Lamothe-Fénelon est une commune française, située dans le nord-ouest du département du Lot, en région Occitanie.
Elle est également dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy.
Pour les articles homonymes, voir Lamothe.
Lamothe-Fénelon
L'église Saint-Sixte et son clocher-mur.
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Lot
Arrondissement
Gourdon
Intercommunalité
Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne
Maire Mandat
Patrick Charbonneau 2020-2026
Code postal
46350
Code commune
46152
Démographie
Gentilé
Lamothois
Population municipale
301 hab. (2019 )
Densité
22 hab./km2
Géographie
Coordonnées
44° 50′ 08″ nord, 1° 24′ 54″ est
Altitude
Min. 109 m Max. 262 m
Superficie
13,99 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton de Souillac
Législatives
Première circonscription
Localisation
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Lamothe-Fénelon
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Lamothe-Fénelon
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Lamothe-Fénelon
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau de Tournefeuille, le ruisseau des Ardailloux et par divers autres petits cours d'eau. Elle est incluse dans le bassin de la Dordogne.
Lamothe-Fénelon est une commune rurale qui compte 301 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 999 habitants en 1886. Ses habitants sont appelés les Lamothois ou Lamothoises.
Géographie
Commune située sur le canton de Payrac, dans la communauté de communes Haute Bouriane. Elle est traversée par le Tournefeuille.
Communes limitrophes
Lamothe-Fénelon est limitrophe de sept autres communes, dont une dans le département de la Dordogne. Au nord-ouest, celle-ci: Saint-Julien-de-Lampon, n'est limitrophe que sur environ 200 mètres, près du lieu-dit Rebec.
Carte de Lamothe-Fénelon et des communes avoisinantes.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 12,7°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,4 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 9,9 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,3 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,4 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Prats de Carlux», sur la commune de Prats-de-Carlux, mise en service en 1984[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,4°C et la hauteur de précipitations de 908,3 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Gourdon», sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 11 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4°C pour la période 1971-2000[11], à 12,7°C pour 1981-2010[12], puis à 13,1°C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].
La commune fait partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[16],[17].
Urbanisme
Typologie
Lamothe-Fénelon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[18],[I 1],[19].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,4% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (45,6%), forêts (40,6%), prairies (13,8%)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Lamothe-Fénelon est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Tournefeuille. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[23]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1996 et 1999[24],[21].
Lamothe-Fénelon est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature
de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[25].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lamothe-Fénelon.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs, des glissements de terrain et des tassements différentiels[26]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 79,2% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 235 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 198 sont en en aléa moyen ou fort, soit 84%, à comparer aux 72% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[21].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[29].
La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 5] disposant d'une retenue de 477 millions de mètres cubes[31]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[32].
Toponymie
Le toponyme Lamothe-Fénelon est basé sur le diminutif moteta qui a été francisé en mothe avec les lettres th. Mota, mot occitan d'origine pré-latine désigne une levée de terre puis un château érigé sur cette levée: la motte castrale. Le lieu s'appelait Fénelon (Fenolor) en 1613 en remplacement de Massaut[33].
Histoire
L’église: Lamothe Massaut était un prieuré régulier conventuel, appelé Sainte-Sixte, dépendant de l’abbaye de Souillac. Il était, avec l’annexe de Saint-Sauveur, de l’ordre de Saint-Benoît à la collation de l’abbé de Souillac. On retrouve peu de trace de ce prieuré. Seules subsistent les pierres de l’appareillage du mur d’enceinte (au nord de la tour du clocher).
La maison du Prieur (la caminade) se trouvait près des écoles actuelles. La découverte d’une sépulture au nord-est de l’église peut donner à penser que le cimetière du prieuré était en cet endroit.
En 1460, le prieuré fut rattaché à l’aumônerie de Souillac et les annexes en seront Saint-Sauveur de Massaut et Saint-Cernin de Mareuil.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].
En 2019, la commune comptait 301 habitants[Note 6], en augmentation de 5,24% par rapport à 2013 (Lot: +0,19%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
765
594
787
711
719
750
729
766
746
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
787
792
768
739
695
686
999
651
627
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
554
528
503
440
422
383
365
365
323
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
289
289
297
304
313
320
335
339
286
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
301
301
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 138 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 268 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 080 €[I 4] (20 740 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 163 personnes, parmi lesquelles on compte 74,2% d'actifs (57,7% ayant un emploi et 16,6% de chômeurs) et 25,8% d'inactifs[Note 8],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui de la France en 2008.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 31 emplois en 2018, contre 33 en 2013 et 52 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 97, soit un indicateur de concentration d'emploi de 31,6% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,2%[I 10].
Sur ces 97 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 18 travaillent dans la commune, soit 19% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 88,5% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,2% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,3% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
16 établissements[Note 9] sont implantés à Lamothe-Fénelon au [I 13].
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 43,8 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 16 entreprises implantées à Lamothe-Fénelon), contre 29,9% au niveau départemental[I 14].
Agriculture
La commune est dans les Causses», une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[39]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 30 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 17 en 2000 puis à 12 en 2010[41] et enfin à 10 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 67% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60% de ses exploitations[42],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 384 ha en 1988 à 311 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 13 à 31 ha[41].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Sixte de Lamothe-Fénelon, XIIeetXVesiècles, de style gothique: clocher-mur, chœur roman peint (Christ en majesté entouré des astres et du Tétramorphe, du XVIesiècle; chapiteaux historiés (La colère, La gourmandise); panneau sculpté attribué aux sculpteurs Tournié (fin XVIIesiècle figurant le baptême du Christ). L'édifice est classé au titre des monuments historiques depuis 1913[43]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[43].
Temple protestant de Lamothe-Fénelon.
Plan d'eau avec restaurant/bar. Le plan d'eau a été réaménagé à l'été 2016.
Personnalités liées à la commune
François de Salignac de La Mothe Fénelon, dit Fénelon, né le au château de Fénelon, archevêque de Cambrai, mort le à Cambrai, homme d'Église, théologien et écrivain français.
Les armoiries de la famille de Salignac de La Mothe Fénelon figurent sur le chevet de l'église Saint-Sixte du village.
Abbé Paul Boisset (1917 - 2006), ancien curé de Lamothe-Fénelon, poète, compositeur, chanteur, et biographe du bienheureux Antoine Auriel-Constant (1764 - 1794).
Nancy Cunard (1896 - 1965), écrivaine anglaise, rédactrice en chef et éditrice, militante politique, anarchiste et poétesse, habita dans le village à partir de 1948. Sa grand-mère avait en effet des origines dans le Lot.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[30].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[40].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy: Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127p. (ISBN2-910540-16-2), p.114.
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