Marnhagues-et-Latour est une commune française, située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie.
Marnhagues-et-Latour
Château de Latour
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Aveyron
Arrondissement
Millau
Intercommunalité
Communauté de communes Larzac et Vallées
Maire Mandat
Jérôme Thibault-Laurent 2020-2026
Code postal
12540
Code commune
12139
Démographie
Gentilé
Bernagols et Latounains.
Population municipale
139 hab. (2019 )
Densité
6,3 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 52′ 24″ nord, 3° 01′ 50″ est
Altitude
Min. 396 m Max. 762 m
Superficie
21,92 km2
Unité urbaine
Commune rurale
Aire d'attraction
Saint-Affrique (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton des Causses-Rougiers
Législatives
Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Marnhagues-et-Latour
Géolocalisation sur la carte: France
Marnhagues-et-Latour
Géolocalisation sur la carte: Aveyron
Marnhagues-et-Latour
Géolocalisation sur la carte: Occitanie
Marnhagues-et-Latour
modifier
Géographie
Localisation
Saint-Jean-et-Saint-Paul
Saint-Beaulize
Saint-Félix-de-Sorgues
N
Fondamente
OMarnhagues-et-LatourE
S
Montagnol
Site
Cette commune se compose du village de Latour et des hameaux de Marnhagues et de la Roquaubel. Elle se situe au centre de la vallée de la Sorgues, à 425 mètres d'altitude à mi chemin entre Cornus et Saint-Affrique.
Hydrographie
Réseaux hydrographique et routier de Marnhagues-et-Latour.
La commune est drainée par la Sorgues, le ruisseau d'Annou, le ravin de Callongue, le ruisseau de Marnhagues, le ruisseau de Mas Calvi, le ruisseau de Rebouisses, le ruisseau de Rose, le ruisseau du Bruel, le ruisseau du Congrou, le ruisseau du Matas, le ruisseau du Vern et par divers petits cours d'eau[1].
La Sorgues, d'une longueur totale de 46,4 km, prend sa source dans la commune de Cornus et se jette dans le Dourdou de Camarès à Vabres-l'Abbaye, après avoir arrosé 7 communes[2].
Climat
Article connexe: Climat de l'Aveyron.
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
Moyenne annuelle de température: 12,1°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,9 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 10,4 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 4,4 j
La commune bénéficie d’un «climat semi-continental», ou de marge de montagne, selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne l'est et le sud-est aveyronais, constitue une transition entre les climats de montagne et le climat océanique altéré[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[3]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[5]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Millau-Soulobres, qui se trouve à 25 km à vol d'oiseau de la commune[6], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7°C pour la période 1971-2000[7], à 10,9°C pour 1981-2010[8], puis à 11,3°C pour 1991-2020[9].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10].
Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de 327 937ha, s'étend sur 97 communes. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[11],[12],[13].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Marnhagues-et-Latour comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3],[14],
les «Prairies et pelouses de Lalric» (360,9ha), couvrant 3 communes du département[15]
, et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[14],
le «Rougier de Camarès» (56 714ha), qui s'étend sur 33 communes dont 32 dans l'Aveyron et 1 dans l'Hérault[16].
Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
Marnhagues-et-Latour est une commune rurale[Note 5],[17]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Affrique, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].
Infrastructures et occupation des sols de la commune de Marnhagues-et-Latour.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (77,4% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (58%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (19,4%), zones agricoles hétérogènes (18,7%), prairies (2,8%), terres arables (1,2%)[19].
Planification
La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Parc naturel régional des Grands Causses, approuvé le vendredi par le comité syndical et mis à l’enquête publique en décembre 2019. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural du PNR des Grands Causses, qui associe huit communautés de communes, notamment la communauté de communes Larzac et Vallées, dont la commune est membre[20].
La commune disposait en 2017 d'un plan local d'urbanisme en révision[21]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[22].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Marnhagues-et-Latour est vulnérable à différents aléas naturels: inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible).
Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[23],[24].
Risques naturels
Zones inondables de la commune de Marnhagues-et-Latour.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de la Sorgues. Les dernières grandes crues historiques, ayant touché plusieurs parties du département, remontent aux 3 et (dans le bassin du Lot, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn) et au (bassins de la Sorgues et du Dourdou)[25]. Ce risque est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) du bassin du bassin de la «Sorgues et du Dourdou de Camarès aval»[26], approuvé le 23 mai 2017[27].
Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept «bassins de risque» et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité très forte[28].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés à la présence de cavités souterraines localisées sur la commune[29],[30].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Marnhagues-et-Latour est classée à risque moyen à élevé[31]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[32] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[33].
Histoire
Le village de Latour est construit sur l'emplacement d'un oppidum romain. Du haut Moyen Âge jusqu'à la Révolution, il est le siège d'un fief considérable dirigé par les seigneurs locaux successifs, à l'abri dans leur château de Latour. Le hameau de Marnhagues, appelé anciennement "Villa de Marcellanicus" était aussi peuplé que le village voisin de Latour.
La commune abrite, dans la vallée de l'Annou, l'abbaye de Nonenque, ancienne et puissante abbaye de moniales cisterciennes, fondée par Sylvanès au XIIesiècle. Démantelée à la Révolution, elle devient exploitation agricole. En 1927, une communauté de moniales de l'ordre des Chartreux s'y installe et redonne aux bâtiments leur fonction première. À l'extrémité de la vallée, près de la chapelle romane de Saint-Amans, un lieu-dit "Métairie de France", ancienne Grange de Nonenque, témoigne, avec beaucoup d'autres, du passé cistercien de la région.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Marnhagues-et-Latour est membre de la communauté de communes Larzac et Vallées[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Cornus. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[34].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 4]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Causses-Rougiers pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[35].
Marnhagues-et-Latour dans l'intercommunalité en 2020.
Marnhagues-et-Latour dans le canton des Causses-Rougiers en 2020.
Marnhagues-et-Latour dans l'arrondissement de Millau en 2020.
Élections municipales et communautaires
Élections de 2020
Le conseil municipal de Marnhagues-et-Latour, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[36] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[37]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[38] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 72,14%[39].
Jérôme Thibault-Laurent, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [40].
Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[41]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Larzac et Vallées[42].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[46].
En 2019, la commune comptait 139 habitants[Note 7], en augmentation de 13,01% par rapport à 2013 (Aveyron: +0,67%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1841
1846
1851
1856
1861
1866
1872
203
194
300
315
320
286
248
402
402
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1876
1881
1886
1891
1896
1901
1906
1911
1921
398
372
425
404
331
294
295
278
201
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1926
1931
1936
1946
1954
1962
1968
1975
1982
176
247
230
179
155
128
144
146
132
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1990
1999
2006
2007
2012
2017
2019
-
-
102
132
142
144
125
139
139
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 69 personnes, parmi lesquelles on compte 59,4% d'actifs (53,6% ayant un emploi et 5,8% de chômeurs) et 40,6% d'inactifs[Note 8],[I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Affrique, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1],[I 8]. Elle compte 20 emplois en 2018, contre 18 en 2013 et 15 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 38, soit un indicateur de concentration d'emploi de 52,6% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 33,6%[I 9].
Sur ces 38 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 12 travaillent dans la commune, soit 32% des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 86,8% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 10,6% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,6% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].
Activités hors agriculture
12 établissements[Note 9] sont implantés à Marnhagues-et-Latour au [I 12].
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 41,7% du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 12 entreprises implantées à Marnhagues-et-Latour), contre 17,7% au niveau départemental[I 13].
La commune est dans les Grands Causses, une petite région agricole occupant le sud-est du département de l'Aveyron[49]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 2]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (onze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 250ha[51],[Carte 3],[Carte 4].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Marnhagues
La chapelle romane de Marnhagues et celle de Saint-Amans, bâtie au bord de la Sorgues.
Chapelle de Marnhargues
Chapelle de Marnhargues
Latour
Article détaillé: Château de Latour.
Le vieux village de Latour qui a gardé un fort caractère médiéval.
L'église Saint-Armand de Latour.
Le château de Latour. Tours avec leur chemin de ronde, plafond peint du XVIesiècle. Il abrite également la reconstitution d'une cellule de moniales de l'abbaye voisine de Nonenque, ainsi que des expositions temporaires.
Abbaye de Nonenque
Articles détaillés: Abbaye de Nonenque et Chartreuse de Nonenque.
Abbaye de Cisterciennes[52] fondée en 1146 par Guiraud, abbé de Sylvanès, placée sous la protection d'Alphonse de Poitiers et des comtes de Rodez, ce qui n'empêcha pas son incendie par les Protestants au XVIesiècle. Reconstruite au XVIIesiècle, elle fut supprimée à la Révolution. Ses bâtiments conventuels abritent depuis 1927 une communauté de moniales chartreuses.
Personnalités liées à la commune
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Bibliographie
Camille Couderc et Jean-Louis Rigal, Cartulaire et documents de l'abbaye de Nonenque, Rodez, Commission des archives historiques du Rouergue, coll.«Archives historiques du Rouergue» (no18), , 754p., in-4° (ISSN1245-9747, BNF34103672)
(oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf.Jean Geniez), Cornus: Lo Clapièr, Fondamenta-Montpao(n), La Panosa, Senta-Aularia, Sent-Baulise, Sent-Jan-Sent-Paul, La Tor-Marn(h)agas, Lo Vialar / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Cornus, Rodez, Mission départementale de la culture, coll.«Al canton», , 239p., ill., couv. ill.; 28 cm (ISBN2-907279-32-7, ISSN1151-8375, BNF36694302)
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
nd: donnée non disponible.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[50].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии