Meauzac est une commune française située dans le centre du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Quercy Blanc, correspondant à la partie méridionale du Quercy, devant son nom à ses calcaires lacustres du Tertiaire.
Pour les articles ayant des titres homophones, voir Mauzac et Mozac.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Tarn, le ruisseau de Maribenne, le ruisseau de Guignès, le ruisseau de la Nauze et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 (Les «vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou»), un espace protégé (le «cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Meauzac est une commune rurale qui compte 1 360 habitants en 2019. Elle est dans l'agglomération de Meauzac et fait partie de l'aire d'attraction de Montauban. Ses habitants sont appelés les Meauzacois ou Meauzacoises.
Géographie
Localisation
Commune de l'aire d'attraction de Montauban, Meauzac est principalement rurale. Elle est la ville-centre d'une unité urbaine dans la couronne périurbaine de l'aire d'attraction de Montauban.
Communes limitrophes
Meauzac est limitrophe de cinq autres communes.
Carte de la commune de Meauzac et de ses proches communes.
La superficie de la commune est de 1 177 hectares; son altitude varie de 67 à 88mètres[2].
Voies de communication et transports
Accès avec la route départementale D 42.
Hydrographie
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par le Tarn, le ruisseau de Maribenne, le ruisseau de Guignès, le ruisseau de la Nauze, le ruisseau de Bernon, le ruisseau de Gachourlet et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 19 km de longueur totale[4],[Carte 1].
Le Tarn, d'une longueur totale de 380 km, prend sa source dans la commune de Pont de Montvert - Sud Mont Lozère et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Nicolas-de-la-Grave, après avoir traversé 98 communes[5].
Le ruisseau de Maribenne, d'une longueur totale de 11,1 km, prend sa source dans la commune de La Ville-Dieu-du-Temple et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Labastide-du-Temple, après avoir traversé 4 communes[6].
Réseaux hydrographique et routier de Meauzac.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat du Bassin du Sud-Ouest», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]
Moyenne annuelle de température: 13,5°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 9,6 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 9,5 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,1 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Castelsarrasin», sur la commune de Castelsarrasin, mise en service en 1990[13] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[14],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,4°C et la hauteur de précipitations de 691 mm pour la période 1981-2010[15].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Montauban», sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 12 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 13,6°C pour 1981-2010[17] à 14°C pour 1991-2020[18].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[19],[20].
Un espace protégé est présent sur la commune:
le «cours de la Garonne, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn», objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 262,3ha[21].
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats: Les «vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou»[23], d'une superficie de 17 144ha, s'étendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[24].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 6] est recensée sur la commune[25]:
la «basse vallée du Tarn» (3 623ha), couvrant 49 communes dont huit dans la Haute-Garonne, 20 dans le Tarn et 21 dans le Tarn-et-Garonne[26].
Urbanisme
Typologie
Meauzac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[27],[I 1],[28].
Elle appartient à l'unité urbaine de Meauzac, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[I 2] et 3 415 habitants en 2018, dont elle est ville-centre[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montauban, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 5],[I 6].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,8% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
cultures permanentes (42,8%), zones agricoles hétérogènes (30,5%), zones urbanisées (11,6%), forêts (6,1%), terres arables (3,3%), prairies (2,2%), eaux continentales[Note 9] (2%), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,5%)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Meauzac est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].
Risques naturels
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Montauban-Moissac, regroupant 15 communes concernées par un risque de débordement du Tarn, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[32]. La crue historique de mars 1930 a provoqué des dégâts considérables. Le sinistre a fait 210 morts et près de 10 000 sinistrés. 120 morts ont été recensés pour la seule ville de Moissac après la rupture des digues et 2 769 maisons ont été détruites en Tarn-et-Garonne. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios: fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[33]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1994, 1996, 1999, 2003, 2005, 2010 et 2015[34],[30].
Meauzac est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 10],[35].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Meauzac.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[36].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (92% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 577 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 577 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 96% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[37],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[38].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1998, 2003, 2006, 2011 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[30].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[39].
La commune est en outre située en aval du barrage de Pareloup, un ouvrage de classe A[Note 11] dans l'Aveyron sur les rivières Aveyron et Viaur, disposant d'une retenue de 169 millions de mètres cubes[41]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[42].
Toponymie
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Histoire
Les premières traces du village remontent à l'Antiquité. Meauzac, où se dressent un temple protestant et une église catholique, a longtemps été marqué par les guerres de religion. À la fin du XIXesiècle-début du XXesiècle, le village de Meauzac accueille une briqueterie qui prospérera longtemps jusqu'à sa fermeture. Ce matériau de construction est alors très utilisé.
Politique et administration
Mairie et église.
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[43],[44].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la communauté de communes des Terrasses et Plaines des deux cantons et du canton de Castelsarrasin (avant le redécoupage départemental de 2014, Meauzac faisait partie de l'ex-canton de Castelsarrasin-2).
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 en Tarn-et-Garonne.
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1919
1943
Léopold Presseq
1943
1944
Julien Descazeaux
1944
1962
Jean Capmarty
1962
1995
Pierre Larroque
MRG
Député (1984-1986)
1995
2003
Rémi Delbouis
2003
En cours
José Lacombe
DVD
Les données manquantes sont à compléter.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[46].
En 2019, la commune comptait 1 360 habitants[Note 12], en augmentation de 2,03% par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne: +4,13%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
957
858
959
966
963
965
1 027
1 000
981
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 006
987
981
952
966
959
984
908
877
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
829
818
810
763
755
803
739
809
850
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
854
877
858
850
884
890
1 006
1 022
1 298
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 338
1 360
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
En 2018, la commune compte 548 ménages fiscaux[Note 13], regroupant 1 393 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 710 €[I 7] (20 140 € dans le département[I 8]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 796 personnes, parmi lesquelles on compte 78,3% d'actifs (68,2% ayant un emploi et 10,1% de chômeurs) et 21,7% d'inactifs[Note 14],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montauban, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 12]. Elle compte 191 emplois en 2018, contre 176 en 2013 et 200 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 548, soit un indicateur de concentration d'emploi de 34,8% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,5%[I 13].
Sur ces 548 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 105 travaillent dans la commune, soit 19% des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 91,9% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5% les transports en commun, 2,9% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,7% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
83 établissements[Note 15] sont implantés à Meauzac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 16],[I 16].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
83
100%
(100%)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
6
7,2%
(9,6%)
Construction
20
24,1%
(14,9%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
18
21,7%
(29,7%)
Information et communication
1
1,2%
(1,9%)
Activités financières et d'assurance
2
2,4%
(3,4%)
Activités immobilières
2
2,4%
(3,3%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
13
15,7%
(14,1%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
10
12%
(13,6%)
Autres activités de services
11
13,3%
(9,3%)
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24,1 % du nombre total d'établissements de la commune (20 sur les 83 entreprises implantées à Meauzac), contre 14,9% au niveau départemental[I 17].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[53]:
Servat Fils Et Pere, travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment (361 k€)
FC Pose, travaux de menuiserie bois et PVC (346 k€)
Teixeira Jean Luc - Tex, forge, estampage, matriçage; métallurgie des poudres (49 k€)
Frederic Rameaux Traiteur, services des traiteurs (8 k€)
Agriculture
La commune est dans les «Vallées et Terrasses», une petite région agricole occupant le centre et une bande d'est en ouest du département de Tarn-et-Garonne[54]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 57 lors du recensement agricole de 1988[Note 19] à 46 en 2000 puis à 29 en 2010[56] et enfin à 19 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 67% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57% de ses exploitations[57],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 757ha en 1988 à 676ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 13 à 36 ha[56].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Martin de Meauzac.
Église paroissiale Saint-Martin de Meauzac. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[58].
Temple protestant de Meauzac
Personnalités liées à la commune
Gaston Carrié né le à Meauzac. Joueur de rugby à XV. Champion de France de rugby à XV en 1967 avec l'Union sportive montalbanaise. Deuxième ligne (1,93 m - 98kg).
Pierre Larroque (1915-2005), homme politique français né à Meauzac.
Héraldique
Blason
D'argent au pal bretessé de gueules
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Pour approfondir
Bibliographie
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Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[10].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[40].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[55].
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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