Marchiennes est une commune française, située en Flandre romane, dans le département du Nord en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Marchiennois(es)[1].
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Marchiennes | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Hauts-de-France |
Département | Nord |
Arrondissement | Douai |
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur d'Ostrevent |
Maire Mandat |
Claude Merly 2020-2026 |
Code postal | 59870 |
Code commune | 59375 |
Démographie | |
Gentilé | Marchiennois(e) |
Population municipale |
4 584 hab. (2019 ![]() |
Densité | 214 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 50° 24′ 32″ nord, 3° 16′ 59″ est |
Altitude | Min. 15 m Max. 21 m |
Superficie | 21,44 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Marchiennes (ville-centre) |
Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Sin-le-Noble |
Législatives | Seizième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.marchiennes.fr/ |
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Marchiennes se situe sur la Scarpe, rivière de 112 kilomètres qui se jette dans l'Escaut. À Marchiennes, trois cours d’eau attestent encore de leurs efforts : Le Décours, Le Courant de Coutiches et la Râche.
Elle possède sur son territoire la belle forêt domaniale de Marchiennes d'environ 800 hectares composée entre autres de pins sylvestres et de chênes. Elle accueille plus de 110 000 visiteurs par an.
Dans le département du Nord, Marchiennes est un poumon vert qui occupe une position centrale, car à proximité des autoroutes A1 et A23, Marchiennes, à 20 minutes de Lille et de Tournai, 15 minutes de Douai et Valenciennes, 2 heures de Paris et 1h de Bruxelles.
Marchiennes est au cœur du parc naturel régional Scarpe-Escaut, le « cœur de nature », élément important de la trame verte régionale concentré de sites naturels de grande valeur écologique, couvrant quatre forêts domaniales dont la forêt domaniale de Marchiennes, les plaines alluviales de la Scarpe et de l'Escaut. À la suite du drainage agricole périphérique et au surcreusement d'un fossé de drainage périphérique, cette forêt autrefois très humide souffre d'une baisse de la nappe qui en période de sécheresse menace les chênes et les amphibiens. La pose de palplanches sur les fossés de drainages intérieurs à la forêt n'ayant pas apporté les résultats escomptés.
Plusieurs hameaux sont rattachés à Marchiennes :
Elpret est un hameau situé à l'est de la commune et est traversé par la D39 qui relie Warlaing à Rosult. La rue principale d'Elpret est la rue du Hameau qui est en fait la D39. Quelques pâtés de maisons s'y construisent car la zone est très attractive : en effet, la forêt domaniale de Marchiennes est tout de suite au nord d'Elpret.
Sec Marais est un hameau situé au nord de la commune et est traversé par la D957 qui relie Somain à Orchies. La rue principale de Sec Marais est la route départementale dite "Route Nationale". C'est un hameau qui a connu une forte expansion par sa proximité de l'autoroute A23 (à Orchies) et à la lisière de la forêt domaniale de Marchiennes.
Le Catellet est un hameau situé à l'ouest de la commune en direction de Flines-lez-Raches.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pecquencourt », sur la commune de Pecquencourt, mise en service en 1962[8] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 743,8 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 24 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,8 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].
Marchiennes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Marchiennes, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[18] et 5 892 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[21],[22].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (28,7 %), zones agricoles hétérogènes (25 %), terres arables (22,8 %), zones humides intérieures (7,6 %), zones urbanisées (6,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,5 %), prairies (2,7 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Marchiennes fut, encore au début du XIXe siècle, séparé en Marchiennes-Ville et Marchiennes-Campagne. La Scarpe formait la séparation. Depuis 1946, Marchiennes-Campagne a été rattaché à la commune de Rieulay
Bouvignies 5 km |
Beuvry-la-Forêt 6 km |
Tilloy-lez-Marchiennes 5 km |
Flines-lez-Raches 8 km |
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Warlaing 6 km |
Vred 5 km Lallaing 8 km |
Rieulay 4 km |
Wandignies-Hamage 4 km |
Du au , durant la guerre de Succession d'Espagne, eut lieu le siège de Marchiennes[26].
Pendant les guerres de la Révolution française, les armées, française et ennemie, ont cherché à contrôler Marchiennes en 1792 et 1793. La ville a beaucoup souffert des combats[27].
Marchiennes est riche d'un beau patrimoine historique dont témoignent encore les vestiges d'une tuilerie romaine sur la base de loisirs des Evoiche (tuile et brique). De plus par interprétation, on peut apparenter le nom de la ville à la Villa de Marcius, les vestiges d'une abbaye fondée en 630 par Adalbaud, comte de Douai. Sainte Rictrude, son épouse, aristocrate d'Aquitaine, créa en 643 un monastère double comprenant une communauté de femmes et une autre d'hommes. Leur fille, sainte Adalsinde (fêtée le 25 décembre), fut l'une des abbesses de la communauté des moniales[28].
À la fin du Xe siècle, il ne reste aucune trace de la communauté masculine sauf quelques chanoines. En 1024, les moniales sont remplacées par des moines bénédictins. Après l'abbatiat désastreux de Fulcard de Landas (1103-1115), l'abbé Amand du Chastel prend l'initiative d'un renouveau institutionnel et artistique qui durera jusqu'à la fin du XIIe siècle et dont témoignent un chartier riche ainsi qu'une collection diverse de textes hagiographiques et historiographiques.
On pénètre sur la place de l'abbaye par deux portes monumentales d'un grand intérêt architectural, le bâtiment de l'actuel hôtel de ville et le Colombier. Le fronton de l'église Sainte-Rictrude est marqué de la devise républicaine, « Liberté, Égalité, Fraternité ». Cette inscription a été ajoutée le à la suite d'un conseil municipal à la proposition de l'un des membres.
Le , les reliques de Sainte Eusébie furent transportés à Marchiennes « où les os avaient été montrés, sains et entiers, aux fidèles, aux religieuses et aux enfants des écoles ».
Marchiennes fut aussi le théâtre d’un des derniers procès de sorcellerie en France qui envoya Péronne Goguillon sur le bûcher en 1679 ainsi que quatre autres femmes dont sa propre fille.
Depuis 1991, pour conjurer cette époque révolue, 30 000 personnes assistent chaque année, le premier dimanche d'octobre, aux célèbres Cucurbitades, fête de la Courge et de la Sorcellerie, fête poétique, culturelle et envoûtante.
Marchiennes est mentionné dans la première phrase de Germinal d'Émile Zola (1885), où « la grande route de Marchiennes à Montsou, dix kilomètres de pavé coupant tout droit » est évoquée. On peut évoquer également Joseph Balsamo d'Alexandre Dumas, dans lequel on évoque le siège de Marchiennes en 1712 par le Maréchal de Villars.
Il existait également une gare aujourd'hui désaffectée : voir Gare de Marchiennes.
L'église possède un orgue de François-Joseph Carlier datant de 1837. Il s'agit d'un des derniers témoins quasiment intact de la facture des Carlier. Le buffet de l'orgue est inscrit et la partie instrumentale classée au titre des monuments historiques.
Autrefois, l'église possédait un carillon de 37 notes. La majorité des cloches furent réquisitionnées par l'occupant en 1918.
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Les armes de Marchiennes se blasonnent ainsi : « D'or à une escarboucle de sable, chargée en cœur d'un rubis de gueules. »
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Un article publié dans La Voix du Nord no 24306 du 4 août 2020 indique que Serge Gaillot, sous l'étiquette du Rassemblement pour la République, est devenu maire à l'âge de 27 ans à la suite des élections municipales de juin 1995, où sa liste recueille 51,30 % des suffrages exprimés. Un recours annule l'élection, et un nouveau vote est organisé en 1996 où sa liste est cette fois largement réélue.
La liste menée par Serge Gaillot lors des élections municipales de mars 2001 est élue dès le premier tour avec 55,10 % des suffrages exprimés. Serge Gaillot est suspendu de ses fonctions durant un mois par un arrêté du ministère de l'Intérieur en 2003, à cause de la mauvaise santé financière de la commune. Une suspension définitive survient en 2006 et de nouvelles élections sont organisées. Les ennuis judiciaires se poursuivent pour Serge Gaillot avec d'autres affaires, il est notamment incarcéré sur l'île de La Réunion en 2020.
Claude Merly devient maire en 2006[29].
Lors du premier tour des élections municipales le , vingt-sept sièges sont à pourvoir ; on dénombre 3 674 inscrits, dont 1 914 votants (52,10 %), 18 votes blancs (0,94 %) et 1 876 suffrages exprimés (98,01 %). La liste divers droite Marchiennes de toutes les forces menée par le maire sortant Claude Merly recueille 1 295 voix (69,03 %) et remporte ainsi vingt-quatre sièges au conseil municipal contre deux pour la liste divers centre Marchiennes j'y crois du conseiller municipal d'opposition Jocelyn Oger[30] avec 365 voix (19,46 %) et un pour la liste divers gauche J'M 2020 menée par Jocelyne Malfigan[31] avec 216 voix (11,51 %)[32],[33]. Le confinement lié à la pandémie de Covid-19 retarde d'environ deux mois l'élection des maires par les nouveaux conseils municipaux[34]. Claude Merly est réélu maire le 23 mai avec vingt-quatre voix, une minute de silence a été faite en hommage au conseiller municipal René Gos, mort le 25 avril[29].
Maire en 1802-1803 : Lherbier[27] et 1806[35].
Identité | Période | Durée | Étiquette | |
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Début | Fin | |||
Eugène Desart (d) | années 1810 | |||
Horries Pagniez (d)[36] | 9 ans | |||
François Joseph Lecocq (d) | ||||
Jules César Alexandre Lherbier (d) (années 1790 - ) | (mort en cours de mandat) | |||
Par intérim : Adolphe Henri Roch Chery (d) | 1 an | |||
Édouard Noël Piedanna (d) | 5 ans et 7 mois | |||
Auguste Maton (d) ( - ) | 2 ans et 7 mois | |||
Édouard Noël Piedanna (d) | années 1880 | |||
Auguste Maton (d) ( - ) | (mort en cours de mandat) | 5 ans et 9 mois | ||
Félix Maton (d) ( - ) | 20 ans et 9 mois | |||
Par intérim : René Bigo (d) | 1 mois | |||
René Bigo (d) | ||||
Fernand Maton (d) ( - ) | années 1920 | années 1920 | ||
Moïse Dufour (d)[37] ( - ) | 18 ans | apparenté PCF (d) | ||
Jean-Pierre Lemaire (d) | 6 ans et 3 mois | Parti socialiste | ||
Serge Gaillot (d)[38] (né le ) | 11 ans | Rassemblement pour la République Union pour un mouvement populaire | ||
Claude Merly (d)[39],[40],[41] (né le ) | En cours | 16 ans | divers droite | |
Edmond Groulez (d) ( - ) | ||||
Edmond Servais (d) | ||||
Maurice Boulongne (d) | ||||
Gabriel Saison (d)[42],[43] |
Claude Merly actuel maire de Marchiennes est renvoyé en correctionnelle en 2021 pour soupçons de favoritisme. Il est soupçonné d'avoir favorisé certaines entreprises pour des marchés publics de la ville notamment le marché de la réhabilitation de la mairie. Les faits ont été dénoncés par plusieurs de ses anciens adjoints[44]. Le 16 mars 2021, Claude Merly est reconnu coupable et condamné à dix mois d’emprisonnement avec sursis et d’une peine d’un an d’inéligibilité[45]. En janvier 2022, cette peine sera alourdi en appel à trois ans d’inéligibilité[46].
Ville | Pays | Période | ||
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Speldhurst[47],[48] | ![]() | Royaume-Uni | depuis |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[50].
En 2019, la commune comptait 4 584 habitants[Note 8], en diminution de 1,76 % par rapport à 2013 (Nord : +0,49 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 500 | 2 209 | 2 355 | 2 456 | 2 505 | 2 614 | 2 848 | 2 965 | 3 047 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
3 066 | 3 180 | 3 274 | 3 335 | 3 432 | 3 388 | 3 295 | 3 258 | 3 246 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
3 436 | 3 580 | 3 623 | 3 546 | 3 638 | 3 528 | 3 390 | 3 157 | 3 393 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2006 | 2009 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
3 417 | 3 375 | 3 267 | 3 564 | 4 164 | 4 641 | 4 660 | 4 690 | 4 745 |
2014 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
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4 634 | 4 584 | - | - | - | - | - | - | - |
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,0 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 260 hommes pour 2 327 femmes, soit un taux de 50,73 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,7 | 90 ou + | 1,6 |
4,5 | 75-89 ans | 8,2 |
16,6 | 60-74 ans | 16,3 |
21,3 | 45-59 ans | 21,0 |
20,0 | 30-44 ans | 21,1 |
17,4 | 15-29 ans | 13,1 |
19,7 | 0-14 ans | 18,6 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,5 | 90 ou + | 1,3 |
5,1 | 75-89 ans | 8,1 |
14,3 | 60-74 ans | 15,6 |
19,2 | 45-59 ans | 18,6 |
19,6 | 30-44 ans | 18,7 |
20,7 | 15-29 ans | 19,1 |
20,7 | 0-14 ans | 18,5 |
La commune a pour géant Pelotin le Marchiennois[59], baptisé le par l'abbé Pierre-Marie Verhægge. Il fait suite à la relance de la fête du Muguet par la municipalité en 2009 et symbolise le jeu de paume. Il est fabriqué par Emmanuel Michiels, qui a notamment réalisé ceux de Montigny-en-Ostrevent, Hornaing, Fenain, Masny..., professeur d’arts plastiques à la retraite. L'habit et le gant sont réalisés par la sinoise Brigitte Renard. Le géant mesure 3,60 mètres, pèse soixante-dix kilos, et a un diamètre de 1,40 mètre. Il est monté sur roulettes et poussé de l'intérieur par une personne[60]. Il a pour parrain Gauthier de Châtillon, le géant de Bruille-lez-Marchiennes[61].
Sur les autres projets Wikimedia :
« Le 7 juin 1822 Horries Pagniez, maire de Marchiennes, arrête un règlement municipal. Un ballodrome est tracé sur le parvis de l’ancienne église abbatiale, aujourd’hui place Gambetta. »
« Maire de Marchiennes de 1995 à 2006, Serge Gaillot a été mis en examen et placé en détention provisoire par le parquet de Saint-Pierre-de-La-Réunion. »
« Marchiennes. À 61 ans, Claude Merly, se dit prêt à repartir pour un tour. Il briguerait ainsi son troisième mandat en tant que maire. L’ancien facteur et ancien adjoint aux sports s’était installé dans le fauteuil du premier magistrat en 2006, après la démission de Serge Gaillot. »
« Marchiennes : divers droite »
« [...] qu'ils avaient formulés le 2 mars 1952, lors de leur mariage célébré par Gabriel Saison, maire de Marchiennes à l'époque. »
« Cette maquette sera à l'origine de la création des Amis de Marchiennes. Le maire de l'époque, Gabriel Saison, avait attribué un local. »