La commune d'Estérençuby se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine et est frontalière avec l'Espagne (Communauté forale de Navarre)[3].
Elle se situe à 129 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 64 km de Bayonne[5], sous-préfecture, et à 53 km de Mauléon-Licharre[6], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3].
La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port[3].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[7]:
Saint-Michel (4,1 km), Aincille (4,5 km), Caro (5,1 km), Lecumberry (5,5 km), Ahaxe-Alciette-Bascassan (5,7 km), Mendive (6,0 km), Saint-Jean-le-Vieux (6,8 km), Béhorléguy (6,8 km).
Sur le plan historique et culturel, Estérençuby fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[10],[11]. La commune est dans le Pays de Cize (Garazi), au sud-est de ce territoire.
L'Errozate (ou Errosate), 1345 m, est un mont situé sur les communes d'Estérençuby et de Lecumberry.
l'Okabe, 1456 m, est un mont accessible depuis Estérençuby ou la forêt d'Iraty.
Le col Bagargui (Bagargi) est situé dans la forêt d'Iraty. Il s'élève à 1327 m. On y accède par Estérençuby à 29,5km, par la côte de Larrau à 8,8km ou depuis le col de Burdincurutcheta.
La grotte d'Harpea, un abri sous roche proche de la frontière espagnole.
Hydrographie
Réseaux hydrographique et routier d'Estérençuby.
La commune est drainée par la Nive, l'Ampro ou Esterenguibel, Intzarrazquyko erreka, le ruisseau d'Orion, Ahuntzarryko erreka, Azkondéguiko erreka, Harruskoriko erréka, Indabordako erreka, Iparraguerréko erreka, le ruisseau Apalimalda, le ruisseau de Bihurry, Sassitako erreka, Teilleryko erreka, Toutapéko erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 63 km de longueur totale[14],[Carte 1].
La Nive, d'une longueur totale de 79,3 km, naît au pied du Mendi Zar (1 323 m), au-delà de la frontière espagnole, sous le nom de Harpeko erreka, et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Adour à Bayonne, après avoir traversé 20 communes[15].
L'Ampro ou Esterenguibel, d'une longueur totale de 12,2 km, prend sa source dans la commune de Lecumberry et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Nive à Estérençuby[16].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[17]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[18].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[17]
Moyenne annuelle de température: 12,9°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,3 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,8 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 10,8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[20] complétée par des études régionales[21] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Irouleguy», sur la commune d'Irouléguy, mise en service en 1963[22] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[23],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,7°C et la hauteur de précipitations de 1 398,2 mm pour la période 1981-2010[24].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Socoa», sur la commune de Ciboure, mise en service en 1921 et à 49 km[25], la température moyenne annuelle évolue de 14,8°C pour la période 1971-2000[26], à 14,7°C pour 1981-2010[27], puis à 15°C pour 1991-2020[28].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux», constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7].
Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la «directive Habitats»[30],[Carte 2]:
«la Nive», d'une superficie de 9 473ha, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen[31];
les «montagnes de Saint-Jean-Pied-de-Port», d'une superficie de 11 760ha, une montagne à estives, espaces pastoraux d’altitude (au-dessus de 800-900 m) ouverts sur de vastes étendues[32];
et une au titre de la «directive Oiseaux»[30],[Carte 3]:
la «haute Cize: Pic d'Herrozate et forêt d'Orion», d'une superficie de 6 374ha[33].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 8] sont recensées sur la commune[34],[Carte 4]:
la «grotte de Mikelauenzilo et alentours» (7 568,16ha), couvrant 7 communes du département[35] et
la «Haute Cize: forêt d'Orion et sommet d'Erozate» (2 703,85ha), couvrant 4 communes du département[36]
et deux ZNIEFF de type 2[Note 9],[34],[Carte 5]:
les «montagnes de Saint-Jean-Pied-de-Port» (14 133,83ha), couvrant 9 communes du département[37];
le «réseau hydrographique des Nives» (3 596,23ha), couvrant 33 communes du département[38].
Urbanisme
Typologie
Estérençuby est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10],[39],[40],[41].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Jean-Pied-de-Port, dont elle est une commune de la couronne[Note 11]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[42],[43].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,8% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (58,4%), forêts (31,7%), prairies (6,2%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,7%)[44].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].
Lieux-dits et hameaux
Beherobie
Estérenguibel
Etchébarnéa
Jauberria
Mendiburua
Ottarenia
Phagalcette
Zubialdea
Voies de communication et transports
Estérençuby est desservie par la route départementale D301.
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Estérençuby est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque particulier: le risque de radon[45]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[46].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment l'Esterenguibel et la Nive. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 1999, 2007, 2009, 2011 et 2014[47],[45].
Estérençuby est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[48]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[49],[50].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[51]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[52].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Estérençuby.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[53]. 16,4% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 7]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 12],[54].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 2009 et 2014 et par des glissements de terrain en 1990[45].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Estérençuby est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[55].
Toponymie
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Graphie basque
Son nom basque actuel est Ezterenzubi[2]. Il signifie "pont de la gorge".
Histoire
Les hameaux d'Estérençuby, Estérenguibel et Pagalcette furent peuplés par des habitants du pays de Cize qui construisirent diverses bordes à ces endroits qui correspondaient aux terres indivises entre les communes d’Ahaxe, Aincille, Alciette-Bascassan, Bustince-Iriberry, Çaro, Lecumberry, Mendive, Saint-Jean-le-Vieux et Saint-Michel, chaque maison dépendant de la commune d'origine[56].
Le [57], les habitants obtinrent la constitution en commune.
Héraldique
Blason
De sinople à un pont à une arche au naturel maçonné de sable posé sur une mer d’argent en pointe, sommé d’une montagne du même et accompagné en chef de quatre étoiles d’or en fasce[58].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1922
1944
Jean (Manech) Etchamendy
Berger-agriculteur-écrivain
1995
2008
François Larramendy
UMP
2008
En cours
Jean-Louis Poydessus
Les données manquantes sont à compléter.
Intercommunalité
Estérençuby appartient à cinq structures intercommunales:
la communauté d'agglomération du Pays Basque;
le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques;
le syndicat de regroupement pédagogique de Saint-Michel et d'Estérençuby, dont elle accueille le siège;
le syndicat intercommunal pour l'aménagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port;
le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1841. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[59]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[60].
En 2019, la commune comptait 328 habitants[Note 13], en diminution de 7,61% par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques: +2,8%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1841
1846
1851
1856
1861
1866
1872
1876
1881
635
838
888
862
814
802
720
716
719
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1886
1891
1896
1901
1906
1911
1921
1926
1931
720
672
634
661
675
679
624
579
746
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1936
1946
1954
1962
1968
1975
1982
1990
1999
594
608
545
530
503
512
457
427
382
Évolution de la population [modifier], suite (3)
2004
2006
2009
2014
2019
-
-
-
-
382
374
358
354
328
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[61] puis Insee à partir de 2006[62].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
La commune dispose d'une école élémentaire publique[63].
Économie
L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Partie de pelote dans le fronton mur à gauche couvert.
Langues
D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Estérençuby est le bas-navarrais oriental.
Eñaut Etxamendi (1935-), écrivain, chanteur, conteur, enseignant, docteur en Études basques, linguiste, auteur d'un ouvrage sur la langue basque qu'il suggère comme étant d'origine indo-européenne
Manex Goyhenetche (1942-2004), historien
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français: le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[19].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[29].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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