Exposée à un climat de montagne, aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 (le «causse du Larzac») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Le Caylar est une commune rurale qui compte 458 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Ses habitants sont appelés les Caylarés.
Géographie
Carte
Le Caylar est situé à 71 km de Montpellier et à 18 km de Lodève. Le village est situé sur le plateau du Larzac dans les causses méridionaux; le climat y est très sec, froid l'hiver et plutôt chaud l'été. Le sol y est calcaire et sablonneux.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat des marges montargnardes», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type «climat de montagne» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 9,9°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 5,2 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,2 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 10,1 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 4,5 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Les Plans», sur la commune des Plans, mise en service en 1994[6] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,3°C et la hauteur de précipitations de 1 611,3 mm pour la période 1981-2010[8].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Millau», sur la commune de Millau, dans le département de l'Aveyron, mise en service en 1964 et à 32 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 10,7°C pour la période 1971-2000[10], à 10,9°C pour 1981-2010[11], puis à 11,3°C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 est défini sur la commune tant au titre de la directive oiseaux, que de la directive habitats, le «causse du Larzac»[14]. D'une superficie de 29 556ha, il fait partie des causses méridionaux, un ensemble régional original unique en Europe. Il est le plus grand ensemble de formations herbeuses sèches semi-naturelles en France et abrite un grand nombre d’espèces endémiques. Ce site abrite 17 espèces d'oiseaux d'intérêt communautaire pour la plupart liées pour leur reproduction et/ou leur alimentation aux milieux ouverts (dont le Bruant ortolan, le Pipit rousseline, l'Alouette lulu, la Pie-grièche écorcheur, etc… en effectifs bien représentées par rapport à la moyenne nationale)[15],[16].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Quatre ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[17]:
le «chaos dolomitique de la Pezade» (750ha), couvrant 3 communes dont une dans l'Aveyron et deux dans l'Hérault[18];
le «chaos dolomitique des Rives» (550ha), couvrant 2 communes du département[19];
le «chaos dolomitique du Caylar et du Cros» (625ha), couvrant 2 communes du département[20];
les «combes dolomitiques du Mas Vieil» (290ha)[21];
et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[17]:
le «causse et contreforts du Larzac et montagne de la Séranne» (44 035ha), couvrant 33 communes dont une dans l'Aveyron, deux dans le Gard et 30 dans l'Hérault[22].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 au Caylar.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Le Caylar est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[23],[I 1],[24].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (54,3%), terres arables (13,7%), forêts (13,7%), prairies (8,4%), zones agricoles hétérogènes (7,4%), zones urbanisées (2,5%)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune du Caylar est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].
Risques naturels
Le Caylar est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 8],[28].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux du Caylar.
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[29]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 22,8% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 263 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 36 sont en en aléa moyen ou fort, soit 14%, à comparer aux 85% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[31].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992 et 2014.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[32].
Héraldique
Les armes du Caylar se blasonnent ainsi: d'argent à un arbre arraché de sinople fûté au naturel.[33].
Toponymie
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caylar signifie « château »
Histoire
Les premières traces d'occupation du site remontent à l'âge du fer. Des maisons carolingiennes (avant le Xesiècle) sont encore visibles dans le village.
Le Roc Castel, qui domine le village de Caylar, constitue les vestiges du Castellas (château) construit à l'origine au XIIesiècle. La chapelle Notre-Dame du Roc Castel, qu'il abrite toujours aujourd'hui, date également du XIIesiècle.
Place du village au début du XXesiècle
Place du village au début du XXesiècle
Le camp Lauriet au début du XXesiècle
Carte postale de la place et le calvaire (fin XIXe - début XXe).
Retraité Président de la Communauté de communes du Lodévois - Larzac (2002 à 2009)[37] 1er vice-président de la Communauté de communes Lodévois et Larzac (2017 à 2020), Président depuis 2020[37]
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].
En 2019, la commune comptait 458 habitants[Note 9], en augmentation de 3,85% par rapport à 2013 (Hérault: +7,63%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
628
720
757
809
805
860
824
830
875
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
849
863
841
819
796
766
714
719
678
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
626
596
550
502
508
504
449
397
378
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
336
327
259
295
339
383
425
433
442
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
447
458
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 211 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 447 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 460 €[I 4] (20 330 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 290 personnes, parmi lesquelles on compte 79,5% d'actifs (69,6% ayant un emploi et 9,9% de chômeurs) et 20,5% d'inactifs[Note 11],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 288 emplois en 2018, contre 343 en 2013 et 308 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 206, soit un indicateur de concentration d'emploi de 139,4% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,8%[I 10].
Sur ces 206 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 114 travaillent dans la commune, soit 55% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 70% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6% les transports en commun, 17,8% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,2% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
67 établissements[Note 12] sont implantés au Caylar au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
67
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
10
14,9%
(6,7%)
Construction
10
14,9%
(14,1%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
28
41,8%
(28%)
Activités immobilières
3
4,5%
(5,3%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
2
3%
(17,1%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
9
13,4%
(14,2%)
Autres activités de services
5
7,5%
(8,1%)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 41,8 % du nombre total d'établissements de la commune (28 sur les 67 entreprises implantées au Le Caylar), contre 28% au niveau départemental[I 14].
La commune est dans le Causses du Larzac, une petite région agricole occupant une partie du nord du département de l'Hérault[42]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 4]. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 16] (dix en 1988). La superficie agricole utilisée est de 1 459ha[44],[Carte 5],[Carte 6].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Chapelle castrale Notre-Dame de Roc-Castel. Retable du XIVesiècle en bois polychrome. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[45].
Église Saint-Martin du Caylar. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[46].
L'Arbre sculpté.
Roc Castel. Il domine le village (752 mètres d'altitude) et offre un panorama remarquable sur le Larzac.
Fichier:Le Caylar,vue du château.jpg
Vue du château.
Arbre sculpté.
Détail de l'arbre sculpté.
Le Roc Castel vu de l'aire de service du Caylar sur l'autoroute A75.
Vue du roc castel sur le Larzac.
Personnalités liées à la commune
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Voir aussi
Bibliographie
Hubert Marcorelles, Évolution économique et démographique du canton du Caylar, Montpellier, , 221p.
Albert Fabre, Histoire des communes du canton du Caylar: [partie photographique], , 19p.
Albert Fabre, Histoire du Caylar: Le Cros, Les Rives, Pégairolles-de-l'Escalette, Saint-Félix-de-l'Héras, Saint-Maurice, Saint-Michel, Sorbs: communes du canton du Caylar; suivie d'une notice sur La Couvertoirade (Aveyron)., Montpellier, C. Boehm, coll.«Histoire des communes de l'Hérault», , 212p.
Jacques Frayssenge et Sylvie Groueff, «Démographie et structures familiales du Larzac: Le Caylar 1750-1890», Famille et familles dans la France méridionale à l'époque moderne, , p.157-187
Archives Départementales de l'Hérault, [La] vie autrefois dans le canton du Caylar et le sud-Larzac: exposition, Montpellier, 1989, Archives départementales de l'Hérault, Montpellier, Archives départementales de l’Hérault,
Hubert Marcorelles et Sylvie Groueff, Parenté, patrimoine et émigration dans les communautés rurales du Larzac héraultais: évolution économique et démographique du canton du Caylar, Nîmes, C. Lacour, , 222p.
Hubert Marcorelles, Évolution démographique et économique du canton du Caylar, Montpellier, , 219p.
Jean Nougaret et Bernard Derrieu, Les retables du Caylar et de Parlatges: deux sculptures du 14e siècle en Lodévois-Larzac, Lodève, Charte Lodévois-Larzac, , 43p.
Jean-Claude Rivière, Le Caylar en Larzac: aspect du Lodévois, Montpellier, Moresa, , 110p.
Fonds d'archives
Fonds: Archives communales du Caylar (1770-1918) [0,75 ml]. Cote: 64 EDT. Montpellier: Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[43].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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