Gouex (orthographié localement Gouëx[1]) est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine. Située sur la rive gauche de la Vienne.
Cet article est une ébauche concernant une commune de la Vienne.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?). Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade « Bon début » quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune.
Si vous avez un doute, l’atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d’aide à la rédaction d’un article de commune de France.
Gouëx | |
![]() Église Saint-Médard. | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Vienne |
Arrondissement | Montmorillon |
Intercommunalité | Communauté de communes Vienne et Gartempe |
Maire Mandat |
Claude Daviaud 2020-2026 |
Code postal | 86320 |
Code commune | 86107 |
Démographie | |
Population municipale |
467 hab. (2019 ![]() |
Densité | 26 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 46° 22′ 01″ nord, 0° 41′ 28″ est |
Altitude | Min. 71 m Max. 142 m |
Superficie | 18,16 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Lussac-les-Châteaux |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
modifier ![]() |
Les habitants de Gouex sont appelés les Gouexiens et les Gouexiennes, parfois Gouexquis et Gouexquises.
Située à environ 7 km au sud de Lussac-les-Châteaux et à 44 km de Poitiers, la commune est bordée à l'est par la Vienne qui la sépare de Persac au sud-est et de Lussac-les-Châteaux au nord-est. En outre d'être bordé par la Vienne, le territoire communal est traversé par Le Goberté (issu du Mortaigues), affluent de la Vienne.
La commune est proche du parc naturel régional de la Brenne.
Mazerolles | Lussac-les-Châteaux | |
Bouresse | ![]() |
Persac |
Queaux |
La région de Gouex présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de vallées. Le terroir se compose[2] :
La lande est, ici, de type atlantique: elle est souvent dominée par la Bruyère arborescente et l’Ajonc d’Europe qui constituent un couvert difficilement pénétrable pouvant atteindre 3 m de hauteur. Dans ce cas, la lande prend le nom régional de « brandes ». C’est un espace issu de la dégradation et de l’exploitation intensive de la forêt originelle. La lande couvrait jusqu’à la fin du XIXe siècle plusieurs dizaines de milliers d’hectares (90 000 hectares pour le département de la Vienne vers 1877). Cette terre a été largement mise en culture à la suite de défrichements ou boisée avec du pin maritime. Il s’agit maintenant d’espaces marginaux et menacés car considérés comme « improductifs ». Pourtant, la lande joue un rôle majeur pour une biodiversité qui s’est adaptée et a survécu en leur sein et il s’agit également d’un espace refuge pour de nombreuses espèces de mammifères.
En 2006, 76 % de la superficie de la commune était occupée par l'agriculture, 20,2 % par des forêts et des milieux semi-naturels, 2,1 par des surfaces en eau et 1,7 % par des zones construites et aménagées par l'homme (voirie)[3]. La présence de milieux naturels et semi-naturels riches et diversifiés sur le territoire communal permet d’offrir des conditions favorables à l’accueil de nombreuses espèces pour l'accomplissement de leur cycle vital (reproduction, alimentation, déplacement, refuge). Forêts, landes, prairies et pelouses, cours d’eau et zones humides… constituent ainsi des cœurs de biodiversité et/ou de véritables corridors biologiques.
La commune est traversée par 8,6 km de cours d'eau dont les principaux sont le Goberté sur une longueur de 4,7 km, la Vienne sur une longueur de 2,3 km et le Mortaigues sur une longueur de 1,6 km.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montmorillon », sur la commune de Montmorillon, mise en service en 1990[10] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 789,1 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 38 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[14] à 11,7 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[16].
La principale route passant sur son territoire est l'ancienne route nationale 727 reliant Civray au sud-ouest du département à Montmorillon, la sous-préfecture la plus proche au nord-est (à 20 km). La principale route traversant le Bourg est la route départementale 25 reliant Lussac-les-Châteaux à la route nationale 10 au niveau de Chaunay, et par prolongation au département des Deux-Sèvres.
Le bourg est également traversé par la D 31 qui relie Adriers, à l'est du département à Marçay, à l'ouest.
Les gares et les halte ferroviaires les plus proches du village sont :
Les aéroports les plus proches de la commune sont:
Gouex est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[17],[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (39,9 %), terres arables (34,1 %), forêts (20 %), eaux continentales[Note 7] (2,1 %), zones urbanisées (2 %), mines, décharges et chantiers (1,9 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Gouex est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à trois risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage et le risque nucléaire[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vienne, la Blourde et le Goberté. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1995, 1999 et 2010[25],[23]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Vienne "amont" - Section Availles-Limouzine/Valdivienne », approuvé le et par le PPRI « Vienne Communauté de Communes Vienne et Gartempe (CCVG) », prescrit le [26].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[27]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[28]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[29]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[30].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[23].
La commune est en outre située en aval des barrages de Lavaud-Gelade et de Vassivière dans la Creuse, des ouvrages de classe A[Note 9]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[32].
La commune étant située dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire de Civaux, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de 2 km se mettent à l'abri[Note 10]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 11],[33],[34].
Le nom du village dérive de l'anthroponyme romain Gaudius[35]. En 1793, la commune s'appelait Gonex. Sur les cartes de Cassini, la commune s'appelle Goix.[réf. nécessaire]
La grotte du Bois Ragot[36] fut découverte en 1968, sur les indications d'une habitante, par Henri Reigner, André et Sylvie Chollet au cours d'une campagne de prospection archéologique et paléontologique sur la commune de Gouex. Son occupation préhistorique est avérée pour la période 13400-12400. L'étude des restes fauniques montre des préférences saisonnières dans les pratiques de chasse : - grande faune : d'avril à octobre. - lièvres : juillet-février, - poissons : d'octobre à juillet, - harfangs : en hiver,
Parmi les vestiges osseux de la période de Bolling -11 000/ -10 000 figuraient de nombreux restes d’oiseaux déterminés par Véronique Laroulandie Aigle royal (Aquila chrysaetos) Canard colvert (Anas platyrhyncos) Canard souchet (Anas clypeata) Cygne chanteur (Cygnus Cygnus) Grand Corbeau (Corvus corax) Grue (Grue sp) Harfang (Nyctea scandiaca) Hibou grand-duc (Bubo bubo) Lagopède (Lagopus sp) Oie (Anser sp.) Râle des genêts (Crex crex)
Les ossements d'Harfang présentent des traces de boucherie, montrant que cet oiseau était chassé pour sa viande.
Une usine de production des métaux ferreux a été créée aux environs de 1655 au creux de la vallée du ruisseau de Goberté. Une digue jetée en travers permettait d'utiliser la force hydraulique. L'entreprise fut réunie à celle de Lhommaizé en 1787. Le haut fourneau cessa son activité des 1791, en raison de l'insuffisance du cours d'eau. En 1823, il n'existait plus qu'un seul feu de forge et un marteau, et le haut fourneau était en ruine. Toute l'activité cessa en 1835 et les bâtiments furent démolis l'année suivante, à l'exception du logement patronal et de la halle à fer transformés en ferme, alors que l'étang est asséché et mis en culture.
En 1945, pour fêter la Libération et le retour de la République, un arbre de la liberté est planté (un noyer)[37].
Depuis 2015, Gouex est dans le canton de Lussac-les-Châteaux (No 10) du département de la Vienne. Avant la réforme des départements, Gouex était dans le canton No 14 de Lussac-les-Châteaux dans la 3e circonscription. Depuis le , la commune fait partie, comme toutes ses voisines de la Communauté de communes Vienne et Gartempe. Elle faisait auparavant partie de la Communauté de communes du Lussacois.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
mars 1983 | mars 2001 | Robert Bon | PCF | Conseiller général du canton de Lussac-les-Châteaux
(1994-2004) |
mars 2001 | en cours[38] | Claude Daviaud | Sans Etiquette | Maire |
La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.
Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[40].
En 2019, la commune comptait 467 habitants[Note 12], en diminution de 5,47 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,67 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
540 | 459 | 481 | 551 | 603 | 702 | 660 | 688 | 735 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
727 | 709 | 704 | 700 | 692 | 763 | 728 | 745 | 734 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
761 | 692 | 703 | 651 | 675 | 658 | 681 | 631 | 585 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2006 | 2009 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
586 | 584 | 557 | 555 | 513 | 513 | 534 | 539 | 481 |
2014 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
507 | 467 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2008, selon l’INSEE, la densité de population de la commune était de 28 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.
Les dernières statistiques démographiques pour la commune de Gouex ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que la mairie administre une population totale de 496 personnes. À cela il faut soustraire les résidences secondaires (15 personnes) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 481 habitants.
La répartition par sexe de la population est la suivante:
En 2004 :
La commune de Gouex dépend de l'académie de Poitiers (rectorat de Poitiers) et son école primaire publique dépend de l'inspection académique de la Vienne. La commune est membre d'une union scolaire avec les communes de Queaux et Persac, Gouex s'occupe des classes de CM1-CM2.
Elle dépend du secteur du collège de Lussac-les-Châteaux et des lycées (général, professionnel et agricole) de Montmorillon.
Il y deux entreprises qui exploitent des sablières-carrières : Les Sablières de Gouex et Iribarren Raymond & Fils sarl.
Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[43], il n'y a plus que 11 exploitations agricoles en 2010 contre 16 en 2000. 34 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi de l'orge), 14 % pour les oléagineux (colza et tournesol), 5 % pour les produits protéagineux, 35 % pour le fourrage et 2 % reste en herbes. En 2000, 2 hectares (0 en 2010) étaient consacrés à la vigne.
4 exploitations en 2010 (contre 6 en 2000) abritent un élevage, exclusivement destiné à la production de viande, important d'ovins (3 418 têtes en 2010 contre 2 539 têtes en 2000). L'élevage de volailles tout comme l'élevage a disparu en 2010 (respectivement 61 têtes sur 6 fermes et 216 têtes sur 3 exploitations en 2000).
Un élevage bovin d'environ 200 têtes est situé sur la commune.
La transformation de la production agricole est de qualité et permet aux exploitants d’avoir droit, sous conditions, aux appellations et labels suivants :
La commune dispose d'un camping de 30 places.
En 2009, la commune a acquis l’ancienne carrière Iribarren, d’une superficie de 7 hectares qui a aménagé un plan d’eau de 2 hectares pour la pêche et la promenade (le plan d'eau communal de la Rallerie). Les 5 hectares restants ont été mis à disposition de la (LPO (Ligue pour la protection des oiseaux)).
La commune propose deux sentiers de randonnées de 4 km chacun : « Le Goberté » et « Les coteaux des fadets ».
La commune possède l'une des plus vieilles piscines du département, celle-ci est ouverte de début juillet à début septembre ; l'entrée est gratuite pour les enfants de Gouex.
En 2015, il ne reste plus que deux commerces : une boulangerie et un salon de coiffure.
Il y a également un bar.
Le taux d'activité était de 68,2 % en 2004 et 66,3 % en 1999.
Le taux de chômage en 2004 était de 11 % et en 1999, il était de 12,6 %.
Les retraités et les pré-retraités représentaient 29,4 % de la population en 2004 et 29,9 % en 1999.
La Carrière ainsi que l'Ile de la Rallerie sont deux sites classés espaces naturels sensibles (ENS).
Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[45], il y a trois arbres remarquables sur la commune qui sont situés dans le parc de la Mairie, à savoir un frêne à fleurs, un sapin d'Espagne et un tulipier de Virginie.
Karl Melon. Vannier, Designer de mobilier en bois de palettes et ancien conseiller municipal. Ancien Éleveur de Daims.
Chollet A., Dujardin V. dir (2005), La grotte de Bois-Ragot à Gouex (Vienne), Magdalénien et Azilien. Essais sur les hommes et leur environnement. Mémoire de la Société Préhistorique Française, tome 38, Paris, 428 pages (ISBN 2-913745-24-5)