Lherm est une commune française, située dans l'ouest du département du Lot en région Occitanie.
Elle est également dans la Bouriane, une région naturelle sablonneuse et collinaire couverte de forêt avec comme essence principale des châtaigniers.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau de la Masse et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Lherm est une commune rurale qui compte 227 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 878 habitants en 1866. Ses habitants sont appelés les Lhermois ou Lhermoises.
Géographie
Lherm est un village installé en pays Bourian, entouré de prairies verdoyantes et forêts.
La commune, à vocation agricole, est située dans le canton de Catus, à une vingtaine de kilomètres de Cahors.
En dehors du bourg, la commune de Lherm comprend 24 lieux-dits: la Fontaine, la Butte, Tournebride, Lamouroux, Laborie, Moulineau, Lapoujade, Combe Étroite, Borie de Ritou, Bouzan, Cussoyre, Gillounègre, Jamenègre, Mas Sarrat, Joncassou, Laboissierette, Lafillou, Laute, le Barbut, les Brugoux, Les Estanels, Meyrissou, Péchaurié, Sardines, Vaysse.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 12,7°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 10,1 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,4 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,2 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Cazals - Dde», sur la commune de Cazals, mise en service en 1959[7] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,4°C et la hauteur de précipitations de 940,7 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Gourdon», sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 22 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4°C pour la période 1971-2000[11], à 12,7°C pour 1981-2010[12], puis à 13,1°C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[14]:
les «prairies humides de la Mouline et du Moulineau» (98ha), couvrant 2 communes du département[15] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[14]:
les «ruisseaux de l'Herm et de la Masse» (661ha), couvrant 8 communes du département[16].
Cartes des ZNIEFF de type 1 et 2 à Lherm.
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Lherm est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[17],[I 1],[18].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,6% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63,5%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (64,6%), zones agricoles hétérogènes (29,3%), prairies (6,1%)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Lherm est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de la Masse. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[22]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[23],[20].
Lherm est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature
de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[24].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lherm.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs, des glissements de terrain et des tassements différentiels[25]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 218 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 218 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 72% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].
Autrefois, Lherm était un haut lieu de l'exploitation du minerai de fer. En 1329, la première mouline de fer du Quercy apparaît dans l'hommage rendu par le seigneur de Péchaurié à l'évêque de Cahors. La mouline de Péchaurié a fonctionné jusqu'au XIXesiècle. Le seigneur de Péchaurié possédait des mines de fer sur le gisement du Pech des Minies ou de las Caselas situé entre le bourg de Lherm et la vallée de la Masse. Les forges du bourg de Lherm se sont maintenues jusqu'au XVesiècle malgré la multiplication des moulines[29].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].
En 2019, la commune comptait 227 habitants[Note 7], en diminution de 3,81% par rapport à 2013 (Lot: +0,19%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
637
657
664
633
730
731
802
746
804
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
769
863
878
840
790
784
719
707
634
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
579
577
538
472
453
407
390
328
300
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
305
301
239
228
232
222
230
224
241
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
234
227
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 96 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 174 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 310 €[I 4] (20 740 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 130 personnes, parmi lesquelles on compte 78,3% d'actifs (67,4% ayant un emploi et 10,9% de chômeurs) et 21,7% d'inactifs[Note 9],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 38 emplois en 2018, contre 46 en 2013 et 43 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 89, soit un indicateur de concentration d'emploi de 42,4% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,5%[I 10].
Sur ces 89 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 30 travaillent dans la commune, soit 34% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 73% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 15,7% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 11,2% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
15 établissements[Note 10] sont implantés à Lherm au [I 13].
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,7 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 15 entreprises implantées à Lherm), contre 29,9% au niveau départemental[I 14].
La commune est dans la «Bourianne», une petite région agricole occupant une partiede l'ouest du territoire du département du Lot[35]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 4]. Six exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (24 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 405ha[37],[Carte 5],[Carte 6].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption (XIesiècle) abrite dans son chœur un monumental retable baroque en bois doré. En forme de triptyque "paravent", il a été attribué à la famille Tournié, sculpteurs de Gourdon[38]. Une de ses caractéristiques est son clocher carré. On pénètre dans cette église par une porte de style Renaissance qui date de la restauration du XVIesiècle. Des vitraux contemporains illuminent la sobre nef voûtée. L'église a été inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques le [39].
Église de Péchaurié.
Chapelle du Saint-Esprit de Lherm.
Maison urbaine dite le "château" ou la "maison Carlier", des XVe, XVIe et XVIIe siècles inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques le [40],[41].
Ancienne chapelle Saint-Cygne du XIIesiècle, près de Mas Sarrat, sur la route vers Jamenègre[42].
Château de Péchaurié, construit à la fin du XIIIesiècle par la famille de Saint-Gily. Il est pillé pendant la guerre de Cent Ans et les guerres de religion. En 1462, Jean de Saint-Gily, seigneur de Péchaurié, dénombre les fiefs qu'il tient de l'évêque de Cahors autour de Péchaurié: dans les paroisses de Vaysse, des Arques et de Goujounac, et des édifices à Lherm[29]. Le château passe à la famille de Vassal par le mariage Françoise de Saint-Gily, en 1670. Le château est alors dans un état général de délabrement. Le dernier Vassal propriétaire du château le donne à la commune qui installe une école dans la chapelle. Il est restauré à partir de 1978 par son nouveau propriétaire[43].
Église Saint-Martin de Vaysse construite à l'initiative de Jean de Saint-Gily, seigneur de Péchaurié, à partir de 1627, à la Mouline[44].
Clocher de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
Chevet de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
Nef de l'église.
Retable de l'église.
Une maison sur la place du village.
Personnalités liées à la commune
Armand-Augustin de Vassal de la Garde, lieutenant au régiment de Rohan-Soubise, puis au régiment d'Hervilly, chevalier de Saint-Lazare, cinquième fils de Pierre-Marc de Vassal, seigneur de Péchaurié, de Vaysse et de L'Herm, et de Marie-Anne Le Lard de Rigoulières[45], né en 1756 au château de Péchaurié à côté du territoire de la commune des Arques, fusillé à Vannes à la suite de l'expédition de Quiberon, en 1795[46]. Son frère, Bertrand de Vassal, baron de Saint-Gily (ou Saint-Gély), résidait au château et n'a pas été inquiété pendant la Révolution[47].
Roger Frey, ancien ministre de l'Intérieur, édifia sa demeure à Lherm[48].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy: Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127p. (ISBN2-910540-16-2), p.115.
Jean Lartigaut, Les moulines à fer du Quercy vers 1440 - vers 1500, p.279-293, dans Annales du Midi, 1969, tome 81, no93(lire en ligne)
Philippe Loiseleur des Longchamps, "Les retables des Junies et de Lherm (Lot)", Allocution prononcée à la sortie V.M.F. du 5 août 1996. Exemplaire dactylographié. Archives Familiales.
«Église Notre-Dame», notice noPA00095135, base Mérimée, ministère français de la Culture.
«Maison», notice noPA00095136, base Mérimée, ministère français de la Culture.
L. Combarieu, Construction d'une église paroissiale au XVIIesiècle. Extrait des Archives de l'église de Vaysse, p.16-22, dans Bulletin de la Société des études du Lot, 1902, tome 27 (lire en ligne)
Chevalier de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France, des grands dignitaires de la Couronne, des principales familles nobles du royaume, tome 5, p.84-85, Artus Bertrand libraire, Paris, 1825 (lire en ligne)
Catherine Didon, Châteaux, manoirs et logis: le Lot, p.146, Association Promotion Patrimoine, Éditions patrimoines & médias, Chauray, 1996 (ISBN2-910137-18-X).
.
Michel-Alexis Montané, Leadership politique et territoire: des leaders en campagnes, Éditions L'Harmattan, , 311p., p.40.
Notes et cartes
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[36].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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