Hermes est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
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Hermes | |
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![]() Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Hauts-de-France |
Département | Oise |
Arrondissement | Beauvais |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Beauvaisis |
Maire Mandat |
Grégory Palandre 2020-2026 |
Code postal | 60370 |
Code commune | 60313 |
Démographie | |
Population municipale |
2 509 hab. (2019 ![]() |
Densité | 214 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 21′ 30″ nord, 2° 14′ 48″ est |
Altitude | Min. 43 m Max. 139 m |
Superficie | 11,72 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Hermes (ville-centre) |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Mouy |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
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L'abbaye cistercienne de Froidmont, dépendant du diocèse de Beauvais, se trouvait sur le territoire de cette commune.
Dominée par le Mont de Hermes (139 m), la zone habitée est limitée naturellement par la forêt de Hez-Froidmont au nord, et une zone marécageuse au sud. La majorité de la zone habitée se trouve dans le creux de la vallée du Thérain.
Accolée à Berthecourt avec laquelle elle partage une gare, Hermes est séparée topologiquement de ses autres voisines. La départementale 12 la relie à Bailleul-sur-Thérain et Saint-Felix. Bresles et La Neuville-en-Hez sont séparées de Hermes par l'avancée de la forêt de Hez-Froidmont, tandis que Heilles et Mouchy-le-Châtel se trouvent de l'autre côté d'une zone marécageuse.
Bailleul-sur-Thérain | Bresles | La Neuville-en-Hez |
Villers-Saint-Sépulcre | ![]() |
Saint-Félix |
Berthecourt | Mouchy-le-Châtel | Heilles |
Hermes est un regroupement d'anciens hameaux fédérés en une seule unité administrative, à savoir : Blainville, Carville, Friancourt, Hermes, Granville, Méhécourt, Marguerie. Ces hameaux sont soit connexes le long du Thérain, soit des écarts situés au milieu d'une portion cultivée de la commune.
Le Thérain traverse la commune.
La commune est traversée par la départementale 12 reliant Beauvais à Creil dans la partie nord de l'agglomération. La départementale 125 traverse toute la longueur de Hermes pour franchir le Thérain en centre-bourg, en direction de Noailles et la nationale 1.
La commune est desservie par la gare d'Hermes-Berthecourt. La ligne de Creil à Beauvais a été construite de 1855 à 1857 pour le compte de la Compagnie des chemins de fer du Nord. Elle comportait deux voies jusqu'en 1947. Aujourd'hui, les croisements de TER se font en gares de Hermes et de Mouy - Bury. Cette ligne a été empruntée par la célèbre Micheline, un autorail sur pneus, de 1936 à l'entrée en guerre.
Hermes est située en Picardie, et bénéficie d'un climat océanique.
On constate une relativement faible amplitude thermique entre l'hiver et l'été, la température moyenne restant comprise entre O°C et 23 °C. On a toutefois constaté des records historiques de −19,6 °C le 29 janvier 1954 et de 36,6 °C le 4 août 1990.
Les précipitations mensuelles enregistrées sont relativement uniformes tout au long de l'année et oscillent autour de 56mm en moyenne.
Mois | Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sept. | Oct. | Nov. | Déc. | Année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Températures maximales moyennes (°C) | 5,4 | 6,8 | 9,9 | 13,3 | 17,2 | 20,4 | 22,7 | 22,7 | 20,8 | 15,2 | 9,3 | 6,2 | 14,1 |
Températures minimales moyennes (°C) | 0,3 | 0,6 | 2,1 | 4,1 | 7,3 | 10,2 | 11,1 | 11,8 | 9,8 | 7 | 3,1 | 1,1 | 5,8 |
Températures moyennes (°C) | 2,9 | 3,7 | 6 | 8,7 | 12,3 | 15,3 | 17,4 | 17,3 | 14,8 | 11,1 | 6,2 | 3,7 | 9,9 |
Insolation(h) | 54 | 81,2 | 122,1 | 164,9 | 195,7 | 209,2 | 221,1 | 208,4 | 160,5 | 114,9 | 70,7 | 47,2 | 1649,9 |
Moyennes mensuelles de précipitations (mm) | 57 | 46.4 | 54.2 | 46,6 | 58,5 | 57 | 50,1 | 51,4 | 51,5 | 60,5 | 63 | 60,4 | 656,8 |
Source : Climatologie mensuelle - Beauvais-Tillé, France. |
Hermes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Hermes, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[6] et 5 133 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (50,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,6 %), terres arables (29,3 %), zones urbanisées (7,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,4 %), zones agricoles hétérogènes (6 %), prairies (4,3 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Le nom d'origine Mons Hermarum (ou mont d'Hermès) viendrait du culte de ce dieu, rencontré en Belgique et dans le Nord de la France (Belgica romaine)[13].
Hermes est un lieu habité depuis des millénaires. Avec la commune de Bailleul-sur-Thérain, elle constitue l'un des deux pôles prouvés d'habitation néolithique dans la vallée moyenne du Thérain. Un dolmen-ossuaire contenant quelque 400 restes y a été trouvé en 1837[réf. nécessaire].
Implantée en plein pays bellovaque, la bourgade est le seul gué à la ronde sur le Thérain, dont le cours était plus important qu'aujourd'hui. Le village était à l'extrémité d'une route gauloise le reliant à Clermont, et une étape sur la route reliant Beauvais à Senlis. Elle a vu se dérouler en 51 av. J.-C. un des épisodes guerriers de la campagne de César contre les Belges sur une proéminence toute proche, aujourd'hui encore appelée Mont-César (située sur le territoire de Froidmont). Elle fera l'objet par la suite d'une occupation gallo-romaine. Ce vicus romain est désigné sous le nom de Ratumagus[14], d'après le nom retrouvé sur une statue équestre exhumée lors des fouilles de l'abbé Hamard (dès 1877).
Les mêmes fouilles effectuées par l'abbé Hamard sur le Mont de Hermes mettent au jour une nécropole mérovingienne qui livrera plusieurs milliers d'objets[réf. nécessaire].
Le territoire de la future Hermes est contrôlé par les moines cisterciens de l'abbaye de Froidmont, abbaye-fille de l'abbaye Notre-Dame d'Ourscamp fondée en 1134. On trouve trace en 1143 d'un Mons Hermarum qui devient en 1170 Harmae. Il semble faire l'objet d'une lutte d'influence entre les pouvoirs seigneurial et religieux.
Sous protection des comtes de Clermont, Harmae voit se construire en 1187 une forteresse sur ordre de Catherine de Clermont, future épouse de Louis, comte de Blois. L'évêque de Beauvais Philippe de Dreux fera détruire cette forteresse peu après. Une nouvelle fois relevée, elle perdurera jusqu'au XVe siècle. Elle est connue comme un repaire de brigands lors de la guerre de Cent Ans et la grande Jacquerie, et sera définitivement détruite en 1431[réf. nécessaire].
La date d'apparition de la dénomination moderne Hermes est inconnue, mais est déjà constatée sur la carte de Cassini, dont les relevés ont été terminés en 1789. La Révolution française marque la fin de la domination abbatiale, et crée la commune.
Un chemin de fer secondaire à voie métrique appelé « Chemin de fer de Hermes à Beaumont ou « HB » acheminait de 1880 à 1949 marchandises (essentiellement des briques fabriquées à Noailles et des betteraves) et voyageurs sur les 32 km de ligne séparant Hermes de Beaumont. L'écartement spécifique des rails de cette ligne obligeait à un transbordement en gare de Hermes pour acheminer les marchandises.
Durant la seconde Guerre mondiale, la gare de Hermes-Berthecourt a subi de nombreux bombardements alliés, l'armée allemande utilisant la voie ferrée pour transporter les V1 entreposés dans les carrières de Saint-Maximin[15].
Fin 2016, les maires de Berthecourt et d'Hermes envisagent la fusion de leurs communes sous le régime de la commune nouvelle, soulignant les liens anciens liant leurs habitants et la nécessité de concevoir de manière coordonnée l'aménagement du quartier de la gare[16].
La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Noailles[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Mouy
La commune faisait partie de la communauté de communes Rurales du Beauvaisis (CCRB), créée le .
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[18], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté d’agglomération du Beauvaisis et de la communauté de communes rurales du Beauvaisis, de manière à créer un nouvel EPCI rassemblant 44 communes pour 93 341 habitants[19]. Malgré les réticences du président de la CCRB[20], le schéma est entériné[21],[22].
La fusion prend effet le , et la commune est désormais membre de la communauté d’agglomération du Beauvaisis (CAB).
L'élection municipale de 2014 a été annulée par le tribunal administratif d'Amiens puis le Conseil d’État en raison du très faible écart de voix (5 bulletins) obtenues par les listes et d'une propagande irrégulière de M. Pagny[23], mais l'équipe municipale élue est restée en fonction jusqu'à la notification de la décision du Conseil d’État, date à laquelle une délégation spéciale a été mise en place par le préfet. Le premier tour des élections municipales partielles a vu la victoire de l'équipe de Grégory Palandre sur celle de Laurent Pagny[24], et le conseil municipal a élu le nouveau maire le 4 juillet 2015[25].
De 1789 à 1799, les maires étaient élus pour un mandat de deux ans et rééligibles, ce qui explique le nombre de mandats de M. Isore. Par la suite, les préfets nommèrent les maires jusqu'en 1871, d'où les mandats de longueur irrégulière constatés sur cette période. Le mandat moderne (six ans, renouvelable) remonte à cette date.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1792 | 1801 | Primitif Isore | ||
1801 | 1804 | Adrien Aux-Cousteaux | ||
1804 | 1815 | Primitif Rebours | ||
1815 | 1821 | Georges Rebours | ||
1821 | 1831 | Pierre-François Bizet | ||
1831 | 1832 | M. Horoy | ||
1832 | 1837 | Jean-François Bourdon | ||
1837 | 1841 | Joseph Primitif Rebours | ||
1841 | 1851 | Jacques Caron | ||
1851 | 1855 | Pierre Casimir Sarrazin | ||
1855 | 1877 | Jean-Louis Dumont | ||
1870 | 1876 | Théodore Gaïtas dit Morin | ||
1876 | 1884 | Alexandre Théophile Larive | ||
1884 | 1887 | Désiré Favrelle | ||
1887 | 1896 | Victor Vuarin | ||
1892 | 1912 | Eugène Saint-Omer | ||
1912 | 1917 | Louis Larive | ||
1917 | 1919 | Hugue Larive | ||
1919 | 1941 | Aristide Caron | ||
1942 | 1944 | Marcel Joary |
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1944 | 1945 | Georges Levasseur | ||
1945 | 1947 | Fernand Ruelle | ||
1947 | 1953 | Léon Derebergue | ||
1953 | 1960 | Amand Brault | PCF | Ouvrier tourneur sur bois, journaliste Membre de l'Assemblée constituante de 1946 Député de l'Oise (1946 → 1955) Décédé en fonction |
1960 | 1964 | Marius Bressieux | ||
1964 | 1965 | Lucien Ansotte | ||
1965 | 1977 | Guillaume Vandenplas | ||
1977 | 2008 | Roland Caron | PCF puis MDC puis SE |
Technico-commercial |
22 mars 2008[26] | 18 mai 2015 | Laurent Pagny | PRG | Mécanicien Élection de 2014 annulée par le Conseil d'État[23],[27] |
4 juillet 2015[24],[25],[28] | En cours (au 9 février 2017) |
Gregory Palandre | SE | Cadre commercial
Conseiller délégué au tourisme à la communauté d’agglomération du Beauvaisis. Vice président du SIVT |
La commune s'est doté en 2014 d'un conseil municipal des jeunes[29].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].
En 2019, la commune comptait 2 509 habitants[Note 4], en augmentation de 0,36 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
570 | 663 | 650 | 750 | 750 | 759 | 768 | 754 | 754 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
760 | 854 | 942 | 1 091 | 1 202 | 1 274 | 1 347 | 1 351 | 1 306 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 390 | 1 491 | 1 577 | 1 561 | 1 557 | 1 474 | 1 406 | 1 312 | 1 295 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2006 | 2009 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 635 | 1 588 | 1 802 | 1 828 | 1 964 | 2 331 | 2 390 | 2 391 | 2 539 |
2014 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 463 | 2 509 | - | - | - | - | - | - | - |
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,7 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 233 hommes pour 1 271 femmes, soit un taux de 50,76 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,2 | 90 ou + | 0,5 |
4,5 | 75-89 ans | 6,4 |
14,8 | 60-74 ans | 14,9 |
21,1 | 45-59 ans | 20,7 |
19,7 | 30-44 ans | 20,0 |
17,7 | 15-29 ans | 17,0 |
22,0 | 0-14 ans | 20,5 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,5 | 90 ou + | 1,3 |
5,3 | 75-89 ans | 7,5 |
15,1 | 60-74 ans | 15,8 |
20,9 | 45-59 ans | 20,1 |
19,5 | 30-44 ans | 19,4 |
17,9 | 15-29 ans | 16,5 |
20,8 | 0-14 ans | 19,4 |
Afin de réduire les coûts des soins, la municipalité a organisé en 2016 une mutuelle communale, permettant ainsi la souscription à un tarif de groupe une complémentaire santé[35]
Hermes compte deux monuments historiques sur son territoire :
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Blason | Tiercé en pairle renversé : au 1er de gueules à six rais d'or posés en étoile, au 2e d'azur à une fleur de lys épanouie d'or, au 3e d'or à un oiseau contourné, regardant, essorant, au naturel, becqué et membré de gueules[40].
|
---|---|---|
Détails | Reprend, dans l'ordre, les sceaux suivants : de Pierre Prevost de Hermes, datant d' ; de Pierre Le Prevost, datant de et de Pierre Decani de Hermes, datant d'. Adopté en 1982. |