Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[2].
Relief
Large plaine à l'ouest et au sud.
À l'est, de plus rares plaines entourées de plusieurs collines (monts de Vaucluse).
Climatologie
La commune, située dans la zone d'influence du climat méditerranéen, est soumise à un rythme à quatre temps: deux saisons sèches, dont une brève en fin d'hiver, une très longue et accentuée en été; deux saisons pluvieuses, en automne, avec des pluies abondantes sinon torrentielles, et au printemps. Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d’épisodes orageux parfois violents. Les hivers sont doux. Les précipitations sont peu fréquentes et la neige rare[3].
L'intersection du 44e parallèle nord et du 5e méridien à l'est de Greenwich se trouve sur le territoire de la commune (Pour approfondir le Degree Confluence Project).
Urbanisme
Typologie
Pernes-les-Fontaines est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].
Elle appartient à l'unité urbaine d'Avignon, une agglomération inter-régionale regroupant 59 communes[7] et 455 711 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8],[9].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Avignon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,5% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (62,6%), terres arables (16,7%), zones urbanisées (11,2%), forêts (4,9%), cultures permanentes (3,2%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6%)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].
Toponymie
L'empreinte du passé gallo-romain de la ville est tout d’abord dans l'étymologie de son nom, celui d'un propriétaire de domaine, Paternus, que l’on trouva longtemps dans la désignation de la ville et de son emplacement. On a également retrouvé un dépôt de dolia d'époque augustéenne[14].
La première citation de Pernes date de 994, le site est alors qualifié de Paternis villa. À l’époque, Pernes est un habitat de plaine, près d’une église. Durant le XIesiècle, Pernes transite de la plaine vers la butte de la rive gauche de la Nesque. Apparaît alors un groupe de maisons fortifiées dont le nom devient Paternensis castri. Quelques siècles plus tard, Paternae devient Pernes, avant que le , le nom définitif de «Pernes-les-Fontaines» ne soit adopté.
Histoire
Sous la suzeraineté des comtes de Toulouse, Pernes devint la capitale du Comtat Venaissin de 1125 à 1320. En effet, quand ceux-ci redevinrent maîtres du Comtat, ils y affirmèrent leur autorité en y installant des représentants dans la cité de Pernes qui devint ainsi Capitale du Comtat Venaissin.
Aux XIIeetXIIIesiècles, l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possédait le prieuré Saint-Barthélemy de Carausac[15].
Un sceau aux armes a été retrouvé en 1993 sur la commune. Une face comporte la croix de Toulouse tandis que sur l'autre on peut distinguer très nettement le «VII» au milieu d’autres lettres et chiffres romains. Ce sceau de plomb aurait servi à sceller les actes des comtes de Toulouse. Par la suite, la fille de Raymond VII, Jeanne, devenue souveraine, allait donner un nouvel éclat à Pernes en épousant Alphonse de Poitiers, frère de Saint Louis.
Charles IV, troisième fils de Philippe le Bel, après la mort de son frère Philippe, est couronné à Reims par l’archevêque Raymond de Courtenay, le . Considérant que son Trésor est par trop vide, il n’hésite pas à poursuivre la politique de son père et fait expulser les juifs de France afin de récupérer leurs biens. Jean XXII trouve la mesure excellente et, pour ne pas être en reste, il fait de même avec les juifs d’Avignon et du Comtat Venaissin qui se réfugient en Dauphiné et en Savoie. Pour parfaire l'expulsion, le pape juge utile et nécessaire de faire jeter à bas la synagogue de Pernes ainsi que celles de Bédarrides, Bollène, Carpentras, Malaucène, Le Thor et Monteux. Ce fut la seconde expulsion des juifs du Comtat[16],[17]. La première avait été décidée le , par Mathias de Chiéti – dit Matthieu de Chéate – recteur du Comtat Venaissin, qui les accusait de pratiquer l’usure.
Après les guerres de Religion, Pernes fut frappée par plusieurs épidémies au cours des XVIeetXVIIesiècles. Certaines archives mentionnent, par exemple 2 500 victimes en la seule année de 1580.
La peste noire
En 1720, la peste commence à remonter de Marseille à travers toute la Provence. La ville prend toutes les précautions possibles en participant, comme toutes les communes de la région, à la construction du «mur de la peste». Il s'agit d'une muraille en pierre sèche qui n’empêchera malheureusement pas le fléau de se répandre. Le mal contagieux commence alors à atteindre les campagnes. En réaction, on décide d’approvisionner la ville de manière à tenir le plus longtemps possible.
Toutes les portes des remparts sont fermées sauf la porte Notre-Dame qui sera néanmoins solidement gardée. Enfin, on met en place des lieux de quarantaine tels que la «grange de l'Espérance». Grâce à toutes ces dispositions, le registre paroissial dénombre seulement 122 décès en 1721 alors que d’autres villes perdent quasiment le quart de leurs habitants.
L'épidémie prend fin en 1723 et, en remerciement à Saint-Roch, les Pernois restaurent la chapelle du saint patron des pestiférés. Aujourd’hui encore, la tradition du culte du saint se perpétue chaque année, le dimanche qui suit le .
Politique et administration
L'adjonction de l'élément qualificatif -les-Fontaines date d'un arrêté du . Pernes a, en effet, compté jusqu'à une centaine de fontaines, ce qui justifie ce nom distinctif. Il en reste aujourd'hui «seulement» 40, car la source ne suffisait plus à les alimenter toutes.
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2020 dans le Vaucluse.
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Notaire, fondateur et directeur du canal de Carpentras Conseiller général du canton de Pernes-les-Fontaines (1846 → 1870) Chevalier de la Légion d'honneur
Fonctionnaire territorial, ancien premier adjoint Vice-président de la CC Les Sorgues du Comtat
Les données manquantes sont à compléter.
Intercommunalité
La commune de Pernes-les-Fontaines fait partie de la Communauté de communes Les Sorgues du Comtat avec deux autres communes: Monteux et Althen-des-Paluds. Elle a été créée le . Deux autres communes rejoignent l'intercommunalité le : Sorgues et Bedarrides[21].
La communauté de communes fait partie de plusieurs syndicats mixtes:
Syndicat mixte ITER Vaucluse;
Syndicat mixte intercommunautaire pour l'étude, la construction et l'exploitation d'unités de traitement des ordures ménagères de la région de Cavaillon (Sieceutom);
Syndicat mixte pour la création et le suivi du schéma de cohérence territoriale (SCOT) du sud Luberon.
Politique environnementale
La collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés se fait dans le cadre de la Communauté de communes Les Sorgues du Comtat et du Syndicat mixte intercommunnal pour l'étude, la construction et l'exploitation d'unités de traitement des ordures ménagères de la région de Cavaillon.
Stations d'épuration:
Hameau des Valayans, 600 équivalent habitants[22];
La ville est classée: Ville et Métiers d'Art, Plus beaux détours de France, Ville fleurie 3 fleurs, Ville et vélo touristique, APIcité 3 abeilles.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10000habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8% de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[24],[Note 3]
En 2019, la commune comptait 10 170 habitants[Note 4], en augmentation de 0,48% par rapport à 2013 (Vaucluse: +2,09%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
3 480
3 621
3 869
4 186
4 593
4 796
4 997
5 199
5 420
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
5 131
5 278
5 084
4 718
4 551
4 162
3 992
3 806
3 790
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
3 880
3 974
3 930
3 654
3 607
3 708
3 795
3 979
4 268
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
4 860
5 560
6 088
6 961
8 304
10 170
10 410
10 496
9 286
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
10 170
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
La commune bénéficie de six écoles, d'un collège et d'une école intercommunale:
école Jean Moulin (primaire et maternelle);
école primaire Marie Mauron;
école Privée Saint Joseph (primaire et maternelle);
école Louis Giraud (primaire et maternelle);
école des Valayans (primaire et maternelle);
collège Charles Doche.
Sports
Pernes-les-Fontaines possède aussi de nombreux équipements sportifs dont le complexe Paul de Vivie (gymnase, stade, piscine, tennis, etc.), un circuit de moto-cross et plusieurs clubs sportifs et associations (rugby avec la nouvelle titularisation du seconde ligne Mr Rame descendant de gustave rame qui a donné son nom au stade , football, tennis, tennis de table, vélo, sports aériens, etc.)
Pernes-les-Fontaines est une des deux dernières villes du Vaucluse où se pratiquent les courses camarguaises dans les arènes[27].
Santé
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Cultes
Culte catholique, Paroisse de Pernes les Fontaines, Doyenné: Carpentras, Diocèse d'Avignon[28].
Église protestante à Pernes-les-Fontaines, allée des Alpilles [29].
Économie
Entreprises et commerces
Agriculture
Sur la commune, plus de 200 exploitations agricoles, 4 Zones d'Activités Commerciales (ZAC) sur environ 20 hectares, plus de 300 sociétés de commerces, industries et services, 250 artisans et environ 150 associations[30].
Agriculture: Très tôt dans son histoire (Romain / Paternus) le secteur fut utilisé pour l'agriculture. Des terres faciles à travailler (par rapport aux monts de Vaucluse plus «calcaires») et une certaine abondance de l'eau y ont contribué. «Terroir de la cerise», il y est cultivé aussi de la fraise, de la vigne, des oliviers, etc.
Tourisme: Un patrimoine riche et un emplacement «facile à joindre» ont permis le développement du tourisme. 4 hôtels, nombreux restaurants, chambres d'hôtes, camping et gîtes.
Commerces
La petite ville possède tous les commerces sur place + un supermarché et quelques GSS malgré sa proximité des villes de Carpentras, Avignon ou l'Isle-sur-la-Sorgue.
Marché provençal le samedi et brocante le mercredi.
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 30 058 €, ce qui plaçait Pernes-les-Fontaines au 13 933e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[32].
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[34]:
total des produits de fonctionnement: 11 128 000 €, soit 1 070 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 10 323 000 €, soit 992 € par habitant;
total des ressources d'investissement: 3 193 000 €, soit 307 € par habitant;
total des emplois d'investissement: 2 251 000 €, soit 216 € par habitant;
endettement: 7 481 000 €, soit 719 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d'habitation: 16,75%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 21,00%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 48,00%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 0,00%;
cotisation foncière des entreprises: 0,00%.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014: médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation: 20 583 €[35].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Notre-Dame-de-Nazareth.
Église des Augustins, désaffectée et transformée depuis 1987 en Centre culturel.
La Porte Notre-Dame au pied de laquelle coule la Nesque.
Autre vue de la Porte Notre-Dame.
Portes de l'Hôtel de Vichet.
Fontaine du Cormoran, halle couverte et tour de l'horloge.
Vue de l'intérieur de la halle couverte du XVIIesiècle.
Partie supérieure de la Fontaine du Cormoran.
Au total, plus de 22 sites inscrits ou classés «Monuments historiques», 40 fontaines publiques (dont 8 inscrites) et davantage encore appartenant à des particuliers, 13 chapelles, 7 jardins et 3 musées.
Sites inscrits
Article détaillé: Liste des monuments historiques de Pernes-les-Fontaines.
L'église Notre-Dame-de-l'Immaculée-Conception des Valayans[38].
La tour Ferrande[39] (XIIIesiècle) et la tour rectangulaire de l'Horloge[40] (donjon du XIIesiècle de l'ancien château des comtes de Toulouse avec horloge (1486) et campanile (1764).
La porte Saint-Gilles[41] du XIVesiècle et la porte de Villeneuve (1550)[42].
Ancien hôtel de Cheylus[49]; principale et bains rituels juifs[50].
8 fontaines («fontaine des Augustins»[51], «fontaine du Gigot» de 1760[52], «fontaine de l'Hôtel-de-ville» du XVIesiècle[53], «fontaine du cours de la République», «fontaine du Portail-Neuf»[54] de 1775[55], «fontaine Reboul»[56] de 1694[57], «fontaine du Cormoran» de 1761[58], «fontaine du Bourg Merdeux»[59], «fontaine de l'Hôpital» [60],[61], «fontaine de l’Ange» de 1750[62], «fontaine du Pélican»[63].
Les chapelles de Notre-Dame-de-la-Rose (XVIIesiècle) et de Saint-Roch[64] (XVIIeetXVIIIesiècles).
Esprit Antoine Blanchard (1696 à Pernes-les-Fontaines - 1770), maître de musique, puis de chapelle. Anobli par Louis XV en 1764.
La famille de Brancas. Plusieurs générations dont:
Jean-Baptiste Antoine de Brancas (1693-1770), Archevêque d'Aix-en-Provence (1729-1770).
Louis Toussaint de Brancas, Maréchal de France, Grand d’Espagne et chevalier de la Toison d’Or.
Hippolyte Louis Joseph Olivier de Gérente, ancien député de Vaucluse, né à Pernes-les-Fontaines en 1782.
Louis Giraud est né, a vécu et est mort à Pernes-les-Fontaines (1805-1883), fondateur du Canal de Carpentras.
Charles Giraud (1802-1885), célèbre juriste, frère de Louis Giraud.
Malachie Frizet (1849-1909), poète (auteur de Prouvençau e Catouli) et journaliste.
Paul de Vivie (1853-1930), inventeur du cyclotourisme.
Léon Ayme (1903-1980), député de Vaucluse, décédé à Pernes-les-Fontaines.
Felipe Maeztu (1905-1958), officier français de la Légion étrangère, compagnon de la Libération, y est mort.
Daniel Sorano (1920-1962), acteur de théâtre et de cinéma. Sa femme Suzanne Deilhes, chanteuse d'opérette.
Jean Ragnotti (1945), pilote automobile.
Richard Descoings ( à Paris - à New York), conseiller d'État, directeur de l'Institut d'études politiques de Paris (IEP) et administrateur de la Fondation nationale des sciences politiques (FNSP).
Yves Vidal (1946 à Pernes-les-Fontaines), homme politique français, député des Bouches-du-Rhône 1988-1993, vice-président de la région PACA 2004-2010 - maire de Grans depuis 1987.
Ahmad Jamal: le pianiste américain y enregistre en 2013 son disque Saturday Morning.
Héraldique
Article détaillé: Armorial des communes de Vaucluse.
D'azur, à un soleil rayonnant d'or, accompagné en pointe d'une perle d'argent[75]
ou
D'azur, à un P d'or entouré de deux branches d'olivier au naturel[76].
Devise: INTER ALIA LUCET DEI GRATIA (je luis entre toutes par la grâce de dieu).
Pour approfondir
Bibliographie
Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, A. Barthélemy, Avignon, , 475p. (ISBN2-903044-27-9)
Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Avignon, Seguin Ainé, , 400p. (lire en ligne)
Jean-Pierre Saltarelli, Les Côtes du Ventoux, origines et originalités d'un terroir de la vallée du Rhône, Le Pontet, A. Barthélemy, Avignon, , 207p. (ISBN2-87923-041-1)
Charles-Laurent Salch, Atlas des villes et villages fortifiés en France, Début du Ve siècle à la fin du XVe siècle, Strasbourg, Editions Publitotal, , 495p. (ISBN2-906700-09-6)
Pernes-les-Fontaines, pp. 179-180 et Carte n°14 Provence-Alpes-Côte d'azur
Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287p. (ISBN978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
Pernes-les-Fontaines, p. 890
Coordination générale: René Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. Rédaction des notices: CRMH: Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie Réol. Direction régionale des antiquités préhistoriques (DRAP): Gérard Sauzade. Direction régionale des antiquités historiques (DRAH): Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-Congés Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la Méditerranée-IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide: Monuments Historiques Provence Alpes Côte d’Azur, Marseille, Direction régionale des affaires culturelles et Conseil régional de Provence – Alpes - Côte d’Azur (Office Régional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198p. (ISBN978-2-906035-00-3 et 2-906035-00-9)
Guide présentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – Côte - d'Azur, avec cartes thématiques (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). Pernes-les-Fontaines, pp. 172-173
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10000habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10000habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, «Liste des établissements religieux relevant de l'abbaye Saint-André du Xe au XIIIesiècle», in Guy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L'abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p. (ISSN1254-9371), (ISBN2-906162-54-X), p.224.
«Un hommage à l’ancien maire Claude Lapeyre», Le Dauphiné libéré, (lire en ligne)
Martine Quinette, «Municipales: Pierre Gabert candidat à sa succession», La Provence, (lire en ligne) «[Pierre Gabert] avait pris la place de Hervé de Chirée en cours de mandature à la suite de sa démission. Entré en politique dès 1983 avec un fauteuil d'adjoint aux écoles et au patrimoine, il devient premier adjoint en 1989, puis maire en 1997»
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