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Lucenay-lès-Aix
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Géographie
Carte de la Nièvre.
Lucenay-lès-Aix se trouve dans le sud du département, à 15 km au sud de Decize, à la limite du département de l'Allier. Elle appartient au canton de Dornes et à l'arrondissement de Nevers. La Nièvre atteint son extrémité sud sur le territoire de la commune.
Lucenay-lès-Aix porte le code Insee 58146 et est associée au code postal 58380. Elle se situe à une altitude de 215 mètres environ. Sa superficie est de 56 km2.
Le terrain communal est situé au-dessus de bassin houiller du Sud Nivernais, le gisement de houille le plus important d'Europe.
Le terrain est principalement composé d'argiles surmontant des galets au sud du bourg et sables à galets et argiles au Nord du Bourg
Topographie
La topographie de la commune de Lucenay les Aix est légèrement vallonnée. Les altitudes varient entre 202 mètres au niveau du ruisseau de l’Ozon et de la rivière de l’Acolin et 242 mètres entre les hameaux du «Grand Méchin» et du «Petit Méchin». Le bourg s’est développé sur une altitude moyenne d’environ 215 mètres
Accès
La commune est desservie par de nombreuses routes départementales (RD):
De nombreuses voies communales permettent la desserte des hameaux et des écarts.
Hydrographie
Le réseau hydrographique sur la commune de Lucenay les Aix est très important. Il est composé de la rivière de l’Acolin ( à l'est) et de son affluent l’Ozon ( à l'ouest) mais également de multiples cours d’eau temporaires et d’étangs
Villages, hameaux, lieux-dits, écarts
La commune est composée d’un centre bourg et de 6 hameaux principaux. Des écarts sont également présents et regroupent pour l’essentiel des exploitations agricoles
Les principaux sont
Les Arnoux, au sud du village.
Le Mouroux, au nord-est (anciennement le village de Montmouroux)
Limites administratives
Par acte passé à Paris en septembre 1389[1] il est décidé de mettre fin aux conflits territoriaux entre le duc de Bourgogne et le duc de Bourbon et de définir les limites des deux duchés, la limite est donc définie à Villeneuve (sur Allier) et son territoire, Chevagnes[2], Dornes, Lucenay-les-Aix et Gannay pour ensuite prendre les limites de la Bourgogne. Cet acte n'a pas pour autant fait cesser les troubles entre la Bourgogne et des bandes au service du Roi qui perdurèrent encore des décennies.
Lucenay-les-Aix, bien qu'en Nivernais, fait ainsi partie sous l'ancien-régime de la généralité de Moulins. Ainsi du fief d'Auzon et d'Aglan[3] qui figure pour Lucenay-les-Aix sur le Sommier de la Généralité de Moulins[4]. le Notaire Royal de Lucenay-les-Aix au XVIIIe siècle relève ainsi du bailliage de Saint-Pierre le Moutier mais de la sénéchaussée du Bourbonnais.
La confusion quant aux limites perdure encore au moment de la convocation aux Etats-généraux de 1789 où la paroisse de Lucenay-les-Aix (Comme Aurouer et Toury-Lurcy) comparurent à la fois dans le bailliage de Nevers et de Moulins[5]. De même lorsque le maire de Moulins François Charrier habite au château d'Auzon en 1838, il le mentionne son habitation comme faisant partie de l'Allier.
Lucenay possédait trois églises: celles de Saint-Gervais (à la Celle) et de Saint-Genest (ancien emplacement de la pharmacie), qui disparaissent pendant la Révolution, et celle de Saint-Romain à Lucenay, dont le bénéfice simple est en 1766 au prieur et curé de l'abbaye Saint-Martin de Nevers: Pierre Canivest (Rouen.1715-St.Martin de Nevers le )[6].
Bien avant la révolution industrielle, des tuileries s'implantent à Lucenay, et s'ajoutent aux activités de ferronnerie. Les tuileries des Voidoux et des Méchins disparaissent, et celle des Coquats cesse de fonctionner en 1939.
Entre 1790 et 1794, la commune absorbe les communes voisines de La Celle-les-Lucenay et Lucenay-Saint-Romain. La nouvelle commune ainsi formée porta provisoirement le nom de Bourg-la-Réunion[7].
Au XIXesiècle, cinq moulins produisent de la farine dont le Moulin d'Aglan (sur la rivière l'Acolin) et le Moulin Méchin (sur la rivière l'Ozon). Seul le moulin de Dardault fonctionne encore, et fournit la farine à nos boulangers. Une usine d'ampoules pharmaceutiques a été ouverte en 1964.
Urbanisme
Typologie
Lucenay-lès-Aix est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Moulins, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,8% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,9%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
prairies (55,4%), terres arables (22,4%), zones agricoles hétérogènes (15%), forêts (5,3%), zones urbanisées (2%)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].
Toponymie
Lucenay-les-Aix (comme Lucenay l'Evèque) devrait son nom au culte de Lucine selon un auteur[15]
Pour d'autres[3], le nom de Lucenay, comme ceux de Lucenat et de Lucenay-en-Valet qui se rencontrent dans ce pays boisé, limite du Bourbonnais, y placeraient la forêt Leccenna, dont Aimoin signale la vaste étendue sur les confins des Bituriges et des Arvernes[16]
Concernant les Aix, la terminologie peut venir soit des eaux, (Aigues, acquas) selon un courant classique[17] soit selon d'autres auteurs de haies (Ahaie, "aujourd'hui bois à Lucenay les Aix, cité en 1231"[18]
Luciniacum, Luciniacus: Lucenay les Aix (les Aix signifierait les Haies)[19] ce qui peut être corroboré par certains actes (cf infra) qui mentionnent régulièrement Lucenay les Hayes.
Histoire
Lucenay-les-Aix se situe aux confins des territoires de trois peuples celtiques: Les Eduens, des Arvermes et des Bituriges[2],[3].
On a découvert une hache polie en jaspe (époque celtique)[20]
Une voie gallo-romaine passe par la commune.
Ont été découverts en 1925 des saumons de fer sur la propriété d'Auzon à la limite de la commune de Gennetines[21].
À la Cour-du-Bois, il subsiste une motte féodale (oppidum selon Geoportail)
Au XIIesiècle, il existe un couvent augustinien (fondé en 1130)[19] relevant de l'abbaye Saint-Andoche d'Autun.
Lucenay les Aix est mentionné dans différents actes:
1129, bulle du pape Honorius II qui met sous la protection du Saint-Siège le monastère de Saint-Martin et indique les principales possessions qui en dépendaient.dont les deux églises de Lucenay-les-Aix, Saint-Romain et Saint-Genès[22]
1271 Hommages rendus aux Comtes de Nevers par Guyot de Beaulmont, écr, au nom de sa femme Marguerite, fille de feu Gui Breschard, pour les maison et fief de Véiro, avec toutes ses appartenances à Lucenay, en présence de Robert, évêque de Nevers[23]
1322 Hommages rendus aux Comtes de Nevers, pour la seigneurie de Lucenay-les-Aix, par les personnes dont les noms suivent: Guyot Pioche, damoiseau, seigneur de Lucenay-les-Hayes, pour la maison de la Cour-du-Bois de Lucenay[23]
1300 Le Comte de Nevers vient diner à Lucenay les Aix chez Hugues Pioche[24]
1351 Hommage de Gui Pioche, chevalier, au Comte de Nevers pour sa maison de Lucenay les Aix
1347 Hommage d'Agnès de Malvoysine, femme du précédent
1361 Hommage de Jean Pioche, chevalier, seigneur d'Onay et Lucenay-les-Aix
1374, Hommage du même, pour la maison-fort de Lucenay
1406 Hommage de noble homme jean de Montjournal, pour les terres de Lucenay-les-Haies et Drapey
1408, Hommage de Jean Pioche, chevalier, seigneur de Lucenay
1437, Philibert et Antoine Pioche, écuyers, frères, enfants et héritiers de feu noble seigneur Jean Pioche, chevalier pour la Cour-du-Bois et autres biens
1464, Jeanne Pioche, dame du Boys, Odile et Antoine de Monjeu, frères, pour la moitié de Lucenay
Une demoiselle Philippe du Meuble, déclare au terrier de Bessay, en 1491, les terres que tient à Lucenay son mari, Philippe d'Aglan, écuyer, «absent du pays et servant le roy en la guerre de Bretagne[2]
1575 Jacques d'Aiguilly, seigneur de Lucenay-les-Aix, fils et héritier de feu Louette de.Varigny, pour, la seigneurie de Lucenay,
1596 Philippe Gentil est seigneur d’Aglan et d’Ozon[23] Les seigneurs de Lucenay sont la famille des Gentils (voir sources en 1600) également seigneurs de Toury et du Bessay. Voir la plaque funéraire citée infra.
1626 Les seigneurs de Cossaye et Ris sont ainsi désignés[23]: "Antoine des Gentils, chevalier de l'ordre du roi, seigneur et baron de Lucenay-les-Hais, la Cour-du-Bois, Montjournal, Agland, Beize, et par moitié de Cossaye et Rix, demeurant à Lucenay, en sa maison de la Cour du Bois"
1644 Anne Des Gentils, chevalier, baron de Lucenay-lès-Aix, du Bessay et autres places[25]
1668 Léonard des Gentils, chevalier, seigneur de Lamenay, Craux, Rix et par moitié de Cossaye, demeurant au château d'Aglan, paroisse de Lucenay[26]
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 dans la Nièvre.
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Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
mars 1989
mars 2008
Robert Tuloup
mars 2008
mai 2011 (démission)
Pascal Lacroix
juillet 2011
mars 2014
Joëlle André
mars 2014
juillet 2020
Jean Marc Fonverne
juillet 2020
En cours
Jean Yves Forest
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
Les habitants de Lucenay-lès-Aix s'appellent les Lucenayais.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].
En 2019, la commune comptait 978 habitants[Note 3], en diminution de 2,69% par rapport à 2013 (Nièvre: −5%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 191
1 187
1 177
1 497
1 473
1 674
1 579
1 753
1 800
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 016
2 109
2 490
2 360
2 543
2 773
2 601
2 626
2 540
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
2 533
2 517
2 302
1 979
1 855
1 797
1 768
1 677
1 554
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
1 628
1 554
1 419
1 218
1 139
1 048
1 050
1 051
1 005
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
980
978
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30]. |recens-prem=20.)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Le plus grand gisement de charbon de France (estimé à 250 millions de tonnes) a été découvert par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) entre Lucenay-lès-Aix et Cossaye en 1986. Un projet de mine exploitée en partie à ciel ouvert a été lancé, pour alimenter une centrale thermique de 1 000 mégawatts[31]. Il a été abandonné définitivement en 2009.
Article détaillé: Mine de charbon du Sud Nivernais.
une usine d'ampoules pharmaceutiques (depuis 1964) qui a appartenu à Alcan Packaging et à Rio Tinto Alcan appartient aujourd'hui à Nipro Pharmapackaging France [32] emploie environ 80 personnes.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Églises
Lucenay possédait trois églises:
L'église Saint-Romain de Lucenay-lès-Aix dont l'ancienne chapelle du prieuré de la fin du XIesiècle est contigu à l'église subsistante. L'abside alterne arcs cintrés et arcs en mitre. Le clocher date du XVesiècle. Les vitraux du XIXesiècle de style art nouveau représentent des épis de blé et des grappes de raisin en grisaille. Ouverte tous les jours[33];
L'église Saint-Genest, disparue pendant la Révolution, était située à l'emplacement de l'ancienne pharmacie;
L'église Saint-Gervais de La Celle, disparue pendant la Révolution.
Liste des curés de Saint-Romain:
(liste non exhaustive)
1685 - Arnault, curé
1723 - 1753 - Jean Gamonnet, curé décédé le , inhumé le 3.
1724 - Lannoy, prieur
1753 - Sernoir, desservant
1754 - 1758 - Pierre Chevillot, curé, décédé le , inhumé le lendemain dans le chœur de l'église.
1758 - Clémendot, prêtre
1759 - 1764 - Laurent, curé
1764 - 1765 - Etienne Marest, curé, décédé le , inhumé le 1er mai, dans le chœur de l'église.
1765 - Merville de Rochepierre, curé
1765 - 1774 - Edme Huet, curé
1774 - 1778 - Gervoy, curé
1777 - Sigismond, capucin prêtre
1778 - 1792 - Fournioux, curé
1780 -, Clément, vicaire
1781 - 1782 - Fournioux, vicaire
1782 - 1783 - Grasset, vicaire
1783 - 1784 - Merlin, vicaire
1785 - 1787 - Saignot, vicaire
1788 - 1789 - Libault, vicaire
1790 - Henriot, vicaire
1791 - Daguillon, vicaire.
Liste des curés de Saint-Genest
(liste non exhaustive)
Patrimoine industriel
Lucenay-les-Aix disposait de quatre moulins à eau:
Moulin d'Aglan
Moulin Dardault
Moulin Méchin
Moulin Moineau
et de trois tuileries:
Tuileries des Méchins
Tuilerie des Voidoux
Tuileries des Coquats (arrêt en 1939)
Châteaux
Mentionnés mais non subsistants: La Cour-du-bois, Aglan
Auzon, Château d'Auzon: château et fief, commune de Lucenay les Aix, Auzon, 1636, registre de Cossaye. Fief de la châtellenie de Decize qui donne son nom à un ruisseau affluent de la Loire lequel arrose les communes de Lucenay les Aix et de Cossaye. Le vrai nom de ce lieu est Auzon.
Fief attesté par des archives du XVesiècle, confirmé par un avis du Conseil d’État de 1804, Auzon s’est étendu sur plusieurs communes et faisait partie du Bourbonnais jusqu’à découpage de la France en département où ses terres furent divisés sur la Nièvre et sur l’Allier.
Un château dont, aucun plan n'a été retrouvé avant la Révolution, était un château au XVIIesiècle et au XIIIesiècle composé, selon les différents actes de vente (1771, 1787), d’un corps principal et d’une tour. Les différents actes ne font état que de l’intérieur, description des différentes pièces et de la chapelle aujourd’hui disparue (il n’en est plus fait mention après 1786).
Le parc du château a été redessiné par le comte de Choulot au XIXesiècle et contient des essences rares.
Lucenay, (dans le bourg)
Patrimoine classé
Sont inscrits au Patrimoine:
Plaque funéraire de Philippe des Gentils, seigneur d'Aglan (dans l'église) Monument historique[35];
Paul Touvier, y a été caché par un vétérinaire[réf.nécessaire][Quand?].
Christine Renard (1929-1979), autrice de science-fiction, est née à Lucenay.
Claude B. Levenson, journaliste et traductrice, y a passé son enfance sous l'Occupation.
Antoine Dareste de La Chavanne, historien, est mort à Lucenay.
Jumelage
Le commune de Lucenay-lès-Aix est jumelée avec la commune de Waldesch en Allemagne (Rhénanie-Palatinat)
Notes et références
Notes
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
René de Lespinasse, Le Nivernais et les contes de Nevers, Paris, , 648p. (lire en ligne), p.66.
Litaudon, Marie, Histoire du canton de Chevagnes, Moulins, .
Aubert de La Faige et Roger de La Boutress, Les fiefs du Bourbonnais, Moulins, , Tome 2.
Ce sommier est aux archives municipales de Moulins et consultable en ligne
Armand Brette, Recueil de documents relatifs à la convocation des États généraux de 1789, Paris, 1894-1915, p. 522.
Nicolas Petit, Prosopographie génovéfaine, répertoire biographique des chanoines réguliers de Saint-Augustin de la Congrégation de France 1624-1789, Librairie Droz, 2008, 596. p.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Morlon, Louis-Albert, Promenades en Morvan, Nevers, (lire en ligne).
Mémoires de l'Académie des sciences, arts et belles-lettres de Dijon, Dijon, Académie de Dijon, , p.470.
Georges Cousin, Études de géographie ancienne, Paris, Berger-Levrault, , p.439.
Comité des travaux historiques et scientifiques, Bulletin philologique et historique jusqu'à 1610 du Comité des travaux historiques et scientifiques, Paris, , p.174.
Michel de la Torre, Villes et villages de France, Nièvre, Paris, Deslogis-Lacoste, , 76p..
Commission instituée au ministère de l'Instruction publique et des Beaux-Arts, Dictionnaire archéologique de la Gaule: époque celtique, Paris, Imprimerie nationale, 1875-1923, 2 vol. (4-476 p.-55 pl., 785 p.), p.120.
Société d'émulation du Bourbonnais., Bulletin de la Société d'émulation du Bourbonnais: lettres, sciences et arts, Moulins, (lire en ligne), T 28.
Crosnier, Augustin-Joseph, Les congrégations religieuses dans le diocèse de Nevers, Nevers, Michot, , 614p. (lire en ligne).
Marolles, Michel de, Inventaire des titres de Nevers de l'abbé de Marolles: suivi d'extraits des titres de Bourgogne et de Nivernois, d'extraits des inventaires des archives de l'église de Nevers et de l'inventaire des archives des Bordes, Nevers, Impr. de Fay, , 416p. (lire en ligne).
Société nivernaise des lettres, sciences et arts. Auteur du texte, «Documents sur l'administration du Comté de Nevers au XIIIe siècle, par M.II. de Flamare», Bulletin de la Société nivernaise des lettres, sciences et arts, , p.545.
Comte de Soultrait, Armorial historique et archéologique du Nivernais, Nevers, Michot, .
Dépliant touristique du diocèse de Nevers, Visitez les églises de la Nièvre, Pastorale Tourisme & Loisirs, 2013
La Fare, Armand, Annuaire des Châteaux et des départements, Paris, Publications La Fare, .
Ministère de la Culture (France), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN
Ministère de la Culture (France), Base Palissy
Voir aussi
Articles connexes
Liste des communes de la Nièvre
Mine de charbon du Sud Nivernais
Bibliographie
Georges de Soultrait (Jacques Hyacinthe Georges Richard de Soultrait), Dictionnaire topographique du département de la Nièvre comprenant les noms de lieu anciens et modernes, rédigé sous les auspices de la Société nivernaise des lettres, sciences et arts, Nevers, Société nivernaise des lettres, sciences et arts
Société française pour la conservation des monuments historiques, Séances générales par la Société française pour la conservation des monuments historiques, Derache,
Paulin Fay, Dictionnaire géographique de la nièvre: nomenclature des villes, villages, hameaux ..., I.M. Fay, imprimeur de la préfecture, , 213 pages
Nicolas Jules Henri Gourdon de Genouillac, Dictionnaire des fiefs, seigneuries, châtelleries, etc. de l'ancienne France,
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