Pompignan, connu sous la Révolution sous le nom de Pompignan-Montagne[1], est une commune française située dans le sud du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays Montalbanais, correspondant à la partie méridionale du Quercy.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le canal latéral à la Garonne, le ruisseau de Rival, le ruisseau la Margasse et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 (la «vallée de la Garonne de Muret à Moissac») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Pompignan est une commune rurale qui compte 1 544 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération toulousaine et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Pompignanais ou Pompignanaises.
Géographie
Commune de l'aire d'attraction de Toulouse, située dans l'unité urbaine de Toulouse quelle intègre en 2020[I 1], sur la route nationale 20 entre Montauban et Toulouse en Pays Montalbanais, la commune est limitrophe du département de la Haute-Garonne.
Communes limitrophes
Pompignan est limitrophe de quatre autres communes dont trois dans le département de la Haute-Garonne.
Carte de la commune de Pompignan et de ses proches communes.
La superficie de la commune est de 1 217 hectares; son altitude varie de 102 à 216mètres[3].
Voies de communication et transports
Accès par la route nationale 20.
La ligne 377 du Réseau liO Arc-en-Ciel relie la commune à la gare routière de Toulouse depuis Grisolles, et la ligne 849 du réseau liO relie la commune à Toulouse et à Montauban[4].
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[5]. Elle est drainée par le ruisseau de rival, le ruisseau la margasse, le ruisseau de Combalou et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[6],[Carte 1].
Réseaux hydrographique et routier de Pompignan.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat du Bassin du Sud-Ouest», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]
Moyenne annuelle de température: 13,1°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 10,5 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 5,6 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Savenès_man», sur la commune de Savenès, mise en service en 1986[13] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[14],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,1°C et la hauteur de précipitations de 684,4 mm pour la période 1981-2010[15].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Montauban», sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 23 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 13,6°C pour 1981-2010[17] à 14°C pour 1991-2020[18].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux: la «vallée de la Garonne de Muret à Moissac»[20], d'une superficie de 4 493ha, hébergeant une avifaune bien représentée en diversité, mais en effectifs limités (en particulier, baisse des populations de plusieurs espèces de hérons). Sept espèces de hérons y nichent, dont le héron pourpré, ainsi que le Milan noir (avec des effectifs importants), l'Aigle botté, le Petit gravelot, la Mouette mélanocéphale, la Sterne pierregarin et le Martin-pêcheur[21].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 6] est recensée sur la commune[22]:
les «gravières de Crespys» (48ha), couvrant 3 communes dont deux dans la Haute-Garonne et une dans le Tarn-et-Garonne[23].
Urbanisme
Typologie
Pompignan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[24],[I 2],[25].
Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[I 3] et 1 035 280 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[I 4],[I 5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6],[I 7].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,9% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,5%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
cultures permanentes (34,9%), forêts (21,9%), terres arables (16,7%), zones urbanisées (11,5%), zones agricoles hétérogènes (11,2%), prairies (2,1%), eaux continentales[Note 9] (1,7%)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Pompignan est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le canal latéral à la Garonne, le ruisseau de Rival et le ruisseau la Margasse. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[29]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1999[30],[27].
Pompignan est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 10],[31].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pompignan.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[32].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (92% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 552 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 552 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 96% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[34].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1998, 2002, 2003, 2011 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999[27].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[35].
La commune est en outre située en aval barrage de la Ganguise, un ouvrage de classe A[Note 11] situé dans le département de l'Aude sur la rivière Hers-Mort et disposant d'une retenue de 44,6 millions de mètres cubes[37]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[38].
Toponymie
Durant la Révolution, la commune porte les noms de Pommontagu et de Pompignan-Montagne[39].
Article détaillé: Dominicaines de l'Immaculée Conception de Pompignan.
Héraldique
Blason
D'azur à un chevalier brandissant une épée, monté sur un cheval galopant, le tout d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[41],[42].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la communauté de communes du Terroir Grisolles Villebrumier et du canton de Verdun-sur-Garonne (avant le redécoupage départemental de 2014, Pompignan faisait partie de l'ex-canton de Grisolles).
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2020 en Tarn-et-Garonne.
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001
En cours
Alain Belloc
DVG
Conseiller départemental depuis 2021
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[44].
En 2019, la commune comptait 1 544 habitants[Note 12], en augmentation de 8,27% par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne: +4,13%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
349
678
625
695
729
689
701
693
652
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
686
693
718
650
640
595
630
551
571
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
543
523
508
410
394
395
387
399
425
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
439
509
558
731
864
1 012
1 277
1 410
1 453
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
1 544
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
Pompignan fait partie de l'académie de Toulouse.
L'éducation est assurée sur la commune par une école primaire[46].
Santé
Médecins, cabinet dentaire, cabinet de podologie, cabinet infirmier[47].
Culture et festivité
Danse, arts plastiques,
Sports
Football, pétanque,
Écologie et recyclage
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 566 ménages fiscaux[Note 13], regroupant 1 493 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 920 €[I 8] (20 140 € dans le département[I 9]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 940 personnes, parmi lesquelles on compte 79,9% d'actifs (72,2% ayant un emploi et 7,8% de chômeurs) et 20,1% d'inactifs[Note 14],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 13]. Elle compte 188 emplois en 2018, contre 165 en 2013 et 158 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 684, soit un indicateur de concentration d'emploi de 27,5% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 66,2%[I 14].
Sur ces 684 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 94 travaillent dans la commune, soit 14% des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 88,6% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,5% les transports en commun, 3% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,9% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
104 établissements[Note 15] sont implantés à Pompignan au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 16],[I 17].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
104
100%
(100%)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
6
5,8%
(9,6%)
Construction
19
18,3%
(14,9%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
32
30,8%
(29,7%)
Information et communication
3
2,9%
(1,9%)
Activités financières et d'assurance
3
2,9%
(3,4%)
Activités immobilières
5
4,8%
(3,3%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
17
16,3%
(14,1%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
10
9,6%
(13,6%)
Autres activités de services
9
8,7%
(9,3%)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,8 % du nombre total d'établissements de la commune (32 sur les 104 entreprises implantées à Pompignan), contre 29,7% au niveau départemental[I 18].
Entreprises et commerces
Les quatre entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[48]:
Loccas'pro, commerce de gros (commerce interentreprises) de fournitures et équipements divers pour le commerce et les services (1 517 k€)
SARL Lili Rose, commerce de gros (commerce interentreprises) de boissons (121 k€)
Equilivie, activités de santé humaine non classées ailleurs (42 k€)
SARL Ritay, location de logements (26 k€)
Agriculture
La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole située dans le sud-est du département de Tarn-et-Garonne[49]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est la viticulture[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 22 lors du recensement agricole de 1988[Note 19] à 17 en 2000 puis à 13 en 2010[51] et enfin à 11 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 50% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57% de ses exploitations[52],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 573ha en 1988 à 401ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 26 à 36 ha[51].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Château des marquis de Pompignan inscrit aux monuments historiques le [53],[54]. Le château a appartenu au XVIIIesiècle à l'homme de lettres Jean-Jacques Lefranc de Pompignan. Dans le parc, à l'arrière du château, se trouvait un parc à fabriques dont il reste quelques vestiges d'éléments d'architecture (tombe gauloise, tombeau égyptien, tombeau antique, colonne).
Église Saint-Grégoire de Pompignan. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[55]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[55]. Sa construction a commencé en 1844. Sa bénédiction de consécration a été donnée par Mgr Jean-Marie Doney, évêque de Montauban, le . La voûte de la nef et la flèche du clocher n'ont été terminées qu'en 1893. Le , lors d’un concert de musique classique, le toit de l’église s’est effondré, faisant plusieurs morts. Une plaque commémorative est placée à l'entrée de l'église.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[10].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[36].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[50].
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Roger de Figuères, Les noms révolutionnaires des communes de France: listes par départements et liste générale alphabétique, Paris, Société de l'histoire de la Révolution française, (BNF35460306), p.67
Carte IGN sous Géoportail
Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Yves et Marie-Françoise Cranga, Le parc à fabriques du château de Pompignan: une illustration de l’art des jardins dans le Midi de la France, p.179-201, dans Mémoires de la Société archéologique du Midi de la France, 2004, tome 64 (lire en ligne)
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