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Le Plessis-Robinson est une commune française du département des Hauts-de-Seine en région Île-de-France, dans l'arrondissement d'Antony, au sud-ouest de Paris.

Le Plessis-Robinson

Vue générale.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Hauts-de-Seine
Arrondissement Antony
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Vallée Sud Grand Paris
Maire
Mandat
Jacques Perrin (LR)
2020-2026
Code postal 92350
Code commune 92060
Démographie
Gentilé Robinsonnais
Population
municipale
30 061 hab. (2019 )
Densité 8 764 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 46′ 52″ nord, 2° 15′ 38″ est
Altitude Min. 86 m
Max. 172 m
Superficie 3,43 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Châtenay-Malabry
Législatives 12e circonscription des Hauts-de-Seine
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Le Plessis-Robinson
Géolocalisation sur la carte : France
Le Plessis-Robinson
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-Seine
Le Plessis-Robinson
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Le Plessis-Robinson
Liens
Site web plessis-robinson.com

    Géographie



    Localisation


    Vue de la commune du Plessis-Robinson en rouge sur la carte de la « Petite Couronne » d'Île-de-France.
    Vue de la commune du Plessis-Robinson en rouge sur la carte de la « Petite Couronne » d'Île-de-France.

    Constituée à l’ouest par un plateau adossé à celui de Châtillon et à l’est par des coteaux escarpés et boisés, la commune bénéficie d’un cadre naturel particulièrement agréable, avec notamment son point culminant (178 mètres, le plus élevé du département) qui couvre la haute vallée de la Bièvre d'où l'on jouit d'une vue exceptionnelle de la banlieue sud de Paris (Terrasse du Parc Henri-Sellier).

    Le Plessis-Robinson, vue depuis le chemin du Panorama.
    Le Plessis-Robinson, vue depuis le chemin du Panorama.

    Communes limitrophes


    La commune est située à km des portes de Paris. Son territoire est limitrophe de ceux de quatre communes : Clamart, Fontenay-aux-Roses, Sceaux, Châtenay-Malabry.


    Hydrographie


    La commune est traversée par le ru d'Aulnay et par le ru de la Fontaine du moulin (appelé parfois ru des Blagis) qui reçoit le trop plein de l'étang Colbert.


    Géologie et relief


    La superficie de la commune est de 343 hectares ; l'altitude varie de 86 à 172 mètres[1].


    Climat


    Tempéré et venteux, Le Plessis étant situé sur un plateau élevé.


    Voies de communication et transports


    Voies routières

    Le territoire de la commune est traversé du sud-ouest au nord-est par la route départementale D 75, puis du nord au sud par la route départementale D 2. L'autoroute A86 passe au sud.

    Pistes cyclables

    Le territoire de la commune comprend plusieurs pistes cyclables :

    Transports en commun

    La commune ne dispose d'aucune gare, station de métro ou de tramway sur son territoire :

    Cette situation devrait évoluer en 2023 avec le tramway T10. Il prévu pour circuler sur l'avenue Paul Langevin et desservir la ville aux stations Novéos, Parc des Sports et Le Hameau.

    Par ailleurs, Le Plessis-Robinson est reliée aux communes limitrophes, via 22 lignes des réseaux de bus de l'Île-de-France :


    Urbanisme



    Typologie


    Le Plessis-Robinson est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[5] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[8],[9].


    Morphologie urbaine


    L’Insee découpe la commune en neuf îlots regroupés pour l'information statistique soit Hachette, Albert Thomas – Marché, Architecte, Joliot, Wallon, Peatrik, Jean Jaurès, Anatole France, Pergaud[10].

    Le quartier du Cœur de Ville
    Marché de Le-Plessis-Robinson de nuit
    Marché de Le-Plessis-Robinson de nuit

    Le quartier a été construit entre 1991 et 2005 autour du Vieux Plessis, l'ancien village du Plessis-Piquet regroupé autour du château devenu hôtel de ville en 1931 et de l'église Saint-Jean-Baptiste. C'est à l'initiative de Philippe Pemezec, élu maire en 1989, que l'architecte François Spoerry, le père de l'architecture douce, a dessiné ce quartier de centre-ville, autour de sa Grand'Place et d'une Grande rue. Ces douze hectares sont construits sur le modèle de l'architecture classique par les architectes Xavier Bohl (qui a succédé à François Spoerry mort en 1999), Marc et Nada Breitman, Marc Farcy. Le Cœur de Ville, en face du parc Henri-Sellier, compte trois jardins publics : le jardin de Sertillanges, les jardins de l'Hôtel-de-Ville, le parc de l'Orangerie. Les équipements publics sont, outre l'hôtel de ville, un centre administratif municipal, un centre municipal de santé, rebaptisé Robert-Fasquelle en 2012, l'école maternelle de la Ferme, l'école élémentaire Anatole-France, deux crèches, le club destiné aux retraités. Un parking souterrain est aménagé sous la Grand'Place et un parking public aérien est accessible en face du grand cèdre du Liban. Le Cœur de Ville compte une vingtaine de commerces, dont un hôtel-restaurant, six restaurants, un supermarché, des commerces de bouche et d'habillement. Un parcours historique fléché est organisé autour du quartier.

    Le quartier de La Pépinière
    La Pépinière.
    La Pépinière.

    Résidence La Pépinière ou quartier de La Pépinière ou encore La Pep's pour les plus jeunes, La Pépinière est un quartier d'habitation situé à l'est de la ville du Plessis-Robinson, séparé par la rue Arthur-Ranc du centre chirurgical Marie-Lannelongue (spécialisé dans la cardiologie), bordé au sud par l'avenue de la Résistance (D75) au nord par les rues Pasteur et Boris-Vildé, à l'ouest par l'avenue Raymond-Croland. Le quartier est composé de 10 bâtiments de couleur saumon (similaire à la cité-jardin de la Butte-Rouge) de 5, 4 ou 3 étages disséminés sur une plaine de verdure accidentée entrecoupée de 2 zones de stationnements découvertes, de 2 terrains de jeux (actuellement[Quand ?] non équipés) et d'un parking souterrain. Le carré que forment les rues délimitant La Pépinière est aussi occupé par une dizaine de pavillons donnant sur l'extérieur, une barre d'appartement autonome en brique rouge avec garages et commerces au rez-de-chaussée et une résidence privée de cinq bâtiments et stationnements extérieur. Ce quartier est desservi par les lignes de bus 395, 390, 194 de la RATP grâce aux arrêts sud Edmond About, Hôpital Marie Lannelongue et est avec Pasteur, la gare RER B Robinson, se situe à 5 minutes de ce même endroit. Un arrêt de bus du réseau de la Bièvre desservant l'hôpital est placé dans la rue Arthur-Ranc.

    Fresque trompe-l’œil au Plessis Robinson réalisée par l'artiste Frédéric Gracia
    Fresque trompe-l’œil au Plessis Robinson réalisée par l'artiste Frédéric Gracia

    Habitat et logement


    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 13 850, alors qu'il était de 13 243 en 2013 et de 11 718 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 94,6 % étaient des résidences principales, 2,2 % des résidences secondaires et 3,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 9,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 89,2 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Le Plessis-Robinson en 2018 en comparaison avec celle des Hauts-de-Seine et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,2 %) inférieure à celle du département (3,7 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 45,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (43,6 % en 2013), contre 42,5 % pour les Hauts-de-Seine et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement au Le Plessis-Robinson en 2018.
    Typologie Le Plessis-Robinson[I 1] Hauts-de-Seine[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 94,6 89,8 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,2 3,7 9,7
    Logements vacants (en %) 3,2 6,5 8,2

    Projets d'aménagements


    Maquette du nouveau centre-ville.
    Maquette du nouveau centre-ville.
    Villa Maintenon.
    Villa Maintenon.

    La commune du Plessis-Robinson est actuellement[Quand ?] engagée dans une vaste opération d'urbanisme. Elle a débuté au début des années 1990 par la réalisation du Cœur de Ville, reconnue comme l'un des aménagements les plus importants des Hauts-de-Seine ces dernières années. La densification de la ville se poursuit avec la réalisation de la nouvelle cité jardin qui prolonge la cité jardin bâtie dans les années 1950. Elle s'accompagne d'un nouveau marché de type Baltard qui entend maintenir au Plessis-Robinson l'un des marchés les plus importants des Hauts-de-Seine. La ville affirme ainsi sa vocation résidentielle.

    Le , la nouvelle cité jardin a été inaugurée par Philippe Pemezec, maire du Plessis-Robinson et Vice-président du Conseil Général, en présence de hautes autorités nationales et départementales : Charles Pasqua, Christine Boutin, Roger Karoutchi, l'architecte de cohérence Xavier Bohl, Jacques Perrin (président de la SEMPRO), accompagnés de nombreux Robinsonnais.

    [réf. nécessaire]

    Les projets d'aménagement se poursuivent[réf. nécessaire] et un grand pôle culturel d'inspiration palladienne situé derrière le marché a été inauguré en 2016.


    Toponymie


    Frontispice de l'édition Hetzel, par Yan' Dargent, gravé par Joliet.
    Frontispice de l'édition Hetzel, par Yan' Dargent, gravé par Joliet.

    La première mention qui nous est parvenue date de 839 où un Concile synodal partagea les terres appartenant à l'Abbaye de Saint-Germain-des-Prés entre l'évêque et les chanoines de l'église Saint-Étienne : Plessiacus justa Castenetum le plessis à côté de Châtenay »), un plessis étant une technique traditionnelle de taille des haies vives par fendage (plessage) des branches, qui permettait de clôturer des pâturages et cultures, les protégeant ainsi des bêtes. Celles-ci furent donc rattachées à Châtenay. Puis au XIIIe siècle, cette terre prend le nom de son seigneur : Plessis-Raoul et au XVe siècle le hameau s'appelle Plessis-Picquet du nom de son seigneur Jean de La Haye dit Picquet. Le , soit le 10 nivôse de l'an II de la République, la commune prend le nom de Plessis-Liberté et retrouva son nom de Plessis-Picquet à la fin de cette période révolutionnaire.[réf. nécessaire]

    Le terme « Robinson » vient du roman de Johann David Wyss, Le Robinson suisse (lui-même inspiré du Robinson Crusoé de Daniel Defoe) : dans les années 1840, Joseph Gueusquin, un restaurateur parisien natif de Forges-sur-Meuse (Meuse), découvre le Plessis-Picquet et y construit en 1848 une guinguette, avec cabanes dans les arbres comme dans Le Robinson suisse, qu'il nomme « Au Grand Robinson »[11]. Le succès du lieu est tel que d'autres guinguettes apparaissent, et que le quartier finit par prendre le nom de « Robinson ». Le , la commune du Plessis-Piquet est rebaptisée Plessis-Robinson, par décret du président Fallières, répondant ainsi aux vœux de la municipalité[12].


    Histoire


    Articles connexes : Histoire des Hauts-de-Seine et Histoire de l'Île-de-France.

    Événements



    Antiquité


    Il semble bien que des populations se soient installées dans des temps reculés sur ce plateau. En 1934, l'archéologue Claude Seignolle dégagea au cours de fouilles de grandes pierres dans lesquelles il voyait les débris de dolmens, l'un d'eux porte d'ailleurs des inscriptions. Dans la vallée d'Aulnay, on retrouva les vestiges d'une villa romaine ; non loin s'élevait un temple consacré à la déesse des sources d'Aulnay. Une statuette de cette déesse se trouve conservée au musée d'archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye. Une tombe d'enfant fut également mise au jour. La présence d'une pièce de monnaie dans la sépulture permet de la dater vers l'an -300.[réf. nécessaire]


    Moyen Âge


    En 1112, la charte de fondation de l'église du Plessis est rétablie. L'arpent de terre vaut au XIIIe siècle 19 livres parisis à Châtenay en 1255, un peu moins de 7 livres à l'Haÿ en 1233 et 7 livres au Plessis en 1272. Le sieur Raoul ou Radulphe ou Rodolphe était chambrier du roi. Le cartulaire de Notre-Dame de Paris cite également son nom à plusieurs reprises, ainsi que celui de son fils Raoul du Plessis sous les règnes de Philippe Auguste, Louis VIII et de Saint-Louis. Il fut un des premiers seigneurs du Plessis qui prit son nom Plessis-Raoul.

    En 1407, le village s'appelle Plessis-Picquet du nom de son nouveau seigneur Jean de La Haye dit Picquet, marié à Jeanne Dupuis veuve de Nicolas Brulart, ou Nicolas Boulard qui a acquis ces terres et fait construire le château vers 1412. Écuyer, conseiller du roi et surtout de la reine Isabeau de Bavière, cette dernière séjournera à son château du Plessis de au , en compagnie de dom Ménart, Thévenin Bridel, Guillaume le Baudeeyer, contrôleur de la chambre aux deniers de la reine, Mme de Nomant, Ysabeau La Fauconnière, Jeanne fille du duc d'Orléans, Thomas le Bailly clerc des officiers de l'hôtel de la reine. Il fait prendre à la reine, un parent : Guillaume de La Haye, pour confesseur. Jean de La Haye fut nommé trésorier général des Finances. Après les victoires anglaises et le traité de Troyes (1420), il abandonne Le Plessis et se réfugie avec son épouse à Angers.

    [réf. nécessaire]

    Époque contemporaine


    Les premières guinguettes font leur apparition à Robinson à partir de 1848 sous l'impulsion de Joseph Gueusquin[11].

    En 1939, le conseil municipal expédie les affaires courantes jusqu'au , puis les réunions reprennent le . En 1941, Paul Chatenet est nommé président de la délégation spéciale par le gouvernement de Vichy. En , les alliés bombardent la banlieue parisienne et une bombe cause des dégâts dans des maisons de la rue Vernadat et l'avenue Payret-Dortail. En 2015, la majorité du conseil municipal décide de débaptiser la place de la Résistance pour l'appeler place Charles-Pasqua, ce qui scandalise les anciens résistants.[réf. nécessaire]


    Politique et administration


    L'hôtel de ville.
    L'hôtel de ville.
    Le centre administratif municipal.
    Le centre administratif municipal.

    Rattachements administratifs et électoraux


    Antérieurement à la loi du [14], la commune faisait partie du département de la Seine. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Hauts-de-Seine, et a son arrondissement d'Antony après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1968 de la douzième circonscription des Hauts-de-Seine.

    La commune était rattachée de 1793 à 1967 au canton de Sceaux. Lors de la mise en place des Hauts-de-Seine, elle devient en 1967 le chef-lieu du canton du Plessis-Robinson[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Châtenay-Malabry.

    Le Plessis-Robinson relève du tribunal d'instance d'Antony, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du tribunal de commerce de Nanterre, du conseil de prud'hommes de Boulogne-Billancourt, de la cour d'appel de Versailles, du tribunal administratif de Cergy-Pontoise et de la cour administrative d'appel de Versailles[16].


    Intercommunalité


    La commune était membre de la communauté d'agglomération des Hauts-de-Bièvre créée en 2002.

    Le , la commune intègre la métropole du Grand Paris[17].

    La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (Loi NOTRe) prévoit également la création le d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale, et exerçant également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées

    La commune fait donc partie depuis le de l'établissement public territorial Vallée Sud Grand Paris, créé par un décret du [18].

    L'EPT exerce, outre les compétences attribuées par la loi à cette catégorie d'établissement public de coopération intercommunale (EPCI), celles que les communes avaient transféré aux anciennes intercommunalités supprimées à l'occasion de sa création :


    Tendances politiques et résultats


    Au premier tour des élections municipales de 2014 dans les Hauts-de-Seine, la liste UMP-UDI menée par le maire sortant Philippe Pemezec obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 9 643 voix (77,02 %, 31 conseillers municipaux élus dont 7 communautaires), devançant très largement celle PS-PCF-EELV menée par Jean-François Papot qui a recueilli 2 876 voix (22,97 %, 4 conseillers municipaux élus).
    Lors de ce scrutin, 33,41 % se sont abstenus[19].

    Article connexe : Élections municipales de 2014 dans les Hauts-de-Seine.

    Au premier tour des élections municipales de 2020 dans les Hauts-de-Seine, la liste LR menée par Philippe Pemezec[20]  dont est membre le maire sortant Jacques Perrin  obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 6 120 voix (71,77 %, 31 conseillers municipaux élus dont 1 métropolitain), devançant très largement celles menées respectivement par[21] :
    - Christophe Leroy (PCF-EELV-G·s-PS-LFI-PG, 1 204 voix, 14,12 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
    - Christelle Carconne (LREM, 1 203 voix, 14,11 %, 2 conseillers municipaux élus).
    Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 55,15 % des électeurs se sont abstenus.

    Article connexe : Élections municipales de 2020 dans les Hauts-de-Seine.

    Liste des maires


    Article détaillé : Liste des maires du Plessis-Robinson.
    Liste des maires du Plessis-Robinson depuis la Libération de la France[22]
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945 mai 1953 Robert Levol PCF Ouvrier métallurgiste
    mai 1953 février 1956 Eugène Jacque[23] SFIO Représentant de commerce
    février 1956 février 1972 Robert Levol PCF Ouvrier métallurgiste
    Député des Hauts-de-Seine (12e circ.) (1967 →1968)
    février 1972 1989 Robert Gelly[24] PCF Cheminot, ajusteur
    Conseiller général du Plessis-Robinson (1967 → 1992)
    1989[25] 2018[26] Philippe Pemezec[27],[28] RPR (1989 → 1995)
    RPF (1995 → 2001)
    UMP (2001 → 2015)
    LR (2015 →)
    Sénateur des Hauts de Seine (2017 →)
    Député des Hauts-de-Seine (12e circ.) (2002 → 2007)
    Conseiller général du Plessis-Robinson (1992 → 2002 et 2008 → 2015)
    Vice-président de l'EPT Vallée Sud Grand Paris (2016 →)
    Démissionnaire à la suite de son élection comme sénateur
    mai 2018[29] En cours
    (au 20 juillet 2022)
    Jacques Perrin LR Retraité
    Conseiller général du Plessis-Robinson (2003 → 2008)
    Réélu pour le mandat 2020-2026[30]

    Distinctions et labels


    Après avoir obtenu en 1999 le niveau « quatre fleurs » au concours des villes et villages fleuris[31], Le Plessis-Robinson a obtenu en 2021 pour la troisième fois une Fleur d’or, un trophée millésimé attribué aux communes déjà labellisées 4 Fleurs et qui présentent une démarche exemplaire[32].

    Elle avait obtenu en 2002 le Grand prix national de fleurissement et en 2005, le Prix européen de fleurissement[33].

    La ville a obtenu en 2008 la mention de la « meilleure opération de renaissance urbaine dans une ville de banlieue » du Prix européen d'architecture Philippe Rotthier[34].

    En 2007, Le Plessis-Robinson a reçu le label « Ville Internet @@@ »[35].


    Jumelages


    Au , Le Plessis-Robinson est jumelée[36] avec :


    Population et société



    Démographie



    Évolution démographique

    Articles connexes : Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[38],[Note 3]

    En 2019, la commune comptait 30 061 habitants[Note 4], en augmentation de 5,48 % par rapport à 2013 (Hauts-de-Seine : +2,07 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    235267245199217201234192259
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    271321338266326348407397475
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    5496116861 0272 2994 7137 77910 11813 163
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    18 44922 59022 23121 27121 28921 61823 31228 11329 028
    2019 - - - - - - - -
    30 061--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,1 % la même année, alors qu'il est de 20,0 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 14 363 hommes pour 15 302 femmes, soit un taux de 51,58 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (52,41 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ou +
    1,0 
    4,7 
    75-89 ans
    7,3 
    12,2 
    60-74 ans
    14,3 
    19,8 
    45-59 ans
    19,2 
    23,8 
    30-44 ans
    24,4 
    16,5 
    15-29 ans
    14,9 
    22,6 
    0-14 ans
    18,9 
    Pyramide des âges du département des Hauts-de-Seine en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    1,6 
    5,1 
    75-89 ans
    7,2 
    12 
    60-74 ans
    13,2 
    19,2 
    45-59 ans
    19,4 
    22,6 
    30-44 ans
    22,1 
    20,1 
    15-29 ans
    18,7 
    20,4 
    0-14 ans
    17,8 

    Enseignement


    Le Plessis-Robinson est située dans l'académie de Versailles.

    La ville administre huit[Quand ?] :

    Le département gère deux collèges et la région Île-de-France un lycée[Quand ?] :

    Le Plessis-Robinson est proche des établissements universitaires de Châtenay-Malabry, Sceaux et Vélizy :


    Santé


    Le centre chirurgical Marie-Lannelongue.
    Le centre chirurgical Marie-Lannelongue.

    Avenue de la Résistance est implanté le centre chirurgical Marie-Lannelongue, établissement de santé privé d'intérêt collectif. Il s'agit d'un établissement « de recours »[C'est-à-dire ?], associé à l'Université Paris 11, spécialisé en chirurgie thoracique et cardiaque, qui a été le lieu de nombreuses premières chirurgicales[42].

    Le centre municipal de santé Jacques-Solomon a été reconstruit en 2003 dans le nouveau Cœur de Ville. Il a été baptisé en du nom de Robert-Fasquelle (1908-1987), professeur de microbiologie aux facultés de médecine de Paris, membre de l'Académie nationale de médecine, résidant au Plessis-Robinson.


    Sports


    Les principaux sports collectifs pratiqués au Plessis-Robinson sont le football et le volley-ball.

    Le premier club de la ville à être sacré champion de France a été en 1994 les Castors Sphinx (football américain), une équipe dans laquelle a joué Richard Tardits (en 1965), le meilleur français dans cette discipline.

    L'équipe senior masculine de volley-ball du PRVB (Plessis-Robinson Volley-Ball) évolue depuis 2021 en Championnat de Ligue A.

    L'équipe de rugby à XV du Racing 92, qui joue ses matchs à Paris La Défense Arena, a installé depuis au Plessis-Robinson son siège, son centre de formation et d'entraînement[43].

    Le tennis club du Plessis-Robinson (TCPR) a vu l'éclosion de Stéphanie Vongsouthi (née en 1988), 311e mondiale au classement féminin de la WTA en 2009.

    En boxe française, Bruno Gottfrois (né en 1967) a été champion d’Europe en 1990 et 1992, champion de France de 1990 et 1992. Il a été champion du monde des mi-lourds en 1991.

    Plusieurs grandes stars de l'athlétisme d'Europe de l'Est sont passées par Le Plessis-Robinson dans les années 1990 : Robert Emmiyan (Arménie), recordman d'Europe du saut en longueur ; Natalya Lisovskaya (URSS) championne du monde en 1987, championne olympique en 1988, toujours détentrice du record du monde du lancer du poids ; Youri Sedykh (Ukraine), champion du monde en 1991, championne olympique en 1980, toujours détenteur du record du monde du lancer du marteau.

    Le footballeur Robert Jonquet a vécu sa jeunesse dans la cité-jardin du Plessis-Robinson. Il jouait à l'AS Voltaire de Châtenay-Malabry.

    Jérôme Rothen a également effectué sa saison 2015 en amateur au FCPR (Football Club du Plessis-Robinson)[44]


    Médias



    Cultes


    Les habitants du Plessis-Robinson disposent de lieux de culte catholique :

    Article connexe : Paroisses des Hauts-de-Seine.

    Depuis , la commune du Plessis-Robinson fait partie du doyenné des Forêts, l'un des neuf doyennés du diocèse de Nanterre[47].

    Au sein de ce doyenné, les quatre lieux de culte catholique relèvent de la paroisse Sainte-Marie-Magdeleine[48],[49],[50] :


    Économie



    Revenus de la population et fiscalité


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    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 39 972 , ce qui plaçait Le Plessis-Robinson au 2 498e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[54].


    Entreprises et commerces


    La division commerciale et informatique du groupe Renault se situe au Plessis-Robinson.

    MBDA, entreprise industrielle du secteur de l'aéronautique et de la défense, filiale des groupes Airbus, BAE Systems et Leonardo-Finmeccanica, est présente au Plessis-Robinson depuis 2007.

    Ces entreprises se situent dans le parc d'affaires Novéos (anciennement ZIPEC), desservi par la ligne 6 du tramway d'Île-de-France et, en principe à l'horizon 2021, par le tramway Antony - Clamart (ligne T10).


    Culture locale et patrimoine



    Pôle culturel


    Le pôle culturel du Plessis-Robinson est un grand pôle culturel d'inspiration palladienne situé dans le prolongement du marché. Il a été inauguré en et remplace, entre autres, l'ancien cinéma Gérard-Philippe qui a été détruit.


    Lieux et monuments


    La commune comprend de nombreux monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel de la France[55].


    Cimetières

    Le premier cimetière est aménagé autour de l’église paroissiale, l’actuelle chapelle Saint-Jean-Baptiste, jusqu’en 1808, date à laquelle le propriétaire du château, Claude-Ambroise Régnier, duc de Massa, ministre de la Justice et de la Police de Napoléon Ier, achète le terrain du cimetière, enserré entre l’église et les communs du château. L’espace intègre alors son domaine et se transforme prosaïquement en basse-cour.

    Les sépultures, elles, sont relevées et réimplantées à quelques distances du bourg, sur un nouveau terrain situé à l’angle de la rue de la Cavée (actuelle rue Paul-Rivet) et de la route de Versailles (actuelle avenue du Général-Leclerc).

    Mais ce deuxième cimetière sera bien vite jugé insuffisant. En effet, dès 1864, la commune décide de le fermer et de transférer à nouveau les sépultures vers un autre terrain appelé Le Trou aux Chevaux et implanté à la limite occidentale de la commune, à la croisée de la voie d’Igny et de la route de Versailles. Ce cimetière, sur l’actuelle avenue Édouard-Herriot, est agrandi en 1930, après la construction des cités-jardins, atteignant alors la taille que nous lui connaissons de nos jours.

    Outre les tombes de personnalités robinsonnaises (les familles Gueusquin et Fatiguet, fondateurs des guinguettes, divers notables, ou des personnalités plus atypiques comme Mikinosuke Kawaishi, 1899-1969, pionnier du judo en France), on note celles des soldats français et allemands de la guerre de 1870 et, dans le carré militaire, celles de dix des quinze gendarmes tués lors du bombardement du camp de Voves le .


    Guinguettes

    On doit la popularité de Robinson à des établissements bal-restaurants construits dans de grands châtaigniers. Le Val d'Aulnay, domaine qui sépare Le Plessis (Piquet) de Châtenay-Malabry est en effet très boisé et notamment en châtaigniers. À Saint-Éloi était une buvette ; en 1848, Joseph Gueusquin, amateur des récits inspirés de Robinson Crusoé (et surtout du Robinson suisse de Johann David Wyss, paru en 1812), eut l'idée d'installer dans les plus gros châtaigniers des plates-formes et autres cabanes[56] reliées entre elles. Il y établit un bal-restaurant sous l'enseigne de Grand Robinson. Celui-ci fut rebaptisé le Vrai Arbre en 1888. La mode était lancée et le tout-Paris se pressa les dimanches à Robinson pour fréquenter la dizaine de guinguettes construites entre la deuxième moitié du XIXe siècle et le début du XXe siècle. Le grand duc Constantin, Isabelle d'Espagne, Alphonse XIII et bien d'autres vinrent manger au Grand Robinson. La ligne de train fut alors spécialement prolongée jusqu'aux Quatre Chemins à Robinson, et la gare de Sceaux-Robinson fut construite en 1895.

    Les plus célèbres guinguettes de Robinson étaient Au Vrai Arbre, Le Grand Arbre, l'Arbre des Roches, Au Grand Saint-Éloi, La renommée des pommes de terre frites ou encore L'Ermitage, L'Arbre de la Terrasse, Le Vrai Robinson, L'Escargot Doré.

    On montait aux établissements de Robinson avec des ânes, et de nombreuses guinguettes étaient équipées de systèmes de poulies pour acheminer par paniers les repas jusqu'aux plates-formes situées dans les branches.

    À la limite du Plessis et de Fontenay-aux-Roses se tenait, près de l'étang Colbert, le cabaret Au Coup du Milieu, fondé en 1847. Il fut fréquenté par Émile Zola, Jules Vallès, Théodore de Banville, Alfred Delvau, Champfleury, Henry Murger, Charles Baudelaire, Nadar, Paul Cézanne et Gustave Courbet.

    Une chanson de Delettre et De Létraz, C'est à Robinson, interprétée notamment par Lucienne Boyer, évoque cette époque des guinguettes. Plus récemment, une chanson de Pierre Perret, Samedi chez l'amiral, évoque une discothèque située (ou censée telle) à Robinson.

    En 1966, Johnny Hallyday[57] achète la guinguette Le Vrai Arbre de Robinson[58], au Plessis-Robinson, pour y créer un complexe de loisirs inspiré des ranchs américains, qu'il appelle Robinson Village[59],[60]. Cela sera un échec commercial dans lequel il aura beaucoup investi, mais les spectateurs de l'époque gardent en mémoire un concert improvisé de Johnny en dans la discothèque attenante au complexe, le Tchoo-Tchoo Club, avec Jimi Hendrix, méconnu en France à l'époque[61].


    Les grandes propriétés


    Châteaux


    Château seigneurial, dit château Hachette

    Article détaillé : Le château seigneurial dit Hachette, au Plessis-Robinson.

    Aujourd'hui, mairie située au cœur de la ville, rue de la Mairie et rue de la Résistance. Les plus grandes parties actuelles sont du XVIIe siècle. On remarque le passage couvert, au pied duquel une statue de pierre représente un garde casqué en faction, ainsi que la terrasse et l'escalier monumental avec leur balcon de fer forgé, une façade comporte des bas-reliefs représentant des jeux d'enfants. Dans le petit jardin derrière la terrasse en haut de l'escalier trônait un majestueux séquoïa au milieu d'un parterre entouré de quatre statues représentant les Saisons. L'ancienne orangerie est transformée en salle de stockage, il y avait à côté vers 1960 un jardin d'enfants.


    Château Colbert, dit Petit Château

    Cette propriété située rue de Fontenay, comportant parc et dépendances appartenait déjà à Colbert le , lorsque Louis XIV vendit à son ministre la seigneurie du Plessis. Il fit de ce lieu une ferme modèle. Il revendit ce domaine le à Sébastien François de la Planche. M. Lewandowski sera le dernier propriétaire de cette maison qui devint un refuge israélite en 1888, puis école horticole, inaugurée le par le préfet de la Seine : Justin Germain Casimir de Selves en même temps que la route reliant Plessis à Robinson[62], et aujourd'hui presbytère.


    Château de la Solitude

    Article détaillé : Château de la Solitude (Le Plessis-Robinson).

    Situé au 29, rue Paul-Rivet (rue de la Cavée)[63], ce château est bâti au XIXe siècle par un marchand de chocolat du nom de Marquis. Cet édifice possédait des écuries et un grand parc, il était situé dans la cuvette de la rue Paul-Rivet. Leur fille unique, héritière du domaine rentra dans l'ordre des carmélites, ces dernières y installèrent un couvent. René Viviani, président du Conseil à l'entrée de la Première Guerre mondiale, mourut en 1925 dans ce lieu transformé un temps en maison de retraite.

    Cette demeure deviendra la propriété de l'Éducation nationale qui en fera un lieu d'accueil pour des jeunes filles en grandes difficultés sociales, mères célibataires[64]. Lieu d'un mouvement de grève des pensionnaires en 1972 qui revendiquaient des droits liés à leur condition de « fille-mère », il est fermé définitivement en 1976. Le téléfilm Elles... Les Filles du Plessis (2016) de Bénédicte Delmas avec Sandrine Bonnaire retrace une partie de son histoire[65].

    Les écuries en ruines intéressèrent un Américain qui se porta acquéreur des pierres pour les emporter aux États-Unis. La transaction échoua et les pierres partirent à la décharge. Cette seule construction avait coûté un million de francs de l'époque soit près de dix millions en 1980.

    La fermeture de l'établissement en 1976 marque le début de la déchéance du château. Laissé à l’abandon, le bâtiment tombe très vite en ruine, notamment à la suite des incendies de 1977 et 1978. Il faut attendre l’année 2000 pour que le Bois de la Solitude et ses vestiges romantiques soient rendus accessibles au public après avoir fait l’objet de travaux d’aménagement et de sécurisation[66].


    Étangs

    L'étang d'Écoute s'il pleut : construit sur ordre de d'Artagnan. L'eau y étant fort rare, les villageois le nommèrent ainsi par dérision. Asséché on construisit dans les années 1960 sur son emplacement le gymnase du groupe scolaire Henri-Wallon.

    L'étang Colbert situé entre la place des Quinconces, la rue de Fontenay et la chaussée de l'Étang à proximité immédiate du centre chirurgical Marie-Lannelongue : il a gardé le nom du ministre qui l'a fait creuser pour les besoins de sa ferme, et qui servait également à l'irrigation de son domaine de Sceaux. Il est alimenté par le ru de la Fontaine au Moulin, il y avait jadis à cet endroit un moulin appelé « Le Moulin Piquet ». En 1954, il fut procédé au curage et à l'aménagement des abords pour en faire un lieu de promenade et satisfaire les pêcheurs locaux.


    Édifices religieux

    L'église Saint-Jean-Baptiste.
    L'église Saint-Jean-Baptiste.

    Patrimoine culturel


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    Personnalités liées à la commune



    Héraldique


    Blasonnement :
    Écartelé au 1er d'or, à deux tourteaux de gueules posées en pal qui est de Montesquiou d'Artagnan ; au 2e, de sable au chêne arraché d'or ; au 3e de sable au hibou d'or ; au 4e d'or, à la coulèvre tortillée d'azur posée en pal, qui est de Colbert ; sur le tout en abîme d'azur à trois fleurs de lis d'or.[69]

    Pour approfondir


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références



    Notes


    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références



    Site de l'Insee


    Autres sources

    1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duParis », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « Plan d'assemblage Grands Quartiers - IRIS 2000 – Le Plessis-Robinson », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    11. Découvrir la ville/Histoire du Plessis-Robinson.
    12. « Les Guinguettes de Robinson », sur site de la mairie du Plessis-Robinson (consulté le ).
    13. plessis-robinson.com.
    14. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur le site du ministère de la Justice et ds libertés (consulté le ).
    17. Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance.
    18. Décret n° 2015-1655 du relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Antony sur Légifrance.
    19. Résultats officiels pour la commune Le Plessis-Robinson
    20. Anissa Hammadi et Charles-Edouard Ama Koffi, « Le Plessis-Robinson : après deux ans au Sénat, Philippe Pemezec veut déjà retrouver sa mairie : Philippe Pemezec veut retrouver son siège de maire au Plessis-Robinson. Dans ce cas, Georges Siffredi pourrait lui succéder au Sénat. Mais il est aussi candidat aux municipales, à Châtenay-Malabry », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le ) « Pour l'instant, c'est le flou total. D'autant que Philippe Pemezec, qui brigue un sixième mandat, a déjà indiqué qu'il ne rejoindrait pas tout de suite le fauteuil de maire, même s'il est élu en mars prochain ».
    21. « Hauts-de-Seine (92) - Le Plessis-Robinson », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
    22. « Les maires du Plessis-Robinson », sur http://www.francegenweb.org/ (consulté le ).
    23. Jean Maitron et Claude Pennetier, « JACQUE Eugène, Alexandre, Adolphe : Né le 2 mai 1893 à Paris (Xe arr.),mort le 14 février 1985 au Plessis-Robinson (Seine, Hauts-de-Seine) ; représentant de commerce ; militant socialiste SFIO de Gentilly (Seine, Val-de-Marne) puis du Plessis-Robinson (Seine, Hauts-de-Seine) ; maire du Plessis-Robinson (1953-1956) », Le Maitron en ligne date=27/9/2009 mis à jour le 10/6/2018 (consulté le ).
    24. Jean-Pierre Ravery, « GELLY Robert, Alexandre : Né le 28 janvier 1925 à Mende (Lozère), mort le 3 février 2022 à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine) ; cheminot, ajusteur ; maire communiste du Plessis-Robinson (Hauts-de-Seine) de 1972 à 1989, conseiller général des Hauts-de-Sein », Le Maitron en ligne, 8/2/2022 mis à jour=10/2/2022 (consulté le ).
    25. « Philippe Pemezec : Maire (UMP) du Plessis-Robinson depuis 25 ans », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne).
    26. Anne-Sophie Damecour, « Après les sénatoriales, bientôt de nouveaux maires à Meudon et au Plessis-Robinson : L’élection dimanche d’Hervé Marseille (UDI) et Philippe Pemezec (LR) au Sénat entraîne automatiquement la fin de leur mandat de maires », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le ).
    27. Contexte de l'élection municipale de 1995 : Carine Dauger, « Au Plessis-Robinson, la gauche reste engluée dans ses querelles. Le maire RPR devrait une nouvelle fois profiter de la division PS-PC », Libération, (lire en ligne).
    28. Maire constructeur : Bruna Basini, « Ces maires qui ont choisi de bâtir : C’est un des motifs de la crise du logement : les élus rechignent à libérer du foncier pour construire. Ces deux élus font tout le contraire et ça marche », Le Journal du dimanche, (lire en ligne).
    29. Elia Dahan, « Jacques Perrin élu nouveau maire du Plessis-Robinson : L’ancien premier adjoint a été élu ce jeudi soir lors d’un conseil municipal. Il succède à Philippe Pemezec, élu sénateur, qui a dû renoncer à son mandat », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le ) « Mon engagement politique a vraiment démarré en 1987 quand j’ai rencontré Philippe Pemezec, se souvient Jacques Perrin. Sa démarche pour reconquérir la ville du Plessis-Robinson, qui était, à l’époque, gérée par Robert Gelly (PCF) m’a intéressée. » Depuis 1989, date du premier mandat de maire de Philippe Pemezec, Jacques Perrin a été conseiller général et premier adjoint. L’élu peut se vanter d’être « un des rares au conseil qui connaisse la ville depuis si longtemps ».
    30. Louis Moulin, « Le Plessis-Robinson: Perrin élu maire, Pemezec reprendra le siège « aux environs du mois de mars 2021 » : Le conseil municipal d’installation s’est réuni ce dimanche après-midi dans la salle de conférences de la Maison des Arts », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le ) « Ce n'est pourtant pas Jacques Perrin qui menait cette liste mais son prédécesseur (LR) Philippe Pemezec, maire de la commune pendant 28 ans, qui lui avait cédé l'écharpe en 2018 après son élection au Sénat. Et c'est le parlementaire, qui demeure le président de groupe de la majorité municipale, qui a d'ailleurs pris la parole en premier… pour présenter la candidature de Jacques Perrin (...) « Je reviendrai aux environs du mois de mars prochain, parce que Le Plessis c'est toute ma passion, que le mandat de maire est le plus beau des mandats et parce qu'il faut agir », annonce Philippe Pemezec ».
    31. Toutes les communes fleuries.
    32. Hendrik Delaire, « Modèle de ville fleurie, Le Plessis-Robinson inspire les jardiniers à travers l’Île-de-France : Récompensée en 2021 pour la troisième fois d’une Fleur d’or du Conseil national des villes et villages fleuris, la commune des Hauts-de-Seine est devenue une référence. On vient de partout, même du jardin des Tuileries et de l’étranger, pour découvrir les méthodes du jardinier en chef », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ) « Nous sommes la seule commune en France à avoir obtenu une Fleur d’or à trois reprises et avec 1 200 corbeilles de fleurs, nous sommes la ville comptant le plus de suspensions florales en France », s’enorgueillit le maire, Jacques Perrin (LR), qui a travaillé dans l’horticulture durant près de cinquante ans ».
    33. .
    34. « Prix Rotthier pour la reconstruction de la ville 2008 », sur http://www.jeunesarchi.com, (consulté le ).
    35. « LES VILLES \ INITIATIVES PAR RÉGIONS \ ILE-DE-FRANCE », sur www.villes-internet.net (consulté le ).
    36. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur Ministère des affaires étrangères (consulté le )
    37. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur Ministère des affaires étrangères (consulté le )
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Plessis-Robinson (92060) », (consulté le ).
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    43. http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/les-rugbymen-du-racing-s-entraineront-au-plessis-25-09-2010-1081642.php
    44. « Jérome Rothen signe au Plessis-Robinson en DH «  Football Club du Plessis-Robinson », sur www.fcpr92.fr (consulté le ).
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    51. Église Sainte Marie-Magdeleine.
    52. Église Saint-François-de-Sales.
    53. Chapelle Sacre-Cœur de Malabry.
    54. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    55. « Le Plessis-Robinson », base Mérimée, ministère français de la Culture.
    56. Dans la chanson Le voyage à Robinson écrite par Gaston Villemer et Lucien Delormel sur une musique de Lucien Collin, créée par Florence Duparc, et chantée également par Edmée Favart, Charlotte Clasis, Esther Lekain (en 1953) et Cora Vaucaire, on trouve les passages suivants : « Dans l'arbre fameux, je grimpais bien vite, Le vent souleva ma jupe un peu trop… Le garçon paraît… Le jour finissait et de l'arbre immense, nous redescendions. ».
    57. Interview de Johnny Hallyday par Jean-Pierre Lannes.
    58. Le Vrai Arbre de Robinson.
    59. http://www.myspace.com/mickgrandin/photos/12056896#{%22ImageId%22%3A14725474 myspace.com}.
    60. dailymotion.com.
    61. crosstowntorrents.org.
    62. Journal La Patrie, .
    63. promenades92.fr.
    64. [PDF] Le Plessis-Robinson magazine, no 11, , pp. 25 à 27.
    65. Elles… Les Filles du Plessis sur film-documentaire.fr.
    66. « Château de la Solitude - Ville de Plessis Robinson », sur www.plessis-robinson.com (consulté le ).
    67. Parmi les curés successifs, on compte Philippe Pysart, moine de Saint Germain d'Auxerre en 1545, Simon Lefranc en 1725, François de la Garde en 1730, Fauvet en 1790.
    68. « Couvent des Feuillants », sur plessis-robinson.com (consulté le ).
    69. GASO - Banque du blason - 92060.

    На других языках


    [de] Le Plessis-Robinson

    Le Plessis-Robinson ist eine französische Gemeinde mit 30.061 Einwohnern (Stand 1. Januar 2019) im Südwesten von Paris. Sie gehört zum Département Hauts-de-Seine in der Region Île-de-France. Die Entfernung zum Pariser Stadtzentrum beträgt etwa zehn Kilometer. Die Nachbargemeinden sind Clamart, Fontenay-aux-Roses, Sceaux und Châtenay-Malabry.

    [en] Le Plessis-Robinson

    Le Plessis-Robinson (French pronunciation: [lə plɛsi ʁɔbɛ̃sɔ̃] (listen)) is a commune in the southwestern suburbs of Paris, France. It is located 10.5 km (6.5 mi) from the center of Paris. As of 2017[update], it has 29,100 inhabitants.[3]
    - [fr] Le Plessis-Robinson

    [ru] Ле-Плесси-Робинсон

    Ле-Плесси-Робинсон (фр. Le Plessis-Robinson) — город и коммуна во Франции, в регионе Иль-де-Франс департамента О-де-Сен.



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