Issor (en béarnaisIssòr ou Isso) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Issor
La mairie d’Issor.
Administration
Pays
France
Région
Nouvelle-Aquitaine
Département
Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement
Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité
Communauté de communes du Haut Béarn
Maire Mandat
Cédric Pucheu 2020-2026
Code postal
64570
Code commune
64276
Démographie
Gentilé
Issoriens
Population municipale
236 hab. (2019 )
Densité
10 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 06′ 08″ nord, 0° 39′ 38″ ouest
Altitude
Min. 280 m Max. 1 206 m
Superficie
23,00 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Oloron-Sainte-Marie (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton d'Oloron-Sainte-Marie-1
Législatives
Quatrième circonscription
Localisation
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Issor
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Géolocalisation sur la carte: Nouvelle-Aquitaine
Issor
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Géographie
Localisation
La commune d'Issor se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 47 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 14 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4]:
Arette (4,5 km), Asasp-Arros (4,5 km), Lurbe-Saint-Christau (4,6 km), Escot (5,3 km), Ance (5,5 km), Aramits (5,7 km), Lourdios-Ichère (5,8 km), Escot (6,5 km).
Sur le plan historique et culturel, Issor fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
La commune est drainée par le gave de Lourdios, le Laboo, l’Arrec Bigurne, l’Arrec de Laünde, l’Arrec de Serre Bendouse, le ruisseau de Labatnère, le ruisseau des arrayous, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 26 km de longueur totale[7],[Carte 1].
Le gave de Lourdios, d'une longueur totale de 20,8 km, prend sa source dans la commune d'Osse-en-Aspe et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Aspe à Asasp-Arros, après avoir traversé 5 communes[8].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]
Moyenne annuelle de température: 12,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,6 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 5,5 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,3 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 9,8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Oloron-Ste-Mari», sur la commune d'Oloron-Sainte-Marie, mise en service en 1964[14] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[15],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,5°C et la hauteur de précipitations de 1 341,2 mm pour la période 1981-2010[16].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Pau-Uzein», sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 38 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[18], à 13,4°C pour 1981-2010[19], puis à 13,8°C pour 1991-2020[20].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux», constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6].
Trois sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la «directive Habitats»[22],[Carte 2]:
le «massif du Layens», d'une superficie de 5 597ha, un massif de montagne moyenne exploitée par le pastoralisme, qui recèle d’une grande richesse écologique[23];
les «montagnes du Barétous», d'une superficie de 14 421ha, présentant une flore très diversifiée marquée par une nette influence atlantique et montagnarde. Elles se démarquent des autres massifs de la Haute Soule et du Barétous` notamment par sa flore caractéristique des tourbières comprenant de nombreuses espèces patrimoniales dont 16 espèces de sphaignes et 4 lycopodiacées[24];
«le gave d'Aspe et le Lourdios (cours d'eau)», d'une superficie de 1 595ha, un vaste réseau de torrents d'altitude et de cours d'eau de coteaux à très bonne qualité des eaux[25] et une au titre de la «directive Oiseaux»[22],[Carte 3]:
l'«Eth Thuron des Aureys», d'une superficie de 2 182ha, un massif montagneux situé en position avancée sur le piémont des Pyrénées, très favorable aux grands rapaces[26].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 7] sont recensées sur la commune[27],[Carte 4]:
le «massif calcaire du pic du Trone du roi» (1 258,31ha), couvrant 4 communes du département[28] et
le «réseau hydrographique du gave d'Aspe et ses rives» (1 207,81ha), couvrant 23 communes du département[29]
et deux ZNIEFF de type 2[Note 8],[27],[Carte 5]:
le «réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents» (6 885,32ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[30];
la «vallée d'Aspe» (54 924,87ha), couvrant 22 communes du département[31].
Urbanisme
Typologie
Issor est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[32],[33],[34].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[35],[36].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (65%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (37,5%), prairies (26,4%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,2%), zones agricoles hétérogènes (8,6%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,3%)[37].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].
Lieux-dits et hameaux
Auverny;
Bigurne;
Bisarce;
Bugala;
Netchury;
le Village;
Beziat.
Sarlatte
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Issor est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque particulier: le risque de radon[38]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[39].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le gave de Lourdios. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2009 et 2021[40],[38].
Issor est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[41]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[42],[43].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[44]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[45].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Issor.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[46]. 70,2% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 7]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 11],[47].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Issor est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[48].
Toponymie
Le toponyme Issor apparaît[49] sous les formes Isoo (XIIIesiècle, for de Barétous[50]),
Içor (1270, titres de la vallée d'Ossau),
Issoo en Baratos (1385, censier de Béarn[51]),
Ysoo (XIVesiècle, censier de Béarn[51]),
Yssoo (1444, registres de la Cour Majour[52]),
Yssor et Ysso (1538, réformation de Béarn[53]),
Sent Joan d'Isso (1655, insinuations du diocèse d'Oloron[54]).
Le toponyme est d'origine basque, de izuri versant, déclivité[55].
Issor fait partie de six structures intercommunales[59]:
la Communauté de communes du Haut Béarn;
le SIVU chargé du tourisme en Haute-Soule et Barétous;
le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques;
le syndicat de regroupement pédagogique d'Issor et de Lourdios-Ichère;
le syndicat mixte des gaves d’Oloron - Aspe - Ossau er de leurs affluents;
le syndicat mixte du Haut-Béarn.
Issor accueille le siège du syndicat de regroupement pédagogique d'Issor et de Lourdios-Ichère.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[60]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[61].
En 2019, la commune comptait 236 habitants[Note 12], en diminution de 4,07% par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques: +2,8%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
792
746
822
886
935
941
901
940
898
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
856
828
776
755
760
751
720
718
675
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
624
623
580
497
475
450
418
404
372
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
334
290
241
247
240
262
253
251
246
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
233
236
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[62] puis Insee à partir de 2006[63].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
L'économie de la commune est essentiellement orientée vers l'agriculture et l'élevage. Elle fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Fronton.
Le Laboo sur le territoire de la commune.
L'église Saint-Jean-l'Évangéliste.
Patrimoine religieux
Église paroissiale Saint-Jean-l'Évangéliste, reconstruite en 1687. Le clocher a été édifié en 1924[64].
Six chandeliers en bois doré, inscrits monument historique en 1963, ont disparu.
Patrimoine historique: les restes d'une demeure seigneuriale sont encore visibles sur la propriété Labrucherie au lieu-dit le Château (base d'une tour et pan dégradé de mur de défense. Au sud-est, sur une bute terminale d'une prairie jouxtant le Château des fondations circulaires semblent révéler une ancienne tour de guet ou de défense, en surplomb de la route départementale 618, près de l'entrée du village. Constatations de visu.
Quelques vitraux de l'église Saint-Jean-l'Évangéliste
Vitrail de saint Michel Garicoïts.
Vitrail de saint Léon évêque et patron de Bayonne.
Vitrail de saint Grat évêque et patron d'Oloron.
Événements sportifs
La commune se situe sur le trajet de la 16eétape du Tour de France 2007 qui a eu lieu le . Le parcours de 218 kilomètres relia Orthez à Gourette - col d'Aubisque.
Équipements
La commune dispose d'une école primaire
Un ensemble récent à vocation socio-culturelle ou sportive, bâti près du gave du Lourdios est destiné à recevoir des groupes en hébergement complet et, disposant d'une grande salle très éclairée, il permet l'organisation d'activités, de cérémonies ou de fêtes.
Personnalités liées à la commune
Juan Martín de Pueyrredón (1776-1850), militaire et homme politique argentin, dont le père était né à Issor.
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208p. (BNF31182570, lire en ligne)..
Titres de la vallée de Barétous - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Manuscrit de 1385 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Registres manuscrits du XVesiècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Collection manuscrite du XVIe au XVIIIesiècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Manuscrits du XVIIesiècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Michel Grosclaude (préf.Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416p. (ISBN9782350680057, BNF35515059), p.53..
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