Larbroye est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
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La commune est un village périurbain situé sur les axes Noyon-Lassigny et Noyon-Compiègne.
La commune est desservie par l'ex-route nationale 38 (actuelle RD 938), qui supporte en 2016 un trafic de 5 300 véhicules journaliers[1] et est aisément accessible par la route nationale 32.
Une voie douce, dite «voie douce du Maigremont», permet de relier le village à Noyon via le quartier Beauséjour et la zone d'activités du Mont-Renaud, évitant aux cyclistes d'emprunter la RD 938[2]
Elle est concernée par la future déviation ouest de Noyon, qui devrait supporter un trafic de 5 000 véhicules journaliers[3]
La commune est drainée par le Ru Soyer, sous-affluent de la Seine par la Divette puis l'Oise.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]
Moyenne annuelle de température: 10,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,8 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 2,9 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,3 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,9 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Ribecourt», sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[10] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2°C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[12].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], «Saint-Quentin», sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 32 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10°C pour la période 1971-2000[14] à 10,3°C pour 1981-2010[15], puis à 10,8°C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Larbroye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[17],[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,2% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (45,8%), zones agricoles hétérogènes (22,4%), forêts (18,7%), zones urbanisées (13,1%)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
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Le village est citée en 1098 dans une charte du chapitre de Noyon, sous le toponyme Arbreia[24]
Histoire
Carte de Cassini de Larbroye et des environs (vers 1750)
Sur la Carte de Cassini (vers 1750), le nom du village est écrit l'Arbroye.
Au site du Petit-Ourscamps ont été retrouvées des poteries communes d'époque gallo-romaine[25]
Larbroye possédait des carrières de pierre de bonne qualité dont certaines servirent à la construction du beffroi de Noyon en 1328[26]
Au XVIIIesiècle, des vignes étaient cultivées sur territoire de la paroisse: une ordonnance royale du nomme un garde pour surveiller les vignobles[27].
Le village possédait un pressoir banal[28].
Sous l'Ancien Régime, la paroisse relevait de la coutume de Noyon[29].
Au début de la Révolution française, l'abbaye d'Ourscamp indiquait posséder à Larbroye «16 set. de mauvaises terres, et 17 set. partie de 10 set. en vignes, et le surplus en Savart, où se trouve une maison reconstruite depuis deux ans, pour cause de vetusté, un pressoir, fournil et étable, laquelle maison est occupée par un concierge qui veille à la conduite des travaux nécessaires aux vignes.... que tout le vin qui en provient est consommé dans la maison d'Ourscamp[30]...»
La commune de Suzoy, instituée par la Révolution française, a été fugacement rattachée à celle de Larbroye de 1828 à 1832[26]. Elle achète une maison d'école en 1838. Un nouveau bâtiment est construit et inauguré en 1845[31].
Première Guerre Mondiale
Dès le début du mois de , Larbroye, comme toute la région, est occupé par l'armée allemande et restera loin du front qui se stabilisera à quelques kilomètres à sud-ouest vers Lassigny et Ribécourt-Dreslincourt jusqu'au début de 1917. Les occupants se livreront à de nombreuses exactions sur les habitations.
Le propriétaire du château, soupçonné d'espionnage fut emprisonné à Noyon. Quand il revint fin septembre, son château avait été pillé et incendié par l'ennemi[32].
Pendant 30 mois les habitants vivront sous le joug des occupants qui réquisitionnent des pièces dans les habitations, le matériel, la nourriture et obligent hommes et femmes à travailler dans les champs pour nourrir les soldats du front.
En , lors du retrait des Allemands sur la ligne Hindenburg, le village est évacué par l'ennemi [33]. Le secteur passe sous contrôle allié et sera de nouveau repris par l'ennemi lors de l'offensive du printemps de . C'est au cours de cette période que les bombardements feront de nombreux dégâts à la mairie, à l'église et aux habitations. Ce n'est que début que le secteur sera définitivement repris.
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[34] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [35].
Après l'Armistice, peu à peu les habitants revinrent s'installer à Larbroye. Pour eux commença une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes.
Articles détaillés: Occupation de la France du Nord-Est par l'Allemagne pendant la Première Guerre mondiale et Reconstruction en France et en Belgique après la Première Guerre mondiale.
Cartes postales anciennes de la commune
L'église vant 1914.
État de l'église à la fin de la guerre.
Ruines de l'église à la fin de la guerre.
Carte postale du village avant 1914.
État du village en 1918.
La rue de l'église en 1918.
Ruines du château incendié en devant lequel paradent des soldats allemands.
Ruines du château du bas en 1918.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la sixième circonscription de l'Oise.
Elle fait partie depuis 1801 du canton de Noyon[36]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 23 à 42 communes.
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, créée en 1994 sous le nom de communauté de communes de la haute vallée de l’Oise et qui succédait au district de la haute vallée de l’Oise.
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[43].
En 2019, la commune comptait 514 habitants[Note 8], en augmentation de 4,05% par rapport à 2013 (Oise: +1,72%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
262
225
216
252
639
251
247
223
232
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
239
232
214
223
207
203
200
174
180
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
214
211
199
162
200
202
200
184
210
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
210
221
270
267
376
373
448
470
494
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
514
514
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,4%, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,8% la même année, alors qu'il est de 22,8% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 251 hommes pour 263 femmes, soit un taux de 51,17% de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[45]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,4
90 ou +
0,8
4,4
75-89 ans
6,1
17,5
60-74 ans
12,5
20,7
45-59 ans
21,7
19,5
30-44 ans
19,8
15,5
15-29 ans
15,2
21,9
0-14 ans
24,0
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[46]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,3
5,3
75-89 ans
7,5
15,1
60-74 ans
15,8
20,9
45-59 ans
20,1
19,5
30-44 ans
19,4
17,9
15-29 ans
16,5
20,8
0-14 ans
19,4
Culture locale et patrimoine
Le monument aux morts.
L'église St-Pierre-ès-Liens.
Lieux et monuments
La mairie-école actuelle est reconstruite après la Deuxième Guerre mondiale[31].
Église Saint Pierre-ès-Liens de Larbroye. Détruite pendant la Première Guerre mondiale, l'église est reconstruite sur les plans de l'architecte J.M. Warin, en conservant une partie du chœur de l'église du XIXesiècle[47].
Maisons de la Reconstruction, 52 et 60 rue de Noyon[48], et 247 rue de Montdidier[49].
Château de Larbroye, propriété des Marcotte devenue par héritage, propriété de Marie Marcotte d'Argenteuil, épouse de Alexandre Legentil, bombardé par les Allemands, démoli et pillé en [50].
Personnalités liées à la commune
Philippe Marcotte, seigneur de Pyn (1742-1791), receveur des fermes à Noyon et Doullens[réf.nécessaire].
Alexandre Legentil[pourquoi?] (1821-1889), initiateur du projet de la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre.
Héraldique
Les armes de Larbroye se blasonnent ainsi: tiercé en fasce: au premier d'azur à l'ours au naturel, au second d'argent à l'arbre de sinople, au troisieme parti au premièr de sable à la broye d'argent et au second de gueules à la fasce d'argent.
Carte spéciale des régions dévastées: 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
«Déblocage sur l’axe Noyon-Lassigny: Larbroye va renoncer à la pose de neuf ralentisseurs pour un projet anti-vitesse plus doux, à cette sortie où passent 5 300 véhicules chaque jour. Le point sur le dossier», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
«Noyon ouvre une voie douce», Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
«Ils craignent le bruit de la future déviation ouest de Noyon: Les habitants de la sortie de la ville, à Larbroye, réclament des mesures limitant l’impact sonore de la route prévue pour 2021. Le Département mise sur la pose d’un revêtement spécial», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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Alphone Ponthieux, «La justice du chapitre cathédral de Noyon: Fragments de registres d'audiences extraordinaires Août 1702-20 octobre 1706; 19 mai 1708, 4 janvier 1715.», Comité archéologique et historique de Noyon - Comptes rendus et mémoires lus en sénace, t.XVII, , p.201 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
Alphone Ponthieux, «La justice du chapitre cathédral de Noyon: Plaids du 5 juin 1646 au 30 octobre de la même année», Comité archéologique et historique de Noyon - Comptes rendus et mémoires lus en sénace, t.XVII, , p.159 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
Gaëtan Legrand, La Région soumise à la coutume du Vermandois, , 21p. (lire en ligne), p.16, lire en ligne sur Gallica.
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«LARBROYE Didier Wattiaux en pôle», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Didier Wattiaux, retraité, conseiller municipal sortant et adjoint au maire de 2008 à 2012, conduit l’unique liste pour les municipales».
Michel Hérold, Alain Nafilyan, «Maison à Labroye», Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
Jacques Benoist, Le Sacré-Cœur de Montmartre, vol.3, éditions de l'Atelier, coll.«Patrimoine» (no1), , 1174p. (ISBN2-7082-2978-8, lire en ligne), p.1062.
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