Lavaur est une commune française rurale située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Lavaur.
Lavaur
La mairie de Lavaur en 2019.
Administration
Pays
France
Région
Nouvelle-Aquitaine
Département
Dordogne
Arrondissement
Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité
Communauté de communes de Domme-Villefranche du Périgord
Maire Mandat
Michel Lapouge 2020-2026
Code postal
24550
Code commune
24232
Démographie
Population municipale
70 hab. (2019 )
Densité
7,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées
44° 36′ 51″ nord, 1° 01′ 27″ est
Altitude
Min. 135 m Max. 282 m
Superficie
9,00 km2
Unité urbaine
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton de la Vallée Dordogne
Législatives
Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Lavaur
Géolocalisation sur la carte: France
Lavaur
Géolocalisation sur la carte: Dordogne
Lavaur
Géolocalisation sur la carte: Nouvelle-Aquitaine
Lavaur
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Géographie
Généralités
L'altitude moyenne de la commune est de 240 mètres.
Lavaur est située dans le sud-est du département de la Dordogne, en limite du département de Lot-et-Garonne. Les villes les plus proches de la commune sont Villeneuve-sur-Lot à 34 km, Sarlat-la-Canéda et Cahors éloignées d'environ 45 km. Toulouse est à 117 km.
La commune est également à proximité du parc naturel régional des Causses du Quercy.
Communes limitrophes
Carte de Lavaur et des communes avoisinantes.
Lavaur est limitrophe de cinq autres communes dont deux dans le département de Lot-et-Garonne.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Lavaur est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c3(1), date du Coniacien indifférencié, composée de marnes et calcaires argileux grisâtres à la base puis calcaires bioclastiques gréseux. La formation la plus récente, notée CFvp, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de pente ou de vallon secs indifférenciés. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles «no831 - Belvès» et «no855 - Fumel» de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].
Carte géologique de Lavaur.
Légende de la carte géologique.
Ère
Période
Époque
Formations géologiques
Cénozoïque (0 - 66.0)
Quaternaire (0 - 2.58)
Holocène
CFvp :
Formations superficielles: colluvions carbonatées de pente ou de vallon secs indifférenciés
CFvs :
Formations superficielles: colluvions carbonatées de vallons secs: sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris
Alluvions subactuelles à actuelles indifférenciées: argiles silteuses, argiles sableuses, argiles tourbeuses, sables argileux, sables fins à graviers (Pré-boréal à actuel)
Formation de Guizengeard sup.: sables feldspathiques micacés, graviers, galets et argiles sableuses, ensemble ferrugineux, versicolore à lentilles argileuses parfois kaoliniques (Lutétien sup. à Bartonien sup. continental)
Paléocène
non présent
Mésozoïque (66.0 - 252.17)
Crétacé (66.0 - ≃145.0)
Supérieur
Ac :
Altérites du Crétacé sup.: argiles kaoliniques, silteuses à sableuses, parfois rubéfiées, à gravier, à silex et chailles, avec apport local du Tertiaire (complexe des Doucins)
c4b-c :
Santonien moy. à sup.: calcaire crayo-glauconieux avec niveaux à huîtres (P. vesicularis), devenant au sommet plus grossier à silex et rudistes (formation de Saint-Félix-de-Reillac). Faciès pouvant évoluer vers des sables fins et grès carbonatés à rudistes
c4a(Bs) :
Santonien inf.: marnes à huîtres, calcaires crayeux gris en plaquettes à bryozoaires, puis grès carbonatés et sables jaunes (formation de Boussitran)
c3(1) :
Coniacien indifférencié: marnes et calcaires argileux grisâtres à la base puis calcaires bioclastiques gréseux
inférieur
non présent.
Jurassique (≃145.0 - 201.3)
non présent
Trias (201.3 - 252.17)
non présent
Paléozoïque (252.17 - 541.0)
non présent
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 135 m et 282 m[6],[7].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 9,00 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 9,25 km2[3].
Hydrographie
Réseaux hydrographique et routier de Lavaur.
La commune est située dans le bassin de la Garonne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Lémance, la Ménaurie, le ruisseau des Griffouillères et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[15],[Carte 1].
La Lémance, d'une longueur totale de 34,53 km, prend sa source dans la commune de Prats-du-Périgord et se jette en rive droite du Lot en Lot-et-Garonne, en limite de Fumel et Monsempron-Libos, face à Saint-Vite[16],[17]. Elle borde la commune à l'est sur trois kilomètres et demi, face à Loubejac.
Son affluent le ruisseau de Ménurie en fait autant au nord-est sur un kilomètre, face à Saint-Cernin-de-l'Herm.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[18]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[19].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[18]
Moyenne annuelle de température: 12,3°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,4 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 8,5 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,4 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[22] complétée par des études régionales[23] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Lacapelle-Biron-Pailloles», sur la commune de Lacapelle-Biron, mise en service en 1986[24] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[25],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 12,8°C et la hauteur de précipitations de 903,6 mm pour la période 1981-2010[26].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Gourdon», sur la commune de Gourdon, dans le département du Lot, mise en service en 1961 et à 31 km[27], la température moyenne annuelle évolue de 12,4°C pour la période 1971-2000[28], à 12,7°C pour 1981-2010[29], puis à 13,1°C pour 1991-2020[30].
Urbanisme
Typologie
Lavaur est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[31],[32],[33].
La commune est en outre hors attraction des villes[34],[35].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,5% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (66%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (67,5%), zones agricoles hétérogènes (19,3%), prairies (13,2%)[36].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques naturels et technologiques
La sismicité de Lavaur est très faible.
Le village a subi une tempête en et des inondations, coulées de boue et mouvements de terrain fin [37].
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Lavaur est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[38]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[39].
Lavaur est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées: interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[40]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[41],[42].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lavaur.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[43]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[44]. 74,4% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6% au niveau départemental et 48,5% au niveau national métropolitain)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[45].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999, par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[38].
Toponymie
Le toponyme Lavaur désigne une vallée profonde creusée par une ravine[46].
Du gaulois vobero («ravin, lit de torrent») avec agglutination de l'article la.
En occitan, la commune porte le nom de La Vaur[47].
Histoire
Lavaur était un ancien repaire noble ayant haute justice sur Lavaur et Fontenilles. Le fief se trouvait alors sur un chemin qui reliait le Périgord à l'Agenais.
Le fief appartenait à la famille de Gironde qui aura plusieurs branches qui se sont fixées en Auvergne, en Quercy, dans le Périgord, en Languedoc et en Italie.
Brandelis de Gironde se maria avec Louise de Gontaud-Biron le [48]. Il racheta les parts des Gontaud-Biron et devint le principal seigneur de Lavaur. En 1616, il acheta la seigneurie de Montcléra qui, unie à celle de Lavaur, devint un marquisat en 1615. Brandelis de Gironde est aussi baron de Loupiac, seigneur de Cazals, Marminiac et Floyras. Il va s'ensuivre deux siècles de conflits entre la famille de Gironde et les tenanciers. Brandelis de Gironde avait signé une transaction avec les tenanciers en 1609 fixant les rentes à payer. Mais ceux-ci estiment qu'elles sont abusives. Cette opposition sur le plan juridique vient de la composition des tenanciers qui comprennent aussi des familles notariales. Brandelis est mort au siège de Montauban en 1621. Les biens de la famille ont été saisis à la Révolution comme biens d'émigrés[49].
Les Gironde, barons de Lavaur, ne possèdent qu'un quart de la seigneurie et semblent avoir des relations moins conflictuelles. Louis-Armand de Lavaur (1659-1764) est le fils de Pons de Gironde et le neveu de François de Gironde, fils de Brindelis de Gironde, marquis de Montcléra. Armand de Lavaur est coseigneur minoritaire en 1717. Il est page de la grande écurie du roi. Il épouse Marie de Fargues, nièce de Bertrand de Fargues marié à Honorée de Cosnac, sœur de l'archevêque d'Aix, Daniel de Cosnac. Le couple occupe le château qui avait été construit au XIVesiècle. Il avait été utilisé à partir de 1560 comme lieu de prêche protestant. C'était un bâtiment d'un seul étage flanqué de deux tours sans créneaux. Cette maison noble avait peut-être été restaurée par les Biron après les guerres de religion. Il a été détruit pendant la Révolution. Le couple n'ayant pas eu d'enfant, c'est la branche aînée qui hérita de ses biens.
Politique et administration
Administration municipale
La population de la commune étant inférieure à 100 habitants au recensement de 2017, sept conseillers municipaux ont été élus en 2020[50],[51].
du tribunal de proximité et du tribunal paritaire des baux ruraux de Sarlat-la-Canéda;
du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac;
de la cour d'appel de Bordeaux.
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
Les habitants de Lavaur s'appellent les Vauréens.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[55].
En 2019, la commune comptait 70 habitants[Note 9], en augmentation de 9,38% par rapport à 2013 (Dordogne: −0,88%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
380
378
392
422
413
385
425
473
413
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
399
397
348
370
360
319
311
297
297
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
281
255
237
202
190
186
167
174
174
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
151
153
113
107
102
88
82
81
65
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
70
70
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[56].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Emploi
En 2015[57], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 31 personnes, soit 47,0% de la population municipale. Le nombre de chômeurs (cinq) a légèrement diminué par rapport à 2010 (six) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,2%.
Établissements
Au , la commune compte sept établissements[58], dont deux dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, deux dans l'industrie, un dans la construction, un au niveau des commerces, transports ou services, et un relatif au secteur administratif[59].
Appellation d'origine contrôlée (AOC) et indications géographiques protégées (IGP)
Lavaur se trouve dans la zone d'appellation d'origine contrôlée (AOC) pour les noix du Périgord[60].
La commune est aussi située dans le périmètre d'une trentaine d'indications géographiques protégées (IGP), dont le veau du Limousin, l'agneau du Périgord, l'agneau du Quercy, le porc du Limousin, le canard à foie gras du Sud-Ouest, les volailles de Gascogne, le jambon de Bayonne, la fraise du Périgord, le pruneau d'Agen ainsi que les vins du Périgord, blanc, rosé et rouge[61].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Avit.
Église Saint-Avit. Elle est citée dans un acte de 1310. Elle est restaurée en 1766 pour 672 livres. Ancienne chapelle seigneuriale, elle se trouvait entourée à cette époque par le château de Lavaur qui a été détruit à la Révolution. Elle possède une cuve baptismale du XIIesiècle sur laquelle on peut voir l'insigne des Templiers. À l'intérieur se trouvent aussi deux anges en bois peint classés (XIIIesiècle), un bénitier du XVesiècle sculpté d'une fleur de lys.
Le moulin.
La scierie.
À l'extérieur de Lavaur:
la fontaine «des trois évêques».
une tour de guet des Templiers, en ruine.
Personnalités liées à la commune
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Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[20].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[21].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy: Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127p. (ISBN2-910540-16-2), p.69.
Françoise Auricoste, La bastide de Villefranche-du-Périgord, capitale de la chataigneraie (1261-1800) Tome II (1500-1800), pp. 99-104, Éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 1994, (ISBN2-87624-058-0).
Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 5 septembre 2020.
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