Hadancourt-le-Haut-Clocher est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Hadancourt-le-Haut-Clocher | |
La mairie. | |
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Hauts-de-France |
Département | Oise |
Arrondissement | Beauvais |
Intercommunalité | Communauté de communes du Vexin-Thelle |
Maire Mandat |
Michel Letailleur 2020-2026 |
Code postal | 60240 |
Code commune | 60293 |
Démographie | |
Population municipale |
373 hab. (2019 ![]() |
Densité | 43 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 11′ 07″ nord, 1° 51′ 26″ est |
Altitude | Min. 109 m Max. 207 m |
Superficie | 8,67 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Chaumont-en-Vexin |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
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Hadancourt-le-Haut-Clocher est une commune rurale située à l'extrémité sud-ouest du département de l'Oise. Elle se compose du village et de trois hameaux : Damval, Lèvemont, le Mesnil-Lance Levée. D'un relief varié, son point culminant est le bois de la Molière. Depuis le point de vue de Saint-Cyr, à Lèvemont, on peut admirer un panorama très étendu sur le Nord-Ouest de la région parisienne, et y apercevoir par temps clair la tour Eiffel, à 50 km à vol d'oiseau.
La commune de Hadancourt-le-Haut-Clocher est limitrophe du département du Val-d'Oise. Elle est desservie par les axes de circulation constitués par :
Par les autoroutes A15, ou bien A13 / A14, Hadancourt-le-Haut-Clocher est à seulement une heure du centre de Paris.
Ville | Commentaire | Département | Code | Distance |
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Magny-en-Vexin | Marché, commerces | Val-d'Oise | 95 | 4 km |
Chars | Gare SNCF, commerces | Val-d'Oise | 95 | 7 km |
Chaumont-en-Vexin | Chef-lieu, commerces, gare SNCF | Oise | 60 | 9 km |
Gisors | Marché, commerces, gare SNCF | Eure | 27 | 12 km |
Cergy-Pontoise | Grande agglomération | Val-d'Oise | 95 | 27 km |
Beauvais | Préfecture, aéroport | Oise | 60 | 48 km |
Paris | Capitale | Paris | 75 | 65 km |
Aéroport Paris-Charles-de-Gaulle | Aéroport international | Val d'Oise | 95 | 75 km |
Serans | Boubiers | |
Serans | ![]() |
Lierville |
Serans | Nucourt Val-d'Oise |
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Buhy », sur la commune de Buhy, mise en service en 1986[7] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 727,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 36 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].
Hadancourt-le-Haut-Clocher est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,8 %), forêts (17,7 %), zones agricoles hétérogènes (9,5 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Un village cité comme Haduncuriam en 974[21], certes proche, mais ne correspond pas car trop éloigné de la région de Mantes, Arnouville, Auffreville, Issou, cités dans le même texte latin. La première mention attestée est Hadencuria en 1160, Hadencurt en 1188, Hadencort en 1237, Haden curia en 1266, et ne porte le nom de Hadancourt-le-Haut-Clocher qu'en 1770. Ce nom est confirmé en 1840, et il est porté sur les cartes de l'Institut géographique national depuis 1942. Cort, curt qui signifie ferme, domaine, est allié ici à ce qui pourrait être un nom de personne : Haddo ou Hattinus, formé sur l'élément d'origine germanique Had- : lutte, guerre.
Le Mesnil-Lance Levée doit son nom à un seigneur du XIe siècle : Gauthier Lance Levée. On attribue à Damval la signification de « val de la Dame ». Le hameau de Lèvemont a vu son accent voyager au cours des siècles. Il doit son nom à sa situation naturelle en hauteur, sur le rebord d'un relief important d'où l'on domine tout le voisinage, appelé la Molière de Serans.
Une voie romaine traversait le territoire communal du nord-est au sud-ouest : sans doute la voie de Beauvais (60, Oise), Caesaromagus, vers Chartres (28, Eure-et-Loir), Autricum, par Saint-Clair-sur-Epte (95, Val-d'Oise), Petromantalum. Des vestiges gallo-romains ont été trouvés dans différents lieux de la commune : en bordure du CD 153 (route de Beauvais à Mantes-la-Jolie 78, Yvelines), au lieu-dit « chemin de Lierville » cinq sites gallo-romains présentant des céramiques ; près des « Grands Bois », et au sud du village près du vieux chemin vers Nucourt (95, Val-d'Oise), des tegulae et imbrices (tuiles plates ou rondes) ; au sud-ouest, sans doute les restes de trois bâtiments. Mais c'est à la limite des communes de Hadancourt et de Serans (60, Oise) qu'a été mis au jour un site gallo-romain remarquable, comportant au moins dix bâtiments, dont l'importance est attestée par la découverte de tubuli et d'un hypocauste (chauffage central gallo-romain), ainsi que de nombreux morceaux de céramique, dont certains signés. Les sources de Lèvemont ont été captées pour alimenter l'ensemble du site[22].
Parmi les seigneurs ayant eu en possession les terres de Hadancourt, les Gaudechard (ou Godechar) de Bachivillers (60, Oise), sont seigneurs vers 1470. Dans la première moitié du XVIe siècle, Mesnil-Lance-Levée et Damval (à Hadancourt) ont pour seigneur Ferry de Boulainvilliers[23] (fils de Marie de Croÿ-Rœulx, sœur d'Adrien de Croÿ, et d'Adrien Ier de Boulainvilliers-La Coudraye vicomte de Dreux, ce dernier étant le frère cadet de Philippe III de Boulainvilliers-Dammartin : deux arrière-petit-fils de Perceval, cf. aussi l'article Henri ; époux vers 1530 d'Isabelle de Mornay de Buhy[24], cf. l'article Ambleville : c'est peut-être par ce mariage que Damval et Mesnil sont venus aux Boulainvilliers, les Mornay étant apparentés aux Gaudechart de Bachivillers ; cette branche des Boulainvilliers a dû continuer jusque dans la première moitié du XVIIe siècle, avec Philippe de Boulainvilliers, seigneur de Dampval, marié à Denise de Fossés en 1592, et Léonor/Léonard de Boulainvilliers-Dampval, chevalier de Malte).
Par la suite, Hadancourt, Lèvemont et Damval ont appartenu au XVIIIe siècle à la famille Pasquier de Franclieu[25],[26] (Alexis, père d'Henriette/Elisabeth-Charlotte Pasquier qui épouse en 1724 Pierre-Anne de Courten, † 1744 à Kembs, fils de Melchior-François et frère du maréchal de camp et lieutenant-général Maurice de Courten), à la famille de Courten, originaire du Valais, puis, toujours par alliance, à la famille Le Bouteiller de Cléry de Serans (leur fille Elisabeth-Claire de Courten épouse en 1746 son cousin germain Charles-Alexis de Cléry de Sérans, fils de Françoise/Catherine-Geneviève de Courten et de Charles-François de Cléry ; Elisabeth-Claire avait deux sœurs : Elisabeth-Geneviève de Courten, † novembre 1745, 2e femme en février 1745 de Pierre Grimod du Fort d’Orsay, et Anne-Charlotte-Maurice de Courten (1725-1750), épouse en 1747 du marquis Jean-Baptiste-François de Villemeur de la Martinière (1697-1763), d'où Jeanne-Marie-Pulchérie de Villemeur, femme en 1765 de Charles-Claude Brulart de Genlis). Le fils de Charles-Alexis et d'Elisabeth-Claire, Charles-François de Cléry, naquit à Damval le , et deviendra à 52 ans, en 1800, maire de Serans. Le manoir seigneurial de Hadancourt avait cessé d'exister bien longtemps avant la Révolution[22].
Damval correspond à une ancienne seigneurie (évoquée ci-dessus), dont le manoir a été détruit vers 1780. La chapelle qui en dépendait était encore visible vers le milieu du XIXe siècle. Un plan de 1811 en montre encore des bâtiments.
Lèvemont était le siège d'un prieuré (ou cure) sous patronage de l'abbaye de Saint-Germer-de-Fly (60, Oise). Le bâtiment subsiste sous la forme d'une jolie propriété, que l'on voit en arrivant à Lèvemont. Entourée dans le passé de nombreuses maisons, se tenait à Lèvemont une église paroissiale dédiée à saint Cyr et sainte Julitte (et non Juliette), martyrs du IVe siècle. Ornée notamment de chapiteaux romans historiés, grossièrement sculptés, l'historien Frion, en 1859, date son origine du XIe siècle, et Régnier, en 1921, en fait une description très détaillée. Lèvemont compte 22 feux en 1712, 24 en 1789, soit un peu plus de 80 habitants, mais dont 10 ont besoin d'assistance. C'est encore une petite commune indépendante. Les habitants de Lèvemont demandent leur rattachement à Hadancourt par lettre au préfet en 1806, mais ce n'est que par ordonnance royale du que celui-ci est officialisé.
En 1853, l'église de Lèvemont, devenue chapelle, n'est plus entretenue, et la commune décide d'en faire démolir une partie pour réparer l'autre. Un siècle plus tard, vers 1970, la chapelle tombe presque en ruine, et la municipalité n'ayant pas les moyens de la restaurer, trouve un moyen original de la sauvegarder : elle est vendue au baron Bich (inventeur des stylos à bille «BiC»), qui la fait démonter pierre par pierre puis reconstruire à l'identique dans sa propriété du manoir Saint-Germain (XVe siècle), à Verberie (60, Oise). L'existence d'un trésor de Lèvemont est évoquée dans les archives de la généralité de Rouen en 1694, ce qui peut faire rêver.
Actuellement entièrement constituée de bois, la Molière de Serans était par le passé un territoire commun entre Serans (60, Oise), Montjavoult (60, Oise), Montagny-en-Vexin (60, Oise), Lèvemont et Hadancourt. Vers 1784, elle s'étendait sur 1100 arpents, soit environ 500 hectares, le quart en pâturages, le reste de boqueteaux au milieu des bruyères où venaient paître les moutons. On y extrayait aussi la meulière servant à bâtir. À partir de 1820, les communes concernées souhaitant un partage de ce territoire commun, procèdent aux opérations d'arpentage, ce qui ne va pas sans conflits. Ce n'est qu'en 1829, par ordonnance de Charles X, que sera rendu exécutoire le partage du «communal» de la Molière de Serans[22].
La pointe démographique que connaît la commune dans le premier quart du XIXe siècle est suivie par un déclin qui se poursuit jusqu'au milieu du XXe siècle. Les petits métiers et les artisans s'organisent autour de la vie rurale. Les occupations des habitants d'Hadancourt sont : bimbelotier (fondeur de petits objets en étain), tonnelier, chaudronnier, tourneur sur bois, matelassier, scieur de long, tisserand, charron, bergers (et bergères), fabricant de menus cordages, jardinier, mais aussi cabaretiers : Hadancourt comptait deux cafés en 1900.
Au milieu du XIXe siècle, presque toutes les habitations d'Hadancourt sont couvertes de chaume, ce qui a justifié la création d'une compagnie de sapeurs-pompiers volontaires, composée de 15 hommes engagés pour cinq ans. La commune possède à cette époque un presbytère, un lavoir, et 29,5 ha de terres et de friches sur la Molière de Serans. Elle possède également une « maison d'école », qui se trouvait alors 5, impasse des Rosiers, mais le logement pour l'instituteur n'eut une cheminée qu'en 1854. En 1869, la municipalité entreprend la construction d'une nouvelle école avec salle de mairie, qui sera complètement achevée en 1875. La classe de 1875 comptait 55 élèves (34 payants, et 21 gratuits). Lorsqu'en 1934 la jeune institutrice, Mme Édouard (Marie Thérèse Dumery, née en 1913), qui fit toute sa carrière à Hadancourt, prit sa première classe, celle-ci ne comptait plus que 34 élèves. À noter que l'école porte dorénavant son nom.
Le XXe siècle voit l'arrivée de la civilisation moderne : véhicules à moteurs, tracteurs, mais également la disparition des petites fermes du village, absorbées par des exploitations plus grandes. Des maisons se transforment en résidences secondaires à partir des années 1950-1960, tandis que les années 1970 à 1990 voient de nouveaux habitants s'installer, qui résident à la campagne tout en travaillant en ville. Le village et ses hameaux offrent un cadre de vie préservé, tout en aménageant le confort de ses habitants : le syndicat intercommunal des eaux a été créé en 1953, et avec lui les châteaux d'eau de Hadancourt et de Lèvemont, le captage étant fait près de la Croix du Bellay. La voirie de la commune, s'étendant sur plus de 8 km, est élargie dans sa quasi-totalité pour faciliter la circulation automobile[22].
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Blason | D'or à l'église du lieu d'azur ; au chef du même chargé de trois flèches basses d'argent. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
avant 1988 | ? | Roger Radet | ||
mars 2001 | En cours (au 5 septembre 2014) |
Michel Letailleur | retraité Réélu pour le mandat 2014-2020[27] |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].
En 2019, la commune comptait 373 habitants[Note 8], en augmentation de 2,19 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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258 | 245 | 307 | 285 | 327 | 337 | 355 | 354 | 330 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
319 | 308 | 313 | 301 | 305 | 265 | 265 | 275 | 237 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
218 | 231 | 222 | 162 | 174 | 177 | 216 | 154 | 153 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
131 | 132 | 184 | 221 | 304 | 355 | 353 | 367 | 361 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
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373 | - | - | - | - | - | - | - | - |
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,4 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 199 hommes pour 176 femmes, soit un taux de 53,07 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,5 | 90 ou + | 0,6 |
2,7 | 75-89 ans | 4,9 |
14,3 | 60-74 ans | 18,1 |
26,2 | 45-59 ans | 26,7 |
17,6 | 30-44 ans | 22,3 |
17,1 | 15-29 ans | 13,5 |
21,5 | 0-14 ans | 13,9 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,5 | 90 ou + | 1,3 |
5,3 | 75-89 ans | 7,5 |
15,1 | 60-74 ans | 15,8 |
20,9 | 45-59 ans | 20,1 |
19,5 | 30-44 ans | 19,4 |
17,9 | 15-29 ans | 16,5 |
20,8 | 0-14 ans | 19,4 |
Hadancourt-le-Haut-Clocher ne compte qu'un seul monument historique sur son territoire.
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