La Ville-du-Bois[1] (prononcé [la vil d̪y bwa]Écouter) est une commune française située à vingt-trois kilomètres au sud-ouest de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.
Pour la commune belge, voir Ville-du-Bois.
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La Ville-du-Bois est située à vingt-trois kilomètres au sud-ouest de Paris-Notre-Dame[4], point zéro des routes de France, treize kilomètres à l'ouest d'Évry[5], six kilomètres au sud-est de Palaiseau[6], deux kilomètres au nord-ouest de Montlhéry[7], huit kilomètres au nord d'Arpajon[8], seize kilomètres au nord-ouest de Corbeil-Essonnes[9], vingt kilomètres au nord-ouest de La Ferté-Alais[10], vingt-quatre kilomètres au nord-est de Dourdan[11], vingt-sept kilomètres au nord-est d'Étampes[12], trente-deux kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt[13].
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Hydrographie
Plusieurs cours d'eau irriguent la commune, le Mort ru au sud de la commune, le ruisseau Blanc, au nord qui se jette dans le Rouillon, le ru Gaillard. Le ruissellement des eaux était canalisé et aboutissait à de nombreuses mares et petits étangs qui servaient d'abreuvoir et à l'occasion des festivités locales s'y déroulaient des parties de pêche, notamment à l'abreuvoir du Trou à Terre aux Sablons.
Relief et géologie
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Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont: Nozay, Saulx-les-Chartreux, Ballainvilliers, Montlhéry, Longpont-sur-Orge.
La Ville-du-Bois, située en Île-de-France, bénéficie d'un climat océanique dégradé aux hivers frais et aux étés doux, et est régulièrement arrosée sur l'ensemble de l'année. En moyenne annuelle, la température s'établit à 10,8°C, avec une maximale de 15,2°C et une minimale à 6,4°C. Les températures réelles relevées sont de 24,5°C en juillet au maximum et 0,7°C en janvier au minimum, mais les records enregistrés sont de 38,2°C le et −19,6°C le . Du fait de la moindre densité urbaine entre Paris et sa banlieue, une différence négative de un à deux degrés Celsius se fait sentir. L'ensoleillement est comparable à la moyenne des régions du nord de la Loire avec 1 798 heures par an. Les précipitations sont également réparties sur l'année, avec un total de 598,3 millimètres de pluie et une moyenne approximative de cinquante millimètres par mois.
Données climatiques à La Ville-du-Bois.
Mois
jan.
fév.
mars
avril
mai
juin
jui.
août
sep.
oct.
nov.
déc.
année
Température minimale moyenne (°C)
0,7
1
2,8
4,8
8,3
11,1
13
12,8
10,4
7,2
3,5
1,7
6,4
Température moyenne (°C)
3,4
4,3
7,1
9,7
13,4
16,4
18,8
18,5
15,6
11,5
6,7
4,3
10,8
Température maximale moyenne (°C)
6,1
7,6
11,4
14,6
18,6
21,8
24,5
24,2
20,8
15,8
9,9
6,8
15,2
Ensoleillement (h)
59
89
134
176
203
221
240
228
183
133
79
53
1 798
Précipitations (mm)
47,6
42,5
44,4
45,6
53,7
51
52,2
48,5
55,6
51,6
54,1
51,5
598,3
Source: Climatologie mensuelle à la station départementale de Brétigny-sur-Orge de 1948 à 2002[14],[15].
Voies de communication et transports
Cars Keolis Meyer, lignes 151, 152S, 153 et 154, pour rejoindre la porte d'Orléans, la gare de Massy Palaiseau ou Arpajon[16].
Une navette gratuite permet de réaliser les petits trajets internes à la ville.[17]
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Lieux-dits, écarts et quartiers
La Croix Saint Jacques où se trouvent un centre de loisirs et un centre commercial Carrefour, la Sablière, la Fosse aux Moines, le Trou à Terre, les Joncs Marins, la Grange aux Cercles, Maison Rouge, Gros Chêne et la Garenne.
Urbanisme
Typologie
La Ville-du-Bois est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[18],[19],[20].
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[21] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[22],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[24],[25].
La commune fut créée en 1793 sous le nom de Ville du Bois, l'article fut ajouté en 1801 dans le Bulletin des lois[27].
Histoire
À l'origine, simple hameau de Nozay, il dépendait de la châtellenie de Marcoussis jusqu'à la Révolution. Ce minuscule hameau s'étant constitué au carrefour de la forêt d'Aqualina (forêt d'Yveline) et de la forêt de Séquigny (forêt de Sainte Geneviève-des-Bois), se nommait Villa Bosci.
Il y a quelques années des outils en silex taillés, furent trouvés dans les champs, par les maraîchers. Puis dans les cartulaires du prieuré de Longpont, nous relevons le nom de Boscis Guildonis Adegavensus; c'est-à-dire le Bois de Monsieur Guy d'Anjou. Il va croître à la croisée des grands chemins gaulois, allant de Villejust à Montlhéry et de Marcoussis à Ballainvilliers en passant par Nozay. Au bord de la grande voie reliant Lutèce à Orléans.
Ce n'est qu'au XIVesiècle dans un aveu de dénombrement destiné au roi Charles VI de France dit le Fou daté du , qu'apparaît le nom de La Ville-du-Bois, sous la forme suivante: " Fief tenu par Jean de La Neuville de Nozay et de La Ville du Bois". Le village s'appelle donc Nozay-La Ville du Bois, jusqu’à la Révolution.
Parmi les fiefs: celui de Beaulieu connu depuis le XVIIesiècle appartenant à Léon II Balsac d'Illiers d'Entragues, qui le légua à son fils Alexandre d'Illiers de Balsac d'Entragues et que ce dernier cédera le , à Claude Erard, notaire royal, avocat au Parlement. Consistant en Maison et bâtiments, jardin et potager, planté d'arbres fruitiers, contenant 15 arpents et clos de murs. Dont l'avant-cour et la cour d'honneur étaient accessibles depuis la Grande Rue du village. Ce domaine était encore ceint de murs à la fin du XIXesiècle. Il fut acheté par François Valentin, (1763-1822) général et baron d'Empire, directeur du haras de Langonnet (Morbihan). C'est lui qui transforma la propriété en 1816, faisant construire la grande maison bourgeoise. La propriété aura pour propriétaires successifs: M. Gille Bert Poyet, avocat, Mme Brassac et M. Lalain en 1896, qui fait démolir la maison, transformant les lieux en exploitation maraîchère. À sa mort en 1920, le domaine qui revint à sa fille madame de Luget fut vendu aux enchères sur licitation en 1923 et la ville en fit l'acquisition. Une partie fut lotie sur le pourtour de l'étang et le reste aménagé en place verte.
Les métiers de jadis
Au XVIIIesiècle, les artisans et commerçants étaient nombreux. On comptait près d'une quarantaine de corps de métiers: menuisiers (rue des Cailleboudes), charrons (rue Gaillard), maréchaux-ferrants (Grande Rue), forgerons, maçons, charpentiers, bourreliers, matelassiers. Et les vanniers, assez nombreux, qui fabriquaient les paniers d'osier, servant au transport des fraises et autres légumes fragiles; l'un d'eux se trouvait à la Grange-aux-Cercles. Il y avait aussi les marchands de bois (rue des Cailleboudes), les charbonniers, merciers, journaliers, bûcherons, scieurs de longs, et tous les métiers liés à la vente d'alimentation. Dont les débits de boissons: on dénombre plus d'une quinzaine de bistrots, sur la commune et alentour. On ajoute à cet inventaire un grainetier (Chavignier, dans la Grande Rue), et une boucherie-charcuterie (E. Damiot, également Grande Rue).
Aux artisans et commerçants s'ajoutent les petits métiers à domicile: gens de maison, commis, charretiers, bûcherons, gardes-forestiers, gardes champêtres, coursiers, facteurs, couturières, lingères, coiffeurs, barbiers, saisonniers.
Puis l'exploitation des carrières pour la fabrication des pavés.
Une carrière était située au Gros Chêne, une autre, la carrière Trimoulet était située à la Garenne. les pierres extraites servaient à la fabrication de pavés, taillés sur place. Cette activité occupait une vingtaine d'ouvriers. Les pavés étaient conduits par tombereaux à chevaux jusqu'à la gare de marchandises de La Petite Ville du Bois sur la ligne de l'Arpajonnais. Le second choix de cette marchandise a servi à paver les rues de la commune et celles alentour.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].
En 2019, la commune comptait 8 010 habitants[Note 4], en augmentation de 10,91% par rapport à 2013 (Essonne: +3,81%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
779
738
776
837
828
861
896
898
946
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
947
960
1 000
1 004
976
1 043
1 055
1 058
1 080
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 158
1 083
1 060
1 022
1 109
1 155
1 170
1 190
1 431
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
2 052
2 594
3 334
4 067
5 404
5 901
6 825
7 118
7 435
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
8 010
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,1%, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9%). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,6% la même année, alors qu'il est de 20,1% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 3 929 hommes pour 4 041 femmes, soit un taux de 50,70% de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,02%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,2
90 ou +
0,9
3,6
75-89 ans
5,3
12,4
60-74 ans
12,7
23,7
45-59 ans
22,3
20,7
30-44 ans
20,1
18,4
15-29 ans
18,0
21,1
0-14 ans
20,7
Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2018 en pourcentage[32]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,2
5,2
75-89 ans
6,9
12,7
60-74 ans
13,6
20,2
45-59 ans
19,6
20
30-44 ans
20,2
19,9
15-29 ans
18,3
21,6
0-14 ans
20
Politique et administration
Politique locale
La commune de La Ville-du-Bois est rattachée au canton de Longjumeau, représenté par les conseillers départementaux Sandrine Gelot-Rateau et Claude Pons (LR), à l'arrondissement de Palaiseau et à la quatrième circonscription de l'Essonne, représentée par la députée Marie-Pierre Rixain (LREM).
La commune faisait partie jusqu'au 1er janvier 2016 de la Communauté d'agglomération Europ'Essonne et depuis cette date de la communauté d'agglomération Paris-Saclay.
L'Insee attribue à la commune le code 91 3 20 665[33]. La commune de La Ville-du-Bois est enregistrée au répertoire des entreprises sous le code SIREN 219 106 655. Son activité est enregistrée sous le code APE 8411Z[34].
Conseil municipal de La Ville-du-Bois (mandature 2020-2026).
Ingénieur électronicien[36] Conseiller délégué de la CA Paris-Saclay (2016 → ) Réélu pour le mandat 2020-2026
Les données manquantes sont à compléter.
Tendances et résultats politiques
Après avoir été dirigée pendant vingt-quatre ans par un maire communiste, La Ville-du-Bois a basculé à droite en 1995. En 2008 les Urbisylvains ont renouvelé leur confiance au maire sortant dès le premier tour, malgré la présence d'une liste Divers droite dissidente.
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Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours:
Élection présidentielle de 2002: 81,49% pour Jacques Chirac (RPR), 18,51% pour Jean-Marie Le Pen (FN), 78,74% de participation[37].
Élection présidentielle de 2007: 57,33% pour Nicolas Sarkozy (UMP), 42,67% pour Ségolène Royal (PS), 86,00% de participation[38].
Élection présidentielle de 2012: 55,23% pour Nicolas Sarkozy (UMP), 44,77% pour François Hollande (PS), 81,76% de participation[39].
Élection présidentielle de 2017: 62,77% pour Emmanuel Macron (LREM), 37,23% pour Marine Le Pen (FN), 75,34% de participation.
Élections législatives, résultats des deuxièmes tours:
Élections législatives de 2002: 54,82% pour Pierre-André Wiltzer (UMP), 45,18% pour Marianne Louis (PS), 55,63% de participation[40].
Élections législatives de 2007: 59,07% pour Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP), 40,93% pour Olivier Thomas (PS), 55,04% de participation[41].
Élections législatives de 2012: 54,79% pour Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP), 45,21% pour Olivier Thomas (PS), 57,49% de participation[42].
Élections législatives de 2017: 55,39% pour Marie-Pierre Rixain (LREM), 44,61% pour Agnès Evren (LR), 38,59% de participation.
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores:
Élections européennes de 2004: 25,45% pour Harlem Désir (PS), 14,51% pour Patrick Gaubert (UMP), 39,20% de participation[43].
Élections européennes de 2009: 30,53% pour Michel Barnier (UMP), 16,61% pour Daniel Cohn-Bendit (Les Verts), 38,45% de participation[44].
Élections européennes de 2014: 25,28% pour Bernard Monot (FN), 20,81% pour Brice Hortefeux (UMP), 40,34% de participation.
Élections européennes de 2019: 23,83% pour Nathalie Loiseau (LREM), 22,24% pour Jordan Bardella (RN), 50,58% de participation.
Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores:
Élections régionales de 2004: 48,69% pour Jean-Paul Huchon (PS), 39,68% pour Jean-François Copé (UMP), 62,58% de participation[45].
Élections régionales de 2010: 53,36% pour Jean-Paul Huchon (PS), 46,64% pour Valérie Pécresse (UMP), 44,55% de participation[46].
Élections régionales de 2015: 41,39% pour Valérie Pécresse (LR), 33,82% pour Claude Bartolone (PS), 55,49% de participation.
Élections cantonales et départementales, résultats des deuxièmes tours:
Élections cantonales de 2004: 53,79% pour François Pelletant (DVD), 46,12% pour Delphine Antonetti (PS), 62,47% de participation[47].
Élections cantonales de 2011: 56,94% pour François Pelletant (DVD), 43,06% pour Jérôme Cauët (PS), 34,59% de participation[48].
Élections départementales de 2015: 62,28% pour Sandrine Gelot Rateau et Claude Pons (UMP), 37,72% pour Mireille Cuniot-Ponsard (EELV) et Didier Varenne (PS), 42,96% de participation.
Élections municipales, résultats des deuxièmes tours:
Élections municipales de 2001: données manquantes.
Élections municipales de 2008: 50,78% pour Jean-Pierre Meur (DVD) élu au premier tour, 25,20% pour Véronique Pujol (DVG), 58,24% de participation[49].
Élections municipales de 2014: 61,60% pour Jean-Pierre Meur (DVD) élu au premier tour, 24,63% pour Olivier Voisin (DVG) et 13,76% pour Arnoldo Giarmania DVD, 55,53% de participation.
Élections municipales de 2020: 63,72% pour Jean-Pierre Meur (DVD) élu au premier tour, 36,28% pour Véronique Pujol (DVG), 32,54% de participation.
Référendums:
Référendum de 2000 relatif au quinquennat présidentiel: 75,56% pour le Oui, 24,44% pour le Non, 28,48% de participation[50].
Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l'Europe: 50,89% pour le Non, 49,11% pour le Oui, 70,36% de participation[51].
Enseignement
Les élèves de La Ville-du-Bois sont rattachés à l'académie de Versailles. Elle dispose de l'école maternelle Marie-Curie, de l'école élémentaire Ambroise-Paré, de l'école primaire Les Renondaines[52] et de l'école primaire privée Notre-Dame[53] catholique rattachée au diocèse[54]. S'y trouve aussi l'Institution privée catholique du Sacré-Cœur dit ISC, comportant le collège d'Alzon, et le lycée Jean-Paul II. Il s'agit d'un lycée général, technologique et professionnel qui propose les filières L-ES-S ainsi que STMG[55].
Santé
La commune dispose sur son territoire de l'établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes les Parentèles[56].
Services publics
La commune dispose sur son territoire d'une agence postale[57].
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Jumelages et partenariats
Article connexe: Coopérations décentralisées des communes de l'Essonne.
Elle a aussi développé un partenariat avec Bollnäs en Suède[59].
Vie quotidienne à La Ville-du-Bois
Culture
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Sports
Exocet Master Club: club de natation maîtres (vétérans)
Football Club Saint Élois
La Ville du Bois Futsal Club
Fight art 91 (MMA/Grappling fight/nogi)
Licorne Dodgeball Club (champion de France 2019 catégories Minime & Féminine)
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Lieux de culte
La paroisse catholique de La Ville-du-Bois est rattachée au secteur pastoral de Montlhéry-Longpont et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Saint-Fiacre[60].
Médias
L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.
Économie
Radar en test à La Ville-du-Bois.
Le centre commercial de La Ville-du-Bois est situé le long de la route nationale 20, au lieu-dit la Croix Saint-Jacques.
Ce centre commercial, articulé autour d'un hypermarché, Carrefour, a vu se développer au fil du temps une zone commerciale, avec notamment une jardinerie Truffaut, des restaurants et une zone de construction-vente de maisons individuelles.
C'est également à cet endroit que l'on trouve le premier radar automatique inauguré le par Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur, Gilles de Robien, ministre des Transports et Rémy Heitz, délégué interministériel à la Sécurité routière.
La commune a encore une activité maraîchère importante.
Emplois, revenus et niveau de vie
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En 2006, le revenu fiscal médian par ménage était de 22 490€, ce qui plaçait la commune au 1 167e rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages que compte le pays et au cent neuvième rang départemental[61].
Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
Agriculteurs
Artisans, commerçants, chefs d’entreprise
Cadres et professions intellectuelles supérieures
Professions intermédiaires
Employés
Ouvriers
La Ville-du-Bois
0,0%
4,9%
18,4%
25,0%
39,4%
12,2%
Zone d’emploi d’Orly
0,1%
4,6%
15,2%
27,8%
30,3%
22,1%
Moyenne nationale
2,2%
6,0%
15,4%
24,6%
28,7%
23,2%
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
L'étang du château et les bois au nord et à l'ouest du territoire ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne[65].
Patrimoine architectural
L'église Saint-Fiacre (XVIe au XVIIIesiècles). Une partie du mobilier provient de l'ancien monastère des célestins de Marcoussis.
Premier radar automatique «sur la N20 en direction d'Orléans» d'une série de quatre cents installés en . Le site sert également de «beta testeur» puisque chaque nouvelle génération d'armoire y est installée en primeur. Ainsi, après la seconde génération mise en 2005, le a vu la pose de la troisième génération d'armoire automatisée.
Derrière l'église, emplacement de la «Grande Maison» qui aurait appartenu à Ambroise Paré [66],[67] Cette maison dont la date de construction antérieure à 1580 n'est pas connue faisait partie d'un domaine de 17 hectares qui appartenait à la fin du XIXesiècle à Emmanuel de Lalain Chomel maire de la Ville-du-Bois qui la fit partiellement détruire en 1894 pour aménager une entrée au parc du château et construire une maison en briques.
Un château de style Henri II est construit en 1891 dans le parc à la place d’une précédente maison bourgeoise par le propriétaire du domaine Emmanuel de Lalain Chomel. Sa fille, Madame de Luget, héritière du domaine, le vend en 1938 à la congrégation des Oblates de l’Assomption pour en faire un internat d’enseignement secondaire pour jeunes filles qui est l’actuel lycée du Sacré Cœur[68].
L’église Saint-Fiacre
Château, actuel Institut du Sacré Cœur
Personnalités liées à la commune
Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à La Ville-du-Bois:
Michel de Sèvre (?-?), chevalier de Malte et homme politique, en était le seigneur;
Jacques Tati (1907-1982), acteur et cinéaste qui pratiquait le tennis à la ferme de la Croix Saint Jacques, où il a tourné un court-métrage Soigne ton gauche;
Lucien Bonnafé (1912-2003), psychiatre et personnalité politique, est décédé dans la commune.
Albert Vidalie (1913-1971), écrivain, scénariste, parolier français.
Héraldique et logotype
Article connexe: Armorial des communes de l'Essonne.
Les armes de La Ville-du-Bois se blasonnent: D'or au chevron de gueules accompagné, en chef, de deux flanchis du même et, en pointe, d'un arbre de sinople, au chef aussi de gueules chargé de trois fermaux du champ.[69]
La commune s'est en outre dotée d'un logotype.
La Ville-du-Bois dans les arts et la culture
La Ville-du-Bois a servi de lieu de tournage pour les films Soigne ton gauche de René Clément sorti en 1936, Grosse Fatigue de Michel Blanc sorti en 1994 et Podium de Yann Moix sorti en 2004[70].
D'après le service SNA de La Poste, certaines rues de la commune dépendent du code postal 91140 correspondant au bureau distributeur de Villebon-sur-Yvette.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
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