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Châtenay-Malabry est une commune française de 34 000 habitants dans le département des Hauts-de-Seine en région Île-de-France.

Châtenay-Malabry

L'église Saint-Germain-l'Auxerrois.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Hauts-de-Seine
Arrondissement Antony
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Vallée Sud Grand Paris
Maire
Mandat
Carl Segaud (LR)
2020-2026
Code postal 92290
Code commune 92019
Démographie
Gentilé Châtenaisiens
Population
municipale
34 021 hab. (2019 )
Densité 5 358 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 45′ 55″ nord, 2° 16′ 41″ est
Altitude Min. 65 m
Max. 172 m
Superficie 6,35 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Châtenay-Malabry
(bureau centralisateur)
Législatives Treizième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Châtenay-Malabry
Géolocalisation sur la carte : France
Châtenay-Malabry
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-Seine
Châtenay-Malabry
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Châtenay-Malabry
Liens
Site web chatenay-malabry.fr

    Géographie



    Localisation


    Vue de la commune de Châtenay-Malabry en rouge sur la carte de la « Petite Couronne » d'Île-de-France.
    Vue de la commune de Châtenay-Malabry en rouge sur la carte de la « Petite Couronne » d'Île-de-France.

    Châtenay-Malabry est située à 10 kilomètres au Sud de Paris, près du Parc de Sceaux.

    La commune est limitrophe du département de l’Essonne et du département des Yvelines, limitée par les communes de Sceaux, Antony, Bièvres, le Plessis-Robinson et Verrières-le-Buisson.

    Communes limitrophes de Châtenay-Malabry
    Clamart Le Plessis-Robinson Sceaux
    Vélizy-Villacoublay Antony
    Bièvres Verrières-le-Buisson Antony

    Châtenay-Malabry revêt tous les aspects d’une ville parc. En effet, plus de la moitié de son territoire est constituée d’espaces verts et de parcs, bordés de quartiers résidentiels et d’habitats collectifs avec notamment sa Cité Jardin.

    Elle est traversée par la Coulée verte du sud parisien qui reprend une partie de la via Turonensis, l'un des quatre chemins de France du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.

    Les deux principales entrées de ville sont situées à l'ouest et à l'est de l’avenue de la Division-Leclerc, principale artère de la ville, dont le nom honore la 2e DB. Côté forêt de Verrières, l'entrée de ville est un grand rond-point qui apparaît comme une clairière dans la forêt avant de plonger dans le paysage urbain. Côté Antony, c'est un simple rond-point situé à l'angle sud-est du Parc de Sceaux. Pour ce qui est des entrées nord et sud, elles sont pour le moins discrètes, s’inscrivant dans le tissu urbain.

    Châtenay-Malabry borde à la fois la forêt de Verrières et le Parc de Sceaux
    Châtenay-Malabry borde à la fois la forêt de Verrières et le Parc de Sceaux

    Géologie et relief


    La superficie de la commune est de 638 hectares ; l'altitude varie de 65 à 172 mètres[1].

    Le profil général de la commune est un plateau à l’ouest, suivi d’une déclivité accentuée dans son premier tiers pour se poursuivre en pente douce jusqu’à Sceaux. Une ligne de rupture en zigzag délimite la zone du plateau de celle des vallées.

    La déclivité se partage en deux vallons, l’un se développant en partie sud, l’autre en partie nord.

    Au creux de chacun de ces deux vallons, s’inscrit une ligne de plus forte pente, réceptacle de petits cours d’eau. Au nord, coule le ru d’Aulnay en partie recouvert qui parcourt à l'air libre le parc de la Vallée-aux-Loups et l'arboretum, au sud, le ru de Châtenay entièrement souterrain. Une crête entre les deux vallons nord et sud se dégage, qui a vu s’établir dans sa partie la plus à l’est le vieux centre de Châtenay.


    Climat


    Le climat de Châtenay-Malabry est de type océanique dégradé. Les stations d'observation les plus utilisées pour la météorologie à Châtenay-Malabry sont celles de l'aéroport d'Orly et de la base militaire aérienne 107 de Villacoublay situées non loin de Châtenay-Malabry. Le climat dans les départements de la petite couronne parisienne est caractérisé par un ensoleillement et des précipitations assez faibles. Le tableau suivant permet de comparer le climat de la commune de Châtenay-Malabry avec celui de quelques grandes villes françaises :

    Ville Ensoleillement
    (h/an)
    Pluie
    (mm/an)
    Neige
    (j/an)
    Orage
    (j/an)
    Brouillard
    (j/an)
    Médiane nationale 1 852835162550
    Orly[2] (Châtenay-Malabry) 1 669616162326
    Paris 1 66263712178
    Nice 2 7247331271
    Strasbourg 1 693665262851
    Brest 1 5301 21071276
    Bordeaux 2 03594433169

    Le tableau suivant donne les moyennes mensuelles de température et de précipitations pour la station d'Orly recueillies sur la période 1961-1990 :

    Relevés météorologiques de la station d'Orly 1961-1990
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,7 1,3 3 5,3 8,8 11,9 13,8 13,4 11,2 7,9 3,8 1,6 6,9
    Température moyenne (°C) 3,3 4,4 6,8 9,8 13,5 16,7 18,9 18,6 16 11,9 6,8 4,1 10,9
    Température maximale moyenne (°C) 5,8 7,5 10,7 14,2 18,1 21,5 24 23,8 20,9 15,9 9,8 6,6 14,9
    Humidité relative (%) 86 80 76 72 72 71 70 71 77 83 86 86 78
    Source : Infoclimat[3]
    Relevés météorologiques de la station d'Orly 1961-1990
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Nombre de jours avec gel 12,4 10,3 7 1,6 0 0 0 0 0 0,2 5,4 11,6 48,6
    Source : Infoclimat[3]
    Relevé météorologique des records climatiques de la station d’Orly
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc.
    Record de froid (°C)
    date du record
    −16,8
    1985
    −15
    1956
    −9,4
    2005
    −4,3
    1921
    −1,3
    1957
    3,2
    1975
    6,7
    1922
    5,6
    1923
    1,7
    1952
    −3,9
    1955
    −9,6
    1921
    −13,3
    1964
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    16,5
    2003
    20
    1990
    24,5
    1955
    29,4
    1949
    35
    1922
    37
    1947
    39,2
    1947
    40
    2003
    33
    1949
    31,3
    1921
    20,1
    1993
    17,3
    1989
    Source : JournalduNet[2]

    Voies de communication et transports



    Voies routières

    La commune est traversée d’est en ouest par la RD 986, ancienne RN 186 (avenue de la Division-Leclerc), et du nord au sud par la D 128 (rues Vincent-Fayo et Jean-Longuet), la D 67 (avenue Sully-Prudhomme), la D 63 (avenue Roger-Salengro) et la D 75 (en bordure du territoire communal avec le Plessis-Robinson).

    Elle dispose d'un échangeur avec l'autoroute A86, qui longe la commune au sud. L’échangeur A86/D 63 Châtenay-Malabry – Verrières-le-Buisson a été ouvert en . Cette réalisation complète l’infrastructure existante par la création d’un demi-échangeur en direction de Versailles afin de renforcer l’accessibilité de la zone de haute technologie « Faculté de pharmacie – Technopôle » et de réduire le trafic de transit sur les deux communes.


    Pistes cyclables

    La Coulée verte permet de rejoindre Paris à vélo
    La Coulée verte permet de rejoindre Paris à vélo

    La commune est traversée par la Coulée verte, située sur la tranchée couverte de la ligne à grande vitesse. Une piste cyclable qui la parcourt de bout-en bout, permet de relier la gare Montparnasse et Massy.

    Une piste cyclable longe aussi la départementale 986 et une autre l'avenue Sully-Prudhomme.


    Transports en commun

    Châtenay-Malabry ne dispose pas de gare RER sur son territoire communal, mais est située à proximité immédiate de deux gares de la ligne B : Robinson (terminus de la branche B2), à Sceaux, et La Croix de Berny, à Antony.

    Plusieurs lignes de bus relient Châtenay-Malabry à Paris et aux communes limitrophes, via les réseaux de bus de l'Île-de-France :

    Futur Tramway T10
    Futur Tramway T10

    En 2023, la ligne de tramway T10[4] traversera la commune, permettant d'accéder très rapidement au RER B à la gare de La Croix de Berny.


    Urbanisme



    Typologie


    Châtenay-Malabry est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[8] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9],[10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].


    Occupation des sols


    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 62,4 % 398
    Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 0,3 % 2
    Espaces verts urbains 13,2 % 84
    Forêts de feuillus 24,1 % 154
    Source : Corine Land Cover[13]

    Morphologie urbaine


    Rue Jean-Longuet à Châtenay-Malabry en mars 2020.
    Rue Jean-Longuet à Châtenay-Malabry en .
    Occupation des sols
    2003 2012
    Type d'occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Espace urbain construit 52,26 % 332,10 62,43 % 399,40
    Espace urbain non construit 18,91 % 120,19 13,03 % 82,90
    Espace rural 28,82 % 183,15 24,20 % 154
    Source : Iaurif[14] Source: CORINE[15]
    Petit Châtenay.
    Petit Châtenay.

    L’Insee découpe la commune en quatorze îlots regroupés pour l'information statistique soit Malabry, Robinson, Aulnay, Houssières, Division Leclerc, Butte rouge 1, Butte rouge 2, Butte rouge 3, Petit Châtenay, Voltaire, Croix blanche, Seignelay, Faulotte, Colbert[16].


    Logement


    Butte-Rouge
    Butte-Rouge

    La ville fait figure de référence en matière de logement social avec sa cité-jardin de la Butte-Rouge, construite entre 1931 et 1965. Propriété de Hauts-de-Seine Habitat, la cité-jardin est reconnue pour ses qualités urbaines, paysagères et architecturales. Elle regroupe 4 000 logements sociaux répartis sur 70 hectares et accueille un quart de la population de Châtenay-Malabry. Alors que la mairie veut radicalement transformer la cité-jardin, amoureux de l’architecture du XXe siècle et écologistes se mobilisent pour la préserver.[17]

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    Projets d'aménagements


    L’ÉcoQuartier LaVallée va remplacer l'École centrale, et un quartier d'affaires va remplacer la faculté de pharmacie.

    Future Piscine de la Grenouillère
    Future Piscine de la Grenouillère
    Elle disposera de bassins extérieurs et d'une rivière sauvage
    Elle disposera de bassins extérieurs et d'une rivière sauvage

    En 2025, la piscine en plein air de La Grenouillère sera remplacée par un vaste complexe aquatique ouvert toute l'année.[18]


    Toponymie


    Le nom Châtenay viendrait[19] du latin castellanum qui signifie petit château et camp romain, ce qui en ferait remonter l'origine au Ier ou IIe siècle. On a d'ailleurs retrouvé des objets gallo-romains, préhistoriques et gaulois. La mention du nom de Châtenay n’apparaît pour la première fois qu’en 829, dans le polyptyque de l’abbé de Sainte-Geneviève, Irminon, dans lequel il mentionne Castanetum cum ecclesia, Châtenay avec son église.

    On a aussi autrefois évoqué une origine liée au mot châtaignier. Mais l'on pense aujourd'hui que la culture du châtaignier est relativement récente dans cette région ; toutefois Albert Dauzat et Charles Rostaing ont écrit, dans leur Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France[20] : « Ces toponymes montrent l'extension anc.[-ienne] du châtaignier dans des régions où il a disparu, par ex.[-emple] en Beauce ».

    Malabry, déformation du mot maladrerie ou de mal-abri (lieu de chasse battu par les vents), est à mettre en relation sans doute avec les nombreuses pentes et côtes du territoire de cette commune ou encore avec le nom d’un chanoine propriétaire de terres au début du XVe siècle.

    Durant la Révolution, la commune, alors nommée Châtenay-les-Bagneux[21], porte le nom de Châtenay-la-Montagne[22].

    En 1920, un décret associe les deux noms de Châtenay et de Malabry.


    Histoire


    Châtenay-Malabry en 1751.
    Châtenay-Malabry en 1751.

    Le territoire communal est issu des délimitations établies à l’issue de la Révolution française sur la base du territoire rattaché à la seigneurie de Sceaux.

    Le site comprend trois pôles principaux :

    La découverte de « fonds de cabanes » au début du XXe siècle atteste l’implantation d’hommes à Châtenay-Malabry, aux lieux-dits les Porchères et la Cerisaie, dès la période néolithique (5000-). Quelques fragments de poteries gauloises et de nombreux vestiges gallo-romains confirment la continuité d’une présence humaine sur ce site.

    Néanmoins, la mention du nom de Châtenay n’apparaît pour la première fois qu’en 829, dans le polyptyque de l’abbé de Sainte-Geneviève, Irminon, dans lequel il mentionne Castanetum cum ecclesia, Châtenay avec son église.

    Érigée en paroisse au siècle suivant, Châtenay, dont les terres appartiennent alors au chapitre de Notre-Dame de Paris, couvre un territoire considérable, englobant notamment toutes les terres des villes actuelles de Sceaux et du Plessis-Robinson.

    En 1266, les habitants de Châtenay s’affranchissent, grâce à la politique équitable de Louis IX, au prix de 1 400 livres payées au chapitre, afin d’abolir les pratiques du servage, en les remplaçant par une contribution financière.

    Maison de Chateaubriand.
    Maison de Chateaubriand.

    Au XIIe siècle, la ville du Plessis devient indépendante et au XIIIe siècle, la ville de Sceaux le devient aussi. La paroisse de Châtenay s’étend toujours sur une grande superficie, comprenant notamment Châtenay, les hameaux d’Aulnay, du Petit-Châtenay et de Malabry, auxquels s’ajoutent encore quelques parcelles de territoire. Des familles nobles ou bourgeoises vinrent ensuite s’y installer (XVIIIe et XIXe siècles). À noter que Voltaire y séjourna en exil à partir de 1719 (il est, par ailleurs, probable qu'il y soit né), de retour dans la maison paternelle (château de la Roseraie) et que Chateaubriand y vécut de 1807 à 1816, dans sa propriété de la Vallée-aux-Loups, située dans le Val d'Aulnay. La propriété fut vendue ensuite à Mathieu de Montmorency, puis passa, par succession, aux ducs de La Rochefoucauld-Doudeauville.

    Au XXe siècle, la vocation agricole de la commune s’estompe peu à peu et les grands propriétaires locaux deviennent pépiniéristes et arboriculteurs. De même, avec la proximité de Paris, Châtenay adopte petit à petit un caractère plus résidentiel.

    En 1920, un décret associe les deux noms de Châtenay et de Malabry. Châtenay-les-Bagneux devint donc Châtenay-Malabry.

    Dans les années 1930, la création de la cité-jardin de La Butte Rouge, en bordure de l’ancien village, bouleverse la démographie de la commune. Celle-ci connaît alors plusieurs décennies de forte croissance, passant de 4 000 habitants en 1936 à plus de 30 000 depuis les années 1970.

    Châtenay et sa commune voisine Antony ont procédé en 1936 à un échange important de terrains. Châtenay a cédé ses droits sur le parc de Sceaux au profit d'Antony qui a cédé une grande partie de son territoire au nord-ouest.

    Au début des années 1970, la commune accueille l’École centrale Paris et la Faculté de Pharmacie. Le visage de la ville se métamorphose ensuite par l’aménagement de la ZAC des Friches et des Houssières et de la Croix blanche ; de nombreux équipements sportifs, sociaux, administratifs et culturels sont créés ou modernisés pour rendre un meilleur service aux habitants.


    Politique et administration



    Rattachements administratifs et électoraux


    La commune est le chef-lieu, puis, depuis le redécoupage cantonal de 2014 en France, le bureau centralisateur du canton de Chatenay-Malabry.

    Châtenay-Malabry relève du tribunal d'instance d'Antony, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du tribunal de commerce de Nanterre, du conseil de prud'hommes de Boulogne-Billancourt, de la cour d'appel de Versailles, du tribunal administratif de Cergy-Pontoise et de la cour administrative d'appel de Versailles[23].


    Intercommunalité


    La commune était membre de la communauté d'agglomération des Hauts-de-Bièvre créée en 2002.

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), à laquelle la commune a été intégrée[24].

    La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (loi NOTRe) prévoit également la création le d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale, et exerçant également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées

    La commune fait donc partie depuis le de l'établissement public territorial Vallée Sud Grand Paris, créé par un décret du 11 décembre 2016[25].

    L'EPT exerce, outre les compétences attribuées par la loi à cette catégorie d'établissement public de coopération intercommunale (EPCI), celles que les communes avaient transférées aux anciennes intercommunalités supprimées à l'occasion de sa création :

    Articles détaillés : métropole du Grand Paris, établissement public territorial et établissement public territorial Vallée Sud Grand Paris.

    Tendances politiques et résultats


    Article connexe : Élections municipales de 2020 dans les Hauts-de-Seine.
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    Administration municipale


    Depuis 2007, Châtenay-Malabry fait partie des communes[26] qui utilisent les machines à voter.


    Liste des maires


    Article détaillé : Liste des maires de Châtenay-Malabry.

    Sept maires se sont succédé depuis la Libération de la France :

    Liste des maires successifs[27]
    Période Identité Étiquette Qualité
    12 août 1944 26 octobre 1947 Gaston Richet[28]
    (1879-1965)
    SFIO Émailleur sur métaux et artiste peintre, résistant Libération-Nord
    Maire depuis 1938, président du Comité local de libération en 1944
    26 octobre 1947 14 mars 1965 Constant Mougard[29]
    (1898-1988)
    SFIO Employé des postes et syndicaliste, résistant Libération-Nord
    Réélu en 1953 et 1959
    14 mars 1965 29 janvier 1976[30] André Mignon
    (1898-1976)
    SFIO
    puis PS
    Ancien instituteur
    Réélu en 1971
    Décédé en fonction
    12 avril 1976[31] 5 avril 1992 Jean Vons PS Conseiller général de Sceaux (1979 → 1985)
    Conseiller général de Châtenay-Malabry (1985 → 1992)
    Réélu en 1977, 1983 et 1989
    Démissionnaire après sa défaite aux élections cantonales de 1992
    5 avril 1992[32] 25 juin 1995 Jean-François Merle[33],[34]
    (1952- )
    PS Haut fonctionnaire, conseiller d’État honoraire et maire honoraire
    Ancien premier adjoint
    25 juin 1995[35] 28 mai 2020[36] Georges Siffredi[37] RPR
    puis RPF
    puis UMP → LR
    Directeur de société
    Député des Hauts-de-Seine (2002 → 2005 et 2009 → 2010)
    Conseiller général de Châtenay-Malabry (1992 → 1998 et 2011 → 2015)
    Conseiller départemental de Châtenay-Malabry (2015 → )
    Président du conseil départemental des Hauts-de-Seine (2020 → )
    Vice-président de la métropole du Grand Paris (2016 → )
    Vice-président de l'EPT Vallée Sud Grand Paris (2016 → 2020)
    Réélu en 2001, 2008 et 2014
    28 mai 2020[36] En cours
    (au 28 mai 2020)
    Carl Segaud
    (1973- )
    LR Ancien directeur de cabinet de Georges Siffredi
    Conseiller régional d'Île-de-France (2021 → )
    Vice-président de l'EPT Vallée Sud Grand Paris (2020 → )

    Politique de développement durable


    La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[38].

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    Jumelages


    Au 1er janvier 2010, Châtenay-Malabry est jumelée avec :

    Ces trois villes sont également jumelées entre elles depuis 1986[40].


    Population et société



    Démographie



    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[41],[Note 3]

    En 2019, la commune comptait 34 021 habitants[Note 4], en augmentation de 4,29 % par rapport à 2013 (Hauts-de-Seine : +2,07 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    568573559526652545496525566
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    6867549428259821 1121 1941 3391 561
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7061 8882 0192 3672 9663 6823 8939 17914 269
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    24 75627 48430 49728 58029 19730 62131 87332 08333 016
    2019 - - - - - - - -
    34 021--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,6 % la même année, alors qu'il est de 20,0 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 16 693 hommes pour 17 477 femmes, soit un taux de 51,15 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (52,41 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[43]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7 
    90 ou +
    1,8 
    5,0 
    75-89 ans
    7,2 
    12,5 
    60-74 ans
    14,0 
    18,9 
    45-59 ans
    19,4 
    20,3 
    30-44 ans
    20,2 
    23,0 
    15-29 ans
    19,5 
    19,6 
    0-14 ans
    17,9 
    Pyramide des âges du département des Hauts-de-Seine en 2018 en pourcentage[44]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    1,6 
    5,1 
    75-89 ans
    7,2 
    12 
    60-74 ans
    13,2 
    19,2 
    45-59 ans
    19,4 
    22,6 
    30-44 ans
    22,1 
    20,1 
    15-29 ans
    18,7 
    20,4 
    0-14 ans
    17,8 

    Enseignement


    Châtenay-Malabry est située dans l'académie de Versailles.


    Établissements scolaires

    La ville administre sept écoles maternelles et sept écoles élémentaires communales :

    Le département gère trois collèges :

    La région Île-de-France gère deux lycées :

    À ces établissements publics s'ajoute un établissement privé sous contrat, le groupe scolaire Sophie Barat, qui propose une école primaire, un collège et un lycée.

    Le lycée Sophie Barat a été élu meilleur lycée du département des Hauts-de-Seine en 2020 par le magazine L'Etudiant[45].


    Vie universitaire

    Entrée de l'école CentraleSupélec en avril 2009.
    Entrée de l'école CentraleSupélec en .

    Châtenay-Malabry abrite :


    Manifestations culturelles et festivités


    Chaque année, la mairie organise :

    Le festival du Val d'Aulnay se tient tous les mois de juin dans les différents lieux de la Vallée-aux-Loups.

    Le festival Paysages de cinéaste a lieu chaque année, à l'initiative du cinéma Le Rex[48].

    Le VIVI festival a lieu chaque année au profit de l'association ASMAE pour l'un de ses microprojets au Burkina Faso.

    Chaque année depuis 2008 ont lieu en avril les « Rencontres du livre Afrique - Caraïbes - Maghreb » sous la direction de l'écrivain Caya Makhélé.


    Santé


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    Sports


    Dans les années 1940 est créé le club omnisports de la Section Sportive Voltaire. Le footballeur international Robert Jonquet y évolue une saison à 16 ans pendant la guerre.

    Mais c’est principalement grâce au handball que la SS Voltaire s’est fait connaître[49]. Le club a en effet évolué en Championnat de France de première division lors des saisons 1964-1965, 1967-1968 puis quatre saisons entre 1975 et 1979. Plusieurs joueurs de qualité ont ainsi évolué à la SS Voltaire, tels Alfred Alexandre, Roland Indriliunas ou Lionel Nicolas, tous internationaux français.

    En 1985, à la demande de la municipalité, un changement d'appellation a été prononcé afin de faire clairement apparaître le nom de la ville : la Section Sportive Voltaire intègre alors l'Association sportive Voltaire de Châtenay-Malabry.

    Châtenay-Malabry abrite également le siège de l'Agence française de lutte contre le dopage, qui a notamment mis au point une méthode de détection du dopage à l'EPO grâce au test urinaire.


    Médias


    Chaque mois, le magazine d'informations municipales Les Nouvelles de Châtenay-Malabry est disponible. il est diffusé dans toutes les boîtes aux lettres de la ville.


    Cultes


    Les Châtenaisiens disposent de lieux de culte catholique, musulman, orthodoxe et protestant.


    Culte catholique

    Église Sainte-Thérèse d'Avila.
    Église Sainte-Thérèse d'Avila.
    Article connexe : Paroisses des Hauts-de-Seine.

    Depuis janvier 2010, la commune de Châtenay-Malabry fait partie du doyenné de la Pointe Sud, l'un des neuf doyennés du diocèse de Nanterre[50].

    Il y a quatre paroisses catholiques à Châtenay-Malabry[51],[52]. Les lieux de culte correspondant sont :


    Culte musulman

    La ville dispose depuis peu, d'une mosquée, non loin du parc de la Vallée-aux-Loups.


    Culte orthodoxe

    L'église Sainte-Marie-et-Saint-Marc de l'Église copte orthodoxe.
    L'église Sainte-Marie-et-Saint-Marc de l'Église copte orthodoxe.

    Trois lieux de culte chrétien de rite oriental :


    Culte protestant

    Quatre communautés protestantes sont implantées dans la commune :


    Économie



    Revenus de la population et fiscalité


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    En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 35 764 , ce qui plaçait Châtenay-Malabry au 6 837e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[69].


    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments


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    Cèdre de l'arboretum.
    Cèdre de l'arboretum.
    Lavoir de Châtenay.
    Lavoir de Châtenay.

    La commune comprend de nombreux monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel de la France[70].

    Les éléments historiques subsistant apparaissent comme relativement nombreux pour une commune de cette taille. Outre les traces allant du néolithique à l’époque mérovingienne, on peut retrouver des édifices historiques très marquants.

    Les grandes propriétés conventuelles ou nobiliaires, bien que disparues, ont façonné le tissu en réservant de grandes parcelles qui soit ont été partagées ou loties, soit constituent les domaines de grands parcs aménagés (le CREPS d'Île-de-France, le parc de la Vallée-aux-Loups, les pépinières Croux, etc.).

    L’ancienneté, la rareté et la qualité d’éléments végétaux nombreux apparaissent comme ayant une véritable valeur patrimoniale indissociable des éléments architecturaux ou urbains.


    Patrimoine culturel



    Châtenay-Malabry et les arts



    Personnalités liées à la commune


    Marguerite Syamour, Monument à Voltaire (1906).
    Marguerite Syamour, Monument à Voltaire (1906).
    Buste de Voltaire ornant sa maison présumée natale au 1, place Voltaire.
    Buste de Voltaire ornant sa maison présumée natale au 1, place Voltaire.

    Héraldique


    Elles peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui :

    Parti, au 1er, de gueules à la branche de châtaignier d'or garnie de ses fruits d'argent, au 2e, d'or à la couleuvre ondoyante d'azur en pal (rappelant les armes de Colbert).[76]

    Armes parlantes (Châtaignier / châtaignes ⇒ Châtenay).



    Pour approfondir


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références



    Notes


    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références


    1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    2. « infoclimat », sur www.infoclimat.fr (consulté le ).
    3. « Orly, Val-de-Marne(94), 89 m - [1961-1990] », sur www.infoclimat.fr (consulté le ).
    4. http://www.chatenay-malabry.fr/pdf/PLU-diagnostic-mai-2010.pdf
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    9. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    10. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    14. Fiche communale d'occupation des sols sur le site de l'Iaurif. Consulté le 8 septembre 2009
    15. « Occupation des sols sur Châtenay-Malabry, la Mairie de Châtenay-Malabry, sa commune et sa ville », sur www.annuaire-mairie.fr (consulté le ).
    16. « Plan d'assemblage Grands Quartiers - IRIS 2000 – Châtenay-Malabry », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    17. https://www.lemonde.fr/culture/article/2020/06/03/a-chatenay-malabry-le-quartier-de-la-butte-rouge-lutte-pour-sa-survie_6041588_3246.html
    18. https://www.hauts-de-seine.fr/mon-departement/les-hauts-de-seine/les-grands-projets/les-projets-dequipements-sportifs/la-grenouillere-a-antony
    19. Y. Firini, Antony, éd. Maury.
    20. Albert Dauzat et Charles Rostaing, « Castagnède », in: Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Larousse, 1963; réédition en 1978 par la librairie Guénégaud, Paris VI, p. 153.
    21. Noms révolutionnaires des communes de France, p. 61.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur le site du ministère de la Justice et ds libertés (consulté le ).
    24. Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
    25. Décret n° 2015-1655 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Antony sur Légifrance.
    26. « Liste des communes équipées de machines de vote électronique dans le 92 » (consulté le ).
    27. « Les maires de Châtenay-Malabry », sur http://www.francegenweb.org/ (consulté le ).
    28. Notice RICHET Gaston par Jacques Girault, version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 30 novembre 2010
    29. Notice MOUGARD Constant, Marie par Jacques Girault , version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 11 novembre 2018
    30. « Le maire de Châtenay-Malabry est décédé », Le Monde, (lire en ligne)
    31. « Châtenay-Malabry : M. Jean Vons (P.S.) est élu maire », Le Monde, (lire en ligne)
    32. « M. Jean-François Merle (PS) élu maire de Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine) », Le Monde, (lire en ligne)
    33. Extrait de la fiche de M. Jean-François MERLE, sur lesbiographies.com
    34. « Jean-François Merle est élu président du Conseil national de l'Inspection du travail (CNIT), nouvelle instance consultative installée par Xavier Bertrand. », Les Échos, (lire en ligne).
    35. « Les nouveaux maires tout frais sortis des urnesPedigree express des élus franciliens qui entrent pour la première fois à l'hôtel de ville », Libération, (lire en ligne, consulté le ) « Georges Siffredi (RPR), 39 ans, élu face à Jean-François Merle (PS). Fils d'un ancien secrétaire général du département, vice-président du conseil général et directeur démissionnaire de la SEM d'Antony ».
    36. Ariane Riou, « Georges Siffredi passe le flambeau à Carl Ségaud à Châtenay-Malabry : Carl Ségaud a été élu maire avec 33 voix sur les 39 du conseil municipal, lors d’une séance teintée d’émotion, ce jeudi. Il doit son élection à celle de Georges Siffredi, maire sortant, à la tête du conseil départemental », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le ) « Le 15 mars dernier, Georges Siffredi, à la tête de sa liste, est élu dès le premier tour avec 65,37 % des voix. À l'époque, il compte bien renfiler l'écharpe de maire […] Deux semaines plus tard, le 28 mars, Patrick Devedjian, patron du département, est emporté par le Covid-19 à 75 ans. […] Georges Siffredi, « grand ami de 28 ans » de Patrick Devedjian et premier vice-président du conseil départemental, assure l'intérim quelque temps, malgré la « douleur » de cette disparition. Il finit par être élu en bonne et due forme, ce lundi, à la tête du conseil départemental ».
    37. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Municipales à Châtenay-Malabry : Siffredi (UMP) réélu sur un score record », Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne) « Réélu dès le premier tour, avec 66,67% des voix, soit près de 14 points de plus qu'en 2008: ce soir, l'UMP Georges Siffredi savourait sa large victoire ».
    38. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Châtenay-Malabry, consultée le 27 octobre 2017
    39. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
    40. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
    41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Châtenay-Malabry (92019) », (consulté le ).
    44. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Hauts-de-Seine (92) », (consulté le ).
    45. https://actu.fr/ile-de-france/chatenay-malabry_92019/hauts-de-seine-voici-quel-est-le-meilleur-lycee-du-departement-en-2020_40292417.html
    46. « Faculté de Pharmacie », sur le site de l'université Paris-Sud 11 (consulté le ).
    47. « le site du CREPS d'Île-de-France » (consulté le ).
    48. Festival au cinéma Le Rex.
    49. « Coup d zoom – Voltaire… à la recherche de son histoire », Hand-ball : bulletin fédéral, Fédération française de handball, no 256, , p. 30-31 (lire en ligne, consulté le ).
    50. « Carte des doyennés janvier 2010 », sur le site du diocèse de Nanterre (consulté le ).
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    56. « Chapelle du Sacré-Cœur de Malabry », sur le site du diocèse de Nanterre (consulté le ).
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    58. https://prokimenon.onlc.fr
    59. http://www.foyer-hellenique.net/Eglise.php
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    64. Site de la paroisse
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    67. Site de la paroisse
    68. « Page d'accueil », sur le blog de l'Église Évangélique Luthérienne de Châtenay Malabry - Le Plessis Robinson (consulté le ).
    69. « Fichier RFDM2011COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2011 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    70. « Châtenay-Malabry », base Mérimée, ministère français de la Culture.
    71. Notice no PA00088089, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    72. Notice no PA00088086, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    73. Site officiel de la maison de Chateaubriand
    74. https://www.enlargeyourparis.fr/culture/dessine-moi-la-banlieue
    75. « Louise Janin ou le musicalisme à haut rythme », in 88 notes pour piano solo, Jean-Pierre Thiollet, Neva Editions, 2015, pp. 82-86. (ISBN 978 2 3505 5192 0).
    76. GASO - Banque du blason - 92019.

    На других языках


    [de] Châtenay-Malabry

    Châtenay-Malabry ist eine französische Gemeinde mit 34.021 Einwohnern (Stand: 1. Januar 2019) im Département Hauts-de-Seine in der Region Île-de-France.

    [en] Châtenay-Malabry

    Châtenay-Malabry (French pronunciation: [ʃatnɛ malabʁi] (listen)) is a commune in the southwestern suburbs of Paris. It is located 10.8 km (6.7 mi) from the center of Paris.
    - [fr] Châtenay-Malabry

    [ru] Шатне-Малабри

    Шатне-Малабри (фр. Châtenay-Malabry) — коммуна и город во Франции.



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