La Garde est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes. Ses habitants sont appelés les Gardillons et les Gardillonnes.
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La Garde | |
![]() | |
![]() Héraldique |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Auvergne-Rhône-Alpes |
Département | Isère |
Arrondissement | Grenoble |
Intercommunalité | Communauté de communes de l'Oisans |
Maire Mandat |
Pierre Gandit 2020-2026 |
Code postal | 38520 |
Code commune | 38177 |
Démographie | |
Gentilé | Gardillons |
Population municipale |
103 hab. (2019 ![]() |
Densité | 11 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 04′ 11″ nord, 6° 02′ 48″ est |
Altitude | 982 m Min. 715 m Max. 1 750 m |
Superficie | 9,09 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de l'Oisans-Romanche |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.lagardeenoisans.com |
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La Garde est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4],[5].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (99,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (96 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (30,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (18,3 %), zones urbanisées (0,2 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
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Blason | D'or à un chevron de gueules, accompagné en chef à dextre d'un bâton de pèlerin d'azur, à senestre d'une épée haute du même, et en pointe d'un dauphin d'azur, crêté, barbé, loré, peautré et oreillé de gueules ; au chef aussi d'azur chargé d'une clef d'or en fasce[7]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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1800 | 1803 | Jean Pellissier | SE | |
1805 | 1826 | Georges Chalvin | SE | |
1828 | 1841 | Jean Vieux | SE | |
1842 | 1848 | Pierre Chalvin | SE | |
1848 | 1855 | Jacques Vieux-Combe | SE | |
1855 | 1870 | Laurent Emieux | SE | |
1870 | 1884 | François Chouvin | SE | |
1884 | 1884 | Pierre Pellissier | SE | |
1884 | 1886 | Jean-Baptiste Chouvin | SE | |
1888 | 1892 | Jean André Calixte Chalvin | SE | |
1892 | 1907 | Louis-Frédéric Vieux | SE | Gendarme |
1907 | 1908 | Pierre Grand | SE | |
1908 | 1912 | Jules Vieux-Pernon | SE | |
1912 | 1925 | Emmanuel Vieux | SE | Aubergiste |
1925 | 1929 | Telsy Prosper Sonnier | SE | |
1929 | 1945 | Emmanuel Vieux | SE | Aubergiste |
1945 | 1965 | Marcel Pellissier | SE | Charpentier menuisier |
1965 | 1969 | Roger Veysseyre | SE | Cadre des Postes et Télécommunications |
1969 | 1971 | Gilbert Barussaud | SE | |
1971 | 1983 | Georges Vieux-Combe | SE | |
1983 | 1995 | Bernard Thebault | SE | Enseignant |
1995 | En cours | Pierre Gandit | SE | Employé du secteur bancaire |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[8]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[9].
En 2019, la commune comptait 103 habitants[Note 2], en diminution de 4,63 % par rapport à 2013 (Isère : +2,9 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
476 | 401 | 420 | 424 | 428 | 379 | 383 | 418 | 384 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
377 | 342 | 300 | 313 | 325 | 318 | 302 | 271 | 299 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
263 | 251 | 244 | 225 | 188 | 172 | 193 | 148 | 139 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2006 | 2009 |
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112 | 82 | 72 | 64 | 52 | 66 | 90 | 94 | 112 |
2014 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
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103 | 103 | - | - | - | - | - | - | - |
La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.
Un projet vise à installer un petit barrage avec dérivation de l’eau au-dessus du pont à trois arches sur la Sarenne, donc au nord du Rosai, hameau de la Garde. La conduite serait entièrement souterraine pour ne pas enlaidir l’environnement. Le maire l’a demandé comme préalable en 2003. La chute est très importante puisque la centrale est au Bourg d’Oisans, dans les locaux de celle qui existe depuis 1892 sur l'eau de la cascade. Ce projet s’inscrit dans ceux déjà à l’étude dès le début des années 1920 et qui n’ont jamais vu le jour, mais cette fois avec un tout petit barrage. La commune de La Garde, avec ce projet d’énergie renouvelable, verrait ses ressources fiscales doubler, ce qui permettrait d’augmenter les équipements et donc le bien-être des Gardillons. Un dossier complet est en mairie et vous pouvez bien entendu le consulter. Un beau projet d’énergie renouvelable.
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