Dunières (Duneira en occitan) est une commune française située à l'est du Velay, dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.
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Dunières | |
![]() L'église Saint-Martin. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Auvergne-Rhône-Alpes |
Département | Haute-Loire |
Arrondissement | Yssingeaux |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Montfaucon |
Maire Mandat |
Pierre Durieux 2020-2026 |
Code postal | 43220 |
Code commune | 43087 |
Démographie | |
Population municipale |
2 668 hab. (2019 ![]() |
Densité | 77 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 12′ 59″ nord, 4° 20′ 44″ est |
Altitude | Min. 711 m Max. 1 033 m |
Superficie | 34,75 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Dunières (ville isolée) |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton des Boutières |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.dunieres43.fr |
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Dunières est située au nord-est du département de la Haute-Loire, à 770 mètres d'altitude.
La commune de Dunières se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Elle se situe à 52 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, à 25 km d'Yssingeaux[2], sous-préfecture, et à 15 km de Tence[3], bureau centralisateur du canton des Boutières dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
Les communes voisines[Note 2] sont[4] : Montfaucon-en-Velay (4,2 km), Riotord (4,8 km), Raucoules (5,0 km), Saint-Romain-Lachalm (5,7 km), Montregard (6,3 km), Saint-Pal-de-Mons (6,5 km), Saint-Julien-Molhesabate (7,2 km), Marlhes (8,5 km).
Saint-Pal-de-Mons | Saint-Romain-Lachalm | Riotord |
![]() |
||
Montfaucon-en-Velay, Raucoules |
Montregard | Saint-Julien-Molhesabate |
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[5],[6],[7].
Dunières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[8],[I 2],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dunières, une unité urbaine monocommunale[I 3] de 2 668 habitants en 2019, constituant une ville isolée[I 4],[I 5]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 6],[I 7].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,8 %), prairies (29,6 %), zones agricoles hétérogènes (10,1 %), zones urbanisées (3,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 493, alors qu'il était de 1 494 en 2013 et de 1 494 en 2008[I 8].
Parmi ces logements, 79,8 % étaient des résidences principales, 6,7 % des résidences secondaires et 13,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 70,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 29,6 % des appartements[I 9].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Dunières en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,7 %) inférieure à celle du département (16,1 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 69,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (67,7 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 10].
Typologie | Dunières[I 8] | Haute-Loire[I 11] | France entière[I 12] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 79,8 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 6,7 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 13,5 | 12,4 | 8,2 |
La commune est desservie par les routes départementales 23 (reliant le centre-bourg à Saint-Romain-Lachalm au nord) et 501 (ancienne route nationale 501) reliant Montfaucon-en-Velay à Riotord[11].
En 998, la viguerie de Tence comprenait le village de Vilette (implanté sur le territoire de la future commune de Dunières).
Au XIIe siècle, il est mentionné l'existence de deux châteaux au sein de la baronnie de Dunières. Le « castrum » (château fort) construit avant 1146, est une possession des seigneurs de Saint-Didier. Une maison-forte ou « château-bas de Dunières » située non loin de l'église, est une possession des seigneurs de Dunières, issus des Pagan et des Argental.
En 1197, Armand de Retourtour devient seigneur de Dunières grâce à son mariage avec « Seignoresse » de Dunières.
Un prieuré bénédictin de La Chaise-Dieu est mentionné en 1184.
C'est au XIIIe siècle que Dunières acquiert son blason et ses armoiries.
La rubanerie apparait vers 1600, le moulinage de la soie en 1718.
Au début du XXe siècle, s'installent les usines de tissages qui bénéficient de la puissance motrice de la rivière La Dunière.
Grâce à ces activités les voies de communication développent, en particulier vers Saint-Étienne et vers Annonay.
La ligne ferroviaire Firminy-Annonay est inaugurée en 1885 et la ligne CFD en 1902. Ces liaisons ont été progressivement abandonnées à partir de 1940.
L'abbé Meiller[Qui ?], poète qui écrit dans la lange locale, qualifie la commune de « reine de la montagne »[Quand ?].
La commune de Dunières est membre de la communauté de communes du Pays de Montfaucon[I 13], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Montfaucon-en-Velay. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[12].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement d'Yssingeaux, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 13].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Boutières pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 13], et de la première circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[13].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Maires avant 1971
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1971 | 1981[15] (décès) |
Pierre Poinas | UDF | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
1981 | mars 1983 | Jean Blanchard | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
mars 1983 | mars 1989 | Henri Crouzoulon | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
mars 1989 | Jean-Pierre Marcon | UDF puis UMP | Député de la Haute-Loire (2007-2012) Conseiller général du canton de Montfaucon-en-Velay Vice-président du conseil général de la Haute-Loire | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
André Chomienne | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Robert Oudin | DVD | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
mai 2020 | En cours (au 15 juin 2020) |
Pierre Durieux[16],[17] | Chef d'entreprise 4e vice-président de la CC du Pays de Montfaucon (depuis 2020) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Les données manquantes sont à compléter. |
La déchèterie se situe au lieu-dit Malataverne, au sud de la commune[D 1].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[19].
En 2019, la commune comptait 2 668 habitants[Note 4], en diminution de 7,55 % par rapport à 2013 (Haute-Loire : +0,6 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 010 | 1 650 | 2 020 | 2 495 | 2 409 | 2 381 | 2 461 | 2 339 | 2 237 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 219 | 2 264 | 2 315 | 2 470 | 2 513 | 3 117 | 2 973 | 2 882 | 3 135 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
3 219 | 3 300 | 3 327 | 3 023 | 3 173 | 3 222 | 3 249 | 3 077 | 3 190 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2006 | 2009 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
3 227 | 3 146 | 2 996 | 3 014 | 3 009 | 2 949 | 3 002 | 3 025 | 2 939 |
2014 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 875 | 2 668 | - | - | - | - | - | - | - |
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,9 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 336 hommes pour 1 391 femmes, soit un taux de 51,01 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (50,87 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
1,0 | 90 ou + | 3,1 |
10,1 | 75-89 ans | 13,6 |
21,7 | 60-74 ans | 20,3 |
20,7 | 45-59 ans | 19,6 |
15,5 | 30-44 ans | 13,6 |
14,8 | 15-29 ans | 14,0 |
16,1 | 0-14 ans | 15,8 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,8 | 90 ou + | 2,4 |
8 | 75-89 ans | 11,6 |
19,7 | 60-74 ans | 19,6 |
21,6 | 45-59 ans | 20,5 |
17,2 | 30-44 ans | 16,4 |
15,3 | 15-29 ans | 13,4 |
17,4 | 0-14 ans | 16,1 |
Dunières dépend de l'académie de Clermont-Ferrand.
Dans l'enseignement public, les élèves commencent leur scolarité à l'école Jacques-Prévert, composée de quatre classes (petite et moyenne section ; grande section et CP, CE1-CE2 et CM1-CM2). Ils poursuivent au collège Roger-Ruel de Saint-Didier-en-Velay[D 2].
Dans l'enseignement privé, l'école Saint-Joseph, à l'origine école de filles, a été ouverte par une ordonnance royale de 1827. L'école accueillait en 2011 onze classes de la petite section au CM2[D 3]. Les élèves scolarisés dans cette école poursuivent au collège du Sacré-Cœur situé dans la commune et sous le même toit[22].
En 2018, la commune compte 1 146 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 2 613 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 810 €[I 16] (20 800 € dans le département[I 17]). 42 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 6] (42,8 % dans le département).
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 18] | 6,6 % | 6,5 % | 5,7 % |
Département[I 19] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 20] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 532 personnes, parmi lesquelles on compte 76 % d'actifs (70,3 % ayant un emploi et 5,7 % de chômeurs) et 24 % d'inactifs[Note 7],[I 18]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 21]. Elle compte 1 029 emplois en 2018, contre 1 041 en 2013 et 1 059 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 087, soit un indicateur de concentration d'emploi de 94,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,3 %[I 22].
Sur ces 1 087 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 435 travaillent dans la commune, soit 40 % des habitants[I 23]. Pour se rendre au travail, 86,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,9 % les transports en commun, 8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 24].
225 établissements[Note 8] sont implantés à Dunières au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 25].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 225 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 47 | 20,9 % | (14,2 %) |
Construction | 26 | 11,6 % | (13,9 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 54 | 24 % | (28,8 %) |
Information et communication | 4 | 1,8 % | (1,9 %) |
Activités financières et d'assurance | 14 | 6,2 % | (4,4 %) |
Activités immobilières | 8 | 3,6 % | (3,9 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 25 | 11,1 % | (11,6 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 31 | 13,8 % | (13,3 %) |
Autres activités de services | 16 | 7,1 % | (8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24 % du nombre total d'établissements de la commune (54 sur les 225 entreprises implantées à Dunières), contre 28,8 % au niveau départemental[I 26]. Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[23] :
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Monts du Forez »[24]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la production de bovins, orientation élevage et viande[25].
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Exploitations | 72 | 70 | 48 |
Superficie agricole utilisée (ha) | 1 226 | 1295 | 1113 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité qui ont leur siège dans la commune est passé de 53 en 1988 à 70 en 2000 puis à 48 en 2010[26], soit une baisse de 67 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 43 % de ses exploitations[27]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 226 ha en 1988 à 1 113 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 17 à 23 ha[26].
Un hôtel trois étoiles[D 4] et quatre hébergements locatifs (dont un gîte d'étape)[D 5] peuvent accueillir les voyageurs.
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Blason | Tiercé en pairle renversé : au 1er d'azur à la croix d'argent, au 2e fascé d'or et d'azur, au 3e de gueules à une tour carrée d'argent maçonnée et ajourée de sable[29]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Alias | ![]() |