Localisation de La Madeleine-sur-Loing dans le département de Seine-et-Marne.
La commune de Madeleine-sur-Loing se trouve dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France[1].
Elle se situe à 40,61 km par la route[Note 1] de Melun[2], préfecture du département, à 24,09 km de Fontainebleau[3], sous-préfecture, et à 8,03 km de Nemours[4], bureau centralisateur du canton de Nemours dont dépend la commune depuis 2015.
La commune fait en outre partie du bassin de vie de Souppes-sur-Loing[1].
Communes limitrophes
Carte des communes limitrophes de La Madeleine-sur-Loing.
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5]:
Bagneaux-sur-Loing (3,2 km), Souppes-sur-Loing (3,2 km), Bougligny (3,6 km), Faÿ-lès-Nemours (3,9 km), Poligny (3,9 km), Chenou (5,4 km), Ormesson (5,9 km), Château-Landon (6,0 km).
Communes limitrophes de La Madeleine-sur-Loing
Faÿ-lès-Nemours
Bagneaux-sur-Loing
Bougligny
Souppes-sur-Loing
Géologie et relief
Le territoire de la commune se situe dans le sud du Bassin parisien, plus précisément au nord de la région naturelle du Gâtinais.
Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire) et du Crétacé supérieur[6],[7].
Carte du relief de La Madeleine-sur-Loing.
Carte géologique vectorisée et harmonisée de La Madeleine-sur-Loing.
Géologie de la commune de La Madeleine-sur-Loing selon l'échelle des temps géologiques[6],[7].
Ères
Périodes géologiques
Époques géologiques
Nature des sols
Cénozoïque
Quaternaire
Holocène
LP:
Limon des plateaux de composition argilo-marneuse.
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 5,23 km[14].
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles: le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[15].
La commune fait partie du SAGE «Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés», approuvé le . Le territoire de ce SAGE couvre deux régions, six départements et compte 681 communes, pour une superficie de 9 722 km2[16]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat mixte du pays Beauce Gâtinais en Pithiverais, qualifié de «structure porteuse»[17].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000
- Moyenne annuelle de température: 10,9 °C
- Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C: 3 j
- Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,8 j
- Amplitude thermique annuelle[Note 3]: 15,5 °C
- Cumuls annuels de précipitation: 736 mm
- Nombre de jours de précipitation en janvier: 1,8 j
- Nombre de jours de précipitation en juillet: -5 j
La commune bénéficie d’un «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[18].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[19]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[18]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[20]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 44 km à vol d'oiseau[21], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2°C pour 1981-2010[22] à 11,6°C pour 1991-2020[23].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[24],[25].
La réserve de biosphère «Fontainebleau et Gâtinais», créée en 1998 et d'une superficie totale de 150 544ha, est un espace protégé présent sur la commune. Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles: une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[26],[27],[28].
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[29].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la «directive Habitats»[30],[Carte 1]:
les «Rivières du Loing et du Lunain», d'une superficie de 400ha, deux vallées de qualité remarquable pour la région Île-de-France accueillant des populations piscicoles diversifiées dont le Chabot, la Lamproie de Planer, la Loche de Rivière et la Bouvière[31],[32].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Madeleine-sur-Loing comprend une ZNIEFF de type 1[Note 4],[33],[Carte 2],
le «Marais de la Madeleine» (22,49ha), couvrant 2 communes du département[34].
, et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[33],
la «vallée du Loing entre Nemours et Dordives» (1 059,63ha), couvrant 7 communes dont 1 dans le Loiret et 6 en Seine-et-Marne[35].
Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
La Madeleine-sur-Loing est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[36],[37],[38].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[39],[40].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,27% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77,36%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (68,29%),
forêts (22,64%),
zones agricoles hétérogènes (8,98%),
zones urbanisées (0,09%)[41].
Territoires artificialisés (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
0,00ha
0,00%
0,54ha
0,09%
0,54ha
Territoires agricoles (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes)
476,79ha
77,36%
476,26ha
77,27%
−0,54ha
Forêts et milieux semi-naturels (forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation)
139,54ha
22,64%
139,54ha
22,64%
0ha
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[42],[43],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Nemours Gâtinais, approuvé le et porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Nemours-Gâtinais[44].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[45]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 5].
Lieux-dits et écarts
Carte du cadastre de la commune de La_Madeleine-sur-Loing.
La commune compte 51 lieux-dits administratifs[Note 8] répertoriés consultables ici[46] (source: le fichier Fantoir) dont la Groue, le Colombier.
Logement
En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 185 dont 99,3% de maisons[Note 9].
Parmi ces logements, 85,5% étaient des résidences principales, 8% des résidences secondaires et 6,5% des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 90,6% contre 6,9% de locataires et 2,5% logés gratuitement[47].
Voies de communication et transports
Voies de communication
La ligne de chemin de fer de Moret - Veneux-les-Sablons à Lyon-Perrache traverse du nord au sud le territoire de la commune.
Une seule route départementale relie La Madeleine-sur-Loing aux communes voisines: la D 40, à Bagneaux-sur-Loing, au nord; à Souppes-sur-Loing, au sud.
Le canal du Loing traverse l'extrémité est de la commune du sud au nord.
Transports
La Madeleine-sur-Loing est desservie par deux lignes du réseau d'autocars Transdev Nemours[48],[49],[50]:
la ligne 11B, qui relie Château-Landon à Nemours;
la ligne 12, qui relie Château-Landon à Nemours.
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes La Magdelene en 1489[51]; La Madeleine de Corbeval en 1790[52]; La Madeleine-sur-Loing (Décret du ).
Une madeleine, est un vieil hospice chrétien proche d'une voie ou d'une route ancienne qui a pu évoluer à l'époque médiévale en maladrerie, léproserie, hôpital, chapelle… souvent à l'origine de toponymes actuels.
Loing désigne la rivière traversant les départements de l'Yonne, du Loiret et de Seine-et-Marne.
Histoire
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Politique et administration
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983
3 octobre 2015
Jean-Jacques Hyest Démissionnaire à la suite de sa nomination au Conseil constitutionnel
UMP
Administrateur territorial Membre du Conseil constitutionnel (2015 → ) sénateur de Seine-et-Marne (1995 → 2015) Député de Seine-et-Marne (3e circ.) (1986 → 1995) Conseiller général de Château-Landon (1982 → 2015) Président de la CC Gâtinais-val de Loing (2010 → 2015)
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Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [54],[55].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la commune de La Madeleine-sur-Loing ne dispose pas d'assainissement collectif[56],[57].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[58]. La commune assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[56],[59].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [56],[60],[61].
Population et société
Démographie
Les habitants sont appelés les Magdaléniens et Magdaléniennes[62].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[63]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[64].
En 2019, la commune comptait 360 habitants[Note 10], en augmentation de 4,65% par rapport à 2013 (Seine-et-Marne: +4,1%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
134
146
178
150
161
195
205
210
226
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
229
220
234
232
235
210
226
246
282
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
310
289
252
215
207
204
208
186
197
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
221
254
286
261
287
354
368
376
342
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
350
360
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[65] puis Insee à partir de 2006[66].)
Histogramme de l'évolution démographique
Événements
Vide-grenier avec artisans fin septembre.
Économie
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Secteurs d'activité
Agriculture
La Madeleine-sur-Loing est dans la petite région agricole dénommée le «Gâtinais», à l'extrême sud-ouest du département, s'étendant sur un large territoire entre la Seine et la Loire sur les départements du Loiret, de Seine-et-Marne, de l'Essonne et de l'Yonne[Carte 6]. En 2010, aucune orientation technico-économique[Note 11] de l'agriculture ne se dégage sur la commune[67].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30% du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[68]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 4 en 1988 à 0 en 2010[67].
Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Madeleine-sur-Loing, observées sur une période de 22 ans:
Évolution de l’agriculture à la La Madeleine-sur-Loing entre 1988 et 2010.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100%.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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