Cépet est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Frontonnais, un pays entre Garonne et Tarn constitué d'une succession de terrasses caillouteuses qui ont donné naissance à de riches terroirs, réputés pour leus vins et leurs fruits.
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Cépet | |
![]() Façade de la mairie. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Haute-Garonne |
Arrondissement | Toulouse |
Intercommunalité | Communauté de communes du Frontonnais |
Maire Mandat |
Colette Solomiac 2020-2026 |
Code postal | 31620 |
Code commune | 31136 |
Démographie | |
Gentilé | Cépetois, Cépetoises |
Population municipale |
2 171 hab. (2019 ![]() |
Densité | 305 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 45′ 02″ nord, 1° 25′ 55″ est |
Altitude | Min. 123 m Max. 185 m |
Superficie | 7,11 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Toulouse (banlieue) |
Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Villemur-sur-Tarn |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.cepet.fr/ |
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Girou et par divers autres petits cours d'eau.
Cépet est une commune urbaine qui compte 2 171 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Cépetois ou Cépetoises.
La commune de Cépet se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 16 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 14 km de Villemur-sur-Tarn[2], bureau centralisateur du canton de Villemur-sur-Tarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Villeneuve-lès-Bouloc (2,2 km), Saint-Sauveur (2,5 km), Gargas (3,0 km), Gratentour (3,2 km), Bruguières (3,3 km), Labastide-Saint-Sernin (3,4 km), Bouloc (4,0 km), Villariès (4,9 km).
Sur le plan historique et culturel, Cépet fait partie du Frontonnais, un pays entre Garonne et Tarn constitué d'une succession de terrasses caillouteuses qui ont donné naissance à de riches terroirs, réputés pour leurs vins et leurs fruits[4].
Cépet est limitrophe de six autres communes.
Villeneuve-lès-Bouloc | ||
Saint-Sauveur | ![]() |
Gargas |
Bruguières | Gratentour | Labastide-Saint-Sernin |
La superficie de la commune est de 711 hectares ; son altitude varie de 123 à 185 mètres[6].
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le Girou, le ruisseau de Caulou, le ruisseau de Nalbèze, le ruisseau d'en Touch, le ruisseau de Pelléporc, le ruisseau de Saint-Christald, le ruisseau du Grès et par un petit cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Le Girou, d'une longueur totale de 64,5 km, prend sa source dans la commune de Puylaurens et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Mort à Saint-Jory, après avoir traversé 31 communes[9].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villematier », sur la commune de Villematier, mise en service en 1994[15] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 722,1 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947 et à 13 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[19], à 13,8 °C pour 1981-2010[20], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[21].
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[22],[23],[24].
Cépet est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[25],[I 2],[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[I 3] et 1 035 280 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[I 4],[I 5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6],[I 7].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,3 %), zones agricoles hétérogènes (20,8 %), forêts (16,1 %), zones urbanisées (14,5 %), prairies (3,4 %)[27].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
La commune est accessible par la route, depuis l'Autoroute A62, par la sortie 11 (Saint-Jory).
La ligne 329 du réseau Arc-en-Ciel permet de rejoindre la station Borderouge du métro de Toulouse depuis le centre-ville, et la ligne 352 la gare routière de Toulouse et Villemur-sur-Tarn[28].
La commune est proche du réseau TER Occitanie, avec la gare de Saint-Jory.
Le territoire de la commune de Cépet est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Girou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[31],[29].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 536 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 536 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[33].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1998, 2003, 2007, 2008, 2011, 2015, 2017 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[29].
Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 1 500 habitants et 2 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de dix-neuf[34],[35].
Commune faisant partie de la cinquième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes du Frontonnais et du canton de Villemur-sur-Tarn (avant le redécoupage départemental de 2014, Cépet faisait partie de l'ex-canton de Fronton).
La commune fait aussi partie de l'Arrondissement de Toulouse.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1858 | 1869 | Paulin Gasc | ||
1869 | 1870 | André Pradel | ||
1870 | 1871 | Joseph Amboise | ||
1871 | 1871 | André Pradel | ||
1871 | 1873 | Joseph Amboise | ||
1873 | 1900 | Théodule Lassalle | ||
1900 | 1903 | Louis Lassalle | ||
1903 | 1904 | Jean Pradel | ||
1904 | 1908 | Louis Lassalle | ||
1908 | 1915 | Barthélemy Brel | ||
1915 | 1919 | Pierre Gauzignac | ||
1919 | 1925 | Robert Guillou[37] (1886-1952) | Agriculteur Chevalier du Mérite agricole (1931) | |
1925 | 1935 | Jérôme Bourgères | ||
1935 | 1944 | Arnaud Bourgères | ||
1944 | 1959 | Gabriel Reclus | ||
1959 | 1983 | Bernard Guillou[38] (1922-2009) | Président de coopérative agricole | |
1983 | 1990 | Georges Teychené | ||
1990 | Émile Astruc | |||
Michel Laynat | DVD | Retraité Vice-président de la CC du Frontonnais | ||
[39] | Chantal Mourier | DVG | Retraitée de la Défense, ancienne adjointe | |
[40] | Didier Miquel | SE | Retraité Vice-président de la CC du Frontonnais | |
En cours | Colette Solomiac | SE | Directrice communication retraitée, ancienne 1re adjointe Vice-présidente de la CC du Frontonnais (2020 → ) |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[42].
En 2019, la commune comptait 2 171 habitants[Note 7], en augmentation de 29,3 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +7,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
264 | 204 | 308 | 332 | 337 | 415 | 386 | 416 | 420 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
360 | 360 | 354 | 326 | 357 | 332 | 314 | 320 | 309 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
300 | 317 | 287 | 267 | 277 | 240 | 253 | 229 | 288 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
344 | 481 | 697 | 908 | 1 023 | 1 315 | 1 455 | 1 499 | 1 679 |
2018 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
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2 003 | 2 171 | - | - | - | - | - | - | - |
selon la population municipale des années : | 1968[45] | 1975[45] | 1982[45] | 1990[45] | 1999[45] | 2006[46] | 2009[47] | 2013[48] |
Rang de la commune dans le département | 168 | 116 | 112 | 117 | 117 | 121 | 122 | 120 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Maison de retraite type EHPAD Les Serpolets,
Cépet fait partie de l'académie de Toulouse.
L'éducation est assurée sur la commune par le groupe scolaire Paule[49] : maternelle et élémentaire.
La commune fait partie du secteur du collège Claude Cornac de Gratentour, ainsi que du lycée Pierre Bourdieu de Fronton.
Salle des fêtes, centre de loisirs, danse, musique.
Tennis, football, chasse, pétanque.
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes du Frontonnais[50],[51].
Il existe aussi sur la commune une usine de traitement des eaux usées du SITEC.
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 763 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 1 910 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 24 220 €[I 8] (23 140 € dans le département[I 9]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 10] | 2,7 % | 5,5 % | 7,1 % |
Département[I 11] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 12] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 241 personnes, parmi lesquelles on compte 79,5 % d'actifs (72,4 % ayant un emploi et 7,1 % de chômeurs) et 20,5 % d'inactifs[Note 9],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 13]. Elle compte 336 emplois en 2018, contre 356 en 2013 et 343 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 919, soit un indicateur de concentration d'emploi de 36,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 62,7 %[I 14].
Sur ces 919 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 70 travaillent dans la commune, soit 8 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 92,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3 % les transports en commun, 3,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 1,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].
109 établissements[Note 10] sont implantés à Cépet au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 17].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 109 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 3 | 2,8 % | (5,7 %) |
Construction | 13 | 11,9 % | (12 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 18 | 16,5 % | (25,9 %) |
Information et communication | 1 | 0,9 % | (4,1 %) |
Activités financières et d'assurance | 3 | 2,8 % | (3,8 %) |
Activités immobilières | 3 | 2,8 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 25 | 22,9 % | (19,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 27 | 24,8 % | (16,6 %) |
Autres activités de services | 16 | 14,7 % | (7,9 %) |
Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24,8 % du nombre total d'établissements de la commune (27 sur les 109 entreprises implantées à Cépet), contre 16,6 % au niveau départemental[I 18].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[52] :
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 16 | 10 | 6 | 5 |
SAU[Note 12] (ha) | 473 | 284 | 365 | 467 |
La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol[53]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (16 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 467 ha[55],[Carte 6],[Carte 7].
![]() |
Blason | Tiercé en pairle renversé : au premier d'azur à une tour d'argent ouverte et maçonnée de sable, surmontée d'une étoile d'or, au second d'or à un gril de gueules, au troisième de gueules à une croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or.[réf. nécessaire] |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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