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La Faute-sur-Mer est une ancienne commune du centre-ouest de la France, située dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire.

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La Faute-sur-Mer

La plage des Bélugas vue en direction du sud-est vers la pointe d'Arcay et La Rochelle.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement Les Sables-d'Olonne
Intercommunalité Communauté de communes Sud Vendée Littoral
Statut commune déléguée
Maire délégué Laurent Huger
Code postal 85460
Code commune 85307
Démographie
Gentilé Fautais, Fautaise
Population 664 hab. (2018 )
Densité 91 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 19′ 58″ nord, 1° 19′ 17″ ouest
Altitude m
Min. −2 m
Max. 17 m
Superficie 7,26 km2
Élections
Départementales Canton de Mareuil-sur-Lay-Dissais
Législatives Deuxième circonscription
Historique
Date de fusion
Commune(s) d'intégration L'Aiguillon-la-Presqu'île
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
La Faute-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : France
La Faute-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : Vendée
La Faute-sur-Mer
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
La Faute-sur-Mer

    Érigé en commune le , c'était auparavant un hameau de la commune de La Tranche-sur-Mer.

    Depuis le , elle est une commune déléguée de la commune nouvelle de L'Aiguillon-la-Presqu'île[1].


    Géographie


    Communes limitrophes de La Faute-sur-Mer
    La Tranche-sur-Mer Grues
    Océan atlantique L'Aiguillon-sur-Mer
    Océan atlantique Océan atlantique Océan atlantique

    La Faute-sur-Mer est placée sur une petite bande de terre côtière de l'extrême-sud de la Vendée.

    À l'ouest, la commune est bordée, sur 8 kilomètres, par une plage de sable ininterrompue se terminant par un espace réservé au naturisme. Elle est donc naturellement devenue une petite station balnéaire en 1988 ce qui lui a permis d'ouvrir un casino. Dès 1985, elle avait reçu le Pavillon Bleu. Depuis , elle est station de tourisme.

    À l'est, elle est bordée par le fleuve du Lay qui la sépare du petit port de L'Aiguillon-sur-Mer. Deux ponts (un pour piétons, un pour voitures) relient les deux communes jumelles.

    Du sud au nord, on peut diviser la commune en trois zones :

    Le territoire municipal de La Faute-sur-Mer s’étend sur 726 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 3 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 0 et 17 mètres[2],[3].


    Urbanisme



    Typologie


    La Faute-sur-Mer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6]. Elle appartient à l'unité urbaine de L'Aiguillon-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[7] et 2 741 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

    La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[12]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[13],[14].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (36,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (40,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (32,5 %), forêts (17,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (15,2 %), zones humides côtières (13,3 %), zones agricoles hétérogènes (6,6 %), terres arables (5,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,3 %), eaux continentales[Note 2] (1,5 %), eaux maritimes (0,7 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[16].


    Toponymie


    En poitevin, la commune est appelée La Fàute (prononcé [la fˈaʊt])[17].


    Histoire



    Les submersions marines


    Plusieurs épisodes de submersion marine ont été répertoriés :

    Le , une marée de coefficient important cause de très graves dégâts aux digues des prises de La Faute-sur-Mer, et trois d'entre elles sont submergées par les eaux de la mer.

    Le , à la suite d'une marée de coefficient 110, accompagnée de vents violents de sud-ouest, le bourg de La Faute-sur-Mer est réduit à une île, les secteurs de la Vieille Prise et de la Jeune Prise (à proximité de l'actuel barrage du Braud) étant submergés (sur 120 hectares environ). Le journal L'Ouest-Éclair écrit le , sous le titre « Une partie du littoral vendéen menacé par la mer »[18] :

    « Plus de 120 ha ont déjà été gagnés par les eaux. Mais le village de La Faute-sur-Mer, au sujet duquel on avait de sérieuses craintes, paraît momentanément, grâce aux travaux de fortune exécutés, hors de danger. (...) La mer a creusé un chenal dans la dune où la première brèche fut ouverte. La gendarmerie, par mesure de sécurité, en éloigne les curieux, en raison des éboulements de sable sur la rive gauche du Lay. Plus de 450 habitants des communes de L'Aiguillon, Grues et Saint-Denis ont été alertés pour la surveillance de la digue du Fenouillet qui protège 7 000 hectares. L'anxiété est moins grande à La Faute, mais que réservent les prochaines grandes marées et à quand l'exécution d'un projet de défense sérieux ? »

    À la suite de cet événement, la construction d'une digue le long de l'actuelle RD 46, à la hauteur de la Belle-Henriette, est entreprise.

    Le , une tempête avec vents violents conjuguée à une forte marée d'équinoxe provoque une brèche dans la digue de protection du hameau de la Faute et des digues de L’Aiguillon-sur-Mer et de Triaize. La submersion menace les secteurs habités de la Faute[19].

    Le , une marée de coefficient 88 provoque la submersion de très nombreuses digues du front de mer et l'inondation des terres dans les communes de Saint-Michel-en-l’Herm, La Tranche-sur-Mer, L'Aiguillon-sur-Mer et La Faute-sur-Mer, Champagné-les-Marais et Triaize[20].

    La Faute-sur-Mer a été l'une des communes de l'Ouest de la France les plus touchées par la tempête Xynthia, le [21],[22]. 29 victimes sont à déplorer uniquement sur le sol de la commune[23]. À la suite de ce drame, le préfet de la Vendée a rendu publique une « zone noire » dans laquelle 674 maisons doivent être détruites, leurs propriétaires devant être indemnisés par les assurances et les pouvoirs publics. Le magazine Zone interdite diffusé le sur M6[24], relate les évènements et analyse le manque de précaution prise par l'équipe municipale dans la prévention du risque d'inondation. Plus d'une centaine de personnes ont porté plainte avec constitution de partie civile à la suite du drame, afin de comprendre ce qui s'est réellement passé.

    Article détaillé : Conséquences de la tempête Xynthia en France.

    Le procès « Xynthia » se déroule aux Sables-d'Olonne à partir du et est considéré par l'État comme un procès hors-norme[25]. Le Procureur de la République, durant son réquisitoire, a pointé du doigt la « frénésie immobilière » qui s'est emparée de la commune.

    Le , le jugement est rendu par le Tribunal correctionnel des Sables-d'Olonne. L'ancien maire et actuel conseiller municipal René Marratier a été condamné à quatre ans de prison ferme et 30 000 € d'amende, tandis que son ancienne adjointe, Françoise Babin, est condamnée à deux années de prison ferme et 75 000  d'amende. C'est la première fois que des élus jugés pour faute non intentionnelle sont condamnés à de la prison ferme[26].

    Le tribunal, suivant l'avis de l'avocate des victimes Corinne Lepage, considère qu'ils sont en partie responsables de la catastrophe qui s'est déroulée dans leur commune, estimant qu'ils « connaissaient parfaitement les risques d'inondation dans la station balnéaire mais les avaient intentionnellement occultés pour ne pas entraver la manne que représentait l'urbanisation. »[26]

    René Marratier, lui, s'insurge contre la décision, prétendant être le « lampiste bouc émissaire de la situation » et l'un de ses avocats, maître Didier Seban, dénonce une « décision déraisonnable » dans un « procès de sorcellerie »[27]. Ces derniers comptent cependant faire appel de la décision.

    Début 2015, cinq ans après, la ville apparaît durement touchée par les conséquences de la tempête : elle ne compte que 730 habitants au lieu de 1 000 auparavant, a vu 600 habitations rasées (soit 20 % du territoire de la commune), les commerçants ont perdu 25 % de leur chiffre d'affaires et l'école risque de fermer. Le plan d'urbanisme établi après la tempête, qui interdisait toute construction sur 80 % du territoire communal, a été annulé par le tribunal administratif en janvier grâce à la mobilisation d'habitants regroupés dans l'Association pour la défense des propriétaires fautais (ADPF). La construction d'habitations sur pilotis est envisagée[28].


    Mémorial


    Un mémorial pour des personnes décédées durant leur sommeil lors de la tempête Xynthia en 2010 a d'abord vu le jour peu de temps après la tempête, près du pont traversant le Lay, lieu de départ de l'inondation, aussi nommé "La cuvette de la mort"[29]. Ce mémorial a été déplacé en 2014

    il y a une stèle où figure le nom et l'âge des 29 victimes de la tempête. Il y a également une sculpture de 114 000 euros, d'un collectif d'Artistes, représentant une vague verticale en référence à la forte vague qui a dépassé la digue et enseveli la ville. De plus, un jalon avec une indication à une hauteur de 2,80 mètres est aussi présent pour indiquer la hauteur maximale que l'eau a atteint dans les maisons les plus exposées ce jour-là[30].


    Politique et administration



    Liste des maires


    Liste des maires délégués successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2022 En cours Laurent Huger   Dirigeant d'entreprise
    Les données manquantes sont à compléter.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1954 1959 Jules Dudit    
    1959 1965 Jules Violet    
    1965 1971 Pierre Veie    
    1971 1977 Maurice Roiland    
    1977 1977 Louis Daviet    
    1977 1983 Marcelle Bernier DVG  
    1983 1989 Joseph Girard PS Médecin
    1989 2014 René Marratier[31]   Transporteur retraité
    2014 2020 Patrick Jouin[32] DVG Administrateur territorial consultant
    2020 2021 Laurent Huger   Dirigeant d'entreprise
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie


    Statistiques du hameau de La Faute dépendant de la commune de La Tranche
    1841 1851 1861 1872 1881 1891 1901 1911
    63 55 74 100 135 128 167 168

    Sources : Archives départementales de la Vendée


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1954. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

    En 2018, la commune comptait 664 habitants[Note 3], en diminution de 7,39 % par rapport à 2012 (Vendée : +4,57 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011
    3905365876986938859051 008740
    2016 2018 - - - - - - -
    658664-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments



    Patrimoine environnemental



    Personnalités liées à la commune



    Héraldique


    Article détaillé : Armorial des communes de la Vendée.
    Blasonnement :
    Parti d'or et d'azur au soleil non-figuré de gueules chargé d'un bateau d'or à deux voiles cousues d'azur, brochant sur la partition.

    Notes et références



    Notes


    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références


    1. Préfecture de la Vendée, « ARRÊTÉ no 21 - DRCTAJ/2 - 669 portant création de la commune nouvelle « L'Aiguillon-la-Presqu'île » » [PDF], (consulté le ), p. 66-69
    2. « Commune 4044 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
    3. « La Faute-sur-Mer », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Unité urbaine 2020 de L'Aiguillon-sur-Mer », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    13. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    16. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    17. Jean-Loïc Le Quellec, Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée, La Crèche, Geste Éditions, coll. « Geste Poche » (no 14), , 3e éd. (1re éd. 1995), 443 p. (ISBN 2-84561-263-X), p. 137.
    18. Journal L'Ouest-Éclair no 9648 du 25 mars 1928, [lire en ligne].
    19. Historique de la commune
    20. Préfecture de la Vendée. Notice de présentation du projet de Plan de prévention du risque d'inondation, 2011.
    21. « Fernand Verger, « À propos des inondations récentes de la région de l’Aiguillon-sur-Mer, en Vendée », EchoGéo, Sur le vif 2010, mis en ligne le 07 mai 2010. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
    22. Étienne CHAUVEAU, Céline CHADENAS et al., « Xynthia : leçons d’une catastrophe », Cybergeo : European Journal of Geography, Environnement, Nature, Paysage, article 538
    23. Ouest-France du mercredi 3 mars 2010
    24. L'enregistrement de zone interdite en ligne
    25. Christophe Turgis, « Les Sables-d'Olonne : le procès "Xynthia" aura lieu aux Atlantes », sur france3.fr, France 3 Pays de la Loire, (consulté le ).
    26. « Procès Xynthia : quatre et deux ans de prison pour l'ancien maire et son adjointe », sur Le Parisien, (consulté le ).
    27. « Procès Xynthia : "Je suis le bouc émissaire", estime l'ex-maire de La Faute-sur-Mer », sur France TV Info, (consulté le ).
    28. Angélique Négroni, « Cinq ans après Cynthia, la Faute se meurt », Le Figaro, samedi 28 / dimanche 1er mars 2015, page 9.
    29. « Un mémorial aux victimes de la tempête Xynthia », sur LExpress.fr, (consulté le ).
    30. « Tempête Xynthia : un mémorial en mémoire des victimes », sur CharenteLibre.fr (consulté le ).
    31. « Xynthia : quel maire était René Marratier ? », Ouest-France, .
    32. « Patrick Jouin est le nouveau maire de la commune », Ouest-France, .
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.

    Voir aussi



    Articles connexes



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    [de] La Faute-sur-Mer

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    [en] La Faute-sur-Mer

    La Faute-sur-Mer (French pronunciation: ​[la fot syʁ mɛʁ], literally La Faute on Sea) is a former commune in the Vendée department in the Pays de la Loire region in western France. It was merged with L'Aiguillon-sur-Mer to form L'Aiguillon-la-Presqu'île on 1 January 2022.[2]
    - [fr] La Faute-sur-Mer



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