Courcelles-lès-Gisors est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.
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Courcelles-lès-Gisors est un village périurbain de la vallée de l'Epte dans le vexin français, jouxtant au Sud-Ouest Gisors et situé à 35 km au nord-ouest de Pontoise, 32 km au sud-ouest de Beauvais et à 51 km au sud-est de Rouen. Desservie par la RD 181, il est aisément accessible par l'ancienne route nationale 15 qui relie Pontoise à Gisors.
Cette commune de l'Oise est limitrophe de l'Eure.
Deux chemins de promenade et randonnée (PR) sont aménagés dans le territoire communal, dont un sur l'emprise de l'ancienne ligne de Gisors-Boisgeloup à Pacy-sur-Eure, qui longe l'Epte, et la commune est traversée par le Sentier de grande randonnée GR 125.
Louis Graves mentionne en 1827 que le territoire communal «est incliné vers l'ouest, et présente des pentes échelonnées qui viennent se perdre dans la vallée[1]».
La commune est limitée au nord et à l'ouest par le lit de l'Epte, un des affluents de la Seine
La rivière est environnée de zones humides, notamment le marais de Courcelles.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 11°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,2 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 3,7 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,6 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Buhy», sur la commune de Buhy, mise en service en 1986[8] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1°C et la hauteur de précipitations de 727,8 mm pour la période 1981-2010[10].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], «Beauvais-Tillé», sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 35 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4°C pour la période 1971-2000[12] à 10,6°C pour 1981-2010[13], puis à 11,1°C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Courcelles-lès-Gisors est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18],[19].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,3% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (50%), prairies (32,9%), zones urbanisées (7,5%), zones agricoles hétérogènes (6,4%), forêts (1,8%), eaux continentales[Note 8] (1,4%)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Lieux-dits, hameaux et écarts
La commune compte plusieurs hameaux et écarts: Muréaumont ainsi que Beausséré, ancienne commune absorbée par Courcelles et 1825[22].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 365, alors qu'il était de 360 en 2013 et de 357 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 89% étaient des résidences principales, 7,4% des résidences secondaires et 3,6% des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,5% d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,2% des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Courcelles-lès-Gisors en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,4%) supérieure à celle du département (2,5%) et à celle de la France entière (9,7%). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,1% des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (89,1% en 2013), contre 61,4% pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en%)
7,4
2,5
9,7
Logements vacants (en%)
3,6
7,1
8,2
Toponymie
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Le nom de la localité est mentionné sous la forme Curculla vers 1130[réf.nécessaire], du latin corticella (diminutif de cortem, «domaine») qui désigne ordinairement la fraction démembrée d’un domaine.
La localité a également été désignée Jouxte-Gisors[1].
Histoire
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Le village est connu pour la bataille que s'y livrent en Philippe Auguste et Richard Cœur de Lion, qui en sort vainqueur.
Article détaillé: Bataille de Gisors.
Sous l'Ancien Régime, jean-Baptiste Frion relate qu'il «y eut entre les seigneurs de Courcelles et la plupart des habitants, de fréquents démêlés à l'occasion des droits de banalité auxquels ceux-ci se sont souvent soustraits. D'après un document authentique, les droits de banalité consistaient dans la perception, pour le seigneur, de la quatrième partie du vin et la sixième partie du cidre que faisait le vassal, et du sixième des pains qu'on cuisait, et les vassaux ne pouvaient faire leur pain et leur boisson qu'au four et au pressoir banaux[23]».
La commune, instituée lors de la Révolution française, absorbe en 1825 celle de Beausseré[22].
En 1827, la commune était propriétaire d'une école et du presbytère et faisait construire la mairie. «elle a à peu près un hectare de terrains incultes, partie en marais, et partie sur la côte, d'où on extrait de mauvaises' pierres de construction. Elle a aussi à Hainval, une carrière de craie d'où l'on tire de la marne. Le cimetière est resté autour de l'église. La plupart des maisons sont couvertes en chaume; le village est entouré de bois peu aéré; les rues sont étroites. Beausiéri présente le mime aspect. (...) L'on trouve dans cette commune une chamoiserie, une fabrique d'huile, et un four à chaux[1]».
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la deuxième circonscription de l'Oise.
Elle fait partie depuis 1801 du canton de Chaumont-en-Vexin[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 37 à 73 communes.
Intercommunalité
La commune, jusqu'alors membre de la communauté de communes du Vexin-Thelle, était membre de la communauté de communes du Pays du Coquelicot, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales
Insatisfaite de ce rattachement et considérant qu'elle est concernée par les équipements de l'Eure, la commune obtient son rattachement à la communauté de communes du Vexin Normand le [24],[25] avant de réintégrer la communauté de communes du Vexin-Thelle le [26].
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983
mars 1995
Guy Lompech
industriel
mars 1995
mars 2001
André Benazet
instituteur
mars 2001
En cours (au 2 décembre 2021)
Alain Frigiotti
chauffeur routier-retraité Réélu pour le mandat 2020-20260[27],[28]
Équipements et services publics
Enseignement
Les enfants de la commune sont scolarisés depuis 2017 avec ceux de Boury et de Vaudancourt dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) pour lequel l’école de Courcelles-les-Gisors a été étendue de 2 classes[29],[30].
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].
En 2019, la commune comptait 809 habitants[Note 9], en diminution de 4,15% par rapport à 2013 (Oise: +1,72%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
241
286
308
328
399
447
597
639
706
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
709
706
601
670
558
550
604
626
639
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
614
592
570
532
557
593
488
424
424
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
418
365
470
589
761
803
829
850
827
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
809
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,9%, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,5% la même année, alors qu'il est de 22,8% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 406 hommes pour 409 femmes, soit un taux de 50,18% de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,3
90 ou +
1,5
6,0
75-89 ans
7,0
17,6
60-74 ans
14,6
26,6
45-59 ans
21,1
20,5
30-44 ans
20,9
10,0
15-29 ans
12,7
19,1
0-14 ans
22,1
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[35]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,3
5,3
75-89 ans
7,5
15,1
60-74 ans
15,8
20,9
45-59 ans
20,1
19,5
30-44 ans
19,4
17,9
15-29 ans
16,5
20,8
0-14 ans
19,4
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
On peut noter l'ensemble patrimonial constitué des ruines du château, l'église située en dessous puis un lavoir
Vestiges du Château de Courcelles-lès-Gisors, proche du lieu de la bataille de 1198, et qui a été démantelé lors des guerres de la fronde, par les ordres du cardinal de Mazarin Au début du XIXesiècle, Louis Graves indiquait «L'enceinte, conservée dans une partie de son élévation, était rectangulaire sur cent mètres de face; le donjon occupait l'un des angles et avait seize mètres de côté, avec des murs épais de deux mètres[1].». Inscrit partiellement aux monuments historiques[36].
Église XIIe – XVIesiècle (IMH), composé d’une nef unique, d’un transept et d’un chœur de deux travées dont la première est flanquée de chapelles. L'église a été fortement remaniée au milieu du XVIesiècle avec la reprise en sous-œuvre de la base du clocher, la construction des croisillons et celle des parties orientales, ainsi que de la charpente de la nef avec engoulants et blochets sculptés. A l'intérieur se trouve une Vierge à l’Enfant en pierre, caractéristique de la sculpture populaire du début du XIVesiècle[37],[38].
Les lavoirs.
Deux tours, vestiges d'un parc qui aurait été dessiné par André Le Nôtre pour le seigneur du lieu, «et d'après la tradition, un nouveau manoir devait s'élever dans l'enceinte de ce parc où il y a aujourd'hui un corps de ferme dont l'entrée est la même que celle qu'on vient de mentionner[23]».
L'église.
Chevet de l'église
Les ruines du château.
Le lavoir.
Rue de la Tour
Monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
Le nom de certains seigneurs de Courcelles nous est parvenu, comme[23]:
En 1150, Drogon ou Dreux. Un document rapporte que ce seigneur ayant exercé des violences et des entreprises à Vaudancourt, qui appartenait aux chanoines de la cathédrale Notre-Dame de Rouen, l'archevêque s'en plaignit au roi et lui demanda d'obliger Drogon à rendre ce qu'il avait volé...
En 1260, Enguerrand, homme d'armes;
En 1421, Philippe de Courcelles, grand-échanson ou bouteillier du roi, qui possédait un grand nombre de seigneuries dans les deux Vexins.
Héraldique
Blason
D'azur à la tour d'argent, maçonnée de sable posée sur une rivière de sinople mouvant de la pointe, accompagnée. de trois fleurs de lis d'or rangées en chef[39].
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Chamont, Oise, Beauvais, Achille Desjardins, , 131p. (lire en ligne), p.286-287, sur Google Books.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Jean-Baptiste Frion, Nouveau précis statistique sur le canton de Chaumont, Beauvais, Achille Desjardins, , 218p. (lire en ligne), p.130-133, sur Google Books.
Vincent Gautronneau, «Deux communes de l’Oise se tournent vers la Normandie», Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
Guillaume Voisenet, «L'école se dote de deux classes supplémentaires à Courcelles-lès-Gisors: Le groupe scolaire à Courcelles-lès-Gisors s'est étendu en ce début 2017. Objectif: accueillir dans de meilleurs conditions les élèves», L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
Matthieu Le Tirant, «Opposé à la fermeture d'une classe, le maire de Courcelles-lès-Gisors en appelle au ministre de l'éducation: Alain Frigiotti vient d'écrire une lettre au ministre de l'Education nationale et souhaite mobiliser pour sauver une classe menacée dès la rentrée prochaine», L'Impartial, (lire en ligne, consulté le ).
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