Châtenay-Malabry est située à 10 kilomètres au Sud de Paris, près du Parc de Sceaux.
La commune est limitrophe du département de l’Essonne et du département des Yvelines, limitée par les communes de Sceaux, Antony, Bièvres, le Plessis-Robinson et Verrières-le-Buisson.
Châtenay-Malabry revêt tous les aspects d’une ville parc. En effet, plus de la moitié de son territoire est constituée d’espaces verts et de parcs, bordés de quartiers résidentiels et d’habitats collectifs avec notamment sa Cité Jardin.
Elle est traversée par la Coulée verte du sud parisien qui reprend une partie de la via Turonensis, l'un des quatre chemins de France du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Les deux principales entrées de ville sont situées à l'ouest et à l'est de l’avenue de la Division-Leclerc, principale artère de la ville, dont le nom honore la 2eDB. Côté forêt de Verrières, l'entrée de ville est un grand rond-point qui apparaît comme une clairière dans la forêt avant de plonger dans le paysage urbain. Côté Antony, c'est un simple rond-point situé à l'angle sud-est du Parc de Sceaux. Pour ce qui est des entrées nord et sud, elles sont pour le moins discrètes, s’inscrivant dans le tissu urbain.
Carte de la commune.
Occupation des sols
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 638 hectares; l'altitude varie de 65 à 172mètres[1].
Le profil général de la commune est un plateau à l’ouest, suivi d’une déclivité accentuée dans son premier tiers pour se poursuivre en pente douce jusqu’à Sceaux. Une ligne de rupture en zigzag délimite la zone du plateau de celle des vallées.
La déclivité se partage en deux vallons, l’un se développant en partie sud, l’autre en partie nord.
Au creux de chacun de ces deux vallons, s’inscrit une ligne de plus forte pente, réceptacle de petits cours d’eau. Au nord, coule le ru d’Aulnay en partie recouvert qui parcourt à l'air libre le parc de la Vallée-aux-Loups et l'arboretum, au sud, le ru de Châtenay entièrement souterrain. Une crête entre les deux vallons nord et sud se dégage, qui a vu s’établir dans sa partie la plus à l’est le vieux centre de Châtenay.
Climat
Le climat de Châtenay-Malabry est de type océanique dégradé. Les stations d'observation les plus utilisées pour la météorologie à Châtenay-Malabry sont celles de l'aéroport d'Orly et de la base militaire aérienne 107 de Villacoublay situées non loin de Châtenay-Malabry. Le climat dans les départements de la petite couronne parisienne est caractérisé par un ensoleillement et des précipitations assez faibles. Le tableau suivant permet de comparer le climat de la commune de Châtenay-Malabry avec celui de quelques grandes villes françaises:
Comparaison des données météorologiques de Orly[2] (Châtenay-Malabry) avec les données nationales
La commune est traversée d’est en ouest par la RD 986, ancienne RN 186 (avenue de la Division-Leclerc), et du nord au sud par la D 128 (rues Vincent-Fayo et Jean-Longuet), la D 67 (avenue Sully-Prudhomme), la D 63 (avenue Roger-Salengro) et la D 75 (en bordure du territoire communal avec le Plessis-Robinson).
Elle dispose d'un échangeur avec l'autoroute A86, qui longe la commune au sud. L’échangeur A86/D 63 Châtenay-Malabry – Verrières-le-Buisson a été ouvert en . Cette réalisation complète l’infrastructure existante par la création d’un demi-échangeur en direction de Versailles afin de renforcer l’accessibilité de la zone de haute technologie «Faculté de pharmacie – Technopôle» et de réduire le trafic de transit sur les deux communes.
Pistes cyclables
La commune est traversée par la Coulée verte, située sur la tranchée couverte de la ligne à grande vitesse. Une piste cyclable qui la parcourt de bout-en bout, permet de relier la gare Montparnasse et Massy.
Une piste cyclable longe aussi la départementale 986 et une autre l'avenue Sully-Prudhomme.
Transports en commun
Châtenay-Malabry ne dispose pas de gare RER sur son territoire communal, mais est située à proximité immédiate de deux gares de la ligne B: Robinson (terminus de la branche B2), à Sceaux, et La Croix de Berny, à Antony.
Plusieurs lignes de bus relient Châtenay-Malabry à Paris et aux communes limitrophes, via les réseaux de bus de l'Île-de-France:
six lignes du réseau RATP: 179, 194, 195, 294, 379 et 395;
deux lignes du réseau de bus Vallée Sud Bus: 11 et 14;
quatre lignes du réseau de bus de la Bièvre: 4, 12, 15 et 18;
une ligne du réseau Noctilien: N63.
En 2023, la ligne de tramway T10[4] traversera la commune, permettant d'accéder très rapidement au RER B à la gare de La Croix de Berny.
Urbanisme
Typologie
Châtenay-Malabry est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7].
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[8] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9],[10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].
Occupation des sols
Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Occupation des sols en 2018
Type d’occupation
Pourcentage
Superficie (en hectares)
Tissu urbain discontinu
62,4%
398
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques
L’Insee découpe la commune en quatorze îlots regroupés pour l'information statistique soit Malabry, Robinson, Aulnay, Houssières, Division Leclerc, Butte rouge 1, Butte rouge 2, Butte rouge 3, Petit Châtenay, Voltaire, Croix blanche, Seignelay, Faulotte, Colbert[16].
Logement
La ville fait figure de référence en matière de logement social avec sa cité-jardin de la Butte-Rouge, construite entre 1931 et 1965. Propriété de Hauts-de-Seine Habitat, la cité-jardin est reconnue pour ses qualités urbaines, paysagères et architecturales. Elle regroupe 4 000 logements sociaux répartis sur 70 hectares et accueille un quart de la population de Châtenay-Malabry. Alors que la mairie veut radicalement transformer la cité-jardin, amoureux de l’architecture du XXe siècle et écologistes se mobilisent pour la préserver.[17]
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Projets d'aménagements
L’ÉcoQuartier LaVallée va remplacer l'École centrale, et un quartier d'affaires va remplacer la faculté de pharmacie.
En 2025, la piscine en plein air de La Grenouillère sera remplacée par un vaste complexe aquatique ouvert toute l'année.[18]
Toponymie
Le nom Châtenay viendrait[19] du latincastellanum qui signifie petit château et camp romain, ce qui en ferait remonter l'origine au Ier ou IIesiècle. On a d'ailleurs retrouvé des objets gallo-romains, préhistoriques et gaulois. La mention du nom de Châtenay n’apparaît pour la première fois qu’en 829, dans le polyptyque de l’abbé de Sainte-Geneviève, Irminon, dans lequel il mentionne Castanetum cum ecclesia, Châtenay avec son église.
On a aussi autrefois évoqué une origine liée au mot châtaignier. Mais l'on pense aujourd'hui que la culture du châtaignier est relativement récente dans cette région; toutefois Albert Dauzat et Charles Rostaing ont écrit, dans leur Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France[20]: «Ces toponymes montrent l'extension anc.[-ienne] du châtaignier dans des régions où il a disparu, par ex.[-emple] en Beauce».
Malabry, déformation du mot maladrerie ou de mal-abri (lieu de chasse battu par les vents), est à mettre en relation sans doute avec les nombreuses pentes et côtes du territoire de cette commune ou encore avec le nom d’un chanoine propriétaire de terres au début du XVesiècle.
Durant la Révolution, la commune, alors nommée Châtenay-les-Bagneux[21], porte le nom de Châtenay-la-Montagne[22].
En 1920, un décret associe les deux noms de Châtenay et de Malabry.
Histoire
Le territoire communal est issu des délimitations établies à l’issue de la Révolution française sur la
base du territoire rattaché à la seigneurie de Sceaux.
Le site comprend trois pôles principaux:
le vieux centre du bourg de Châtenay (IXesiècle);
le hameau d’Aulnay (XVIIesiècle);
le plateau de Malabry (identifié dès le XVIIesiècle comme lieu-dit, mais pas urbanisé avant la fin du XIXesiècle).
La découverte de «fonds de cabanes» au début du XXesiècle atteste l’implantation d’hommes à Châtenay-Malabry, aux lieux-dits les Porchères et la Cerisaie, dès la période néolithique (5000-). Quelques fragments de poteries gauloises et de nombreux vestiges gallo-romains confirment la continuité d’une présence humaine sur ce site.
Néanmoins, la mention du nom de Châtenay n’apparaît pour la première fois qu’en 829, dans le polyptyque de l’abbé de Sainte-Geneviève, Irminon, dans lequel il mentionne Castanetum cum ecclesia, Châtenay avec son église.
Érigée en paroisse au siècle suivant, Châtenay, dont les terres appartiennent alors au chapitre de Notre-Dame de Paris, couvre un territoire considérable, englobant notamment toutes les terres des villes actuelles de Sceaux et du Plessis-Robinson.
En 1266, les habitants de Châtenay s’affranchissent, grâce à la politique équitable de Louis IX, au prix de 1 400 livres payées au chapitre, afin d’abolir les pratiques du servage, en les remplaçant par une contribution financière.
Au XIIesiècle, la ville du Plessis devient indépendante et au XIIIesiècle, la ville de Sceaux le devient aussi. La paroisse de Châtenay s’étend toujours sur une grande superficie, comprenant notamment Châtenay, les hameaux d’Aulnay, du Petit-Châtenay et de Malabry, auxquels s’ajoutent encore quelques parcelles de territoire. Des familles nobles ou bourgeoises vinrent ensuite s’y installer (XVIIIeetXIXesiècles). À noter que Voltaire y séjourna en exil à partir de 1719 (il est, par ailleurs, probable qu'il y soit né), de retour dans la maison paternelle (château de la Roseraie) et que Chateaubriand y vécut de 1807 à 1816, dans sa propriété de la Vallée-aux-Loups, située dans le Val d'Aulnay. La propriété fut vendue ensuite à Mathieu de Montmorency, puis passa, par succession, aux ducs de La Rochefoucauld-Doudeauville.
Au XXesiècle, la vocation agricole de la commune s’estompe peu à peu et les grands propriétaires locaux deviennent pépiniéristes et arboriculteurs. De même, avec la proximité de Paris, Châtenay adopte petit à petit un caractère plus résidentiel.
En 1920, un décret associe les deux noms de Châtenay et de Malabry. Châtenay-les-Bagneux devint donc Châtenay-Malabry.
Dans les années 1930, la création de la cité-jardin de La Butte Rouge, en bordure de l’ancien village, bouleverse la démographie de la commune. Celle-ci connaît alors plusieurs décennies de forte croissance, passant de 4 000 habitants en 1936 à plus de 30 000 depuis les années 1970.
Châtenay et sa commune voisine Antony ont procédé en 1936 à un échange important de terrains. Châtenay a cédé ses droits sur le parc de Sceaux au profit d'Antony qui a cédé une grande partie de son territoire au nord-ouest.
Au début des années 1970, la commune accueille l’École centrale Paris et la Faculté de Pharmacie. Le visage de la ville se métamorphose ensuite par l’aménagement de la ZAC des Friches et des Houssières et de la Croix blanche; de nombreux équipements sportifs, sociaux, administratifs et culturels sont créés ou modernisés pour rendre un meilleur service aux habitants.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune est le chef-lieu, puis, depuis le redécoupage cantonal de 2014 en France, le bureau centralisateur du canton de Chatenay-Malabry.
Châtenay-Malabry relève du tribunal d'instance d'Antony, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du tribunal de commerce de Nanterre, du conseil de prud'hommes de Boulogne-Billancourt, de la cour d'appel de Versailles, du tribunal administratif de Cergy-Pontoise et de la cour administrative d'appel de Versailles[23].
Intercommunalité
La commune était membre de la communauté d'agglomération des Hauts-de-Bièvre créée en 2002.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), à laquelle la commune a été intégrée[24].
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (loi NOTRe) prévoit également la création le d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale, et exerçant également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées
La commune fait donc partie depuis le de l'établissement public territorial Vallée Sud Grand Paris, créé par un décret du 11 décembre 2016[25].
L'EPT exerce, outre les compétences attribuées par la loi à cette catégorie d'établissement public de coopération intercommunale (EPCI), celles que les communes avaient transférées aux anciennes intercommunalités supprimées à l'occasion de sa création:
Communauté de communes de Châtillon-Montrouge (Montrouge, Châtillon);
Communauté d'agglomération des Hauts-de-Bièvre (Châtenay-Malabry, Antony, Bourg-la-Reine, Le Plessis-Robinson, Sceaux dans les Hauts-de-Seine – les deux communes essonniennes de Verrières-le-Buisson et Wissous ayant rattachées à la communauté d'agglomération Communauté Paris-Saclay);
Communauté d'agglomération Sud de Seine (Fontenay-aux-Roses, Bagneux, Clamart, Malakoff).
Articles détaillés: métropole du Grand Paris, établissement public territorial et établissement public territorial Vallée Sud Grand Paris.
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2020 dans les Hauts-de-Seine.
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Administration municipale
Depuis 2007, Châtenay-Malabry fait partie des communes[26] qui utilisent les machines à voter.
Liste des maires
Article détaillé: Liste des maires de Châtenay-Malabry.
Sept maires se sont succédé depuis la Libération de la France:
Conseiller général de Sceaux (1979 → 1985) Conseiller général de Châtenay-Malabry (1985 → 1992) Réélu en 1977, 1983 et 1989 Démissionnaire après sa défaite aux élections cantonales de 1992
Directeur de société Député des Hauts-de-Seine (2002 → 2005 et 2009 → 2010) Conseiller général de Châtenay-Malabry (1992 → 1998 et 2011 → 2015) Conseiller départemental de Châtenay-Malabry (2015 → ) Président du conseil départemental des Hauts-de-Seine (2020 → ) Vice-président de la métropole du Grand Paris (2016 → ) Vice-président de l'EPT Vallée Sud Grand Paris (2016 → 2020) Réélu en 2001, 2008 et 2014
Ces trois villes sont également jumelées entre elles depuis 1986[40].
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10000habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8% de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[41],[Note 3]
En 2019, la commune comptait 34 021 habitants[Note 4], en augmentation de 4,29% par rapport à 2013 (Hauts-de-Seine: +2,07%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
568
573
559
526
652
545
496
525
566
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
686
754
942
825
982
1 112
1 194
1 339
1 561
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 706
1 888
2 019
2 367
2 966
3 682
3 893
9 179
14 269
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
24 756
27 484
30 497
28 580
29 197
30 621
31 873
32 083
33 016
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
34 021
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,9%, soit au-dessus de la moyenne départementale (38,4%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,6% la même année, alors qu'il est de 20,0% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 16 693 hommes pour 17 477 femmes, soit un taux de 51,15% de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (52,41%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[43]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,7
90 ou +
1,8
5,0
75-89 ans
7,2
12,5
60-74 ans
14,0
18,9
45-59 ans
19,4
20,3
30-44 ans
20,2
23,0
15-29 ans
19,5
19,6
0-14 ans
17,9
Pyramide des âges du département des Hauts-de-Seine en 2018 en pourcentage[44]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,6
90 ou +
1,6
5,1
75-89 ans
7,2
12
60-74 ans
13,2
19,2
45-59 ans
19,4
22,6
30-44 ans
22,1
20,1
15-29 ans
18,7
20,4
0-14 ans
17,8
Enseignement
Châtenay-Malabry est située dans l'académie de Versailles.
Établissements scolaires
La ville administre sept écoles maternelles et sept écoles élémentaires communales:
les groupes scolaires Jean-Jaurès, Jules-Verne, Pierre-Brossolette, des Mouilleboeufs, Thomas-Masaryk et Pierre-Mendès-France accueillent chacun une école maternelle et une école élémentaire;
l'école maternelle Suzanne-Buisson et l'école élémentaire Léonard-de-Vinci.
À ces établissements publics s'ajoute un établissement privé sous contrat, le groupe scolaire Sophie Barat, qui propose une école primaire, un collège et un lycée.
Le lycée Sophie Barat a été élu meilleur lycée du département des Hauts-de-Seine en 2020 par le magazine L'Etudiant[45].
Vie universitaire
Châtenay-Malabry abrite:
de 1969 à 2018, l'École centrale des arts et manufactures, une école d'ingénieurs devenue en 2015 CentraleSupélec en fusionnant avec l'École supérieure d'électricité;
depuis 1972, l'UER puis UFR de Pharmacie[46], l'un des pôles d'enseignement de l'Université de Paris XI (Orsay);
le Centre régional d'éducation populaire et de sport d'Île de France (CREPS)[47].
Manifestations culturelles et festivités
Chaque année, la mairie organise:
un village de Noël dans le parc du Souvenir français: une trentaine de chalets accueillent des artisans et une piste de luge et de ski est aménagée pour les plus jeunes. Une patinoire est aussi accessible pour les familles. Toutes les animations sont gratuites;
le , la mairie organise une grande fête sur la coulée verte: kermesse, bal musette, spectacle de clowns, tombola, dîner dansant et grand feu d'artifice;
le Forum des associations, le 1ersamedi de septembre après la rentrée scolaire.
Le festival du Val d'Aulnay se tient tous les mois de juin dans les différents lieux de la Vallée-aux-Loups.
Le festival Paysages de cinéaste a lieu chaque année, à l'initiative du cinéma Le Rex[48].
Le VIVI festival a lieu chaque année au profit de l'association ASMAE pour l'un de ses microprojets au Burkina Faso.
Chaque année depuis 2008 ont lieu en avril les «Rencontres du livre Afrique - Caraïbes - Maghreb» sous la direction de l'écrivain Caya Makhélé.
Santé
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Sports
Dans les années 1940 est créé le club omnisports de la Section Sportive Voltaire. Le footballeur international Robert Jonquet y évolue une saison à 16 ans pendant la guerre.
Mais c’est principalement grâce au handball que la SS Voltaire s’est fait connaître[49]. Le club a en effet évolué en Championnat de France de première division lors des saisons 1964-1965, 1967-1968 puis quatre saisons entre 1975 et 1979. Plusieurs joueurs de qualité ont ainsi évolué à la SS Voltaire, tels Alfred Alexandre, Roland Indriliunas ou Lionel Nicolas, tous internationaux français.
En 1985, à la demande de la municipalité, un changement d'appellation a été prononcé afin de faire clairement apparaître le nom de la ville: la Section Sportive Voltaire intègre alors l'Association sportive Voltaire de Châtenay-Malabry.
Châtenay-Malabry abrite également le siège de l'Agence française de lutte contre le dopage, qui a notamment mis au point une méthode de détection du dopage à l'EPO grâce au test urinaire.
Médias
Chaque mois, le magazine d'informations municipales Les Nouvelles de Châtenay-Malabry est disponible. il est diffusé dans toutes les boîtes aux lettres de la ville.
Cultes
Les Châtenaisiens disposent de lieux de culte catholique, musulman, orthodoxe et protestant.
Culte catholique
Article connexe: Paroisses des Hauts-de-Seine.
Depuis janvier 2010, la commune de Châtenay-Malabry fait partie du doyenné de la Pointe Sud, l'un des neuf doyennés du diocèse de Nanterre[50].
Il y a quatre paroisses catholiques à Châtenay-Malabry[51],[52]. Les lieux de culte correspondant sont:
pour la paroisse Paroisse Sainte Thérèse d'Avila[54]: l'église Sainte-Thérèse-d’Avila, située dans le bas de la cité-jardin de la Butte-Rouge;
pour la paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois[55]: l'église Saint-Germain-l'Auxerrois, située dans le vieux centre du bourg de Châtenay;
pour la paroisse Sainte-Magdeleine du Plessis-Robinson, dont le territoire s'étend sur Châtenay-Malabry: la chapelle du Sacré-Cœur de Malabry[56], située dans le quartier de Bellevue.
Culte musulman
La ville dispose depuis peu, d'une mosquée, non loin du parc de la Vallée-aux-Loups.
Culte orthodoxe
Trois lieux de culte chrétien de rite oriental:
la chapelle des Saints-Pierre-et-Paul (célébrations en langue française) installée sous l’église catholique Sainte-Bathilde, paroisse fondée en 1984 par l'archiprêtre Michel Evdokimov et Pierre Semenoff et rattachée à l'archevêché des églises orthodoxes russes en Europe occidentale jusqu'en 2019; le 3 novembre de cette année, à la suite du changement de statut du dit archêché, les paroissiens décident de rester dans la juridiction de Constantinople en rejoignant la métropole orthodoxe grecque de France où au sein de celle-ci le vicariat Sainte-Marie-de-Paris et Saint-Alexis-d'Ugine regroupe des paroisses de tradition russe[57], refusant donc de rejoindre le patriarcat de Moscou[58];
la paroisse des Saints-Raphaël-Nicolas-et-Irène, dispose, depuis décembre 2009[59], d'une chapelle, aménagée dans les locaux du foyer hellénique de jeunes, 15, petite voie des Vignes; elle dépend directement de la métropole orthodoxe grecque de France[60];
l'église Sainte-Marie-et-Saint-Marc de l'Église copte orthodoxe[61],[62] située au cœur de la Butte-Rouge. Nota: l'édifice apparaît à la fin du film L'Année sainte, réalisé par Jean Girault, sorti en 1976. Cette église, édifiée en 1965 par l'architecte Pierre Sirvin sous le nom de Sainte-Monique-de-la-Butte-Rouge pour le culte catholique, a été cédée au culte orthodoxe en 1989[63].
Culte protestant
Quatre communautés protestantes sont implantées dans la commune:
la communauté de Robinson, paroisse réformée adhérente de l'Église protestante Unie de France[64],[65] située en centre-ville;
l'église évangélique mennonite[66] située dans le bas de la cité-jardin de la Butte-Rouge;
la paroisse adventiste du septième jour[67], qui partage les locaux de la communauté de Robinson pour son culte qui a lieu le samedi;
et le temple de l'Église évangélique luthérienne de France[68] situé dans le quartier de Bellevue.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
Cette section doit être actualisée. (Dernière mise à jour: 2011)
Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés. Améliorez-la ou discutez-en.
En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 35 764€, ce qui plaçait Châtenay-Malabry au 6 837e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[69].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Cet article contient une ou plusieurs listes ().
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La commune comprend de nombreux monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel de la France[70].
Les éléments historiques subsistant apparaissent comme relativement nombreux pour une commune de cette taille. Outre les traces allant du néolithique à l’époque mérovingienne, on peut retrouver des édifices historiques très marquants.
Dans la partie nord de la forêt de Verrières dépendant de Châtenay-Malabry, subsistent quelques traces de l'ancien château fort de La Boursidière.
L'église Saint-Germain-l'Auxerrois, l'une des églises les plus anciennes de France dont les fondations et une partie du clocher roman datent du Xesiècle.
Le pavillon Colbert (toitures et façades inscrits monument historique[71] - XVIIIesiècle).
Les bornes royales de Louis XV le long de l’avenue de la Division-Leclerc (XVIIIesiècle).
Le château de la Petite Roseraie (toitures, façades et parc inscrits monument historique[72] - XVIIeetXVIIIesiècles).
La maison de Chateaubriand et l'arboretum de la Vallée-aux-Loups se visitent[73].
Le lavoir avec son toit percé permettant l’alimentation en eau de pluie date de 1826. Il était flanqué d’un abreuvoir et fut utilisé jusque dans les années 1960. Le cours du ru de Châtenay, actuellement recouvert, est situé à proximité en contrebas.
La bibliothèque (ancienne mairie, XIXesiècle).
La cité-jardin de la Butte-Rouge (1931-1939 puis 1949-1965): elle fait partie de la quinzaine de cités-jardins construites par l'Office HBM (Habitations à Bon Marché, devenues HLM, habitations à loyer modéré, par la loi du ) de la Seine alors dirigé par Henri Sellier. Elle est conçue par les architectes Joseph Bassompierre-Sewrin, Paul Sirvin, Paul de Rutté et le paysagiste André Riousse sur 74 hectares, en 7 tranches successives. Plus on avance dans le temps, plus les immeubles construits s'agrandissent tout en conservant certaines caractéristiques de la cité-jardin initiale. 1 573 logements sont construits à la fin des années 1930, 3 695 aujourd'hui. En dépit de sa qualité urbaine et architecturale, la Butte-Rouge n'est pas protégée au titre des monuments historiques.
Les Murs Blancs, propriété d'Emmanuel Mounier, enterré au cimetière ancien de Châtenay-Malabry.
L'Île Verte, propriété de Jules Barbier et de sa famille, le peintre Jean Fautrier y séjourna de 1945 à 1964
Hôtel La Faulotte.
Le cimetière ancien de Châtenay-Malabry (ouvert en 1811) abrite le dernier repos de nombreuses personnalités dont l'écrivain Paul Léautaud, le philosophe Emmanuel Mounier ou l'économiste André Piettre.
Les grandes propriétés conventuelles ou nobiliaires, bien que disparues, ont façonné le tissu en réservant de grandes parcelles qui soit ont été partagées ou loties, soit constituent les domaines de grands parcs aménagés (le CREPS d'Île-de-France, le parc de la Vallée-aux-Loups, les pépinières Croux,etc.).
L’ancienneté, la rareté et la qualité d’éléments végétaux nombreux apparaissent comme ayant une véritable valeur patrimoniale indissociable des éléments architecturaux ou urbains.
Patrimoine culturel
La coulée verte du TGV Atlantique.
La Roseraie, actuellement CREPS d'Île-de-France.
Châtenay-Malabry accueille l'École nationale des maîtres d'armes en escrime.
Le musée du Bonsaï (fermé définitivement).
Le Laboratoire national de dépistage du dopage.
Châtenay-Malabry et les arts
Des scènes du film Coup de tête (1979) de Jean-Jacques Annaud ont été tournées sur le territoire de la commune.
Tendre banlieue est le titre d'une série de bande dessinée créée en 1982 par Tito dont les histoires se déroulent essentiellement à Châtenay-Malabry.[74]
Châtenay-Malabry (2002) est le titre d'une chanson de Vincent Delerm.
L'histoire du livre Les enfants sont rois (2021) de Delphine de Vigan se déroule dans la commune.
Personnalités liées à la commune
Jean-Baptiste Colbert (1619-1683), qui a acquis en 1670 la seigneurie de Sceaux ainsi que des terres à Châtenay pour capter les eaux destinées à alimenter le parc de Sceaux. Depuis cette époque, les armes des deux villes portent la couleuvre de la maison de Colbert (coluber en latin).
François-Marie Arouet, dit Voltaire (1694-1778), a séjourné à Châtenay-Malabry. Il prétendait y être né.
François-René de Chateaubriand (1768-1848), qui y fit l'acquisition du domaine de la Vallée-aux-Loups.
Henri de Latouche (1785-1851), journaliste, poète et écrivain, inhumé au cimetière ancien de Châtenay-Malabry.
Sosthène II de La Rochefoucauld, 4educ de Doudeauville (1825-1908), ambassadeur de France, député, président du Jockey Club, propriétaire de La Vallée aux Loups.
Jules Barbier (1825-1901), poète, dramaturge et librettiste, habitait Châtenay-Malabry.
Sully Prudhomme (1839-1907), poète français, premier écrivain à recevoir le prix Nobel de littérature (1901), mort à Châtenay-Malabry.
Félix Fénéon (1861-1944), critique d'art, journaliste et directeur de revues, mort à Châtenay-Malabry.
Henry Gerbault (1863-1930), né à Châtenay le 24 juin, dessinateur humoristique, illustrateur et affichiste.
Paul Léautaud (1872-1956), écrivain, habitant de Fontenay-aux-Roses, inhumé au cimetière ancien de Châtenay-Malabry.
Jean Longuet (1876-1938), homme politique français, fut maire de Châtenay-Malabry de 1925 à 1938.
Henri Le Savoureux (1881-1961), médecin psychiatre, fondateur de la Société Chateaubriand, premier-adjoint de Jean Longuet, résistant.
Louise Janin (1893-1997), peintre et poète américaine, morte à Châtenay-Malabry[75].
Jacques Rigaut (1898-1929) - Poète français, mort à Châtenay-Malabry.
Emmanuel Mounier (1905-1950), philosophe français, fondateur de la revue Esprit, mort à Châtenay-Malabry où il est inhumé.
André Martinet (1908-1999), linguiste, mort à Châtenay-Malabry.
Pierre George (1909-2006), géographe, membre de l'Académie des sciences morales et politiques, mort à Châtenay-Malabry.
Paul Ricœur (1913-2005), philosophe chrétien, membre de la communauté de Robinson (paroisse protestante), mort à Châtenay-Malabry.
Claude Seignolle (1917-2018), écrivain et folkloriste, qui vécut à Châtenay-Malabry.
Armand Jammot (1922-1998), producteur de télévision, mort à Châtenay-Malabry.
René-Louis Lafforgue (1928-1967), auteur, compositeur et chanteur, habitait Châtenay-Malabry en 1957, jusqu'à sa mort.
Guy Hocquenghem (1946-1988), essayiste, romancier et militant homosexuel, habitait Châtenay-Malabry.
Marie-George Buffet (née en 1949), femme politique, adjointe au maire de Châtenay-Malabry en 1977.
Thierry Le Luron (1952-1986), imitateur, humoriste et chanteur, a été élève du lycée Emmanuel-Mounier.
Marisol Touraine (née en 1959), ministre, habitait[Quand?] Châtenay-Malabry.
Françoise Abraham (née en 1962), sculpteur et peintre née à Châtenay-Malabry.
Christophe Lambert (né en 1969), écrivain jeunesse, né à Châtenay-Malabry.
Manu Eveno (né en 1971), chanteur et guitariste français, membre du groupe Tryo, né à Châtenay-Malabry.
Laurent Chambon (né en 1972), sociologue et politologue, né à Châtenay-Malabry.
Fabrice Colin (né en 1972), écrivain, né à Châtenay-Malabry.
Grégoire Colin (né en 1975), acteur, né à Châtenay-Malabry.
Vincent Delerm (né en 1976), auteur-compositeur-interprète qui écrit et compose la chanson Châtenay-Malabry qui sort en 2002 sur son premier album
Jérôme Rothen (né en 1978), footballeur français, né à Châtenay-Malabry.
Aurélia Aurita (née en 1980), autrice de bande dessinée, née à Châtenay-Malabry.
Habib Bamogo (né en 1982), footballeur français, habite[Quand?] Châtenay-Malabry.
Clémence Poésy (née en 1982), actrice française, habite[Quand?] Châtenay-Malabry.
Arnaud Marchois (né en 1983), joueur de rugby à XV, né à Châtenay-Malabry.
Aurélie Valognes (née en 1983), romancière, née à Châtenay-Malabry.
Hugo Duminil-Copin (né en 1985), mathématicien français, lauréat 2022 de la médaille Fields, y est né
Hatem Ben Arfa (né en 1987), footballeur français, habite[Quand?] Châtenay-Malabry.
Lise Stoufflet (née en 1989), artiste peintre, née à Châtenay-Malabry.
Allan Saint-Maximin (né en 1997), footballeur français né à Châtenay-Malabry.
Héraldique
Elles peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui:
Parti, au 1er, de gueules à la branche de châtaignier d'or garnie de ses fruits d'argent, au 2e, d'or à la couleuvre ondoyante d'azur en pal (rappelant les armes de Colbert).[76]
Châtenay-Malabry: histoires et paysages, ouvrage édité par l'office de tourisme de Châtenay-Malabry, 1988, 333 pages (ISBN2-95031-130-X)
Philippe Chambault et Fr. Guyard, Châtenay-Malabry, 1990.
Robert Dauvergne, Fouilles archéologiques à Châtenay-sous-Bagneux (Châtenay-Malabry en 1718-1729), sépultures mérovingiennes et médiévales, Paris et Ile-de-France, t. 16-17, 1965-1966, Paris, 1967, p.241-270.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10000habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10000habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
«infoclimat», sur www.infoclimat.fr (consulté le ).
Albert Dauzat et Charles Rostaing, «Castagnède», in: Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Larousse, 1963; réédition en 1978 par la librairie Guénégaud, Paris VI, p.153.
«Jean-François Merle est élu président du Conseil national de l'Inspection du travail (CNIT), nouvelle instance consultative installée par Xavier Bertrand.», Les Échos, (lire en ligne).
«Les nouveaux maires tout frais sortis des urnesPedigree express des élus franciliens qui entrent pour la première fois à l'hôtel de ville», Libération, (lire en ligne, consulté le )«Georges Siffredi (RPR), 39 ans, élu face à Jean-François Merle (PS). Fils d'un ancien secrétaire général du département, vice-président du conseil général et directeur démissionnaire de la SEM d'Antony».
Ariane Riou, «Georges Siffredi passe le flambeau à Carl Ségaud à Châtenay-Malabry: Carl Ségaud a été élu maire avec 33 voix sur les 39 du conseil municipal, lors d’une séance teintée d’émotion, ce jeudi. Il doit son élection à celle de Georges Siffredi, maire sortant, à la tête du conseil départemental», Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le )«Le 15 mars dernier, Georges Siffredi, à la tête de sa liste, est élu dès le premier tour avec 65,37% des voix. À l'époque, il compte bien renfiler l'écharpe de maire […] Deux semaines plus tard, le 28 mars, Patrick Devedjian, patron du département, est emporté par le Covid-19 à 75 ans. […] Georges Siffredi, «grand ami de 28 ans» de Patrick Devedjian et premier vice-président du conseil départemental, assure l'intérim quelque temps, malgré la «douleur» de cette disparition. Il finit par être élu en bonne et due forme, ce lundi, à la tête du conseil départemental».
Réélu pour le mandat 2014-2020: «Municipales à Châtenay-Malabry: Siffredi (UMP) réélu sur un score record», Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne)«Réélu dès le premier tour, avec 66,67% des voix, soit près de 14 points de plus qu'en 2008: ce soir, l'UMP Georges Siffredi savourait sa large victoire».
«Coup d zoom – Voltaire… à la recherche de son histoire», Hand-ball: bulletin fédéral, Fédération française de handball, no256, , p.30-31 (lire en ligne, consulté le ).
«Louise Janin ou le musicalisme à haut rythme», in 88 notes pour piano solo, Jean-Pierre Thiollet, Neva Editions, 2015, pp.82-86. (ISBN978 2 3505 5192 0).
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