commune est traversée par l'étier du Pont Mahé appelé aussi étier de kerfalher, cours d'eau naturel de 3,5 km, qui prend sa source dans la commune[6]. L'étier du Pont Mahé a pour affluent, dans la commune, l'étier du foy, cours d'eau naturel de 1,16 km, qui prend sa source dans la commune d'Assérac[7].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]
Moyenne annuelle de température: 12,2°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 0,8 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 2,1 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,1 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Billiers», sur la commune de Billiers, mise en service en 1962[14] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12°C et la hauteur de précipitations de 793 mm pour la période 1981-2010[16].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Vannes-Séné», sur la commune de Séné, mise en service en 1998 et à 25 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 12,3°C pour 1981-2010[18] à 12,4°C pour 1991-2020[19].
Milieux naturels et biodiversité
Le littoral
Les «trois Demoiselles», dont il ne reste que deux pitons.
La plage de la Mine d'Or.
Les dunes de Ménard.
Plage de la Mine d'Or.
Champs mytilicoles depuis la plage de la Mine d'Or.
Plage de la Mine d'Or.
Plages et Pointes
Pointe du Scal
Plage du Logo
Plage de Men-Armor
Pointe du Castilly
Plage de Camaret
Pointe du Halguen
Plage du Halguen
Pointe du Loguy
Plage du Loguy
Pointe de Confreneau
Plage du Lomer
Pointe du Lomer
Plage de la Source
Plage de la Mine d'Or
Plage de Poudrantais
Pointe du Maresclé
Plage du Maresclé
Pointe de Loscolo
Plage de Loscolo la plus sensible
Pointe du Goulumer
Pointe du Bechet
Pointe du Bile
Plage de Ker-André
Pointe de l'Espernel
Plage du Palandrin
Urbanisme
Typologie
Pénestin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[20],[21],[22].
La commune est en outre hors attraction des villes[23],[24].
La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[25]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[26],[27].
En 2020, 71,1% des logements de Pénestin étaient, selon l'INSEE, des résidences secondaires[28].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Occupation des sols en 2018
Type d’occupation
Pourcentage
Superficie (en hectares)
Tissu urbain discontinu
18,3%
388
Terres arables hors périmètres d'irrigation
7,9%
167
Prairies et autres surfaces toujours en herbe
22,3%
474
Systèmes culturaux et parcellaires complexes
32,8%
697
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants
La commune de Penestin est aussi réputée pour le nombre de ses contentieux d'urbanisme. En effet, comme la plupart des communes du littoral, elle subit une forte pression immobilière. Deux tiers des résidences sont des résidences secondaires[30]. Le nouveau PLU (plan local d'urbanisme) a été annulé le car ne respectant pas la loi littoral[31]. En 2020 la commune de Pénestin compte 2 162 électeurs inscrits pour une population légale de 1 946 habitants, en raison de l'inscription sur les listes électorales de nombreux résidents secondaires (plus de 70% des logements sont des résidences secondaires)[32]. Pénestin est, après Arzon (77,2%), Damgan (74,1%) et Carnac (71,4%) la commune du Morbihan ayant le plus fort taux de résidences secondaires (71,1%) en 2019 selon l'INSEE.
En 2019 on recensait 3 817 logements à Pénestin. 1 055 logements étaient des résidences principales (27,6%), 2 714 logements des résidences secondaires (71,1%) et 47 des logements vacants (1,2%). Sur ces 3 817 logements3 175 logements étaient des maisons (83,2%) contre 198 logements des appartements (5,2%). Le tableau ci-dessous présente la répartition en catégories et types de logements à Pénestin en 2019 en comparaison avec celles du Morbihan et de la France entière.
Résidences secondaires et logements occasionnels (en%)
71,1
17,9
9,8
Logements vacants (en%)
1,2
16,2
8,1
Toponymie
Traditionnellement, les toponymistes proposent que Pénestin est composé du breton penn (tête, bout, extrémité), et de staen (étain)[36]. Cette hypothèse fondée sur la géologie se base sur les observations et prospections des géologues faites sur les sables littoraux stannifères de la plage de la Mine d'Or[37]. Cependant, il s'agit plus probablement d'un anthropotoponyme composé du breton penn et Gestin, ce dernier terme étant issu d'une personne nommée Justinus en latin, nom devenu Iestin puis Gestin en breton[38].
Histoire
Époque moderne
Ancienne trève de la paroisse d'Assérac, la paroisse de Pénestin est créée en 1767. Elle est composée des frairies du bourg, de l'Armor et de Tréhiguier.
Révolution française
Incluse dans la châtellenie d'Assérac, et anciennement rattachée à la sénéchaussée de Guérande (ou de Campsillon) jusqu'à la Révolution Française, la commune est créée en 1790.
Bien qu'alors rattachées à l’évêché de Nantes, Pénestin, Camoël et Férel seront incluses dans le département du Morbihan.
XIXesiècle
Du breton au français
En 1806, selon la recherche de Charles Coquebert de Montbret mandaté par Napoléon pour définir la frontière linguistique entre le français et le breton, la commune de Pénestin était bretonnante et faisait face à Herbignac, commune de langue française. En 1843, selon le dictionnaire d'Ogée, la commune est devenue francophone.
XXesiècle
XXIesiècle
En 2018, 240 m2 de panneaux solaires ont été installés sur les toits du centre technique communal; ils fournissent l'électricité à une quinzaine d'artisans et à une cinquantaine d'habitants du voisinage[39].
Politique et administration
Découpage territorial
Article connexe: Arrondissements du Morbihan.
La commune se trouve dans l'arrondissement de Vannes du département du Morbihan.
Commune et intercommunalités
Article connexe: Liste des intercommunalités du Morbihan.
La commune est membre de la communauté d'agglomération de la Presqu'île de Guérande Atlantique.
Circonscriptions administratives
Articles connexes: Redécoupage cantonal de 2014 en France, Liste des cantons du Morbihan, Conseil départemental du Morbihan et Liste des conseillers départementaux du Morbihan.
Articles connexes: Liste des circonscriptions législatives du Morbihan et Liste des députés du Morbihan.
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription du Morbihan.
Élections municipales et communautaires
Articles connexes: Élections municipales de 2020 dans le Morbihan, Histoire des maires de France et Nomination des maires sous la Troisième République française.
Directeur d'EHPAD retraité 12e vice-président de la CA Cap Atlantique (2020 → )
Équipements et services publics
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Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[45].
En 2019, la commune comptait 2 019 habitants[Note 6], en augmentation de 12,79% par rapport à 2013 (Morbihan: +2,97%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 333
1 351
1 330
1 186
1 392
1 454
1 405
1 521
1 590
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 550
1 622
1 698
1 565
1 493
1 531
1 444
1 408
1 358
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 408
1 470
1 430
1 280
1 237
1 132
1 135
1 093
1 118
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
1 031
1 078
1 192
1 299
1 394
1 527
1 777
1 849
1 790
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
2 014
2 019
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
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Culture et patrimoine
Lieux et monuments
Façade ouest de l'église Saint-Gildas (XIXesiècle)
Le cimetière, ancien site de l'église paroissiale
Pénestin
L'église Saint-Gildas (XIXesiècle): construite puis consacrée en 1880, cette église, édifiée dans le style néogothique, remplace une église plus ancienne qui se trouvait dans le cimetière actuel. Inaugurée dans un pré dit «Billy», l'édifice possède quelques statues dont l'une représente saint Gildas, le patron de la commune. Les chapiteaux situés sur les piliers de la nef représentent des motifs de fleurs et les vitraux représentent la vie du Christ ou celle de saint Gildas. Chaque bras du transept contient un autel en bois du XIXesiècle. Le bas du mur du chœur est lambrissé.
Le cimetière: situé au centre du bourg, il était autrefois composé de l'ancienne église communale, construite avant le XVIIIesiècle et détruite faute de places. Les deux pierres tombales des deux bienfaiteurs de la paroisse, Duchesne et Haumont-Desprès, sont les seuls vestiges de l'ancien lieu de culte.
Le calvaire: situé à l'angle des rues du Calvaire et Jacques-Prévert, il fut réalisé au XIXesiècle. Sur celui-ci est représenté le Christ crucifié avec un serpent à ses pieds.
La maison de la Mytiliculture, installée dans le phare de Tréhiguier.
Le manoir de Tréhiguier (XVIIesiècle), situé rue du Port, à proximité du port.
L'ancienne chapelle Saint-Yves
La pierre Blanche, à la pointe du Scal, à l'ouest de Tréhiguier.
Tréhiguier
Le phare de Tréhiguier: construit en 1881 et mis en service l'année suivante, le phare de Tréhiguier était un phare d'alignement qui servait, avec le phare du Scal, à indiquer le chemin à suivre pour les navigateurs à travers la Vilaine. Il cessa de fonctionner en 1989, à cause de la construction du barrage d'Arzal, en amont du fleuve, qui accentua l'envasement de l'estuaire et déplaça le chenal maritime. Depuis 1995, il abrite la Maison de la Mytiliculture, un musée sur la culture des moules de bouchot.
L'ancienne chapelle Saint-Yves: Cette chapelle, bénite en 1783, fut vendue à la Révolution. Elle abrite aujourd'hui une poissonnerie.
La Pierre Blanche: le menhir dit «de la Pierre Blanche» situé à la pointe du Scal, en bordure de la Vilaine, près de Tréhiguier. Haut de près de quatre mètres, il est entièrement réalisé en quartz blanc. À quelques mètres gît une table de couverture en granite, vestige architectural de la présence d'un dolmen dont la table mesurait 4 m de longueur.
Le manoir de Tréhiguier: cette bâtisse se situe sur le port de Tréhiguier, à côté de l'ancienne chapelle. Ce modèle, typique du XVIIesiècle, est très répandu en Bretagne surtout en Basse-Bretagne.
Tapisserie classée monument historique, située dans une maison du clos du Cocqueret[48].
Statuette datée de 1882 sur une façade.
Poudrantais
Statuette datée de 1882 dans une niche de façade de maison.
Personnalités liées à la commune
Lucien Petit-Breton, premier coureur cycliste à avoir remporté deux tours de France d'affilée, en 1907 et 1908, est enterré au cimetière de Pénestin et a donné son nom au complexe polyvalent de la commune.
Jean Émile Laboureur, peintre, dessinateur, graveur et illustrateur français, né à Nantes en 1877, mort à Pénestin en 1943. Deux reproductions de ses œuvres sont visibles à Pénestin: l'une dans la salle du conseil de la mairie, la seconde face au centre nautique.
Raphaëla le Gouvello véliplanchiste, ambassadrice du développement durable
Geneviève (1913-2009), pseudonyme de Geneviève Pezet, artiste peintre et sculptrice née White à Sandpoint (États-Unis). En France depuis 1947 où elle fut élève d'André Lhote et Ossip Zadkine, elle vivait à Pénestin où l'église Saint-Gildas conserve d'elle un important christ en bronze.
Gastronomie
La moule de bouchot de Pénestin a été inscrite le au patrimoine culturel immatériel de France. C'est l'aboutissement d'une démarche lancée en 2018 par la confrérie des Bouchoteurs. «Le taux de chair est bien plus élevé que celui d'autres moules. À Pénestin, l'été, on arrive à 35% de taux de chair, c'est-à-dire que sur 1 kg de moules, il y a 350 grammes de chair. À titre de comparaison, dans d'autres régions, ce taux est compris entre 25 et 28%». À Pénestin, la moule de bouchot représente une centaine d'emplois répartis dans une trentaine d'entreprises[49].
Héraldique
Blason
D'argent à l'ombre d'une nef de sable voguant sur une burelle ondée d'azur brochant sur une champagne d'or; le tout enfermé dans une bordure gironnée d'or et d'azur[50].
Détails
Il y a là violation de la règle de contrariété des couleurs: ces armes sont fautives (argent sur or). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Notes et références
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Ce gneiss leucocrate œillé de Pénestin affleure uniquement dans les falaises côtières entre la pointe du Scal et la pointe de Cofrenau au Nord·Ouest du bourg de Pénestin. Il s'agit d'une mylonite développée soit aux dépens d'un granite, soit aux dépens d'un ancien gneiss œillé. Le feuilletage cataclastique, marqué par la muscovite, la chlorite et des cristaux de quartz aplatis et engrenés, contourne des feldspaths potassiques brisés et déformés (anciens phénocristaux) ainsi que des éléments œillés polycristallins (2 à 3 cm de diamètre) constitués de petits feldspaths potassiques jointifs (anciens porphyroblastes transformés en porphyroclastes par granulation). La biotite est toujours un minéral secondaire post-cataclastique. Ces mylonites représentent des écailles tectoniques en position anormale (contacts chevauchants accompagnés de brèches et de mylonites variées) sur un substratum de micaschistes et de roches basiques qui constituent l'essentiel du territoire au Sud du domaine ligérien. cf. Notice explicative carte géol. France. (1/50 000), feuille La Roche-Bernard (449), BRGM, 1975, p.6
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Bernard Tanguy - Les noms de lieux bretons, 1975, page 60.
Louis Chauris - «Les anciennes extractions d'étain à Piriac et à Pénestin», Bulletin de l'Association bretonne, 131e congrès: Le Croisic - Guérande - La Baule, tome 113, 2004, page 380.
Jean-Yves Le Moing, Noms de lieux de Bretagne, Bonneton, , p.119.
Journal Le Télégramme de Brest et de l'Ouest, numéro du 13 avril 2019.
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