ravins du gros vallon, des crotes, de la clue, du paoutas, de saint-barnabé.
Environnement
La commune compte 200ha de bois et forêts, soit à peine 5% de sa superficie[1].
Risques naturels et technologiques
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Castellane auquel appartient Demandolx est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[4], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[5]. La commune de Demandolx est également exposée à trois autres risques naturels[5]:
feu de forêt;
inondation;
mouvement de terrain: certains versants sont concernés par un aléa moyen à fort[6].
La commune de Demandolx est également exposée à un risque d’origine technologique, celui de rupture de barrage[7]. En cas de rupture du barrage de Castillon, la vallée du Verdon serait menacée (elle est sur les bords du lac de Chaudanne)[8]. Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[7] et le Dicrim n’existe pas non plus[9].
La commune a été l’objet d’un arrêté de catastrophe naturelle, en 2011, pour des inondations et des coulées de boue[5]. Les tremblements de terre ressentis de la manière la plus sensible dans la commune sont ceux (les intensités indiquées sont celles ressenties dans la commune, l’intensité peut être plus forte à l’épicentre)[10]:
du 23 février 1887, avec une intensité macro-sismique de VII sur l’échelle MSK et Bussana Vecchia pour épicentre[11],
du 30 novembre 1951, avec une intensité de IV et demi et Chasteuil pour épicentre[12];
du 19 juillet 1963, avec une intensité de IV et un épicentre situé en mer Méditerranée[13].
Urbanisme
Typologie
Demandolx est une commune rurale[Note 1],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16].
La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96,3% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (45,3%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (43,7%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (7,3%), eaux continentales[Note 2] (3,8%)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes vers 1200 selon Charles Rostaing et Ernest Nègre (castri de Mandols). Selon Nègre, le nom dérive de l’occitandemandòl, signifiant mendiant, et faisant référence à la pauvreté du terroir[21],[22]. Rostaing considère comme probable que le toponyme soit plus ancien que les Gaulois[23].
Une autre interprétation est proposée à travers les armes du village et celles de la famille de Demandolx. Elles sont "parlantes", ce qui en héraldique veut dire qu'elles illustrent le nom. "Man-dols" serait alors à comprendre comme une main droite et bienveillante, une main de paix. Cas que l'on retrouve pour la ville de Manosque qui avec Demandolx est la seule à illustrer sur ses armes "sa main"[24].
Histoire
Le dolmen de Villevieille atteste de la présence humaine sur le territoire de la commune dès le Néolithique. Deux oppidums ont été occupés à l’époque préhistorique: le plateau de Villevieille et la barre de Conches[25].
Le château est construit à la fin du XIesiècle[26], et un petit bourg castral[27] se développe sur la crête, sous sa protection. Il y reste au moins jusqu’à la fin du XIIIesiècle, avant de descendre vers le lieu-dit Ville, et d’être suivi par le château et la chapelle castrale qui sont reconstruits un peu plus bas[28]. La communauté relevait de la viguerie de Castellane[29].
Le deuxième village (actuellement appelé Ville) est progressivement abandonné à partir du XVIIesiècle, les habitants privilégiant les hameaux, et notamment les Coulets (Saint-Michel selon Daniel Thiery[29]) qui est devenu le chef-lieu au milieu du XIXesiècle[25]. Le fief est tenu par les Demandolx depuis le XIIIesiècle jusqu’à la Révolution[30],[25].
En mai 1564, les catholiques assiègent le château. Le châtelain, qui s’était échappé, est rejoint et massacré avec sa famille. Le château est détruit, mais le parlement d’Aix condamne les meurtriers, et le château est reconstruit en moins de huit ans[31].
L’alpage de la seigneurie de Vauplane est un sous-fief de Demandolx, tenu par différentes familles de Draguignan, les Foulques, Durand de la Motte, d'Arnoux, Cirlot qui rend hommage pour la dernière fois, puis Berlier, à la suite d'une convention privée passée à la fin de l'Ancien Régime.
À la création des communes, Vauplane est inclus dans la commune de Soleilhas[32].
À la Révolution française, la chapelle du cimetière primitif (Notre-Dame de Conches) a été vendue comme bien national[33].
La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1834 que le cadastre dit napoléonien de Demandolx est achevé[34].
Comme de nombreuses communes du département, celle de Demandolx se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry: en 1863, l’école installée au chef-lieu dispense une instruction primaire aux garçons[35]. Aucune instruction n’est donnée aux filles: ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[36], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Demandolx[37], et ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles d’Allons sont régulièrement scolarisées.
Demandolx a fait partie, jusqu'en 2016, de la communauté de communes du Teillon. Depuis le , elle est membre de la communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière.
Urbanisme
La communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi)[41].
Rattachements administratifs et électoraux
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Politique environnementale
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Finances locales
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[42]:
total des produits de fonctionnement: 120 000 €, soit 999 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 152 000 €, soit 1 264 € par habitant;
total des ressources d’investissement: 370 000 €, soit 3 083 € par habitant;
total des emplois d’investissement: 429 000 €, soit 3 576 € par habitant.
endettement: 15 000 €, soit 128 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d’habitation: 0,99%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 0,96%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 0,00%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 58,73% ;
cotisation foncière des entreprises: 0,00%.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014: Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation: 19 326 €[43].
Jumelages
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Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[45].
En 2019, la commune comptait 135 habitants[Note 3], en augmentation de 12,5% par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence: +1,48%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1765
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
281
450
315
387
303
330
350
354
390
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1851
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
354
353
342
351
317
310
326
312
256
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1896
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
233
210
198
180
102
133
535
117
127
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1954
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
140
95
91
83
72
95
94
125
115
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2016
2019
-
-
-
-
-
-
-
135
135
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
L’histoire démographique de Demandolx, après la saignée des XIVeetXVesiècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXesiècle, est marquée par une période d’«étale» où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1806 à 1866. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique rapide, et de longue durée. Dès 1911, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1846[50]. Le mouvement de baisse se poursuit jusqu’aux années 1980. Depuis, le mouvement s'est inversé.
Enseignement
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Manifestations culturelles et festivités
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Santé
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Sports
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Médias
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Cultes
Culte catholique[51]. L'église fut consacrée "église paroissiale" en 1842.
Économie
Aperçu général
En 2009, la population active s’élevait à 57 personnes, dont un chômeur[52]. Ces travailleurs sont majoritairement salariés (50 sur 56)[53] et travaillent majoritairement hors de la commune (38 actifs sur 56)[53]. L’essentiel des emplois se trouve dans le secteur tertiaire[54].
L’essentiel des revenus fiscaux de la commune provient de la présence des barrages et des centrales hydro-électriques des barrages de Chaudanne et de Castillon[25].
Agriculture
Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait un seul établissement actif au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et aucun emploi salarié[54]. Ils étaient sept en 2000[55], 23 en 1988[56]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a baissé, de 530ha à 416ha[56]. Les terres agricoles, essentiellement en coteaux, sont aujourd’hui abandonnées, avec les cultures qui y étaient pratiquées: fruits, fourrage, vin. Même l’élevage ovin, en croissance au début du XXesiècle, n’est plus présent que sous la forme de stations des troupeaux de Basse-Provence en cours de transhumance[25].
Industrie
Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait six établissements, employant dix salariés[54].
Activités de service
Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait quatre établissements (avec aucun emploi salarié), auxquels s’ajoutent les deux établissements du secteur administratif (regroupé avec le secteur sanitaire et social et l’enseignement), salariant 16 personnes[54].
D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est d’une importance moyenne pour la commune, avec entre un et cinq touristes accueillis par habitant[57]. Les rares structures d’hébergement de la commune sont quelques meublés[58] et les résidences secondaires sont rares[59]: au nombre de 36, elles représentent le tiers des logements[60],[61].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
L’église Notre-Dame de Conches ou Couenches est située au-dessus du lac de Castillon.
Son site offre un superbe panorama[62]. Elle a probablement été construite au XIIIesiècle comme chapelle funéraire[33],[30].
L’église paroissiale Saint-Michel[30] (Saint-Pierre-et-Paul et saint Fortunat comme patron selon Daniel Thiery[29]) daterait du XVIesiècle, ou du XVIIesiècle.
Elle est ornée de peintures murales, qui ont été restaurées en 2001 avec l’ensemble du bâtiment[63].
La chapelle Saint-Fortunat ou Saint-Pierre à Ville date du XIesiècle selon Raymond Collier, seulement du XIVesiècle selon la DRAC.
Selon l’Atlas historique de la Provence, le chœur est du XIIIe, le reste du bâtiment postérieur. Le bas-côté nord est voûté d’arêtes et probablement construit plus tard. Tout le bâtiment est dépouillé et voûté en berceau. L’église est voûtée entre le XIVe et 1610, puis allongée en 1610. La chapelle sud, qui servait à ensevelir les seigneurs de Demandolx, est reconstruite au milieu du XVIIesiècle. Cette chapelle s’est effondrée. Le clocher-mur est placé au-dessus du portail occidental[26]. Elle est encore accostée de deux chapelles sur le mur Nord. Les arcs en lunule (plus large et épais à la base qu’au sommet) sont un indice de l’influence lombarde, ou de la participation de maçons venus du Nord de l’Italie[64],[65],[30].
Le château fort de l’ancien village (Ville), situé sur une crête à 1 175 m d’altitude[25], est en partie du XIesiècle, et en ruines[75].
Il a été reconstruit après le siège de 1564, l’incendie du bâtiment et le massacre de la famille[76]. Une tour est transformée en corps de logis et divers aménagements destinés à le rendre plus pratique. Cependant, l’exiguïté du site ne permit pas de rendre suffisamment aisé d’utilisation, et le seigneur emménagea dans une bastide à proximité du Verdon[77]. Cette bastide est appelée le château de Verdon, et agrandi d’écuries et d’une grande terrasse au début du XIXesiècle, avant d’être recouvert par le lac de Castillon[78].
Personnalités liées à la commune
Héraldique
Article détaillé: Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.
Blasonnement:
De gueules à trois mains dextres appaumées d’argent, posées 2 et 1.
Chaque main du blason de la commune figure une branche de la famille de Demandolx, dont deux sont éteintes. Le blason des Demandolx est «d'or à trois fasces de sable au chef de gueules chargé d'une main dextre appaumée d'argent»[79],[80],[81],[82].
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA
Raymond Collier, Demandolx: Une commune type de Haute-Provence: retrace la vie de Demandolx et de ses habitants à travers l'histoire.
Alain Agnel Giacomoni, Histoire et généalogie de la Maison de Demandolx cet ouvrage publié en mai 2010 retrace la généalogie de cette famille et de ses trois branches toutes issues de la même souche.
Sources
Bibliographie
Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559p.
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017)
Alain Agnel Giacomoni Histoire et généalogie de la Maison de Demandolx, mai 2010 (ISBN2-9520236-2-X).
Vincent Chavane, Description d'une voie romaine reliant Castellane à Briançonnet et Entrevaux (Glandèves), Archéam, no7, 2000
Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287p. (ISBN978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Roger Brunet, «Canton de Castellane», Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013
Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN2-7399-5004-7)
Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 22 novembre 2011, consultée le 18 juillet 2012
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 96
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 88
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares), Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1reédition 1950), p 212
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: étymologie de 35 000 noms de lieux, vol.2: Formations non-romanes; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll.«Publications romanes et françaises» (no194), , 676p. (ISBN978-2-600-00133-5, lire en ligne). § 24045
Charles Rostaing, «Toponymie d’origine pré-gauloise», carte 11 et commentaire in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
René Borricand, Châteaux, Maisons fortes, Mas, Bastides et Parcs des Alpes de Haute Provence, Éditions Borricand, 2009, p. 110
Elisabeth Sauze, Notice noIA04000222, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 7 novembre 2008
Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559p., p 57-58
Elisabeth Sauze, Notice noIA04000223, base Mérimée, ministère français de la Culture, 30 octobre 2010, consultée le 27 septembre 2010
Daniel Thiery, « Demandolx», Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 19 décembre 2010, mis à jour le 21 décembre 2010, consulté le 17 juillet 2012
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017), p. 173
Jacques Cru, Histoire des Gorges du Verdon jusqu’à la Révolution, coédition Édisud et Parc naturel régional du Verdon, 2001, (ISBN2-7449-0139-3), p 196
Elisabeth Sauze, Notice noIA04000184, Base Mérimée, ministère de la Culture, 30 octobre 2007, mise à jour le 22 juillet 2007, consultée le 22 octobre 2013.
Elisabeth Sauze, Notice noIA04000175, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 7 novembre 2008
Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXesiècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe-XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains: Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN978-2-86004-016-7), p.10.
Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN978-2-86-004-015-0), p.9.
Labadie, op. cit., p.16.
Labadie, op. cit., p.18.
[Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], «La Libération», Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
Édouard Baratier, La démographie provençale du XIIIeauXVIesiècle, avec chiffres de comparaison pour le XVIIIesiècle, Paris: SEVPEN/EHESS, 1961. Collection «Démographie et société», 5. p.17
Jacques Cru, Histoire des Gorges du Verdon jusqu’à la Révolution, coédition Édisud et Parc naturel régional du Verdon, 2001, (ISBN2-7449-0139-3), p 167
Ministère de l'Agriculture, «Orientation technico-économique de l’exploitation», Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien: attention, le fichier fait 4,4 Mio)
Jean-Christophe Labadie, Des Anges, Musée départemental d’art religieux, catalogue de l’exposition à la cathédrale Saint-Jérôme (5 juillet-30 septembre 2013), 2013, (ISBN978-2-86004014-3), p.30.
Raymond Collier, op. cit., p 80
Elisabeth Sauze, Marie-Odile Mandon, Notice noIA04000133, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 7 novembre 2008
Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre: les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p 71
Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre: les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p 72
Elisabeth Sauze, Laurent Alexeï, Notice noIA04000155, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 27 septembre 2010
Elisabeth Sauze, Laurent Alexeï, Notice noIA04000154, base Mérimée, ministère français de la Culture), consultée le 27 septembre 2010
Elisabeth Sauze, Laurent Alexeï, Notice noIA04000255, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 27 septembre 2010
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