Ses habitants sont les Ploubezriens ([plubeʁjεn]).
Géographie
Situation
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La commune, relativement étendue, possédait une gare au lieu-dit Kerauzern, fermée en 1993.
Article détaillé: Gare de Kerauzern.
Communes limitrophes de Ploubezre
Ploulec'h
Lannion
Ploumilliau
Tonquédec
Plouaret
Le Vieux-Marché
Pluzunet
Cadre géologique
Carte géologique du Massif armoricain, avec au nord-est le batholite mancellien et ses nombreux plutons de granite cadomien (Trégor, Lanhélin, Louvigné, Vire, Avranches…). Ce batholite dessine une ellipse de 150 km (d'Alençon à la Rance) sur 90 km (de Vitré à Vire)[1].
Ploubezre est localisée à l'extrémité occidentale du domaine nord armoricain, dans le Massif armoricain qui est le résultat de trois chaînes de montagne successives. Le site géologique de Ploubezre se situe plus précisément au sud d'un bassin sédimentaire essentiellement briovérien et d'un important massif granitique cadomien, le batholite nord-trégorrois. Ce pluton fait partie d'un ensemble plus vaste, le batholite mancellien[2],[3].
L'histoire géologique de la région est marquée par la chaîne cadomienne. À la fin du Précambrien supérieur, les sédiments briovériens environnants sont fortement déformés, plissés et métamorphisés par le cycle cadomien, formant essentiellement des schistes[4]. Cette chaîne montagneuse, qui devait culminer à environ 4 000 m, donne naissance à des massifs granitiques (dont le batholite côtier nord-trégorrois associé à un volcanisme d'arc insulaire et daté à 615 Ma)[5],[6].
Dans le domaine continental, l'épaississement consécutif à l'orogenèse cadomienne, provoque la fusion crustale à l'origine de la mise en place des dômes anatectiques (migmatites de Guingamp et Saint-Malo à l'est de Plouaret) qui est datée entre 560 et 540 Ma[7].
L'orogenèse hercynienne s'accompagne d'un métamorphisme et d'un magmatisme qui se manifeste par un important plutonisme: le chapelet nord de granites rouges tardifs (ceinture batholitique de granites individualisée pour la première fois par le géologue Charles Barrois en 1909[8], formant de Flamanville à Ouessant un alignement de direction cadomienne, contrôlé par les grands accidents directionnels WSW-ENE, datés de 300 Ma, correspond à un magmatisme permien[9]. Ploubezre est située bordure septentrionale du massif granitique de Plouaret qui est lié au fonctionnement du cisaillement nord-armoricain, fait partie de ce chapelet[10].
Le relief de la commune est ainsi caractérisé par des plateaux accidentés de cuvettes humides qui dérivent de la surface d'érosion éocène qui se retrouve sur ce massif granitique et tout le long de la côte bretonne[11]. De ces plateaux se détachent une série de crêtes et de buttes alignées sur 9km d'Ouest en Est, entre Plouaret et Caouënnec-Lanvézéac. Il s'agit de bancs de quartzite paléozoïques très résistants. La majorité de ces crêtes culminant entre 100 et 110 m, sont des butte-témoins de la surface éocène sont des témoins de la surface éocène[12].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[14].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[13]
Moyenne annuelle de température: 11,2°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 0,6 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 0,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[17] complétée par des études régionales[18] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Lannion_aero», sur la commune de Lannion, mise en service en 1993[19] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[20],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,5°C et la hauteur de précipitations de 945 mm pour la période 1981-2010[21].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], «Saint-Brieuc», sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à 48 km[22], la température moyenne annuelle évolue de 11°C pour la période 1971-2000[23] à 11,2°C pour 1981-2010[24], puis à 11,4°C pour 1991-2020[25].
Urbanisme
Typologie
Ploubezre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[26],[27],[28].
Elle appartient à l'unité urbaine de Lannion, une agglomération intra-départementale regroupant 11 communes[29] et 46 701 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[30],[31].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannion, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 40 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[32],[33].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,2% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (55,3%), terres arables (22,5%), forêts (14,6%), zones urbanisées (5,2%), prairies (2,4%)[34].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[35].
Toponymie
L'office de la langue bretonne a relevé les formes écrites à plusieurs époques[36]. Dans les textes en latin, les formes Plebis Petri et Plebe Petri sont attestées au XIVesiècle, puis Ploeebre en 1404, Ploeberre en 1426, Plobezre en 1516, Plou Berre en 1630 et Plou-Pezr en 1636.
Il s'agit d'un composé de Plou (paroisse) et de Pêr (Pierre en français), soit la «paroisse de Pierre», ce qui est également le sens des traductions latines. Le prénom breton Per était écrit Pezr en moyen-breton, avant que le /z/ ne cesse d'être prononcé puis d'être écrit dans l'évolution finale du moyen-breton. La mutation P/B était parfois écrite, parfois non, d'où les formes en B- et en P-. C'est pourquoi l'église est dédiée à Saint-Pierre.
Histoire
Préhistoire et Antiquité
La présence humaine sur le territoire de la commune est attestée depuis le Néolithique comme en témoigne quelques outils lithiques retrouvés (haches en pierre polie) et le menhir du Rhun, parfois mentionné sous le nom d' «Ar Min Sul».
Au Run se trouvent des vestiges d'un tumulus, un cimetière datant de la même époque est également présent à Keryanouen, les différentes fouilles effectuées ont permis de constater qu'il fut utilisé à l'époque romaine.
Des haches en bronze ont été découvertes sur la commune. Une stèle signale également la période gauloise. Les différentes fouilles effectuées à Runfao ont permis de découvrir, dans la basse-cour du château, des tuiles, des briques et des restes de construction, ce qui atteste la présence d'une occupation romaine.
Moyen-Âge
En 1330, apparaît la première mention de Ploubezre, des traces de cet écrit figurent dans le procès de canonisation de saint Yves, Ploubezre a alors pour nom de Plebis Petri (pour paroisse de Pierre).
Au Moyen Âge, s'élèvent à Ploubezre des mottes féodales, Kerhervé, des châteaux, notamment ceux de Coatfrec et Runfao. Ces deux châteaux sont les plus puissants de la paroisse.
Le , le seigneur de Coëtfrec, Guillaume de Penhoët, reçoit le titre de banneret du duc de Bretagne, ce qui valut à la terre de ce nom le titre de baronnie.
Plusieurs manoirs viennent couvrir le sol de la commune, ils affichent la richesse des seigneurs locaux durant le XVesiècle.
Époque moderne
Le commencent l'édification du clocher-mur de l'église Saint-Pierre et Saint-Paul (inscription sur le porche).
«Le troisième et septième jours de fut brûlée et ravagée la paroisse de Plestin par ceux du parti du roi. Et au réciproque le 21 du même mois de fut pareillement brûlée et ravagée la paroisse de Plouaret, Ploubezre et la ville de Lannion par ceux qui tenaient le parti du duc de Mercœur» a écrit le curé de Lanvellec[37]. En 1592, le chef de guerre de la Fontenelle, tristement célèbre pour ses méfaits, occupe le château de Coatfrec (Coëtfrec) en 1592 au nom du duc de Mercœur suivant mandement donné à Nantes le . Il s'y fortifie et dirige des incursions sur les environs. Il en est chassé par Sourdéac, gouverneur de Brest, au printemps 1593. Vers 1600, le château de Coëtfrec, qui avait servi de repaire aux Ligueurs pendant la guerre précédente, est démantelé sur ordre de Henri IV.
À partir du XVIIesiècle, la noblesse préfère résider à Lannion, et de ce fait Ploubezre vit dans l'orbite de Lannion qui se développe de plus en plus.
Le XIXesiècle
En 1817, le clocher de l'église est frappé par la foudre.; le , le clocher est foudroyé une seconde fois.
Le , Ploubezre cède le hameau de Keranstivel et le moulin de Rosalic au profit de Lannion.
Le XXesiècle
La 1ère Guerre Mondiale
Le Monument aux Morts fait état de 136 soldats Morts pour la France. Parmi eux, 3 ont péri en mer[38].
La 2ème Guerre mondiale
Entre 1939 et 1945, 25 soldats sont Morts pour la France, dont 2 qui ont péri en mer[38].
Le , une patrouille allemande ayant été attaquée par des résistants entre le bourg de Ploubezre et la gare de Kerauzern, de nombreuses arrestations eurent lieu dans le bourg de Ploubezre et les soldats allemands firent sauter à la dynamite une usine de teillage de lin, une ferme et trois maisons[39].
Le , des maquisards font sauter un pont de chemin de fer sur la commune.
Vers 1950, la chapelle Saint-Guirec, qui datait de 1698, est démolie.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].
En 2019, la commune comptait 3 687 habitants[Note 9], en augmentation de 2,19% par rapport à 2013 (Côtes-d'Armor: +0,59%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
2 925
2 806
2 983
3 091
3 582
3 320
3 346
3 487
3 393
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
3 490
3 396
3 394
3 358
3 302
3 233
3 129
3 054
2 905
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
2 983
2 950
2 900
2 685
2 608
2 512
2 325
2 149
2 128
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
2 052
1 934
2 196
2 652
2 709
2 624
2 855
2 922
3 376
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
3 565
3 687
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 dans les Côtes-d'Armor.
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Le maire, Jean-Yves Menou, a signé la charte «Ya d'ar brezhoneg», visant à promouvoir le breton au sein de la commune, le .
La filière bilingue breton-français a fonctionné à Ploubezre jusqu'à la fermeture en 2011 de l'école privée Saint-Louis qui dispensait cet enseignement. En septembre 2020, une filière bilingue breton-français a été mise en place, à l’école maternelle publique de Ploubezre. [47]
Sites et monuments
Manoirs et châteaux
Château de Coatilliau, propriété de la famille Kergariou du XVIIeauXXesiècle.
Château de Kergrist, XVesiècle, visitable de Pâques à septembre, inscrit au titre des monuments historiques[48].
Château de Coatfrec, XVesiècle, en ruines, inscrit au titre des monuments historiques[49].
Manoir de Kerauzern, XVesiècle, inscrit au titre des monuments historiques[50].
Manoir de Kerguéréon, ancienne résidence de la famille de Kermel, hérité par la famille de Méric de Bellefon[51].
L'église Saint-Pierre et le cimetière de Ploubezre, classés au titre des Monuments historiques[53].
Chapelle de Kerfons en Kerfaouës, XVe-XVIesiècle, visitable du au , classée au titre des Monuments historiques[54], célèbre pour son jubé et son retable baroque.
Chapelle Saint-Fiacre de Runefao, privée, inscrite au titre des Monuments historiques[55].
Chapelle Sainte-Thècle, située à Keriel près du Léguer.
Chapelle de Kerauzern.
Autres
Les cinq croix (Ar Pemp Kroaz) au carrefour de la route de Tonquedec où se trouve la chapelle de Kerfons, inscrites au titre des Monuments historiques[56].
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[15].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[16].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
De Mancellia, nom latin de la région du Maine, domaine structural de la partie nord-est du Massif armoricain dénommé en 1949 par le géologue Pierre Pruvost. Il est caractérisé par un Précambrien récent au sein duquel se sont mis en place des granitoïdes intrusifs antérieurement au dépôt des terrains paléozoïques; ce domaine surélevé a été épargné par les transgressions marines du Cambrien.
Géologie de la France, éditions du BRGM, , p.11.
François de Beaulieu, La Bretagne. La géologie, les milieux, la faune, la flore, les hommes, Delachaux et Niestlé, , p.15.
(en) Richard Simon D'Lemos, The Cadomian Orogeny, Geological Society Publishing House, , p.128.
Hubert Lardeux et Claude Audren, Bretagne, Masson, , p.30.
C. Barrois, Carte géologique à 1/80000, feuille Lannion (1reédit.), 1909.
Louis Chauris, «Le granite porphyroïde de Porzpaul dans l'île d'Ouessant: un nouvel élément dans la ceinture des «granites rouges» du Massif armoricain (France)», Comptes Rendus de l'Académie des Sciences, Paris, iI, t.313, , p.245-250.
CHAURIS L., GARREAU J. (1983a) - Un pluton polyphasé dans la ceinture batholitique hercynienne médio-armoricaine: le massif de Plouaret (Côtes-du-Nord, France). C.R. Acad. Sci. Paris, 296, p. 1591-1594
Chantraine, op. cit., p. 91
Chantraine, op. cit., p. 93
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Jean Rohou, "Catholiques et Bretons toujours? (essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne)", éditions Dialogues, Brest, 2012, (ISBN978-2-918135-37-1).
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