Lieurac (Liurac en occitanlanguedocien) est une commune française, située dans l'est du département de l'Ariège en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du pays d'Olmes, haut lieu de la tragédie cathare alliant des paysages d'une extrême diversité.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Douctouyre, le ruisseau du Sautel et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Lieurac est une commune rurale qui compte 185 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Lavelanet. Ses habitants sont appelés les Lieuracois ou Lieuracoises.
Géographie
Localisation
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La commune dans le département
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Carte topographique
Avec les communes environnantes
Carte dynamique
Carte Openstreetmap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes
La commune de Lieurac se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 15 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, à 21 km de Pamiers[2], sous-préfecture, et à 7 km de Lavelanet[3], bureau centralisateur du canton du Pays d'Olmes dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lavelanet[I 1].
Sur le plan historique et culturel, Lieurac fait partie du pays d'Olmes, haut lieu de la tragédie cathare alliant des paysages d'une extrême diversité[5].
La commune est située dans le Bassin aquitain, le deuxième plus grand bassin sédimentaire de la France après le Bassin parisien. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans les feuilles «n°1075 - Foix» et «n°1076 - Lavelanet» de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[7],[8] et leurs notices associées[9],[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 6,42 km2[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 6,44 km2[8]. Son relief est relativement accidenté puisque la dénivelée maximale atteint 319 mètres. L'altitude du territoire varie entre 352 m et 671 m[14].
Hydrographie
Réseaux hydrographique et routier de Lieurac.
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par le Douctouyre, le ruisseau du Sautel, le ruisseau de dardé, le ruisseau de la Coume, le ruisseau de l'oseille, le ruisseau de Perrine, le ruisseau des Etapies et le ruisseau de Taychel, constituant un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[16],[17].
Le Douctouyre, d'une longueur totale de 42,08 km, prend sa source dans la commune de Freychenet et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Vif à Vals, après avoir traversé 16 communes[18].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune est du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[20].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[19].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 12,5°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,9 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 8,1 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 9,8 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 5,8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[22] complétée par des études régionales[23],[24] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Les Cascades», sur la commune de Roquefort-les-Cascades, mise en service en 1996[25] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[26],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 12,5°C et la hauteur de précipitations de 1 053,2 mm pour la période 1981-2010[27].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Carcassonne», sur la commune de Carcassonne, dans le département de l'Aude, mise en service en 1948 et à 52 km[28], la température moyenne annuelle évolue de 13,7°C pour la période 1971-2000[29], à 14,1°C pour 1981-2010[30], puis à 14,5°C pour 1991-2020[31].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Quatre ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[32]:
les «coteaux secs, vallons et collines de l'ouest du bas pays d'Olmes» (6 664ha), couvrant 19 communes du département[33];
le «cours moyen du Douctouyre» (34ha), couvrant 5 communes du département[34];
«le Plantaurel entre Foix et Lavelanet» (11 312ha), couvrant 26 communes du département[35];
le «massif du Crieu» (8 998ha), couvrant 15 communes du département[36];
les «coteaux du Palassou» (26 749ha), couvrant 48 communes dont 43 dans l'Ariège et 5 dans l'Aude[37];
«le Plantaurel» (42 116ha), couvrant 72 communes dont 68 dans l'Ariège, 2 dans l'Aude et 2 dans la Haute-Garonne[38].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Lieurac.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Lieurac est une commune rurale[Note 8],[39]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2],[40].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lavelanet, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 28 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,3% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (50,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (38,3%), zones agricoles hétérogènes (31,2%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (15%), prairies (13,9%), terres arables (1,6%)[41].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 118, alors qu'il était de 101 en 2013 et de 90 en 2008[I 5].
Parmi ces logements, 70,8% étaient des résidences principales, 20,3% des résidences secondaires et 8,8% des logements vacants. Ces logements étaient pour 93% d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,4% des appartements[I 5].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Lieurac en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (20,3%) inférieure à celle du département (24,6%) mais supérieure à celle de la France entière (9,7%). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 85,2% des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (92% en 2013), contre 66,3% pour l'Ariège et 57,5% pour la France entière[I 6].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en%)
20,3
24,6
9,7
Logements vacants (en%)
8,8
9,7
8,2
Risques majeurs
Zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de Lieurac.
Le territoire de la commune de Lieurac est vulnérable à différents aléas naturels: inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[42],[43].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant[44].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50% de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Lieurac[45]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[46].
Toponymie
Le nom du village aurait une origine gallo-romaine[47].
Histoire
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Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Lieurac est membre de la communauté de communes du Pays d'Olmes[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Lavelanet. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[48].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Pamiers, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 9].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Pays d'Olmes pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la première circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[49].
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
avant 1988
1989
Josette Rebiscoul
mars 1989
2008
Roger Escaich
mars 2008
novembre 2008 (démission)
Gérard Verdon
2008
juillet 2020
Claude Monaco
SE
Retraité
juillet 2020
En cours
Hadrien Barathieu
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[51].
En 2019, la commune comptait 185 habitants[Note 10], en augmentation de 7,56% par rapport à 2013 (Ariège: +0,39%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
303
313
342
302
335
347
326
307
314
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
312
287
287
299
259
283
296
247
243
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
215
239
242
207
194
183
177
148
151
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
126
128
114
104
133
153
153
151
158
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
181
185
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 77 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 179 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 820 €[I 10] (19 820 € dans le département[I 11]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 122 personnes, parmi lesquelles on compte 77,3% d'actifs (67,2% ayant un emploi et 10,1% de chômeurs) et 22,7% d'inactifs[Note 12],[I 12]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lavelanet, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 15]. Elle compte 18 emplois en 2018, contre 32 en 2013 et 36 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 82, soit un indicateur de concentration d'emploi de 22,1% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 60,5%[I 16].
Sur ces 82 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 11 travaillent dans la commune, soit 14% des habitants[I 17]. Pour se rendre au travail, 91,3% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,2% les transports en commun et 7,5% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 18].
Activités hors agriculture
14 établissements[Note 13] sont implantés à Lieurac au [I 19].
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,6 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 14 entreprises implantées à Lieurac), contre 14,2% au niveau départemental[I 20].
Agriculture
1988
2000
2010
Exploitations
5
5
3
Superficie agricole utilisée (ha)
108
102
108
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée «Région sous-pyrénéenne»[54]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et le polyélevage[55]. Trois exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 15] de 2010 (cinq en 1988). La superficie agricole utilisée est de 108ha[55].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Pierre.
Jardin extraordinaire de 15 ha, ouvert à la visite[57],[58].
Partie basse du village
Parties basse et haute du village
Le Douctouyre à Lieurac
Personnalités liées à la commune
Héraldique
Blason
Parti émanché d’or et de sinople.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Pour approfondir
Bibliographie
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Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[21].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[56].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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