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Mirabel-et-Blacons est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Mirabel-et-Blacons

Vue du village.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Die
Intercommunalité Communauté de communes du Crestois et du pays de Saillans
Maire
Mandat
Jean-Philippe Roche
2020-2026
Code postal 26400
Code commune 26183
Démographie
Gentilé Mirabeaux
Population
municipale
1 170 hab. (2019 )
Densité 67 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 42′ 41″ nord, 5° 05′ 33″ est
Altitude Min. 197 m
Max. 705 m
Superficie 17,48 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Crest
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Crest
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Mirabel-et-Blacons
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Mirabel-et-Blacons
Géolocalisation sur la carte : France
Mirabel-et-Blacons
Géolocalisation sur la carte : France
Mirabel-et-Blacons

    Elle regroupe deux anciens villages.

    Ses habitants sont dénommés les Blaconnais[1].


    Géographie


    Paysage depuis le vieux village de  Mirabel.
    Paysage depuis le vieux village de Mirabel.

    Localisation


    Mirabel-et-Blacons se situe à six kilomètres de Crest, aux premiers contreforts du massif du Vercors.

    Communes limitrophes de Mirabel-et-Blacons
    Suze
    Montclar-sur-Gervanne
    Véronne
    Aouste-sur-Sye Saillans
    Piégros-la-Clastre Aubenasson

    Géologie et relief


    Le village est installé sur un promontoire marneux.


    Hydrographie


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    Climat


    Article connexe : Climat de la Drôme.

    Voies de communication et transports


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    Urbanisme



    Typologie


    Mirabel-et-Blacons est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Crest, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[5] et 14 301 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Crest dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8],[9].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,6 %), zones agricoles hétérogènes (27,6 %), terres arables (14,7 %), zones urbanisées (2,5 %), prairies (1,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,1 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].


    Morphologie urbaine


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    Hameaux et lieux-dits

    La commune de Mirabel-et-Blacons comprend également le hameau des Berthalais, établi en direction de Beaufort-sur-Gervanne.


    Toponymie



    Attestations


    Mirabel
    Blacons
    Mirabel-et-Blacons

    Étymologie


    Mirabel

    Le toponyme vient de l'occitan et signifierait « qui voit loin » du fait de la position élevée de Mirabel[réf. nécessaire].
    En latin populaire, le verbe regarder se disait « mirare » (d'où le francoprovençal « mira » et le vieux-français « mirer »). Associé à bel, il a donné naissance à ce toponyme[réf. nécessaire].

    Blacons
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    Histoire


    Article connexe : Histoire de la Drôme.

    Préhistoire et protohistoire


    Objets de l'âge du bronze à Boudra : amphores, tessons[13].


    Antiquité : les Gallo-romains


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    Du Moyen Âge à la Révolution


    Mirabel est un village défendu par une muraille, trois tours et le donjon. Ce castrum est signalé pour la première fois en 1165. l'évêque de Die en est le seigneur[14].

    La seigneurie[11] :

    1461 : la commune est rattachée au royaume de France : un châtelain est installé au village. Il assure la police et prélève les impôts royaux[14].

    La Réforme protestante connaît d'importants succès dans la vallée du Rhône. Le seigneur de Mirabel, Claude de Mirabel, se convertit. Il se bat dans les rangs huguenots lors des guerres de Religion.
    En 1574 (), lors du siège de Die par les huguenots, un renfort de troupes catholiques engage la bataille au pont sur la Gervanne. Le capitaine protestant Charles Dupuy de Montbrun y est blessé et fait prisonnier[réf. nécessaire] à Mirabel[13].
    La crainte d'une attaque des catholiques pousse au renforcement des fortifications ; c'est en les inspectant que Claude de Mirabel tombe du chemin de ronde et meurt en 1576[14].
    Le château est détruit par les catholiques[13].

    En 1664, le village compte deux tiers de protestants. Il souffre peu des persécutions qui ont précédé et suivi la révocation de l'édit de Nantes en 1685 : on ne relève ni dragonnades, ni condamnations aux galères. Les « nouveaux convertis », c'est-à-dire les protestants forcés d'abjurer, qui avaient conservé leurs convictions protestantes se rendaient aux assemblées du Désert entre Aouste et Mirabel. Ces assemblées eurent lieu jusqu'à l'édit de tolérance de 1787. Deux frères furent condamnés et emprisonnés à Crest. Le village avait une école et un précepteur de la jeunesse[15].

    L'énergie hydraulique de la Gervanne permet une certaine activité de transformation : plusieurs moulins à farine, deux moulins à huile, des foulons, des fabriques de soie, un four à chaux[15].

    Le marquis de Blacons est député de la noblesse à l'Assemblée de Vizille en 1788[14].

    Avant 1790, Mirabel était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Crest et du bailliage de Die, qui forma pendant longtemps deux paroisses du diocèse de Die : Mirabel et Serreméan. La paroisse de Mirabel, en particulier avait son église sous le vocable de Saint-Marcel et ses dîmes appartenaient à l'évêque de Die, tandis que les dîmes des Barthalais appartenaient au prieur de Serreméan (voir ce nom). Les deux paroisses furent unies au XVIIe siècle[11].


    Les Berthalais

    Hameau de la commune de Mirabel-et-Blacons.


    Serre-Méan

    Ancien prieuré de l'ordre de Saint-Augustin, congrégation de Saint-Ruf, dépendant fort anciennement de l'abbaye de Saint-Martial de Limoges, et dont le titulaire était décimateur dans le quartier des Barthalaix, commune de Mirabel-et-Blacons[17].


    De la Révolution à nos jours


    Mirabel au XIXe siècle illustrée par Alexandre Debelle (1805-1897).
    Mirabel au XIXe siècle illustrée par Alexandre Debelle (1805-1897).
    Blacons au XIXe siècle illustrée par Alexandre Debelle.
    Blacons au XIXe siècle illustrée par Alexandre Debelle.

    En 1790, la commune est comprise dans le canton d'Aouste. La réorganisation de l'an VIII la fait passer dans le canton de Crest-Nord[11].

    Le marquis de Blacons émigre en 1792[14]. Son moulin est déclaré bien national et vendu en 1805 à Paul-René Lombard-Latune, d'une famille de négociants de la vallée de la Drôme, qui y installe une papeterie moderne[15].
    La papeterie Latune se développe et emploie 90 ouvriers en 1843. Plus moderne, elle concurrence les papeteries de Chabeuil et d'Aouste qui ferment. En 1880, elle comptera 300 ouvriers[15].

    Une filature, utilisant elle aussi la force hydraulique de la Gervanne via un canal de dérivation, est reconvertie en usine de fabrication de billes[15]. Aujourd'hui, elle n'est plus en activité et héberge une association qui assure la préservation et la promotion du patrimoine de l'ensemble des anciennes usines à billes du département[réf. nécessaire].

    D'autres usines s'installent sur la rive droite de la Gervanne[15]. Toutes ces activités entraînent la construction d'habitations dans la plaine (autour de la papeterie) afin de loger les ouvriers[15].

    En 1858, un temple protestant est construit dans le village de Mirabel et, en 1860, une nouvelle église à Blacons.

    En 1891, un pont est construit sur la Drôme. Il permet d'atteindre la gare de Piégros-la-Clastre, achevée en 1896, sur la ligne de Die.
    La commune de Mirabel était desservie par la route nationale[18].

    Avec le déclin de l'activité agricole, le village de Mirabel perd progressivement la quasi-totalité de ses habitants, au bénéfice du village de Blacons[18].

    En 1907, le conseil municipal décide de transférer le chef-lieu de la commune au village de Blacons, situé dans la plaine. Une nouvelle mairie-école y est édifiée en 1913-1914, et le siège de la paroisse est déplacée dans la chapelle dite romane[18].

    En 1946, la commune de Mirabel-et-Blacons s'agrandit sur la rive droite de la Gervanne où se trouvent usines et habitations. Cette rive relevait auparavant de la commune d'Aouste-sur-Sye[15].

    En 1974, la dernière habitante du village de Mirabel décède[18]. Un couple y installe une résidence secondaire quelques années plus tard[14].

    Logement Sociaux de Blacons.
    Logement Sociaux de Blacons.

    La fermeture définitive en 1972 laissait à l'abandon un important patrimoine industriel. Jacques Ravel, maire de Mirabel-et-Blacons (de 1972 à 2001) fit acheter par la commune l'ensemble des bâtiments et les réhabilita (de 1986 à 2000) en logements sociaux[réf. nécessaire].


    Politique et administration



    Tendance politique et résultats


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    Administration municipale


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    Liste des maires


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1972 2001 Jacques Ravel    
    avant 2006 2020 Maryline Manen[19] DVG Employée
    2020 En cours Jean-Philippe Roche    

    Rattachements administratifs et électoraux


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    Politique environnementale


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    Finances locales


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    Jumelages


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    Population et société



    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].

    En 2019, la commune comptait 1 170 habitants[Note 3], en augmentation de 21,12 % par rapport à 2013 (Drôme : +4,46 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    296298343392349472486499545
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    495545553593552573585582547
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    551577578509502505495474560
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    560552592592728815852880904
    2014 2019 - - - - - - -
    1 0071 170-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement


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    Manifestations culturelles et festivités


    Fête : troisième dimanche de juillet et deuxième dimanche de septembre[13].


    Loisirs


    Santé


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    Services et équipements


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    Sports


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    Médias


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    Cultes


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    Économie


    En 1992 : polyculture, vignes, caprins, ovins, apiculture[13].


    Tourisme


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    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments



    Patrimoine culturel



    Patrimoine naturel


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    Personnalités liées à la commune



    Héraldique, logotype et devise


    Mirabel-et-Blacons possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.



    Annexes


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Bibliographie


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    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références



    Notes et cartes


    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références


    1. https://www.habitants.fr/drome-26.
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Crest », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 219 (Mirabel, Mirabel-et-Blacons).
    12. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 39 (Blacons).
    13. Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Mirabel-et-Blacons.
    14. A. Bernard, op. cit., p. 23.
    15. A. Bernard, op. cit., p. 24.
    16. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 35 (Berthalaix).
    17. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 376 (Serreméan).
    18. A. Bernard, « Mirabel : histoire résumée d'un village descendu de sa colline dans la vallée », Études drômoises, no 50, 1980, p. 25.
    19. Mirabel-et-Blacons sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de la Drôme (consulté le 30 octobre 2014).
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.

    На других языках


    [de] Mirabel-et-Blacons

    Mirabel-et-Blacons ist eine französische Gemeinde mit 1170 Einwohnern (Stand 1. Januar 2019) im Département Drôme in der Region Auvergne-Rhône-Alpes; sie gehört zum Arrondissement Die und zum Kanton Crest und liegt im Tal des Flusses Gervanne.

    [en] Mirabel-et-Blacons

    Mirabel-et-Blacons is a commune in the Drôme department in southeastern France.
    - [fr] Mirabel-et-Blacons



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