Louvie-Soubiron (en béarnaisLobièr-de-Haut ou Loubié-de-Haut) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Louvie.
Louvie-Soubiron
La mairie de Louvie-Soubiron.
Administration
Pays
France
Région
Nouvelle-Aquitaine
Département
Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement
Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité
Communauté de communes de la Vallée d'Ossau
Maire Mandat
Gérard Sarrailh 2020-2026
Code postal
64440
Code commune
64354
Démographie
Population municipale
124 hab. (2019 )
Densité
4,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 00′ 01″ nord, 0° 24′ 45″ ouest
Altitude
Min. 457 m Max. 2 038 m
Superficie
26,66 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton d'Oloron-Sainte-Marie-2
Législatives
Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Louvie-Soubiron
Géolocalisation sur la carte: France
Louvie-Soubiron
Géolocalisation sur la carte: Pyrénées-Atlantiques
La commune de Louvie-Soubiron se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 39 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 34 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5]:
Béost (0,7 km), Laruns (1,8 km), Aste-Béon (2,6 km), Gère-Bélesten (3,0 km), Eaux-Bonnes (3,4 km), Bielle (6,3 km), Bilhères (7,2 km), Castet (7,8 km).
Sur le plan historique et culturel, Louvie-Soubiron fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].
La commune est également traversée par l'Ouzoum (affluent du gave de Pau) et ses affluents:
le Caud'Arrouy
le ruisseau de Gourlapit
le ruisseau de Hougarou
le ruisseau de Lastètes
le ruisseau le Laussiès
Des captages d'eau pour la zone de Pau et ses alentours est alimenté par des sources karstiques, Aygue Blanque (teneur en nitrates faible, 1 mg/l en 2009).
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat des marges montargnardes», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type «climat de montagne» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]
Moyenne annuelle de température: 10,3°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 4,7 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,2 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,9 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Laruns-Artouste», sur la commune de Laruns, mise en service en 1943[13] et qui se trouve à 2 km à vol d'oiseau[14],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 8,7°C et la hauteur de précipitations de 1 635,4 mm pour la période 1981-2010[15].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Pau-Uzein», sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 45 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[17], à 13,4°C pour 1981-2010[18], puis à 13,8°C pour 1991-2020[19].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[20],[21].
Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cœur et de l'aire d'adhésion[Note 6] du Parc National des Pyrénées. Créé en 1967 et d'une superficie de 45 806ha, ce parc abrite une faune riche et spécifique particulièrement intéressante: importantes populations d’isards, colonies de marmottes réimplantées avec succès, grands rapaces tels le Gypaète barbu, le Vautour fauve, le Percnoptère d’Égypte ou l’Aigle royal, le Grand tétras et le discret Desman des Pyrénées qui constitue l’exemple type de ce précieux patrimoine confié au Parc national et aussi l'Ours des Pyrénées[22],[23].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux», constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7].
Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la «directive Habitats»[25],[Carte 1]:
«le gave d'Ossau», d'une superficie de 2 300ha, un vaste réseau de torrents d'altitude et de cours d'eau de coteaux à très bonne qualité des eaux[26];
le «massif du Moulle de Jaout», d'une superficie de 16 350ha, abritant en particulier six espèces rares, menacées à l’échelle mondiale. Certaines de ces espèces comme le Géranium de Bilhère ne se rencontrent qu’en Haut Béarn. D’autres, comme la Bartsie en épi (Northobartsia spicata), qui ne se rencontre en Béarn que sur le massif de Jaout, lui confèrent toute son originalité), qui ne se rencontre en Béarn que sur le massif de Jaout, lui confèrent toute son originalité[27];
et deux au titre de la «directive Oiseaux»[25],[Carte 2]:
les «pènes du Moulle de Jaout», d'une superficie de 4 399ha, un vaste ensemble montagneux comprenant des falaises exposées à l'Ouest, caractérisée par des habitats ouverts, forestiers et rupestres pyrénéens typiques favorisant la présence d'espèces ornithologiques majeures[28];
les «pics de l'Estibet et de Mondragon», d'une superficie de 4 648ha, sont une zone de montagne de moyenne à haute altitude avec occupation du sol alternant habitats ouverts, forestiers et rupestre[29].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de type 1[Note 8] sont recensées sur la commune[30],[Carte 3]:
les «pelouses, landes et boisements du pic Merdanson et du pic Mondragon» (2 759,1ha), couvrant 3 communes du département[31];
le «pic du Moulle de Jaut» (426,46ha), couvrant 3 communes du département[32],
le «réseau hydrographique du gave d'ossau à l'amont d'arudy et ses rives» (586,79ha), couvrant 12 communes du département[33];
les «bassins versants amont de l'Ouzom (rive gauche) et du Béez» (9 662,23ha), couvrant 4 communes du département[34];
le «réseau hydrographique du gave de Pau et ses annexes hydrauliques» (3 000,84ha), couvrant 71 communes dont 10 dans les Landes, 59 dans les Pyrénées-Atlantiques et 2 dans les Hautes-Pyrénées[35];
le «réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents» (6 885,32ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[36];
la «vallée d'Ossau» (43 624,41ha), couvrant 13 communes du département[37].
Urbanisme
Typologie
Louvie-Soubiron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10],[38],[39],[40].
La commune est en outre hors attraction des villes[41],[42].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,5% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,9%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (50%), forêts (38,8%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (6,7%), prairies (4,1%), zones urbanisées (0,4%)[43].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].
Lieux-dits et hameaux
Le hameau de Listo sur le chemin du col de Louvie.
Le quartier et le hameau des Eschartès, près de Ferriéres et de l'ancienne mine de Baburet. Ce hameau, fort éloigné de Louvie-Soubiron - à cinq ou six heures de marche par le col de Louvie ou, par la route, à une trentaine de kilomètres - est pourvu d'une mairie annexe.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Louvie-Soubiron est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque particulier: le risque de radon[44]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[45].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron, l'Ouzoum et le Canceigt. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2009, 2018, 2019, 2021 et 2022[46],[44].
Louvie-Soubiron est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[47]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[48],[49].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[50].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Louvie-Soubiron.
Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[51]. 47,5% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 11],[52].
La commune est exposée aux risques d'avalanche. Les habitants exposés à ce risque doivent se renseigner, en mairie, de l’existence d’un plan de prévention des risques avalanches (PPRA). Le cas échéant, identifier les mesures applicables à l'habitation, identifier, au sein de l'habitation, la pièce avec la façade la moins exposée à l’aléa pouvant faire office, au besoin, de zone de confinement et équiper cette pièce avec un kit de situation d’urgence[53],[54].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Louvie-Soubiron est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[55].
Toponymie
Le toponyme Louvie-Soubiron apparaît[56] sous les formes Lobiher-Susoo (1376, montre militaire de Béarn[57]), Lobier-Susoo (1414, titres de Louvie-Soubiron[58]), Lovier-Sobiroo (1489, notaires d'Ossau[59]), Lobier-Sobiron (1538, réformation de Béarn[60]), Sanctus-Martinus de Louvie (1606, insinuations du diocèse d'Oloron[61]), Lovier-Soubiron (1612, titres de Louvie-Soubiron[58]), Lobie-Souvirion (1675, réformation de Béarn[60]). Listo est mentionnée[56] dès 1487 (Lobier et Listo, notaires d'Ossau[59]). 'Lobièr' nom occitan vient du latin et signifie demeure de Lupinus, 'Soubiron' vient de l'occitan gascon 'sobiran' = en amont, en effet la commune est au-dessus de Louvie-Juzon[62].
En 1385, Louvie-Soubiron comptait 9 feux et Listo 3. Elles dépendaient du bailliage d'Ossau. Paul Raymond[56] note que ce village formait avec Listo une ruffe-baronnie depuis 1615, vassale de la vicomté de Béarn. À noter que dès 1538, le seigneur de ces communes s'attribue le titre de prumer rufabaron.
Au XIXesiècle, les mines de fer de Baburet en vallée d'Ouzoum alimentent les forges d'Arthez-d'Asson[65], et de Louvie-Soubiron, toutes deux installées sur les bords de l'Ouzom (forges de la vallée de l'Ouzom)[66].
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1995
2001
Jean-Marc Répéto
2001
2008
Jean-Marc Répéto
2008
2014
Gérard Sarrailh
Intercommunalité
La commune fait partie de deux structures intercommunales[67]:
la communauté de communes de la Vallée d'Ossau;
le SIVU pour la construction de la maison de retraite du Haut-Ossau.
La commune fait partie du Pays d'Oloron et du Haut-Béarn.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[68]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[69].
En 2019, la commune comptait 124 habitants[Note 12], en augmentation de 2,48% par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques: +2,8%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
316
263
156
233
306
383
353
401
378
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
400
394
387
347
360
363
387
383
387
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
370
303
319
280
245
217
217
190
168
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
137
128
125
118
127
121
113
112
119
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
119
124
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[70] puis Insee à partir de 2006[71].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Un gisement de fer, la mine de Baburet, fut exploité jusqu'en 1866, puis à nouveau de 1920 à 1962. Une carrière de marbre blanc fut également ouverte au nord du village. Elle donnait un marbre blanc «analogue au marbre de Carrare [...] et bon pour la statuaire [qui] a servi à faire les statues extérieures de la Madeleine, à Paris»[72] ainsi que du marbre bleu turquin.
L'agriculture et l'élevage constituent une part importante de l'activité économique de la commune, qui fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Le village.
Le village.
Louvie-Soubiron.
La montagne depuis Louvie-Soubiron.
Entrée dans Louvie-Soubiron.
L'église Saint-Martin-de-Tours.
Patrimoine civil
L'ancienne mine de Baburet.
L'ancienne forge de Louvie.
L'ancienne forge de Nogarot.
L'ancienne forge d'Isale.
L'ancienne carrière de marbre blanc de La Peyrère.
Patrimoine religieux
L'église paroissiale Saint-Martin-de-Tours date du XIIesiècle et a été reconstruite au XIXesiècle.
Équipements
Personnalités liées à la commune
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN2-213-59961-0), p.30.
Carte IGN sous Géoportail
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208p. (BNF31182570, lire en ligne)..
Manuscrit de 1376 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Titres de la commune - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Notaires d'Ossau - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Collection manuscrite du XVIeauXVIIIesiècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Manuscrits du XVIIesiècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Michel Grosclaude (préf.Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416p. (ISBN9782350680057, BNF35515059), p.143..
Général Serviez, Prefet dfes Basses-Pyrénés, Statistique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie des sourds-luets, , 140p. (lire en ligne), p.42.
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