Mérens-les-Vals est une commune française, située dans le sud-est du département de l'Ariège en région Occitanie. Elle a donné son nom à une race de chevaux. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du pays du Sabarthès, structuré par la haute vallée de l'Ariège en amont du pays de Foix avec Tarascon-sur-Ariège comme ville principale.
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Mérens-les-Vals | |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Ariège |
Arrondissement | Foix |
Intercommunalité | Communauté de communes de la Haute Ariège |
Maire Mandat |
Jean-Pierre Sicre 2020-2026 |
Code postal | 09110 |
Code commune | 09189 |
Démographie | |
Gentilé | Mérengois |
Population municipale |
168 hab. (2019 ![]() |
Densité | 2,1 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 42° 39′ 32″ nord, 1° 50′ 13″ est |
Altitude | Min. 929 m Max. 2 840 m |
Superficie | 80,12 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Haute-Ariège |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site officiel |
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Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par l'Ariège, le ruisseau des Bésines, le ruisseau du Mourguillou, le ruisseau du Nabre et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de sept zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Mérens-les-Vals est une commune rurale qui compte 168 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 896 habitants en 1806. Ses habitants sont appelés les Merengois ou Merengoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'ancienne église Saint-Pierre de Mérens, classée en 1969.
La commune de Mérens-les-Vals se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie et est frontalière avec l'Espagne (Andorre)[I 1].
Elle se situe à 39 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, et à 7 km d'Ax-les-Thermes[2], bureau centralisateur du canton de Haute-Ariège dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Ax-les-Thermes[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Orgeix (6,2 km), Orlu (6,5 km), Ax-les-Thermes (6,8 km), Ascou (7,3 km), L'Hospitalet-près-l'Andorre (7,9 km), Sorgeat (8,0 km), Savignac-les-Ormeaux (8,1 km), Ignaux (8,2 km).
Sur le plan historique et culturel, Mérens-les-Vals fait partie du pays du Sabarthès, structuré par la haute vallée de l'Ariège en amont du pays de Foix avec Tarascon-sur-Ariège comme ville principale[4].
Savignac-les-Ormeaux, Aston |
Ax-les-Thermes | Orgeix |
Canillo (Andorre) |
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Orlu |
L'Hospitalet-près-l'Andorre | Porté-Puymorens (Pyrénées-Orientales) |
Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes (Pyrénées-Orientales) |
Située dans les Pyrénées, Mérens-les-Vals, comme son nom l'indique, compte plusieurs vallées. En effet, le village s'est implanté au confluent de trois vallées : l'Ariège, le Nabre et le Morgouilliou.
La commune possède une gare, desservie par le train de nuit quotidien reliant Paris-Austerlitz à Latour-de-Carol. Le trajet dure environ 9 heures. Cette gare est reliée à Toulouse en 2 h 15 par six trains quotidiens (ligne Portet-Saint-Simon - Puigcerda).
La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches métamorphiques datant pour certaines du Paléozoïque, une ère géologique qui s'étend de −541 à −252,2 Ma (millions d'années), et pour d'autres du Protérozoïque, le dernier éon du Précambrien sur l’échelle des temps géologiques. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans les feuilles « n°1087 - Vicdessos » et « n°1093 - Fontargente » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[7],[8] et leurs notices associées[9],[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 80,12 km2[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 80,54 km2[8]. Son relief est particulièrement escarpé puisque la dénivelée maximale atteint 1 911 mètres. L'altitude du territoire varie entre 929 m et 2 840 m[14].
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par l'Ariège, le ruisseau des Bésines, le ruisseau du Mourguillou, le ruisseau du Nabre, un bras de l'Ariège, le Crémal, le gargati, le ruisseau Coume Vieille, le ruisseau de Coume d'Agnel, le ruisseau de Coume d'Or, le ruisseau de la Coumette, le ruisseau de la Fuillaterre, le ruisseau de la Gadine, le ruisseau de Larguis, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 73 km de longueur totale[16],[17].
L'Ariège, d'une longueur totale de 162,91 km, prend sa source dans la commune de Porta et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Portet-sur-Garonne, après avoir traversé 56 communes[18].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[20]. À l'est du département, l’influence méditerranéenne accentue les contrastes saisonniers, le climat y est plus sec[21].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[19].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[23] complétée par des études régionales[24],[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ascou Lavail », sur la commune d'Ascou, mise en service en 1959[26] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[27],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 9,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 270,9 mm pour la période 1981-2010[28]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 70 km[29], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[30], à 12,3 °C pour 1981-2010[31], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[32].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[33] :
et deux ZNIEFF de type 2[Note 7],[33] :
Mérens-les-Vals est une commune rurale[Note 8],[41]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2],[42]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (97,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (51 %), forêts (28,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18 %), zones agricoles hétérogènes (1,8 %), zones urbanisées (0,5 %)[43].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 269, alors qu'il était de 253 en 2013 et de 237 en 2008[I 5].
Parmi ces logements, 31,2 % étaient des résidences principales, 67,3 % des résidences secondaires et 1,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 83,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 16,4 % des appartements[I 5].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Mérens-les-Vals en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (67,3 %) supérieure à celle du département (24,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 75 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,3 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 6].
Typologie | Mérens-les-Vals[I 5] | Ariège[I 7] | France entière[I 8] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 31,2 | 65,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 67,3 | 24,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 1,5 | 9,7 | 8,2 |
Le territoire de la commune de Mérens-les-Vals est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier, le risque radon[44],[45].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant[46].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Mérens-les-Vals[47]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[48].
La commune est exposée au risque d'avalanche lié à l’exposition d’habitations[49].
Le risque de transport de matières dangereuses par une infrastructure routière ou ferroviaire ou par une canalisation de transport de gaz concerne la commune. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[50].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Mérens-les-Vals est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[51].
Raimond de Lautrec, évêque de Toulouse, y fonda un monastère de filles de l’ordre cistercien en 1159, sous la dépendance de l’abbaye de Boulbonne.
L'église romane et le village ont été brûlés en par les Miquelets venus d'Espagne, lors de la guerre d'indépendance de l'Espagne.
La commune de Mérens-les-Vals est membre de la communauté de communes de la Haute Ariège[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Luzenac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[52].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Foix, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 9].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Haute-Ariège pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la première circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[53].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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1989 | En cours | Jean-Pierre Sicre | DVG | Employé |
Les données manquantes sont à compléter. |
Au vu de son nombre d'inscrits inférieur à 500, Mérens-les-Vals compte un conseil municipal de 11 membres.
Avec la commune voisine de L'Hospitalet-près-l'Andorre, Mérens-les-Vals a créé le l'association "Que la montagne est rebelle" afin de défendre le maintien des services publics dans les zones de montagne, notamment l'école primaire.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[55].
En 2019, la commune comptait 168 habitants[Note 9], en diminution de 2,33 % par rapport à 2013 (Ariège : +0,39 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Histogramme de l'évolution démographique ![]() |
La population de Mérens-les-Vals atteindra son maximum vers 1806, avec 896 habitants.
En 2018, la commune compte 68 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 137 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 190 €[I 10] (19 820 € dans le département[I 11]).
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
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Commune[I 12] | 3,7 % | 7 % | 6,6 % |
Département[I 13] | 8,9 % | 11,1 % | 11,2 % |
France entière[I 14] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 106 personnes, parmi lesquelles on compte 79,2 % d'actifs (72,6 % ayant un emploi et 6,6 % de chômeurs) et 20,8 % d'inactifs[Note 11],[I 12]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 15]. Elle compte 29 emplois en 2018, contre 23 en 2013 et 23 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 77, soit un indicateur de concentration d'emploi de 37,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,9 %[I 16].
Sur ces 77 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 25 travaillent dans la commune, soit 33 % des habitants[I 17]. Pour se rendre au travail, 83,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3 % les transports en commun, 9,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 18].
11 établissements[Note 12] sont implantés à Mérens-les-Vals au [I 19]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 45,5 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 11 entreprises implantées à Mérens-les-Vals), contre 27,5 % au niveau départemental[I 20].
Mérens est une commune touristique de la Haute Ariège qui bénéficie de sa position sur la RN20 et la voie ferrée.
Une usine d'embouteillage d'eau minérale a été construite sur la commune en 2020 par la Compagnie des Pyrénées pour commercialiser pleinement l'Ö9 - eau neuve en 2021[58]. Elle fournit par exemple officiellement la SNCF en eau minérale embouteillée dans des boîtes en carton[59]. 25 emplois ont été créés. Un embranchement ferroviaire depuis la ligne de Portet-Saint-Simon à Puigcerda (frontière) est à l'étude.
1988 | 2000 | 2010 | |
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Exploitations | 13 | 8 | 5 |
Superficie agricole utilisée (ha) | 256 | 1345 | 477 |
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région pyrénéenne »[60]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la polyculture et le polyélevage[61]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 14] de 2010 (douze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 477 ha[61].
Mérens-les-Vals est un village étape du sentier de grande randonnée 10. De ce fait, la commune est au départ de nombreuses randonnées comme l'étang de Comte très familiale, ou l'étang des Bésines. Gardé à la bonne saison, le refuge des Bésines est situé à environ 300 m à l'est de l'étang. Le GR 10 quitte l'Ariège en franchissant le col de la Coume d'Agnel (2 470 m).
La commune de Mérens-les-Vals possède aussi un camping de 72 emplacements situés à 1100 m d’altitude sur le GR10 et le Chemin des Bonshommes (GR 107).
La fête du village est organisée chaque année autour du .
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Blason | Écartelé : aux 1er et 4e d'or à trois pals de gueules, au 2e d'or au cheval passant et contourné de sable, au 3e d'or à l'église du lieu au naturel, ajourée du champ et posée sur une terrasse isolée de sinople.[65]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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