Goven est une commune française située dans le département d’Ille-et-Vilaine en région Bretagne.
Pour le cap du Kamtchatka, voir cap Goven.
Pour l’article homonyme, voir Georges Goven.
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1: carte dynamique; 2. carte OpenStreetMap; 3: carte topographique; 4: avec les communes environnantes
Localisation
La commune est située à environ 17 km au sud-ouest de Rennes.
Les communes limitrophes voisines sont: Guichen (le chef-lieu du canton), Lassy, Baulon, Bréal-sous-Montfort, Mordelles, Chavagne, Bruz. Traditionnellement, la commune fait partie du Pays pourpre.
Goven n’est pas limitrophe de Saint-Thurial mais les deux frontières sont distantes d’une cinquantaine de mètres seulement.
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Hydrographie
Goven se trouve intégralement dans le bassin versant de la Vilaine.
Elle est traversée par trois cours d’eau: la Vilaine (à l’est), le Meu (au nord) et le Canut (à l’ouest).
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]
Moyenne annuelle de température: 11,3°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 3,2 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,3 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Rennes-Saint-Jacques», sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 11,7°C pour la période 1971-2000[9], à 12,1°C pour 1981-2010[10], puis à 12,4°C pour 1991-2020[11].
Urbanisme
Typologie
Goven est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[12],[13],[14].
Elle appartient à l'unité urbaine de Goven, une unité urbaine monocommunale[15] de 4 363 habitants en 2017, constituant une ville isolée[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18],[19].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,4% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (78%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (38,4%), terres arables (23,3%), prairies (15,7%), forêts (15,4%), eaux continentales[Note 7] (2,5%), zones urbanisées (2,4%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,3%)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Gouen (1101), Goven en 1202, Guoven (1330), Govain (XVIesiècle), Gauvan (1630), Gauvain (1665)[22].
Goven tiendrait son nom de saint Goulven (évêque de Léon dans le Finistère). Cette étymologie est contestée par Erwan Vallerie, pour qui l'attribution de saint Goulven au toponyme Goven paraît abusive. Cette tradition signale toutefois que ce nom, Goven, est perçu comme celui d'un saint fondateur. L'association de ce saint repose peut-être sur une remarque de l'abbé Henri Le Breton, citée par E. Vallerie, selon laquelle saint Goulven ou Golven, évêque de Léon "d’après certains érudits aurait été jadis honoré à Goven à cause d’un séjour qu’il y aurait fait".[23],[24] Dans la liste des saints et des lieux où ils sont honorés, établie par Joseph Loth, la commune de Goven est absente. On peut y observer que tous les lieux cités conservent le -l- de Gou-l-ven.[25]
De par la présence d'un site gallo-romain à la Bouëxière à Bréal-sous-Monfort, il est probable que des habitats épars étaient déjà présents dès cette époque.
Moyen-Âge
Au Sud du bourg, près ce la limite avec Bréal-sous-Montfort, se situe la butte de Gourmalon, en fait une motte de 6 m de haut. Pour Paul Banéat, il semble certain, qu'elle ait servi d'assiette (assise) pour un château antérieur au xiiesiècle, dont on n'a cependant pas trouvé de traces. L’historien évoque des hypothèses de "certains auteurs" selon lesquelles le comte Gourmailhon de Cornouailles y aurait construit une forteresse au xesiècle, qu'il s'agirait d'un ancien oppidum gaulois ou bien d'un tumulus ayant servi de défense. Plusieurs légendes se racontent au sujet de ce lieu.[28]
A la fin du XVIIe siècle, Jean Ogée et ses continuateurs pensaient pouvoir dater la naissance de Goven à 1020, fondé par Judicaël, seigneur de Lohéac.[29],[30] Or, il s'agit d'une erreur, car l'auteur à confondu le lieu du nom "Govent" voisin du château du seigneur de Lohéac avec Goven. Une deuxième erreur de la part de J. Ogée concerne la date de 1031, quand le seigneur Simon de la Rochebernard aurait donné une terre nommé "Goven" à l'abbaye Saint-Sauveur de Redon. Il s'avère cependant que dans la source citée par Ogée, on parle d'un lieu appelé "Gaveli".[31],[32]
D'après Amedée Guillotin de Corson, Goven est une "très-ancienne" paroisse. Elle est attestée indirectement dès 1085, car elle devait payer la dîme levée dans le fief des seigneurs de Blossac à l'abbaye de Paimpont, d'où éventuellement le nom du hameau Paimpont au Nord de la commune actuelle sur le bord de la route départementale 36. Selon Erwan Vallerie, Goven compte parmi les "paroisses primitives" fondées autour du viesiècle au moment de la colonisation de l'Armorique par les Bretons, dont la limite orientale était marquée par la Vilaine depuis Redon et du Meu jusqu'à Talensac. Cette limite correspond également à la frontière entre l'évêché d'Alet (plus tard Saint-Malo), auquel appartenait Goven, et l'évêché de Rennes sur les rives gauches du Meu et de la Vilaine. La paroisse englobait d'après l'auteur les terres de Lassy, Baulon, Saint-Thurial, Bréal-sous-Montfort, et, avec quelques doutes, celles de Guichen. Cet ensemble occupait un territoire estimé à 16900ha (169km²) environ. La croissance démographique et l'urbanisation au xie et xiie siècles entrainaient la création de bourgs et la construction de nouvelles églises. La paroisse de Goven était alors démembrée en plusieurs trèves. devenant ultérieurement des paroisses à leur tour La plus ancienne paroisse née de ce démembrement est sans doute Baulon au ixesiècle, puis Guichen avec Lassy, et enfin Saint-Thurial qui précède Bréal.[33]
Le XXesiècle
La Seconde Guerre mondiale
Émile Gernigon[34], qui habitait la ferme de Bolac, cacha des résistants FTP et des armes. Il fut arrêté par les nazis le . L'un de ceux qu'il avait abrités l'avait dénoncé sous la torture de la Gestapo. Après leur arrestation, Emile Gernigon, son frère André et un ouvrier agricole, Amand Daniel, furent enfermés et évacués dans une voiture. Sur la route de Goven, on les obligea de regarder leur ferme en proie de flammes. Avec d'autres camarades, Emile Gernigon, à l'âge de 32 ans fut fusillé le 30 juin 1944 au camp de la Maltière[35] en Saint-Jacques-de-la-Lande[36]; son frère André Gernigon et Amand Daniel furent déportés en Allemagne.[37]
Héraldique
Article détaillé: Armorial des communes d'Ille-et-Vilaine.
Blasonnement:
De vair à la fasce de gueules chargée d’un huchet d’or lié de sable.
Économie
La ZA de la Corbière est située au nord-est de la commune de Goven. Elle longe la voie express Rennes-Redon. 24 entreprises sont implantées dans la ZA, les d’activités développées sont: la chaudronnerie, le transport, la construction, la maçonnerie, l’isolation, l’aluminium, la nutrition animale, la distribution de produits industriels…
De nombreux commerces sont implantés dans le bourg de Goven. Une cinquantaine d’artisans et commerçants Govenais sont regroupés au sein de l’association GOVAEC.
La commune de Goven compte trente-six exploitations agricoles.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 en Ille-et-Vilaine.
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Liste des maires
Mairie de Goven
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1964
juin 1995
Robert Garel
Maire honoraire Vice-président de l'ACSOR
juin 1995
Marcel Petry
DVG
Agriculteur
avril 2018
Philippe Gourronc
DVG
Professeur Président de Vallons de Haute-Bretagne Communauté (2014 → 2018)
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40].
En 2019, la commune comptait 4 321 habitants[Note 8], en diminution de 2,17% par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine: +5,84%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 765
921
1 926
2 031
2 068
2 020
1 998
2 003
2 177
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 159
2 152
2 167
2 252
2 350
2 357
2 354
2 372
2 209
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
2 095
2 052
2 019
1 835
1 809
1 760
1 715
1 660
1 648
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
1 690
1 763
2 149
2 270
2 638
2 967
3 687
3 890
4 417
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
4 324
4 321
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique
Lieux et monuments
La commune abrite un monument historique:
Le château de Blossac, construit à partir du XVIIesiècle près de l'ancien manoir renaissance transformé en grosse ferme, restauré lui-même à la fin du XIXesiècle[43].
Autres monuments:
L’église Saint-Martin et Saint-Goulven, construite de 1849 à 1854 par Jacques Mellet[44].
La chapelle Notre-Dame de l'Hermitage, construite en 1938[45] après démolition d'une chapelle du XVIIesiècle. Elle contient:
un groupe sculpté du XVIesiècle représentant sainte Anne[46]
des traces de fortifications dans les lieux-dits tels que La Porte Yvon et Le Portail.
l'ancien manoir de la Turais.
l'ancien manoir de la Verrerie ou de la Vairie.
la tombe des seigneurs de Blossac.
les deux croix situées dans le nouveau cimetière, ainsi que d'autres croix très anciennes visibles dans les coins les plus ruraux de la commune.
Église Saint-Martin.
Moulin à vent de la roche.
La butte de Gurmalon.
Intérieur de l'église Saint-Martin.
Chapelle de l’Hermitage.
L'orangerie du château de Blossac.
Personnalités liées à la commune
En 1942, Émile Gernigon entre en contact avec le groupe de la résistance du Front national [Note 9]. Sa ferme de «Bolac» à Goven sert de boîte aux lettres et de dépôt de matériel. Il héberge également des résistants de passage. Le , Émile Gernigon est arrêté. La Gestapo et la milice incendient sa ferme. Il est incarcéré et torturé à la prison Jacques-Cartier à Rennes. Le , il est condamné à mort puis fusillé le à la Maltière (à Saint-Jacques-de-la-Lande). Une rue de Goven et une rue de Bruz portent son nom.
Yves Mény, un universitaire et chercheur en sciences politiques français, est né à Goven en 1943.
L'astéroïde (8371) Goven fut nommé en l'honneur du village par l'astronome américain Charles P. de Saint-Aignan qui y séjourna pendant un an dans les années 1980.
Notes et références
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Le réseau de résistance Front national n'a aucun lien avec le parti politique actuel.
Références
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Erwan Vallerie, Communes bretonnes et paroisses d'Armorique, Brasparts, Beltan, , 284p. (ISBN2-905939-04-4), p.114 et 243
abbé Henri Le Breton, Un vieux saint breton Saint goulven ou golven Evêque de Léon 540 616 Sa vie son culte du finistère à l'ille et Vilaine., Rennes, Imprimerie Du Nouvelliste, , 200p., p.119
Joseph Loth, Les noms des saints bretons, Paris, , 148p. (lire en ligne), p.45/46
Régis Auffray, Le Petit Matao - Dictionnaire Français/Gallo - Motier Galo/Françaez, Rennes, 2007, rue des scribes, 999p. (ISBN9782906064645), p.296, 733
Paul Banéat, Le Département d'Ille-et-Vilaine. Histoire. Archéologie. Monuments. Tomme 2., Rennes, Larcher, , 535p., p.120/121
Jean Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, Tome 2., Nantes, Vatar, (lire en ligne), p.142/143
Jean Ogée, A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne. Nouvelle édition. Tome I, Rennes, Mollieux, (lire en ligne), p.311
Pierre-Hyacinthe Morice (Dom Morice), Memoires pour servir de preuves a l'histoire ecclesiastique et civile de Bretagne. Tome 1, Paris, 1742-1746 (lire en ligne), p.373 (Autre fait à Redon par Simon de la Rochebernard)
Amedée Guillotin de Corson, Pouillé historique de l'archevêché de Rennes. [Volume 4], Rennes, 1881-1886 (lire en ligne), p.669/670
Erwan Vallerie, Communes bretonnes et paroisses d'Armorique, Brasparts, Beltan, , 288p., p.114/115 et 157
Alain Lefort et Bernard Lucas, Les hauts lieux de la Résistance en Bretagne: opération flambeaux, Rennes, Ed. "Ouest-France", , 126p. (lire en ligne), p.31/32
Goven. Bien vivre Goven remporte l’élection municipale, Ouest-France, article du . «La liste de Norbert Saulnier est arrivée en tête du deuxième tour des élections municipales de Goven, qui se déroulait dimanche . Philippe Gourronc, maire depuis 2008, est maintenant dans l’opposition.»
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