Magnat-l'Étrange est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.
Magnat-l'Étrange
Panorama du village vers 1910.
Administration
Pays
France
Région
Nouvelle-Aquitaine
Département
Creuse
Arrondissement
Aubusson
Intercommunalité
Communauté de communes Haute-Corrèze Communauté
Maire Mandat
Carole Picano 2020-2026
Code postal
23260
Code commune
23115
Démographie
Population municipale
247 hab. (2019 )
Densité
9,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées
45° 47′ 36″ nord, 2° 16′ 44″ est
Altitude
Min. 636 m Max. 867 ou 868 m
Superficie
25,87 km2
Unité urbaine
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton d'Auzances
Législatives
Circonscription unique
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Magnat-l'Étrange
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Magnat-l'Étrange
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Géographie
Généralités
Paysage à proximité du bourg de Magnat-l'Étrange.
Incluse dans le parc naturel régional de Millevaches en Limousin, dans le quart sud-est du département de la Creuse, sur la frange du plateau de Millevaches située à l'est de la vallée de la Creuse, la commune de Magnat-l'Étrange s'étend sur 25,87 km2. Elle est arrosée par la Rozeille et plusieurs de ses affluents.
La géographie de la commune est représentative de celle du sud du département: région de collines dont l'altitude est de l'ordre de 700 à 800 mètres, avec une proportion importante de surfaces boisées.
L'altitude minimale avec 636 mètres se trouve localisée à l'extrême nord, à proximité du château du Bost, là où la Rozeille quitte la commune et entre sur celle de Saint-Georges-Nigremont. L'altitude maximale avec 867 ou 868 mètres[Note 1] est située dans le sud-ouest, au Puy du Bois du Suc[1].
À l'intersection des routes départementales (RD) 18, 25, 32 et 90, le bourg de Magnat-l'Étrange est situé, en distances orthodromiques, dix-neuf kilomètres au sud-sud-est d'Aubusson, la sous-préfecture.
Le territoire communal est également desservi par les RD 23, 28 et 31.
Magnat-l'Étrange est limitrophe de sept autres communes, dont Malleret au sud-est, sur moins de 500 mètres.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat de montagne», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 9,2°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 6,2 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 2,5 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 13,1 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,1 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «La Courtine», sur la commune de La Courtine, mise en service en 1949[8] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[9],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 9°C et la hauteur de précipitations de 1 031,9 mm pour la période 1981-2010[10].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Clermont-Fd», sur la commune de Clermont-Ferrand, dans le département du Puy-de-Dôme, mise en service en 1923 et à 62 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2°C pour la période 1971-2000[12], à 11,6°C pour 1981-2010[13], puis à 12,2°C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Magnat-l'Étrange est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].
La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61,5% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (61,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (57,6%), prairies (23,7%), zones agricoles hétérogènes (12,9%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,9%), zones urbanisées (1,2%), eaux continentales[Note 7] (0,7%)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Magnat-l'Étrange est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier: le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Magnat-l'Étrange.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 39,4% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 264 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 92 sont en en aléa moyen ou fort, soit 35%, à comparer aux 25% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du barrage de Confolent, un ouvrage sur la Creuse de classe A[Note 8] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 4,7 millions de mètres cubes[26]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[27].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Magnat-l'Étrange est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].
Toponymie
Le nom de la commune ne vient pas de phénomènes surnaturels qui s'y seraient passés, mais du nom des deux familles qui y régnèrent: les Magnat et les de Lestrange.
L'existence d'un habitat sur le site du village de Magnat ainsi que des hameaux qui l'environnent est sans doute très ancienne, et peut remonter au Néolithique. Un prieuré a été érigé sur le territoire communal au VIIIesiècle[29]. Plusieurs fois démoli puis reconstruit, il a définitivement été détruit à la Révolution française.
La configuration du village de Magnat, conservée jusqu'à nos jours, est caractéristique de celle d'un village médiéval: situé sur les flancs d'une petite butte, en surplomb de la Rozeille, le village est dominé par un château (de taille modeste et remanié au XIXesiècle[30]) auquel l'église, qui pourrait dater du XeouXIesiècle[31], est attenante.
Sans épisode notable, l'histoire de Magnat a essentiellement été marquée, dans les deux derniers siècles, par la diminution importante de sa population, liée à l'exode rural du tournant des XIXeetXXesiècles ainsi qu'au solde naturel négatif qui a caractérisé la démographie du département dans la deuxième moitié du XXesiècle.
Le chou de Magnat
Vers 1760, lors d’un séjour en Russie, le marquis de Lestrange, baron de Magnat, remarque dans les jardins de Saint-Pétersbourg, une variété de choux pommés (ou choux cabus) particulièrement résistante au froid, peu exigeante pour la qualité du terrain et de conservation facile.
Le marquis de Lestrange se dit probablement que cette plante permettrait à sa région, pauvre, de mieux passer les hivers longs, froids et rigoureux. Il ramena en conséquence des graines et la méthode de culture et de conservation. La réussite dépassa son espérance et dès 1884 la culture de ce chou sera très développée et son «exportation» se fera vers le reste de la Creuse, le Cantal, la Corrèze et le Puy-de-Dôme.
Au-delà de ces qualités de résistance, ce chou peut mesurer jusqu’à 1,20 m de diamètre, peser 20 kg et se conserve en terre, tête retournée[32].
Aujourd’hui, Magnat et la commune voisine de Beissat fêtent toujours ce chou. Cette fête, généralement organisée en mai et octobre, animée par l’association éponyme, permet d’acheter des graines, des plants, et d’échanger sur la meilleure façon de soigner ces choux ou de les cuisiner.
Politique et administration
La mairie en 2018.
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001
2014
Lucien Mestat
mars 2014
mai 2020
Philippe Breuil
PS
Enseignant Conseiller général du canton de La Courtine (2001-2015)
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
En 2019 , la commune de Magnat-l'Étrange comptait 247 habitants. À partir du XXIesiècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres chiffres sont des estimations.
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 200
1 108
1 220
1 390
1 373
1 530
1 571
1 604
1 638
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 579
1 595
1 607
1 712
1 842
1 696
1 825
1 592
1 652
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 609
1 508
1 505
960
954
828
819
703
559
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
460
462
384
318
245
212
229
231
222
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
242
247
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
La commune comporte plusieurs exploitations agricoles, pratiquant principalement l'élevage bovin.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine civil
Le château de Magnat, du début de XVIIesiècle, partiellement en ruine, avec maçonneries du XIIIesiècle, est inscrit en 1943 au titre des monuments historiques[30],[36].
Le château du Bost, propriété privée, a été construit vers l'an 1300 par les du Plantadis et été restauré vers 1900[37].
Huit moulins à eau des XVIIIeetXIXesiècles ont été identifiés sur le territoire communal[38].
Le barrage de la Rozeille, ou barrage de Beissat, est situé un kilomètre et demi au sud-ouest du bourg de Magnat, le plan d'eau étant partagé avec la commune voisine de Beissat.
La façade sud du château de Magnat après rénovation en 2012.
Faîtage du château de Magnat en 2018.
Lucarne du château de Magnat en 2018.
Le monument aux morts.
Le barrage de la Rozeille.
Patrimoine religieux
Le prieuré de Magnat, construit vers 764, était placé sous le double vocable de saint Pardoux et de l'Assomption de la Vierge. Après sa destruction par les Normands au IXesiècle, il a été reconstruit au XIIIesiècle, à nouveau détruit trois siècles plus tard, et à nouveau rebâti avant d'être définitivement détruit[29] à la Révolution française.
L'église de l'Assomption-de-la-Très-Sainte-Vierge, romane datée du XIIesiècle et remaniée aux XVIeetXVIIesiècles, a été consacrée en 1523, comme le précise l'inscription (devenue presque illisible avec le temps) sous une fenêtre[39]. Classée en 1943 au titre des monuments historiques[40],[31], l'église se caractérise par deux clochers-murs qui sont placés perpendiculairement, l’un formant la façade occidentale de l’édifice, l’autre étant dans le prolongement du mur Nord de la nef.
Ce double clocher fait l’objet d’une légende:
«Avant de partir en croisade, le seigneur de Magnat promit au curé de la paroisse, s’il revenait vivant de son périple, de payer un clocher pour l’église. Mais son absence se prolongea et sa femme prit un amant. Désirant l’épouser, elle acheta l’accord du curé en payant le clocher promis par son mari. Mais malchance pour elle, son mari revint d’Orient quelque temps après. Il tua la femme et l’amant mais, ayant promis le clocher à un homme d’église, le fit construire malgré tout, ce qui explique la présence des deux clochers.»
À l'intérieur, le maître-autel est composé d'un remarquable ensemble autel-tabernacle[41]-retable[42] du XVIIesiècle inscrit en 1987 au titre des monuments historiques[43]. Il est agrémenté de statues de la même époque représentant saint Martial[44] et saint Roch[45] et quatre anges, toutes les six inscrites au titre des monuments historiques, ainsi que la Vierge de l'Assomption, classée en 1988[46]. L'église et le retable ont fait l'objet d'une restauration par les monuments historiques en 2016-2017. Les vitraux sont l'œuvre de Charles Lagaye en 1879[47],[48] et 1887[49],[50] et de Charles Borie vers 1929[51],[52],[53],[54].
Datées du XVIIeauXXesiècle, 25 croix monumentales ont été recensées sur le territoire communal[55].
La croix de cimetière, restaurée en 1869, date peut-être du XVIIesiècle[56].
Une fontaine de dévotion dédiée à saint Roch a été érigée à la sortie du bourg de Magnat[57].
L'église.
Le double clocher-mur.
Le double clocher-mur.
Modillons et chapiteau sculpté.
La nef.
Le retable.
Statue de lion du XIIIeouXIVesiècle.
Magnat-l'Étrange dans la littérature
Magnat-l'Étrange est citée dans le poème d’Aragon, Le conscrit des cent villages, écrit comme acte de résistance intellectuelle de manière clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[58]. La commune est également le lieu de l'intrigue de la bande-dessinée Intrus à l'Étrange de Simon Hureau.
Personnalités liées à la commune
Louis de Manhac[Note 9], chevalier de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, sénéchal de l'ordre, grand commandeur de Chypre, commandeur de Chamberaud et de la chambre magistrale de «Fenice et La Noyère» (milieu du XVesiècle)[59].
Antoine du Plantadis, né vraisemblablement au château du Bost, est lieutenant-général du comté de la Marche de 1581 à 1588.
Alexandre de Lestrange (1747 - 1828), 4emarquis de Lestrange, né à Magnat-l'Étrange, est officier dans les Volontaires de Soubise, puis capitaine de dragons. Descendant de Laurent du Plantadis (seigneur du Bost, châtelain d'Aubusson et Felletin fin XVIesiècle), il est l'aïeul, à la 6egénération, d'Antoine de Saint-Exupéry.
Paul Fressanges du Bost (1886-1943) est un aviateur de la Première Guerre mondiale. Une partie de ses origines familiales se trouvent au château du Bost, à Magnat-l'Étrange.
Deux valeurs différentes pour l'IGN, 867 mètres sur la carte et 868 sur son ancien site.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[25].
Manhac, ancien fief qui se trouvait sur la commune de Magnat-L'Étrange (de Vaivre 2000, p.123).
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Inventaire général du patrimoine culturel, «Château», notice noIA00030667, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
Inventaire général du patrimoine culturel, «Château», notice noIA00030673, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
Inventaire général du patrimoine culturel, «moulins», notice noIA23000427, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
Inventaire général du patrimoine culturel, «retable (retable architecturé))», notice noIM23000581, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
Inventaire général du patrimoine culturel, «statue (grandeur nature): saint Martial», notice noIM23000584, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
Inventaire général du patrimoine culturel, «statue (grandeur nature): saint Roch», notice noIM23000585, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
«statue: Vierge de l'Assomption», notice noPM23000116, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
Inventaire général du patrimoine culturel, «verrière figurée: Vierge à l'Enfant», notice noIM23000580, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
Inventaire général du patrimoine culturel, «verrière figurée: Sacré-Cœur», notice noIM23000577, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
Inventaire général du patrimoine culturel, «verrière: le calvaire», notice noIM23000576, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
Inventaire général du patrimoine culturel, «verrière: la Remise des clefs à saint Pierre», notice noIM23000575, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
Inventaire général du patrimoine culturel, «verrière: Jésus bénissant les enfants», notice noIM23000574, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
Inventaire général du patrimoine culturel, «verrière: la Nativité», notice noIM23000573, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
Inventaire général du patrimoine culturel, «Croix monumentales», notice noIA00030664, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
Inventaire général du patrimoine culturel, «Croix de cimetière», notice noIA00030669, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
Inventaire général du patrimoine culturel, «Fontaine de dévotion Saint-Roch», notice noIA00030671, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2019.
Louis Aragon, «Le Conscrit des cent villages», publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poètes: France, 1940-1945, Paris: Seghers, 2004 (2eédition). (ISBN2-232-12242-5), p.373-375.
Jean-Bernard de Vaivre, «La forteresse de Kolóssi en Chypre», Monuments et mémoires de la fondation Eugène Piot, vol.79, , p.122-123, 127 (lire en ligne).
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