La commune de Pagolle se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 72 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 72 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 17 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2].
La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[2].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[6]:
Musculdy (3,6 km), Juxue (4,7 km), Arhansus (5,2 km), Ordiarp (5,7 km), Lohitzun-Oyhercq (5,9 km), Saint-Just-Ibarre (6,3 km), Ainharp (6,3 km), Uhart-Mixe (6,6 km).
Sur le plan historique et culturel, Pagolle fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[9],[10]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[11]. Elle se divise en Haute-Soule, Basse-Soule et Arbaille, dont fait partie la commune.
La commune est drainée par Ispatchoury erreka, Larramendiko erreka et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[13],[Carte 1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[15].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[14]
Moyenne annuelle de température: 13,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 6,2 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[17] complétée par des études régionales[18] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Aicirits», sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[19] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[20],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 14,1°C et la hauteur de précipitations de 1 216,7 mm pour la période 1981-2010[21].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Pau-Uzein», sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 49 km[22], la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[23], à 13,4°C pour 1981-2010[24], puis à 13,8°C pour 1991-2020[25].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux», constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la «directive Habitats»: «la Bidouze (cours d'eau)»[27], d'une superficie de 2 570ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[28],[Carte 2].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 8] est recensée sur la commune[29],[Carte 3]:
les «landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze» (11 263,46ha), couvrant 25 communes du département[30].
Urbanisme
Typologie
Pagolle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[31],[32],[33].
La commune est en outre hors attraction des villes[34],[35].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,6% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (59,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (38,8%), forêts (25%), prairies (22,8%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,4%)[36].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Lieux-dits et quartiers
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Voies de communication et transports
Le centre de Pagolle est traversé par la route départementale D 302, route reliant les anciennes routes nationales RN 133 (aujourd'hui D933) et RN 618 (aujourd'hui D 918) entre Uhart-Mixe et Musculdy.On peut également accéder à Pagolle par Juxue.
Pagolle est située à 16km de Saint-Palais et à 14km de Mauléon.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Pagolle est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[37]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[38].
Pagolle est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[39]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[40],[41].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pagolle.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[42]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10],[43].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1990, 2009 et 2014[37].
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Pagolle apparaît[44] sous les formes Grangia de Paguola et Pagaule (respectivement 1178 et XIIIesiècle, collection Duchesne volume CXIV[45]), Nostre-Done de Paguole et Pagola (respectivement vers 1460 et vers 1470, contrats d'Ohix[46]) et Pagole (1479[47]).
Étymologie
Jean-Baptiste Orpustan[47] indique que Pagolle provient de phag(a)-ola, «cabane des hêtres».
Autres toponymes
Le toponyme Mehaltzu apparaît[44] sous la forme Méhalçu (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[44]) et désigne un mont entre les communes de Juxue et de Pagolle.
L'Euskaltzaindia recommande la forme Mehaltzu et il est typographié Mehalçu sur les cartes IGN. On peut trouver également la forme Mehalzu.
Autrefois, Pagolle possédait un prieuré-hôpital dépendant du diocèse d'Oloron. Ce prieuré était desservi par les Prémontrés installé à l'abbaye d'Arthous. Le prieuré de Pagolle avait été offert en 1178 (Grangia de Paguola) par le vicomte de Soule à l'abbaye d'Arthous.
La paroisse de Pagolle dépendait de la déguerie (ou vic) de Peyriède[48] (incluant également Aussurucq, Ordiarp, Musculdy, Garindein et Suhare) dans la messagerie[49] des Arbailles.
À la fin de l'ancien régime en 1790, Pagolle dépendait du canton de Domezain. Le canton, composé de communes souletines, fut ensuite englobé au canton de Saint-Palais en Basse-Navarre
Le , le quartier «Pagolle-Oyhana» est détaché de la commune de Juxue pour être rattaché à Pagolle[50]. La commune, historiquement souletine, se retrouva alors traversée par la frontière historique entre la Basse-Navarre et la Soule. Linguistiquement, le quartier «Pagolle-Oyhana» parlait le bas-navarrais oriental et la commune de Pagolle le souletin[51].
Rattachée à la Basse-Navarre dans les «listes de communes» des provinces basques en circulation au début du XXIesiècle, Pagolle est en réalité une commune traversée par la frontière entre la Soule et la Navarre. La partie occidentale du territoire communal se trouve en effet en Basse-Navarre, mais la partie orientale est souletine, la frontière ayant été précisée définitivement en ce secteur en 1475[52].
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1989
2020
Gabriel Lopépé
Agriculteur
1977
1989
Michel Etcheber
Agriculteur
1971
1977
Raymond Urrutiaguer
1959
1971
Jean-Pierre Çaldumbide
1935
1959
Pierre Urrutiaguer
1908
1935
Arnaud Çaldumbide
1891
1908
Jean Casenave
1881
1884
Pierre Barreix
1874
1881
Pierre Eraçarret
Laboureur
1847
1874
Pierre Laco
1835
1847
Jacques Elischondo
1832
1835
Joseph Etcheberry
1820
1832
Jean Sallaberry
1801
1820
Jean Recart
1799
1801
Dominique Etcheberry
1798
1799
Bertrand Aguer
1796
1798
Arnaud Etchegoyhen
1795
1796
Jean Astaillon
1792
1796
Jean Recart
Intercommunalité
Pagolle appartient à cinq structures intercommunales[53]:
la communauté d'agglomération du Pays Basque;
le syndicat AEP du pays de Soule;
le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques;
le syndicat intercommunal pour le fonctionnement des écoles d'Amikuze;
le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.
Pastoralisme
De par son histoire, Pagolle a la particularité d'appartenir à deux commissions syndicales[54]:
la commission syndicale de l'Oztibarre;
la commission syndicale du pays de Soule.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[56].
En 2019, la commune comptait 261 habitants[Note 11], en diminution de 8,1% par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques: +2,8%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
210
195
255
226
598
565
600
501
542
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
454
443
443
461
471
436
431
405
409
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
440
401
404
402
436
449
394
378
371
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
360
317
316
289
267
254
262
263
279
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
261
261
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[57] puis Insee à partir de 2006[58].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Pagolle est un village essentiellement agricole. L'activité principale est l'élevage extensif de brebis laitières (races locales manex et basco-béarnaises) dont le lait est destiné à la confection de l'Ossau-iraty, Pagolle étant située dans la zone de l'AOC. Outre la production laitière, la vente d'agneaux (viandes) est également un débouché. On trouve également quelques élevages bovins (viandes). Les élevages bovins laitiers et les élevages de moutons destinés à la boucherie ont quasiment disparu.
Culture locale et patrimoine
Le Mehalzu (648 mètres).
Pagolle a organisé la pastorale souletine en 1982 (titre: Pette Basabürü écrit par le père Junes Casenave).
Festivités
Fêtes le dernier week-end de septembre ou le premier week-end d'octobre.
Historiquement, les fêtes se déroulaient le dimanche suivant l'Assomption.
Patrimoine civil
Un gaztelu zahar est situé, au lieu-dit Mehaltzu, à 648 mètres d'altitude.
Patrimoine religieux
L'église de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie[59] date de la fin du Moyen Âge et a été rebâtie en 1893.
Personnalités liées à la commune
Juan María Bordaberry, né à Montevideo le , et décédé dans cette même ville le , homme d'état Uruguayen. Il fut président de l'Uruguay entre le et le , puis demeura chef de l'État à la suite du coup d'État, et devint ainsi le premier dictateur du pays, jusqu'en 1976. Son grand-père Jacques dit Santiago Bordaberry (1844-1926) était natif de Pagolle.
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français: le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[16].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[26].
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208p. (BNF31182570, lire en ligne)..
Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
Contrats retenus par Ohix, notaire de Soule - Manuscrit du XVesiècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque: noms des pays, vallées, communes et hameaux (monographie), Pessac, Presses universitaires de Bordeaux, coll.«Centre d'études linguistiques et littéraires basques», [éd. revue et corrigée] (1reéd. ), 244p., 21 cm (ISBN2867813964 et 9782867813962, OCLC72757865, BNF40190262, présentation en ligne).
Arturo Campion, l'un des pères du nationalisme basque et linguiste, dresse une liste des villages en fonction des formes dialectales parlées se basant notamment sur les travaux de Louis-Lucien Bonaparte dans l'article Geografía linguística del euskara dans la "Revista Euskara" entre 1878 et 1883
Eugène Goyheneche, Le Pays Basque, Société nouvelle d'éditions régionales et de diffusion, Pau, 1979
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