PortaÉcouter est une commune française située dans l'Ouest du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la Cerdagne, une haute plaine à une altitude moyenne de 1 200 m d'altitude, qui s'étend d'est en ouest sur une quarantaine de kilomètres entre Mont-Louis et Bourg-Madame.
Ne doit pas être confondu avec La Porta.
Porta
Le château de Carol, le hameau de Carol, la RN 20 et le train Toulouse - La Tour-de-Carol.
Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par l'Ariège, le Riu de Querol, Rec de Malforat, Ribera de Campcardos et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional des Pyrénées catalanes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 («Capcir, Carlit et Campcardos») et dix zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Porta est une commune rurale qui compte 115 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 008 habitants en 1846. Ses habitants sont appelés les Portais ou Portaises.
Géographie
Localisation
Carte de la commune avec localisation de la mairie.
La commune de Porta se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie et est frontalière avec l Espagne(Catalogne) et l Andorre[I 1].
Elle se situe à 90 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, et à 50 km de Prades[2], sous-préfecture.
Sur le plan historique et culturel, Porta fait partie de la région de la Cerdagne, une haute plaine à une altitude moyenne de 1 200 m d'altitude, qui s'étend d'est en ouest sur une quarantaine de kilomètres entre Mont-Louis et Bourg-Madame[4].
À l'ouest, le territoire communal est plus précisément limitrophe du Pas de la Case, dans la paroisse d'Encamp en Andorre.
Situation de la commune.
Géologie et relief
L'altitude de la commune varie entre 1 325 et 2 907 mètres[10].
La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne[11].
Le col de la Portella Blanca est le tripoint entre l'Espagne, l'Andorre et la France.
Hydrographie
La ligne de partage des eaux entre les bassins méditerranéen et atlantique traverse la commune. Ainsi l'Ariège, affluent de la Garonne, arrose le nord de la commune, et la partie française face au Pas de la Case est dans le département des Pyrénées-Orientales et non pas en Ariège.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat des marges montargnardes», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du type «climat de montagne» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[13].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[12].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 6,8°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 10,8 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 0 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 8,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,4 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Porte Puymorens», sur la commune de Porté-Puymorens, mise en service en 1985[17] et qui se trouve à 2 km à vol d'oiseau[18],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 6,8°C et la hauteur de précipitations de 820,7 mm pour la période 1981-2010[19].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Saint-Girons», sur la commune de Senconac, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 79 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 12,2°C pour la période 1971-2000[21], à 12,3°C pour 1981-2010[22], puis à 12,7°C pour 1991-2020[23].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[24],[25].
Un espace protégé est présent sur la commune:
le parc naturel régional des Pyrénées catalanes, créé en 2004 et d'une superficie de 139 062ha, qui s'étend sur 66 communes du département. Ce territoire s'étage des fonds maraîchers et fruitiers des vallées de basse altitude aux plus hauts sommets des Pyrénées-Orientales en passant par les grands massifs de garrigue et de forêt méditerranéenne[26],[27].
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5].
Le site Natura 2000 Capcir-Carlit-Campcardos couvre une superficie de 39 760ha sur le territoire de quinze communes du département dont celle-ci, à la fois au titre de la directive habitats et de la directive oiseaux. Cette zone présente de nombreux habitats naturels alpins (pelouses, landes) et des milieux rocheux majoritairement siliceux et héberge certaines espèces d'intérêt communautaire: Botrychium simplex, Ligularia sibirica pour les plantes, Desman des Pyrénées et Loche pour les animaux. Au titre de la directive oiseaux, elle recèle une grande diversité d'habitats naturels se traduisant par un patrimoine ornithologique remarquable puisqu'elle accueille la plupart des espèces caractéristiques des zones de montagne, que ce soit parmi les rapaces (Gypaète barbu, Circaète Jean-le-Blanc, aigle royal, Faucon pèlerin), les galliformes (Lagopède, grand Tétras) ou les espèces forestières (Pic noir) et d'autres de milieux plus ouverts[29],[30].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Sept ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[31]:
les «pelouses humides du Pas de la Case» (558ha), couvrant 2 communes du département[32];
le «massif de Campcardos» (5 862ha), couvrant 2 communes du département[39];
le «massif du Carlit» (11 838ha), couvrant 7 communes du département[40];
le «Serrat des Loups» (9 330ha), couvrant 9 communes du département[41].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Porta.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Porta est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[42],[I 2],[43].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (97,1% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (49,1%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (24,7%), forêts (23,3%), zones agricoles hétérogènes (2,6%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3%)[44].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Hameaux et lieux-dits
La commune se compose d’un village bourg, Porta, de deux hameaux, Carol et Courbassil, et d’un territoire situé en zone frontalière près du Pas de la Case, en Andorre.
Voies de communication et transports
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Le territoire de la commune de Porta est vulnérable à différents aléas naturels: inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier, le risque radon[45],[46].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin du Sègre[47].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs[48]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaître les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomène[49].
Carte des zones inondables.
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des argiles.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[50].
Sur le département des Pyrénées-Orientales, on dénombre sept grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 66 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages, le barrage de Lanoux sur le ruisseau de Font Vive, un ouvrage de 42,5 m de hauteur construit en 1962[51].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Porta est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[52].
Toponymie
Le nom de la commune, en français comme en catalan, est Porta[53].
Histoire
Porta fait partie de la paroisse de Carol sous l'Ancien Régime[54]. Avec Porté et Latour-de-Carol, ces trois communautés constituent à l'époque la Vallée de Carol (Vall de Querol)[55].
Le village est érigé en commune le par détachement de Latour-de-Carol. Le est créée la commune de Porté-Puymorens, par détachement de Porta[54].
Afin de réaliser un viaduc andorran au-dessus de l’Ariège, un traité signé le entre la France et l’Andorre permet l'échange de 1,5 hectare de territoire entre la commune de Porta et la paroisse andorrane d'Encamp. L’État français, avec l'accord du président Jacques Chirac et du Premier ministre Lionel Jospin, valide l'échange du territoire par la loi no2001-590 du [56]. Le traité entre en vigueur le suivant[57].
Le , la commune intègre la Communauté de communes de Pyrénées Cerdagne.
Article détaillé: Changement territorial entre la France et Andorre de 2019.
Au , et à la suite d'un accord signé le , une surface de 26 hectares est cédée à l'Andorre[58]: cette surface concerne la moitié de l'étang des Abeillettes. Cela est dû à un incident diplomatique datant de 1988 lors duquel un groupe andorran avait installé une pompe à eau au niveau de ce plan d'eau sans que la commune de Porta n'ait été mise au courant. À la suite de la présence des polices des deux pays lors des faits, un passage par la loi a eu lieu quelques années après afin de fixer la frontière, qui n'était pas décrite de la même manière dans les deux pays[59]. En , le maire de Porta se plaint de n'avoir pas été informé de la pose des nouvelles bornes frontalières[60].
Politique et administration
À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton des Pyrénées catalanes.
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Évolution de la population
1378
1515
1709
1774
16 f
10 f
73 f
40 f
(Sources: Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France: dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol.66: Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378p. (ISBN2-222-03821-9))
Notes:
1378: 8 f pour Porta, 5 f pour Courbassil et 3 f pour Padronet;
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1841. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[64]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[65].
En 2019, la commune comptait 115 habitants[Note 9], en diminution de 7,26% par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales: +3,73%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1841
1846
1851
1856
1861
1866
1872
1876
1881
939
1 008
988
978
548
563
429
404
391
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1886
1891
1896
1901
1906
1911
1921
1926
1931
399
391
393
402
375
463
287
227
204
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1936
1946
1954
1962
1968
1975
1982
1990
1999
167
148
144
125
96
79
91
71
98
Évolution de la population [modifier], suite (3)
2006
2008
2013
2018
2019
-
-
-
-
130
139
124
115
115
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[10] puis Insee à partir de 2006[66].)
Histogramme de l'évolution démographique
Note: Avant 1860, la population de Porté-Puymorens est recensée avec celle de Porta.
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 69 personnes, parmi lesquelles on compte 73,9% d'actifs (65,2% ayant un emploi et 8,7% de chômeurs) et 26,1% d'inactifs[Note 10],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 8]. Elle compte 109 emplois en 2018, contre 109 en 2013 et 85 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 45, soit un indicateur de concentration d'emploi de 241,8% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,2%[I 9].
Sur ces 45 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 15 travaillent dans la commune, soit 33% des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 75,6% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 11,1% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 13,3% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
12 établissements[Note 11] sont implantés à Porta au [I 12].
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 58,3% du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 12 entreprises implantées à Porta), contre 30,5% au niveau départemental[I 13].
La commune est dans la Cerdagne, une petite région agricole située à l'extrême ouest du département des Pyrénées-Orientales[72]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 3]. Deux exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (quatre en 1988). La superficie agricole utilisée est de 682ha[74],[Carte 4],[Carte 5].
Culture locale et patrimoine
Carte postale ancienne du viaduc de Carol.
Monuments et lieux touristiques
Église Saint-Martial, à Courbassil, de style roman.
Le château de Carol (Inscrit MH(1927)), avec ses deux tours, dont une a été restaurée. Le château de Carol complétait le système défensif de la vallée avec le château de Puymorens[75]
Viaduc de Carol pour la ligne de Portet-Saint-Simon à Puigcerda (frontière), inscrit au titre des monuments historiques en 1984.
Église Saint-Jean-Baptiste de Porta.
Chapelle de la Mère-de-Dieu de Cortvassill.
Chapelle Saint-Éloi de Porta.
La portella Blanca d'Andorra (2517 m) est un col pédestre, en limite ouest de la commune, sur un tripoint réunissant les trois frontières de l'Andorre, de l'Espagne et de la France. Le GR7 et le GR107 y passent.
L'église Saint-Jean-Baptiste
La chapelle de Courbassil
Les tours de Carol
Le monument aux morts
La fontaine de l'église
Personnalités liées à la commune
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Voir aussi
Bibliographie
André Balent, «Les empreintes de Sant Quintí (Latour-de-Carol). Limites paroissiales au Moyen Âge et conflits territoriaux lors de la partition politique de la vallée de Carol (Cerdagne) en 1836-1838», dans Roches ornées, roches dressées: Aux sources des arts et des mythes. Les hommes et leur terre en Pyrénées de l'Est. Actes du colloque en hommage à Jean Abélanet, Perpignan, Presses universitaires de Perpignan, (ISBN9782354123192, DOI10.4000/books.pupvd.4273)
Articles connexes
Liste des communes des Pyrénées-Orientales
Liste des anciennes communes des Pyrénées-Orientales
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[28].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[73].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
(ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France: dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol.66: Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378p. (ISBN2-222-03821-9).
Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t.2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133p. (ISBN2904610014).
Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales: Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll.«Villes et villages de France», (ISBN2-7399-5066-7).
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