Miglos est une commune française située dans le centre du département de l'Ariège, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du pays de Vicdessos, formé par la vallée du Vicdessos et de ses affluents.
Miglos
Le château de Miglos sous la pleine lune.
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Ariège
Arrondissement
Foix
Intercommunalité
Communauté de communes du Pays de Tarascon
Maire Mandat
Sébastien Lacroix 2020-2026
Code postal
09400
Code commune
09192
Démographie
Gentilé
Miglosiens
Population municipale
114 hab. (2019 )
Densité
6,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées
42° 47′ 33″ nord, 1° 36′ 01″ est
Altitude
Min. 600 m Max. 1 903 m
Superficie
18,76 km2
Unité urbaine
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton du Sabarthès
Législatives
Première circonscription
Localisation
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Miglos
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Miglos
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Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par divers petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Miglos est une commune rurale qui compte 114 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 504 habitants en 1841. Ses habitants sont appelés les Miglosiens ou Miglosiennes.
Ses habitants sont les Miglosiennes et les Miglosiens.
Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : le château, classé en 1987, et l'église Saint-Hilaire d'Arquizat, inscrite en 1973.
Géographie
Localisation
La commune de Miglos se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 19 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, et à 6 km de Tarascon-sur-Ariège[2], bureau centralisateur du canton du Sabarthès dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
La commune fait en outre partie du bassin de vie de Tarascon-sur-Ariège[I 1].
La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes. Elle est traversée par la Faille nord-pyrénéenne, qui sépare la Zone axiale pyrénéenne (ZA) ou haute chaîne primaire de la Zone nord-pyrénéenne (ZNP), au nord. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches pour partie sédimentaires et pour partie métamorphiques datant pour certaines du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s'étend de −252,2 à −66,0 Ma, et pour d'autres du Paléozoïque, une ère géologique qui s'étend de −541 à −252,2 Ma. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans la feuille «n°1087 - Vicdessos» de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[6],[7] et sa notice associée[8].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 18,76 km2[9],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 18,78 km2[7]. Son relief est particulièrement escarpé puisque la dénivelée maximale atteint 1 303 mètres. L'altitude du territoire varie entre 600 m et 1 903 m[12].
Hydrographie
Réseaux hydrographique et routier de Miglos.
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par L'Agal de la Lène, le ruisseau de Font, le ruisseau de la Crémade, le ruisseau de Miglos et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 15 km de longueur totale[14],[15].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat semi-continental», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[16]. En 2020, la commune ressort du type «climat de montagne» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[17]. À l'est du département, l’influence méditerranéenne accentue les contrastes saisonniers, le climat y est plus sec[18].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[16].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 10,2°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 6,6 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 3,4 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 9,8 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,2 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[20] complétée par des études régionales[21],[22] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Tarascon-sur-Ariège», sur la commune de Tarascon-sur-Ariège, mise en service en 1959[23] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[24],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,9°C et la hauteur de précipitations de 769,3 mm pour la période 1981-2010[25].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Saint-Girons», sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 46 km[26], la température moyenne annuelle évolue de 12,2°C pour la période 1971-2000[27], à 12,3°C pour 1981-2010[28], puis à 12,7°C pour 1991-2020[29].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[30],[31].
La commune fait partie du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, créé en 2009 et d'une superficie de 245 973ha, qui s'étend sur 138 communes du département. Ce territoire unit les plus hauts sommets aux frontières de l’Andorre et de l’Espagne (la Pique d'Estats, le mont Valier, etc) et les plus hautes vallées des avants-monts, jusqu’aux plissements du Plantaurel[32].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[33]:
la «moyenne vallée de Vicdessos, pic de Tristagne» (15 071ha), couvrant 13 communes du département[34];
les «parois calcaires et quiès du bassin de Tarascon» (8 161ha), couvrant 58 communes du département[35],
la «vallée de l'Aston» (16 077ha), couvrant 13 communes du département[36];
le «massif de l'Aston et haute vallée de l'Ariège» (0ha), couvrant 24 communes dont 22 dans l'Ariège et 2 dans les Pyrénées-Orientales[37];
«Montcalm et Vicdessos» (25 129ha), couvrant 14 communes du département[38];
les «parois calcaires et quiès de la haute vallée de l'Ariège» (9 891ha), couvrant 40 communes du département[39].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Miglos.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Miglos est une commune rurale[Note 8],[40]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2],[41].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (94% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (73,5%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (16%), zones agricoles hétérogènes (6,1%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (4,5%)[42].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Hameaux et lieux-dits
La commune regroupe les villages d'Arquizat, Norgeat, Baychon, Norrat et Axiat.
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 203, alors qu'il était de 207 en 2013 et de 195 en 2008[I 5].
Parmi ces logements, 30,5% étaient des résidences principales, 61,1% des résidences secondaires et 8,4% des logements vacants. Ces logements étaient pour 90,7% d'entre eux des maisons individuelles et pour 7,8% des appartements[I 5].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Miglos en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (61,1%) supérieure à celle du département (24,6%) et à celle de la France entière (9,7%). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 68,3% des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (79,7% en 2013), contre 66,3% pour l'Ariège et 57,5% pour la France entière[I 6].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en%)
61,1
24,6
9,7
Logements vacants (en%)
8,4
9,7
8,2
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Miglos est vulnérable à différents aléas naturels: inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[43],[44].
Risques naturels
Zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de Miglos.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant[45].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50% de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Miglos[46]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[47].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Miglos est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[48].
Toponymie
Le nom dériverait de Mercure, signalant peut-être un temple, selon l'étymologiste pyrénéen Robert Aymard[49]
Histoire
Armoiries famille "de Miglos".
Armoiries famille "De Miglos"
«Écartelé, au premier et quatrième, de gueules au lion d’or, au deuxième d’argent au château de trois tours de sinople maçonné de sable, au troisième d’azur à la croix d’or».
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Miglos est membre de la communauté de communes du Pays de Tarascon[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Tarascon-sur-Ariège. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[50].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Foix, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 9].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Sabarthès pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la première circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[51].
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 66 personnes, parmi lesquelles on compte 79,1% d'actifs (58,2% ayant un emploi et 20,9% de chômeurs) et 20,9% d'inactifs[Note 9],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 13]. Elle compte 19 emplois en 2018, contre 15 en 2013 et 17 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 38, soit un indicateur de concentration d'emploi de 48,6% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,2%[I 14].
Sur ces 38 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 18 travaillent dans la commune, soit 46% des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 79,5% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,6% les transports en commun, 15,4% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,6% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].
Activités hors agriculture
10 établissements[Note 10] sont implantés à Miglos au [I 17].
Le secteur des autres activités de services est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 40 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 10 entreprises implantées à Miglos), contre 8,8% au niveau départemental[I 18].
Agriculture
1988
2000
2010
Exploitations
9
7
5
Superficie agricole utilisée (ha)
331
240
207
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée «Région pyrénéenne»[54]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage d'herbivores hors bovins, caprins et porcins[55]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 12] de 2010 (neuf en 1988). La superficie agricole utilisée est de 207ha[55].
Culture locale et patrimoine
Château de Miglos: vestiges d'un château fort construit sur un piton rocheux à 779 m d'altitude. Édifié vers le début du XIIIesiècle, il fut grandement endommagé lors de la Révolution. En 1830, Jean-Louis Hycinthe de Vendômois, héritier du lieu, vit sa demeure pillée lors de la "guerre des Demoiselles" (1829-1832) opposant les paysans de l'Ariège à Charles X. Le château est actuellement en cours de restauration.
Église romane Saint-Hilaire d'Arquizat, datant du XIesiècle inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 1973.
Église Saint-Hilaire de Norgeat.
Château de Miglos.
Château de Miglos.
Château de Miglos (vue depuis Lapège).
Église Saint-Hilaire d'Arquizat en septembre 2015.
Sabas Maury (1863-1924), curé de Miglos de 1890 à 1906, créateur d'Arièjo ô moun Païs, l'hymne ariégeois bien connu[57]
Casimir Barrière-Flavy (1863-1927), auteur d'une étude historique sur la baronnie de Miglos.
Serge Andolenko (1907-1973), général français d'origine russe décédé à Miglos; il était également historien et a publié des ouvrages.
Pierre-Gabriel Boulanger (1908-2004), général français décédé au village.
Héraldique famille "de Miglos"
Blason
Écartelé :au 1er et au 4e de gueules au lion d’or, aux 2d d’argent au château de trois tours sinople maçonné de sable, au 3e d’azur à la croix d’or[58].
Stéphane Lafuente, Miglos: une baronnie du haut comté de Foix sous l'Ancien régime, 1599-1789, (ISBN2-84692-026-5), BN 02670195
Casimir Barrière-Flavy, La baronnie de Miglos: étude historique sur une seigneurie du haut comté de Foix, Toulouse - 1894 (ISBN2-84406-995-9), BN 38828199
Casimir Barrière Flavy, Sur les armes franques trouvées au lieu de la Unarde, (ISBN2-84149-002-5), BN 38844716
Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[10],[11]
Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[19].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[56].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Aymard Robert. Noms des villes et noms des champs dans les Pyrénées. In Actes du Colloque d’onomastique d’Arras (octobre 2008) Paris: Société française d'onomastique, 2014. cf p. 221.
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