Les Herbiers est une commune française située dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire. Elle compte 16 032 habitants au recensement de 2014 et 18 684 dans son aire urbaine, selon le découpage de l'Insee en 2010.
Les Herbiers | |
![]() La mairie. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Pays de la Loire |
Département | Vendée |
Arrondissement | La Roche-sur-Yon |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays des Herbiers (siège) |
Maire Mandat |
Christophe Hogard juillet 2022-2026 |
Code postal | 85500 |
Code commune | 85109 |
Démographie | |
Gentilé | Herbretais |
Population municipale |
16 250 hab. (2019 ![]() |
Densité | 183 hab./km2 |
Population agglomération |
16 135 hab. |
Géographie | |
Coordonnées | 46° 52′ nord, 1° 01′ ouest |
Altitude | 131 m Min. 69 m Max. 245 m |
Superficie | 88,87 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Les Herbiers (ville isolée) |
Aire d'attraction | Les Herbiers (commune-centre) |
Élections | |
Départementales | Canton des Herbiers (bureau centralisateur) |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site officiel |
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Cinquième ville de Vendée, voisine du Puy du Fou — élu meilleur parc du monde aux États-Unis[1] — la ville des Herbiers est en plein développement. Elle est située dans une position stratégique tant au niveau touristique qu'économique.
Le territoire municipal des Herbiers s’étend sur 8 887 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 131 mètres, avec des niveaux variant entre 69 et 245 mètres[2],[3].
La ville des Herbiers est la 3e commune du département de la Vendée, en nombre d'habitants, et la deuxième en superficie. En 1964, a lieu la fusion de trois bourgs : Les Herbiers, Le Petit-Bourg-des-Herbiers et Ardelay. La commune est ainsi l'une des plus étendues de Vendée. Elle poursuit aujourd'hui son expansion. Ardelay s'étend de l'école maternelle d'Ardelay au niveau de la piscine municipale des Herbiers.
Capitale du Haut-Bocage vendéen, au nord-est du département, la ville s'étend au pied du mont des Alouettes, site historique et touristique faisant partie du territoire communal. Elle est traversée par la Grande Maine. Le Petit Lay marque le territoire de la commune à l'est.
Beaurepaire | La Gaubretière | Chanverrie |
Saint-Fulgent, Mesnard-la-Barotière |
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Les Épesses |
Vendrennes | Mouchamps Saint-Paul-en-Pareds |
Saint-Mars-la-Réorthe |
Depuis ses origines, Les Herbiers a été très bien desservie par des voies de communication. On comptait notamment la présence de deux voies romaines assez importantes : la première Nantes-Rom[4] traversait la commune du nord-ouest (Les Herbiers) vers le sud-est (Ardelay), la deuxième reliait Les Herbiers à Mauléon via le Petit-Bourg et les hauteurs de la Gâtine vendéenne.
Au niveau routier, la ville est aujourd'hui desservie par la RD 160 (ex-RN 160) et par la sortie no 29 de l'autoroute A87. Cette sortie comporte une aire village présentant les produits locaux et les animations en Vendée.
La Ville des Herbiers a obtenu sa troisième fleur au concours des villes et villages fleuris lors du palmarès 2011 et, en 2007, le prix Art urbain[5], pour l'aménagement d'un quartier exemplaire en matière d'architecture contemporaine, le Val de la Pellinière.
En 2011, le pays des Herbiers a, quant à lui, reçu pour la deuxième fois le Ruban du développement durable pour la période 2011-2013 pour ses actions en faveur d'un développement durable inscrites dans son Agenda 21. Il fait ainsi partie des 39 territoires distingués en France et le premier de la région des Pays de la Loire.
Les Herbiers est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine des Herbiers, une unité urbaine monocommunale[9] de 15 958 habitants en 2017, constituant une ville isolée[10],[11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction des Herbiers, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 15 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (35,3 %), zones agricoles hétérogènes (30,2 %), prairies (16,3 %), zones urbanisées (7,6 %), forêts (5,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5 %), cultures permanentes (0,3 %)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].
La localité est attestée sous les formes de villis de Herbertis en 1195, de Herbetas en 1292, de Herbertis en 1354.
Comme le montrent la plupart des formes anciennes, il s'agit en réalité du nom de personne germanique Herbertus pris absolument (avec une désinence -as)[16]. Il se perpétue dans les noms de famille Herbert, Hébert, jadis fréquemment utilisés au Moyen Âge comme prénoms. L'apparition de l'article les est tardive et l'altération du second élément -berts en -biers est sans doute liée à l'étymologie populaire herbiers. Elle est motivée par la ressemblance phonétique entre le mot Herbert et le mot herbier, ainsi que le lien apparent qui existe avec l'environnement géographique. En effet les marécages et les zones humides sont très répandus dans la région. On sait qu'un ancien lac ou marécage existait par le passé entre Les Herbiers et le Petit-Bourg. D'ailleurs, une grande partie de ces zones humides de la zone des Herbiers ont disparu grâce à la construction de petits barrages et donc d'étangs. Les moines de l'abbaye de la Grainetière, au sud de la ville, en sont à l'origine afin de cultiver les terres.
La commune de Petit-Bourg-des-Herbiers absorbée en 1964 a porté, durant la Révolution, le nom de Les Petits-Herbiers[17].
En 1130, la capitale « spirituelle », agricole et commerciale s’établit à l’abbaye de la Grainetière, fondée par des moines bénédictins de Saintonge. L’abbé Prévost s’y installera, six siècles plus tard, pour écrire plusieurs pages de son célèbre roman d’amour, Manon Lescaut. Au cours du Moyen Âge, vont se succéder les Anglais, les grandes compagnies de Bertrand du Guesclin, les armées catholiques et protestantes et, avec eux, leurs lots de massacres et d’incendies.
Au XVIIIe siècle, Les Herbiers offre d’illustres marins, l’amiral Henri-François des Herbiers de L’Etenduère, et l’amiral Barrin, seigneur de La Limouzinière, mais également un scientifique de renom, Jean-Baptiste Laurent d’Hillerin, inventeur d’un odomètre et d’un baromètre portatif.
La Révolution sonnera les heures noires du pays des Herbiers. C’est au Grand Logis des Herbiers que les généraux vendéens choisissent Charette comme chef suprême de la Grande Armée Catholique et Royale. Deux mois plus tard, le , la colonne infernale du général Amey investit le Bocage et incendie la ville.
La ville se relèvera progressivement jusqu’au début du XXe siècle, où elle prend son essor avec le développement des industries (textile, meuble). En 1964, le Petit-Bourg des Herbiers, Ardelay et la ville des Herbiers fusionnent. Depuis, le gros bourg rural est devenu une petite ville, qui peut compter sur un développement économique soutenu.
Sur le territoire actuel de la ville résident en réalité trois communes qui sont regroupées en 1964. Au centre et au nord-ouest, on trouve Les Herbiers. À l'est et au nord-est s'étale le Petit-Bourg. Au sud et au sud-ouest, Ardelay compose une des grandes parties de la commune d'aujourd'hui.
Comme cité au-dessus, l'origine de la ville est méconnue, mais également son histoire. On n'en connaît que très peu d'éléments. Les trois bourgs originaux, vivaient, comme la plupart des communes de l'époque, de l'élevage et de l'agriculture. D'où les noms de métiers repérables dans les archives : laboureur, métayer… Mots qui donnèrent naissance à des noms de villages : métayer à la Métairie, fabrication de graines à la Grainetière ou encore le lavage des draps à la Drapelière. Néanmoins, Les Herbiers était également une ville ouvrière.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1881 | 1892 | Léon Aimé Mercerot | Républicain | Notaire Conseiller général du canton des Herbiers (1883 → 1889) |
1892 | 1899 | Henri Moreau | Médecin | |
1899 | 1902 | Hippolyte Guérin | Négociant | |
1902 | 1912 | Gustave Lelièvre | ||
1912 | 1928 | Jean de Bermond d’Auriac | Indépendant | Ancien officier Député de la Vendée (1919-1924) Ancien conseiller général du canton des Herbiers (1889 → 1895) |
1928 | 1945 | Pierre Dabin | ||
mai 1945 | mars 1959 | Émile Bertrand | Pharmacien | |
mars 1959 | mars 1971 | Jean Huteau | Pharmacien | |
mars 1971 | mars 1983 | Pierre Chatry | DVD | Pharmacien Conseiller général du canton des Herbiers (1961 → 1979) Réélu en 1977 |
mars 1983 | mars 1989 | Anselme Briand | Industriel Chevalier de l’ordre national du Mérite et du Mérite agricole | |
mars 1989 | juin 1995 | Jeanne Briand[18] Épouse du précédent |
DVD | Cadre Présidente de la CC du Pays-des-Herbiers (1995) |
juin 1995 | mars 2014 | Marcel Albert | RPR → UMP (PR) puis UDI |
Industriel Conseiller régional des Pays de la Loire (1986 → 1998) Conseiller général du canton des Herbiers (1992 → 1998) Président de la CC du Pays-des-Herbiers (1995 → 2014) Réélu en 2001 et 2008[19] |
mars 2014 | juillet 2022 (démission)[20] |
Véronique Besse | MPF puis DVD | Ancienne journaliste Députée de la 4e circonscription de la Vendée (2005 → 2017; 2022 →) Conseillère générale du canton des Herbiers (1998 → 2015) Vice-présidente du conseil général de la Vendée (2001 → 2015) Présidente de la CC du Pays-des-Herbiers (2014 → 2022) |
juillet 2022 | En cours | Christophe Hogard | DVD | Conseiller départemental |
Les données manquantes sont à compléter. |
La ville des Herbiers fait partie de la communauté de communes du Pays des Herbiers. En 2016, l’agence d’architecture "Atelier du Pont" a réalisé le siège de la communauté de communes. Construit en extension de la mairie des Herbiers le bâtiment a été lauréat du Prix d’architecture de Vendée et obtenu le Prix spécial aux Trophées Eiffel.
Les Herbiers est une ville ouverte sur l'Europe et sur le monde. En témoignent les nombreux échanges et partenariats qui se sont tissés depuis plusieurs années entre les associations herbretaises (AJCAH, Tembo, JM'Sohati…) et des pays voisins ou plus lointains comme le Togo, le Burkina Faso ou la Chine.
Les Herbretais entretiennent cet esprit de solidarité et de fraternité grâce au dynamisme du comité de jumelage du pays des Herbiers qui a noué des relations fortes avec trois villes jumelées :
La commune compte plus de 11 000 emplois, près de 150 entreprises de plus de 8 salariés. Il s'agit du 2e bassin d'emploi le plus dynamique de France[réf. souhaitée].
Depuis les années 1970, l'économie herbretaise connaît un essor spectaculaire, et cela grâce au mariage gagnant entre une multitude de PME innovantes et de grandes entreprises. La commune compte sur son territoire un certain nombre d'usines et de sièges sociaux d'entreprises de dimension nationale et internationale :
Cet essor s'accompagne d'un développement commercial important autour de quatre pôles : le centre commercial Hyper U, le centre commercial Leclerc, la zone de la Buzenière (avec ses magasins d'usine), et le quartier de la Tibourgère. De nombreuses enseignes nationales y sont présentes (Decathlon, Etam, Gemo, Jules, Armand Thierry, Intersport, Europcar).
La ville possède une antenne de la Chambre de commerce et d'industrie de la Vendée.
Le , le journal de 20h de France 2 consacre un reportage à la ville des Herbiers et à son économie florissante : "Les Herbiers - le plein emploi en France".
Les habitants de la commune sont appelés les Herbretais et Herbretaises.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[23],[Note 3]
En 2019, la commune comptait 16 250 habitants[Note 4], en augmentation de 1,99 % par rapport à 2013 (Vendée : +4,57 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 150 | 2 047 | 2 371 | 2 826 | 2 664 | 2 925 | 3 171 | 3 377 | 3 365 |
1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
3 500 | 3 597 | 3 681 | 3 562 | 3 608 | 3 726 | 3 797 | 3 571 | 3 718 |
1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
3 884 | 3 907 | 3 834 | 3 780 | 3 832 | 3 729 | 3 988 | 4 429 | 4 916 |
1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2019 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
9 050 | 10 599 | 12 049 | 13 413 | 13 932 | 14 833 | 15 390 | 15 972 | 16 250 |
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,4 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 8 074 hommes pour 8 061 femmes, soit un taux de 50,04 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,84 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
1,0 | 90 ou + | 1,9 |
7,3 | 75-89 ans | 8,5 |
16,2 | 60-74 ans | 17,7 |
20,3 | 45-59 ans | 19,5 |
19,2 | 30-44 ans | 18,3 |
17,7 | 15-29 ans | 16,2 |
18,2 | 0-14 ans | 17,9 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,8 | 90 ou + | 2,1 |
8,4 | 75-89 ans | 11 |
19,5 | 60-74 ans | 20,4 |
20 | 45-59 ans | 19,4 |
18 | 30-44 ans | 17,1 |
14,9 | 15-29 ans | 13,2 |
18,5 | 0-14 ans | 16,8 |
Établissement | Statut | Type | Adresse | Site internet |
---|---|---|---|---|
École Jacques Prévert | École élémentaire | Public | 12 bis, rue de Saumur | Site |
École Brandon-Saint Joseph | École primaire | Privé | 1, rue Saint-Exupéry | Site |
École Saint-Sauveur d'Ardelay | École primaire | Privé | rue Monseigneur Massé | Site |
École du Petit-Bourg | École primaire | Privé | 30, rue Nationale | Site |
École de la Métairie | École primaire | Public | rue Michel Richard Delalande | Site |
École Françoise Dolto | École primaire | Public | 24, rue Saint-Blaise | Site |
Collège Jean Yole | Collège | Privé | 1, rue Favreau | Site |
Collège Jean Rostand | Collège | Public | 55, rue de la Demoiselle | Site |
Lycée Jean XXIII | Lycée | Privé | Avenue des Sables | Site |
Lycée Jean Monnet | Lycée | Public | 57, rue de la Demoiselle | Site |
La ville des Herbiers compte 44 clubs réunissant plus de 5 300 licenciés, regroupés au sein de l'office municipal des sports. Toutes les disciplines sont représentées, les sports d'équipes (foot, volley, basket, handball, rugby, twirling) comme individuels (tennis de table, natation, équitation, athlétisme, escrime, arts martiaux et sports de combat, Sepak-takrow).
En 2018, la ville des Herbiers bénéficie de nombreux équipements dont un terrain de football synthétique et un stade d'athlétisme qui accueille également les matches d'honneur du rugby. Des investissements accompagnent les bons résultats des clubs évoluant au niveau national (basket, foot, volley, roller, hand-ball et billard) et d'athlètes herbretais qui s'illustrent au niveau international.
Le sport aux Herbiers sait aussi créer l'événement, chaque mois d'octobre, avec le Chrono des Nations — la référence mondiale du contre-la-montre alliée à une grande foire commerciale — et le Vendée Roller Marathon. En 2011, après Londres, Monaco, et Rotterdam, Les Herbiers accueillent le dispositif du grand départ du tour de France : 1 500 journalistes, le village du Tour pour la première fois ouvert au public et l'arrivée de la première étape au mont des Alouettes.
Le , au stade de la Beaujoire à Nantes, le VHF se qualifie pour la finale de la coupe de France de football aux dépens de Chambly, autre club de National 1, par 2 buts à 0. C'est la première fois qu'un club vendéen arrive en finale de la compétition. La finale est jouée le mardi contre le Paris Saint-Germain Football Club (PSG) et se termine par une défaite du VHF par 2 buts à 0.
Le territoire des Herbiers est connu pour ses audaces architecturales, tant pour ses équipements publics que pour des réalisations privées (sièges sociaux, maisons de particuliers). On peut notamment y voir l'étonnante Tour des arts, lieu d'enseignement, de diffusion et de création artistique, le dojo intercommunal, l'écoquartier d'architecture contemporaine du Val de la Pellinière, le quartier du Grand Fief, les sièges sociaux des groupes Briand et Liébot.
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Blasonnement :
De gueules aux trois fasces d'or. |
L'Espace Herbauges, lieu de diffusion, a accueilli plus de 150 000 spectateurs en 12 ans[réf. nécessaire].
Le château d’Ardelay, protégé au titre des Monuments historiques[réf. nécessaire] accueille des expositions de peintres, sculpteurs, plasticiens et photographes. L’abbaye de la Grainetière reçoit régulièrement des musiciens régionaux (jazz, classique, voix, création contemporaine…).
Le service culturel participe également a de nombreux festivals :
Ouverte en 2010, la Tour des arts est un espace d'enseignement, de création et de diffusion artistique. Le bâtiment, doté de dernières technologies d'apprentissage et d'enregistrement (studio MAO), accueille les écoles de musique et danse, et près d'une dizaine d’associations. Le lieu propose également au sein de son auditorium des conférences sur l'art, des concerts, du théâtre, de la danse.
La ville compte également :
En , la maire proche de Philippe de Villiers, Jeanne Briand, fait interdire au cinéma Grand Écran la projection du film Basic Instinct de Paul Verhoeven. L'édile déclare que le film avec Michael Douglas et Sharon Stone est « une apologie du crime et de la violence, qui exacerbe des pulsions qui peuvent conduire au viol [...] Si la criminalité est en hausse en France, c'est à cause de ces films. »[36],[37].
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