Monestiés (en occitan Monestièr) est une commune française située dans le département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Ségala, un territoire s'étendant sur les départements du Tarn et de l'Aveyron, constitué de longs plateaux schisteux, morcelés d'étroites vallées.
Monestiés | |
![]() Mairie de Monestiés. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Tarn |
Arrondissement | Albi |
Intercommunalité | Communauté de communes Carmausin-Ségala |
Maire Mandat |
Denis Marty 2020-2026 |
Code postal | 81640 |
Code commune | 81170 |
Démographie | |
Population municipale |
1 358 hab. (2019 ![]() |
Densité | 51 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 04′ 19″ nord, 2° 05′ 52″ est |
Altitude | 200 m Min. 190 m Max. 437 m |
Superficie | 26,83 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Carmaux (banlieue) |
Aire d'attraction | Albi (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Carmaux-2 Vallée du Cérou |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Cérou, le Céret], le ruisseau de Candour, la Zère et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Monestiés est une commune rurale qui compte 1 358 habitants en 2019. Elle est dans l'agglomération de Carmaux et fait partie de l'aire d'attraction d'Albi. Ses habitants sont appelés les Monestiesains ou Monestiesaines.
Monestiés est située à quelques kilomètres de Carmaux près d'Albi dans le département du Tarn. C'était la capitale de la vallée du Cérou sur la ligne de Carmaux à Vindrac en Albigeois.
Le Ségur | Montirat | Trévien |
Salles | ![]() |
Almayrac |
Virac, Labastide-Gabausse |
Combefa | Carmaux, Saint-Benoît-de-Carmaux |
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par le Cérou, le Céret, le ruisseau de Candour, la Zère, le ruisseau de Barret et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[3],[Carte 1].
Le Cérou, d'une longueur totale de 87,1 km, prend sa source dans la commune de Saint-Jean-Delnous et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Aveyron à Varen, après avoir traversé 23 communes[4].
Le Céret], d'une longueur totale de 28,5 km, prend sa source dans la commune de Montauriol et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Cérou au Ségur, après avoir traversé 10 communes[5].
Le ruisseau de Candour, d'une longueur totale de 19,1 km, prend sa source dans la commune de Mirandol-Bourgnounac et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Viaur à Saint-André-de-Najac, après avoir traversé 9 communes[6].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[7].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976[12]et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 730,9 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 17 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,4 °C pour 1981-2010[15] à 13,8 °C pour 1991-2020[16].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[17] : le « bois de St-Hippolyte » (93 ha)[18].
Monestiés est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[I 1],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Carmaux, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[I 2] et 18 170 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Albi dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 5],[I 6].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,7 %), forêts (24,2 %), prairies (23,3 %), terres arables (16,2 %), zones urbanisées (1,3 %), eaux continentales[Note 7] (1,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Le territoire de la commune de Monestiés est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Cérou, le Céret et le ruisseau de Candour. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[24]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 2003, 2011 et 2021[25],[22].
Monestiés est exposée au risque de feu de forêt. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 8],[26].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[27]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 87,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 686 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 665 sont en en aléa moyen ou fort, soit 97 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[30].
La commune est en outre située en aval d'un barrage de classe A[Note 9]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[32].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Monestiés est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[33].
Le toponyme « Monestiés » dérive de l'occitan « Monestier » qui désigne dans cette langue un monastère. Sa forme latinisé « Monasterio » est attestée plusieurs fois au Moyen Âge.
Dans la première moitié du Xe siècle, le lieu de culte et ce qui l’entoure sont donnés à Déodat, abbé de Saint-Salvy, collégiale d’Albi, par Louis IV d’Outremer. Le nom de village Monasterio apparait pour la première fois dans les textes. Il rappelle cette appartenance monastique, peut-être aussi l’existence d’un petit monastère qui aurait pu être construit sur l’ordre de l’abbé pour abriter quelques moines chargés du culte.
L’occupation du site est plus ancienne encore : à 600 mètres du village, un oppidum établi à la confluence du Cérou et du Céret montre qu'à l'âge de fer, des hommes vivaient déjà dans la vallée. Quelques siècles plus tard, ils quitteront les hauteurs pour s'installer sur le site, près de la voie romaine reliant Rodez à Toulouse.
En 1229, à la fin de la croisade des Albigeois, le site devient fief des évêques d'Albi. Un co-seigneur est chargé de sa protection. Contrairement au développement des bastides caractéristiques de cette époque, le village se construit de manière concentrique autour de son église.
Au XIIIe siècle, un hôpital est construit en dehors des fortifications pour abriter les pèlerins de Saint-Jacques, dont une voie secondaire passe par la ville. L'église est reconstruite en 1550 sur un plan gothique, sur les fondations de l'ancienne église romane.
L'essor économique régional du XVIIIe siècle amène le développement du village. Des écrits indiquent qu'il compta jusque 23 marchands et 13 marchés par an. Le village se développe essentiellement autour du tissage du chanvre et du commerce des ânes. À cette époque les douves sont comblées et les remparts détruits pour permettre l'extension du village.
Au XIXe siècle, l'arrivée de cotonnades importées et le développement de la production du charbon dans le bassin de Carmaux vont faire péricliter les tisserands locaux et amener le déclin du village.
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Son blasonnement est : De gueules à la tour accostée de deux étoiles, surmontée de deux clefs passées en sautoir, cantonnées à dextre d'un soleil et à senestre d'une lune, le tout d'argent.
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Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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1974 | mars 1983 | Maurice Martin | ||
mars 1983 | en cours[34] | Denis Marty | PS | Conseiller général (2008-2014) |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].
En 2019, la commune comptait 1 358 habitants[Note 10], en diminution de 4,5 % par rapport à 2013 (Tarn : +2,07 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Histogramme de l'évolution démographique ![]() |
En 2018, la commune compte 557 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 1 207 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 660 €[I 7] (20 400 € dans le département[I 8]).
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 9] | 8,2 % | 5,9 % | 8,4 % |
Département[I 10] | 8,2 % | 9,9 % | 10 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 741 personnes, parmi lesquelles on compte 69,8 % d'actifs (61,4 % ayant un emploi et 8,4 % de chômeurs) et 30,2 % d'inactifs[Note 12],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Albi, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 12]. Elle compte 288 emplois en 2018, contre 312 en 2013 et 271 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 461, soit un indicateur de concentration d'emploi de 62,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 44,1 %[I 13].
Sur ces 461 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 131 travaillent dans la commune, soit 29 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 90,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3 % les transports en commun, 4,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
100 établissements[Note 13] sont implantés à Monestiés au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 16].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
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Nombre | % | % | |
Ensemble | 100 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 12 | 12 % | (13 %) |
Construction | 23 | 23 % | (12,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 20 | 20 % | (26,7 %) |
Activités immobilières | 5 | 5 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 19 | 19 % | (13,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 13 | 13 % | (15,5 %) |
Autres activités de services | 8 | 8 % | (9 %) |
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23 % du nombre total d'établissements de la commune (23 sur les 100 entreprises implantées à Monestiés), contre 12,5 % au niveau départemental[I 17].
L'entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[39] :
La commune est dans le Segala, une petite région agricole située dans le nord-est du département du Tarn. C’est la relative pauvreté du sol de cette région où ne poussait jadis que le seigle qui a donné son nom à cette aire géographique. Situé en moyenne altitude, le Ségala s’étend sur des territoires vallonnés et riches en schiste.[40]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
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Exploitations | 71 | 39 | 25 | 24 |
SAU[Note 16] (ha) | 1 691 | 1 462 | 1 260 | 1 269 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 71 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] à 39 en 2000 puis à 25 en 2010[42] et enfin à 24 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 66 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58 % de ses exploitations[43],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 691 ha en 1988 à 1 269 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 24 à 53 ha[42].
Le village est ceinturé par les lices – promenades occupant l’emplacement des fossés et des anciens remparts – les maisons se tassent autour de l’église Saint-Pierre, dans une boucle de la rivière, sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.
L'église Saint-Pierre de Monestiés, construite en 1550. Elle appartient au groupe des édifices gothiques méridionaux, avec son chevet à cinq pans, trois travées et cinq chapelles latérales entre les contreforts. Elle a été édifiée sur les vestiges d’une église romane qui aurait été détruite lors des guerres de Religion. Flanqué d’une tourelle, le clocher abritant une cloche coulée en 1599, s’élève à 20 mètres. Le clocher et chœur ont été classés au titre des monuments historiques en 1979[45]. L'église (à l'exclusion des parties classées) a été inscrit au titre des monuments historiques en 1979[45]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[45].
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