Gréalou est une commune française située dans l'est du département du Lot, en région Occitanie.
Elle est également dans le causse de Cajarc, le plus petit des quatre causses du Quercy, enserré dans les méandres du Lot et du Célé.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par divers petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional des Causses du Quercy, qui a depuis 2017 le label de géoparc mondial Unesco, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Gréalou est une commune rurale qui compte 287 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 659 habitants en 1831. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Figeac. Ses habitants sont appelés les Gréalonois ou Gréalonoises.
Géographie
Commune située dans le Quercy, sur le causse de Saint-Chels. Gréalou fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy.
Sur la via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.
On vient de Béduer, la prochaine commune est Cajarc et sa chapelle Sainte-Marguerite.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 12,2°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,8 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 9,5 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 10,7 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Villeneuve», sur la commune de Villeneuve, mise en service en 1984[7] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,1°C et la hauteur de précipitations de 941,3 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Gourdon», sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 46 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4°C pour la période 1971-2000[11], à 12,7°C pour 1981-2010[12], puis à 13,1°C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].
La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[16]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[17],[18]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination «géoparc des causses du Quercy», faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[19],[20].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[21]:
les «combe de Bazos, bois de Mars, Camp du Verdier et pech de Fourès» (590ha), couvrant 4 communes du département[22].
Urbanisme
Typologie
Gréalou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[23],[I 1],[24].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Figeac, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (87,8% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (55,3%), forêts (32,5%), zones agricoles hétérogènes (10,4%), zones urbanisées (1,4%), prairies (0,3%)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Gréalou est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].
Gréalou est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif de la Moyenne vallée du Lot. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature
de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[28].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gréalou.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des éboulements, chutes de pierres et de blocs[29]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 48,6% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 188 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 57 sont en en aléa moyen ou fort, soit 30%, à comparer aux 72% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[26].
Toponymie
Le nom Gréalou est dérivé du germaniquegriot, greot ou grés. Ces mots désignent sur le causse un lieu dont le sol pauvre est constitué de peu de terre et de petits cailloux[32].
Il pourrait aussi venir du mot occitan "gréal" désignant des grillons.
Histoire
Le village a connu une histoire mouvementée, ayant été rasé pendant la guerre de Cent Ans par les Anglais[33], et le château pillé en 1791 pendant la Révolution.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].
En 2019, la commune comptait 287 habitants[Note 7], en augmentation de 7,89% par rapport à 2013 (Lot: +0,19%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
528
514
564
599
659
557
535
604
605
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
570
548
532
509
542
531
550
528
480
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
485
474
445
262
238
215
229
209
165
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
190
175
194
215
201
224
239
243
266
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
286
287
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
Gréalou dispose d'une école primaire rassemblant une école maternelle et une école élémentaire[40].
Vie associative
La commune de Gréalou compte de nombreuses associations (APE, association de chasse St Hubert, comité de gestion, football club, comité des fêtes). Chacune de ces associations organisent dans l'année des événements qui connaissent de grands succès, notamment la traditionnelle fête votive organisée par le Comité des fêtes qui se déroule autour du 15 août.
Sports
Le FC Gréalou est un club de football qui évolue en deuxième division du district du Lot.
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 124 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 297 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 880 €[I 4] (20 740 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 162 personnes, parmi lesquelles on compte 75,9% d'actifs (69,1% ayant un emploi et 6,8% de chômeurs) et 24,1% d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Figeac, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 45 emplois en 2018, contre 49 en 2013 et 44 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 113, soit un indicateur de concentration d'emploi de 39,9% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,7%[I 10].
Sur ces 113 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 27 travaillent dans la commune, soit 24% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 86,7% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,2% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,1% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
27 établissements[Note 10] sont implantés à Gréalou au [I 13].
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 40,7 % du nombre total d'établissements de la commune (11 sur les 27 entreprises implantées à Gréalou), contre 14% au niveau départemental[I 14].
La commune est dans les Causses», une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[41]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 4]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (19 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 1 503ha[43],[Carte 5],[Carte 6].
Culture locale et patrimoine
Super-Cayrou est une œuvre d’art-refuge en pierres sèches sur le GR65[44].
La commune est traversée par le GR65 qui emprunte une ancienne voie de Compostelle: la via Podiensis.
Lieux et monuments
L’église romane Notre-Dame-de-l'Assomption, très typique de cette région, sur sa place ombragée de platanes, possède une Vierge de Pitié, et un groupe en pierre polychrome du début du XVIesiècle. Bénitier historié en pierre de 1684. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1959[45]. Plusieurs objets sont référencer dans la base Palissy[45].
Mégalithisme
La commune comporte de nombreux monuments mégalithiques (dolmens et menhirs).
Dolmens de Pech Laglayre:
Article connexe: Dolmens de Pech Laglaire.
Dolmen du Chenil: la table a disparu mais les deux orthostates latérales assez dégradées sont encore en place; la chambre sépulcrale mesure 2 mètres de long sur 0,70 mètre de large.
Dolmen des Vandourgues (appelé aussi Dolmen du Mas-Mondieu): le dolmen a échappé à une destruction totale il y a quelques années.
Dolmen de Trégodinas: le dolmen est quasiment détruit, il n'en reste qu'une dalle; le tumulus mesure 16 mètres de diamètre pour 1,10 mètre de haut[46].
Dolmens et menhir du Verdier: 3 dolmens sont recensés sur le lieu-dit du Verdier. Le dolmen no1 est un dolmen double, les dolmens 2 et 3 sont distants d'environ 1 kilomètre. Le menhir du Verdier est une dalle de calcaire de 2,60 mètres de haut retaillée en forme de monolithe rectangulaire et réutilisé en pilier de soutènement dans une grange (son authenticité est sujette à caution).
Menhir du Cayre: c'est un monolithe de 2,70 mètres de haut du même type que celui du Verdier et dont l'authenticité pose les mêmes questions.
Dolmen de Ganil: il a conservé son tumulus haut de plus de 2 mètres, sa longue table (5,25 mètres) est fracturée mais demeurée en place. Inscrit MH(2011) Notice noPA46000049 44° 32′ 07″ N, 1° 54′ 12″ E
Dolmen de la Combe de l'Ours (appelé aussi Dolmen des Aguals): Le dolmen de la Combe-de-l'Ours, est situé aux confins des communes de Gréalou et de Montbrun. Inscrit MH(2001) Notice noPA46000021 44° 31′ 44″ N, 1° 53′ 40″ E
Gréalou propose à ses habitants un service de prêt de livre au sein d'une bibliothèque municipale[47].
Héraldique
Article connexe: Armorial des communes du Lot.
Blason
De sinople au chêne d'or accompagné en chef de deux coquilles du même et au loup de sable brochant sur le fût de l'arbre; au chef cousu de gueules au dolmen du lieu [de Pech Laglaire] terrassé d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Pour approfondir
Bibliographie
Jean-Pierre Lagasquie, Les Dolmens du Quercy: Trois millénaires d'histoire religieuse, Capdenac-le-Haut, Finangraphic Edition, , 135p. (EAN9782955270196)
Articles connexes
Communes du Lot
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[42].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Gaston Bazalgues, «Les noms des communes du Parc», Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol.1, , p.115 (lire en ligne).
Le repeuplement de Gréalou au XVe siècle par Louis d'Alauzier «Bulletin de la Société des études littéraires, scientifiques et artistiques du Lot» pages 103 à 109
Isabelle Regnier, «Huit œuvres d’art-refuges pour méditer sur le chemin de Compostelle», Le Monde, (lire en ligne)
«Eglise», sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
Bruno Marc fait remarquer que le nom de Trégonidas est inhabituel en occitan et qu'il existe par ailleurs dans le Quercy trois autres dolmens se situant à proximité de lieux-dits portant le même nom.
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